Jude Larens {Ok}

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 Jude Larens {Ok}

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MessageSujet: Jude Larens {Ok}   Jude Larens {Ok} EmptyLun 10 Déc 2012 - 23:16

Welcome to Mystery...

Jude
Larens

Citation-Citation



      Jude Larens {Ok} Avmirandakerrtri
      feat Miranda Kerr
        Âge : 24 ans
        Date & Lieu de naissance : 2 Janvier 1988.
        Race : Sorcier.
        Statut : Célibataire.
        Groupe : Personnel du Mystery Orphanage.
        Don premier : Voyant.
        Pouvoir premier : Traqueur – Détecte n’importe qui.
        ( Cours facultatif suivis : pour les élèves)
        ( Matière(s) enseignée : pour les professeur) Professeur de langues : Italien, Grec ancien et Latin.
        ( métier : pour les humains innocents)





« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »

    ● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées.

    Décembre 2007
    Le ciel, nous l'abandonnons aux anges et aux moineaux.
    La jeune femme était plongée dans la contemplation des flocons à l’extérieur. Seule, assise face à sa fenêtre, elle était enroulée dans un grand châle d’un blanc cotonneux. Son regard fatigué glissait sur le paysage glacé, cristallisé sous ce pur manteau de neige. Les branches des arbres frissonnaient et, glissant le long de leurs ramures tristes et nus, de fines gouttelettes d’eau venaient s’écraser sur le tapis poudreux recouvrant le sol tout entier. La vie semblait en suspend, arrêtée. Et seules ces gouttes hasardeuses effaçaient ce rêve lacté et immaculé, tombant une à une avec cruauté sur cette douce couverture blanche.
    La porte s’ouvrit. Jude tourna la tête vers la personne qui venait de pénétrer dans son antre, sa chambre. Comme tous les jours, sa mère se présentait pour la même raison.

    ” Tu dois prendre tes médicaments. ”

    Le regard de la jeune femme se baissa, puis retourna se poser sur la nature douce et placide, havre de beauté et de paix. Ses mains attrapèrent lentement le verre d’eau qu’elle lui tendait puis, portant à ses lèvres les cachets, elle avala les petites pilules d’un coup. Sans même les regarder. Une fois de plus, cet hiver, elle était tombée malade, cruellement condamnée à regarder la neige sans jamais pouvoir la toucher. Sa santé fragile avait transformé une simple grippe en pneumonie aggravée, mais plus personne ne s’en étonnait à présent. Jude avait toujours eu de faibles défenses immunitaires, dues à un trouble cardiaque qu’elle avait hérité d’une naissance prématurée. Née à six mois et demi, elle avait frôlé le paradis. Son cœur ne s’était jamais réellement remit des ratés qu’il avait eu à la sortie du ventre maternel. Ariel passa affectueusement sa main sur le front délicat de Jude, sa fille, puis la laissa se reposer seule, face à cet environnement utopique. Son père, lui, ne venait jamais la voir. Bien trop occupé pour se soucier de cette enfant malade, démunie, et surtout sans aucun pouvoir. Cela lui aurait prit bien trop de temps. Sa femme se chargeait très bien de ce poids.

    Janvier 2008

    « Papa ! »

    Thomas se retourna en contemplant Jude, sa fille, marcher à grands pas vers lui. Cela faisait longtemps qu’il ne lui avait pas vu une telle énergie. Ses yeux brillaient d’une joie soudaine et pétillante. Il posa lentement le journal qu’il était en train de lire, et fixa son attention sur sa fille. Pour la première fois depuis des mois. Voir des années. Pendant qu’elle marchait vers lui, il pu constater combien elle avait changé. A maintenant 19 ans, Jude n’était plus l’adolescente qu’il s’était habitué à voir. Son corps était celui d’une femme, son visage avait murit, s’était nettement embellit. Quand elle arriva face à lui, il la contempla avec son habituel air impassible.

    « ça y est, ça y est, je sens quelque chose… »

    Elle semblait si transportée par la nouvelle qu’elle ne put finir sa phrase sans reprendre son souffle. Son corps vacilla un peu, trop peu habitué à tant d’agitation.

    « Quoi, qu’as-tu senti Jude ? »
    « Mon pouvoir, je l’ai sentit ! »

    Les yeux de Thomas s’agrandirent. Enfin, Jude pu y voir miroiter, après de si longues années d’attente et d’espérance, une lueur de fierté, de satisfaction. Il la prit doucement par le bras puis l’emmena s’asseoir plus loin.

    avril 2009

    Jude posa ses valises, seule au milieu de l’aéroport. Elle se sentait perdue, perdue au cœur de cette immense fourmilière. Cet univers étranger était empli de gens qu’elle ne connaissait pas. Elle plongea sa main au fond de sa poche, puis en sortit un papier sur lequel était noté, d’une gracieuse écriture, un nom qui lui était inconnu. Un homme s’avança vers elle, tenant entre ses doigts une photo de la jeune femme. Il lui sourit puis, après s’être présenté comme son guide, l’amena jusqu’à la voiture qui la conduisit dans son nouveau lieu de vie. La France était différente de son Angleterre natale, tellement différente. Elle l’appréciait bien plus.

    Sujette à une passion dévorante pour la littérature française, les poètes français, elle était déjà bilingue. La jeune femme avait passée de longues heures, plongée dans la lecture de ses auteurs préférés. Entraînée dans le tourbillon dépravant et pourtant si pur de ces poètes à l’âme si torturée, elle s’était éprise de Verlaine, de Rimbaud, Baudelaire. Hugo l’avait conquise, Voltaire l’avait enflammée. Réellement éprise de cette culture littéraire française, elle avait décidé d’abandonner son cocon pour plonger dans une ville qui n’attendait qu’elle : Paris. Elle y ferait tout ce qu’elle avait toujours souhaité, des études de lettres dans l’espoir de devenir traductrice.

    Fin 2009.
    Ça m'arrache, toi, tu m'arraches. C'est une souffrance si délicieuse, si plaisante, que je pourrais la supporter mille fois si à la fin tu me reviens.

    Entre Jude et Daniel cela ne commença pas très bien, à vrai dire. Ce n’était pas ce genre de rencontre typique qui fait qu’on tombe amoureux. Cet homme avait le don de se faire détester. Certains le disaient prétentieux, orgueilleux, trop sûr de lui. D’autres le détestaient à cause de sa beauté, son intelligence trop fine. Mais il était indéniable que le jeune homme dégageait un charme intensément puissant. La jeune femme s’était d’ailleurs longtemps demandé si cela n’était pas un de ses pouvoirs.

    Ils s’étaient détestés. Haïs au premier regard, à la première heure de cours. Jude n’avait pu supporter cet air supérieur sur son visage trop beau, cette manie qu’il avait d’être parfait et imparfait à la fois. Il était étrange qu’un être si suffisant et pédant puisse posséder un esprit si vif, une verve si chantante et douce. Il prenait un malin plaisir à la frôler, lui couper la parole lorsqu’elle souhaitait parler. Mais il le faisait si bien que cela en était d’autant plus rageant. Et pourtant, elle ne baissa jamais les armes devant ce personnage détestable. Ce qu’il considérait comme un jeu, était pour elle un véritable défi. Passionnelle et furieuse, elle déployait tout son savoir pour se hisser à sa hauteur, se relevant lorsqu’elle trébuchait, toujours avec plus de fièvre. Ce n’était pas tellement le savoir qui la poussait vers cette course presque masochiste, mais plutôt une ivresse. L’ivresse d’exister pour cet homme si centré sur lui-même. Car en effet, la jeune femme suscita en lui un très vif intérêt.
    « Tu as cette chose en toi, qui se bat, c’est beau. » Dit il d’un coup.

    Jude lance un coup d’oeil à Daniel, assit à côté d’elle. Il a le regard plongé dans les notes du cours de lettres modernes qui se déroule au même moment. Sa nuque sensuelle est parsemée de quelques boucles noisette, éparses. C’est ce qui attire l’attention de la jeune femme. Son ventre est prit dans un étau brutal. Elle détaille son menton, puis ses joues creusées par deux fossettes et piquetée d’une barbe de quelques jours. L’éclat de ses yeux azuréens est vif, emplis d’une vitalité débordante. Son nez, fin et droit, se dresse sur son visage harmonieux, surplombant des lèvres rosées délicieusement veloutées, presque carmines. Il ressemble à la plus parfaite des statues des canons de la Grèce antique. Soudainement, il la regarde.

    « Ben alors, pourquoi tu tires cette tête ? »

    Elle n’a pas besoin de répondre. Un sourire suffit à décrire ce qui se révèle être indéfinissable.

    C’est fou comme l’amour et la haine sont proches. Il suffit d’un rien, et on s’entremêle, on aime, puis ont hait. Un regard, une boucle, une nuque. Il suffit d’un rien.

    La semaine d’après, Jude ne pouvait déjà plus de passer de son odeur si particulière et si plaisante.

    15 Juin 2010

    “ Viens. …” Silence. Leurs regards se croisent, se jaugent. Ils se mesurent, hésitants. Ses doigts sont tendus vers elle. “Mais putain viens je te dis !”

    Soudainement et presque avec violence, il attrape son poignet et la tire par le bras, la faisant sortir du bâtiment. Jude ne proteste pas, elle se laisse faire, comme dépossédée de ses moyens. Ils traversent une rue, il a les sourcils froncés, l’air renfrogné. Plongeant sa main dans la poche avant de son pantalon en coton blanc, il en sort une clé noire qui lui sert à déverrouiller sa voiture à distance. Daniel ouvre la portière du côté passager, laisse Jude s’installer et va prendre le volant de sa Mercedes noire. Un homme et une femme sortent de l’immeuble, l’air alarmés.

    Ils s’immobilisèrent en regardant la voiture de luxe démarrer à grande vitesse. Elle était partie.

    Novembre 2012.


    Jude contempla son alliance, posant ses mains sur le costume deux pièces noir de Daniel. Cela faisait maintenant six mois qu’ils s’étaient mariés. Elle remonta sa main sur la joue froide et inanimée du défunt. A jamais éteinte. Le visage de la jeune femme n’était troublé d’aucune émotion visible. Comme la surface d’un lac sans ridules, il était calme et pourtant profond, noir, abyssal. Son regard émeraude était plongé dans la contemplation placide et silencieuse de celui qui avait partagé sa vie et qui à présent l’avait définitivement quittée. Daniel était mort. Cruel. Toute cette bataille qu’elle avait menée, durant sa maigre existence, tournait à présent à vide. Il était partit, et elle était restée. Il ne lui restait qu’une chose à faire. Le Mystery Orphanage avait toujours été l’un des plus grands centre d’intérêt de Daniel. Elle savait qu’il avait voulu y enseigner. Poussée par cette volonté qui n’était pas sienne, elle allait s’y rendre.
    Un sourire éclos doucement au coin de ses lèvres pourtant si tristes. Le même que ce fameux jour. Et c’est ainsi qu’elle lui dit adieu, laissant derrière elle les innombrables souvenirs d’une bataille dont elle seule connaissait la cause. Elle eut un pressentiment. Vénal. Qu’allait donc lui apporter cet orphelinat ? Elle savait de quoi il retournait. Elle savait ce qu’elle s’apprêtait à faire.

    Décembre 2012


    La jeune femme s’assit face à la directrice. Ses yeux papillonnèrent sur le vaste bureau qu’était celui de Pandora Mystery. Y recelaient un nombre incalculable d’objets en tout genre, qui attirèrent immédiatement l’attention de Jude. Elle oublia un instant la vive appréhension qu’elle avait eu avant de pénétrer dans l’antre de la directrice. Elle avait toujours été fascinée par ce genre d’endroits mystiques qui cachaient tant de choses. L’orphelinat lui plaisait, elle aimait le domaine, Little Angleton était charmant. Elle se sentait presque au cœur d’un de ces vieux livres intrigants, dont l’ambiance vous entraine dans de sombres méandres…
    La directrice bougea un peu sur sa chaise, ramenant Jude à la réalité.

    « Pourquoi êtes-vous là mademoiselle ? Dans quel but voulez vous devenir professeur au Mystery Orphanage ? »

    Jude pencha un peu la tête sur le côté, réfléchissant.

    « Je pense que c’est une cause… noble… J’ai une connaissance approfondie de la langue italienne, de sa littérature. J’ai étudié les langues mortes et vécu avec un Français, membre d’Orphéo, c'est l'une des raisons de ma présence ici. J’ai été assistante d’un professeur de grec ancien, dans une université, à Paris, mais je n’ai jamais réellement enseigné. C’est néanmoins quelque chose qui m’attirerait beaucoup.»

    Elle ne savait que dire d’autre. Tournant la tête vers la fenêtre à sa droite, elle vit que la nuit était tombée.

    « Aimez vous les enfants ? Avez-vous une relation spéciale avec eux ? »

    Jude sourit, cette fois. Elle planta son regard dans celui de la directrice.

    « Le métier de professeur nécessite de la pédagogie, je pense qu’on ne peut pas aimer tous les enfants. Mais ça, ils ne doivent pas le voir. Alors oui, j’aime les enfants, mais pas tous les enfants. Je ne suis cependant pas du genre à le montrer où à leur faire payer. »


    Quelques jours passèrent. Jude, n’ayant pas eu de nouvelles de la directrice du Mystery Orphanage, douta fortement de la réussite de son entretient. Et pourtant, au matin du quatrième jour, elle reçut un coup de téléphone qui lui annonça qu’elle pouvait venir travailler au début de la semaine suivante.





« QUI-ES-TU ...? »

    ● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées.
    Jude est une jeune femme assez difficile à cerner. L’éducation qu’elle a reçue a laissé de nombreux stigmates dans son comportement. Ses parents, très rigides et rigoureux, l’ont habituée à faire preuve d’un contrôle de soi intransigeant. Sa colère s’exprime par un sourire glacial, sa désapprobation par une simple moue, sa tristesse par une impassibilité presque effrayante. Elle s’exprime aussi et surtout par une incapacité à exprimer des sentiments concrets et clairs. Mais globalement, Jude est très agréable et orne toujours ses jolies lèvres d’un sourire plus ou moins absent. En réalité son visage n’est pour elle qu’un masque fumeux cachant ses réelles pensées, ses vrais ressentis. Un masque qui ne s’abat que très rarement, malheureusement.

    Cependant, il est parfois possible de saisir entre deux battements de cils, les nébuleux songes de cette mystérieuse jeune femme. Car il est souvent dit que les yeux sont le miroir de l’âme et personne ne peut échapper à cette règle tantôt cruelle, tantôt arrangeante. Il est très compliqué de se diriger à travers les méandres ténébreux et retors des pensées de cette jeune femme. Jude est semblable à une longue et épaisse étendue de glace, cachant un lac profond et sombre… Implacable et têtue, fissurée par endroits. Mais les profondeurs ne cachent-elles pas en leur sein d’innombrables et mirifiques trésors, douces chimères parfois malveillantes ?


    Petites informations complémentaires : Jude est une passionnée de musique, des vieux groupes de rock des années 70 à Mozart ou Beethoven, en passant par de la musique plus actuelle. Elle adore la littérature anglaise, française, et a longtemps pratiqué les arts martiaux, pour son simple plaisir. Jamais en compétition.


    ● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées.
    Elle tourne la tête vers nous. Ses yeux sont comme deux gouffres béants, brulants, intensément émeraudes et particulièrement attirants. Ils paraissent inoffensifs et brutaux, félins et suaves, glissés dans un coffret de sombres cils parfaitement ourlés. Ses lèvres sensuelles sont plutôt pulpeuses et assez bien dessinées, rosées, tout comme les deux pommettes encadrant son nez fin et discret. Contraste poignant avec son regard passionnel et saisissant , les traits de cette jeune femme ont ce quelque chose de fragile, de particulièrement doux, prêts à se briser comme une simple poupée de porcelaine. Son front est plutôt haut, parsemé des quelques mèches de sa longue chevelure ébène. Cette dernière ondule jusqu’entre ses deux omoplates saillantes. Trônant au centre de ses deux épaules frêles, un port de tête rappelant celui des reines. Son dos possède une cambrure agréable, qui s’étend jusqu’à une croupe musclée mais plutôt discrète. Sa poitrine n’est pas trop opulente – un 85C tout de même, et elle n’aime pas la mettre en valeur.

    Le charme de la jeune femme ne se dégage pas de sa beauté, qui pourrait être semblable à quelques autres. Il se dégage plutôt de ce sentiment étrange et attirant que Jude renvoie. Insaisissable et pourtant si proche.


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Nina

    Âge : 17 ans.
    Poste Vacants ? : []oui []non
    Comment avez-vous connu le forum? : MattArtéDodoEdo (ça donne un truc plutôt chelou assemblé comme ça Cool)
    Fréquence de venue : 6 à 7/7
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Dernière édition par Jude Larens le Lun 17 Déc 2012 - 22:41, édité 9 fois
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EMPLOIS/LOISIRS : Chef de Croix et des Cross
LOCALISATION : Sarzeau ou peut-être derrière toi ?
CITATION DU PERSONNAGE : « La mort rattrape ceux qui la fuient. »

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DATE D'INSCRIPTION : 13/03/2012

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MessageSujet: Re: Jude Larens {Ok}   Jude Larens {Ok} EmptyMar 18 Déc 2012 - 21:21

T'ES VALIDEEEEEEEEEEEEEEEE.

Amuse toi bien ma virtuose ♥ Et tu restes toute la vie ! ♥
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Jude Larens {Ok}

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