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kamehameha

The Way We Talk

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(C'est moi (en orange) en train de mater le mec de ce week end ^^.... pris en flag mdr)

Red Hot Chili Peppers -

(j'ai rien)

http://www.gentside.com/baccalaur%e9at-2012/baccalaureat-2012-les-plus-belles-perles-de-l-039-epreuve-de-philosophie_art42050.html


Et c'est drôle, oui madame.

La raison de leur chute étant complètement ridicule, Finn a préféré ne pas y donner suite. Il savait de toute façon déjà en posant la question que la réponse ne ferait que l'exaspérer. Et par la suite, le chemin a réussi a le calmer. L'écureuil qui n'en était pas un est déjà oublié.
Comme tous ses prédécesseurs avant lui.

Le méchant garçon qui lui sert de chain prend malgré tout docilement la cape, et un instant Finn se demande si le chain serait prêt à exécuter n'importe quel ordre. Prêt, ou contraint ? La première possibilité est de loin la plus préférable. On est plus efficace lorsque l'on est volontaire. D'après Finn en tout cas. Et puis quelque part, ça lui ferait quand même un peu mal que l'urluberlu qu'il en est venu à considérer comme un très bon ami n'agisse que par contrainte, et non pas par volonté propre. Obéir volontairement à un ordre, c'est aussi en reconnaître la valeur et en approuver le contenu.
La raison même pour laquelle Finny serait lui prêt à tout pour maître Glen. Parce qu'il croit dur comme fer que ce que le maître dit est forcément ce qu'il y a de mieux. Qu'on le traîte de mouton suivant aveuglément un berger ne fait que le traverser comme une brise dans un pré. C'est presque agréable, que de se faire insulter par des gens qui ne comprennent pas, et ne peuvent surtout pas comprendre ce que cela fait d'avoir quelqu'un à admirer et à suivre.
Dommage pour eux. Tant mieux pour les Baskervilles.

Pour en revenir à la relation entre les deux zigotos, elle n'est pas exactement comparable à celle qui inclue le maître, mais c'est aussi une histoire de respect. Et peut être aussi qu'un morceau concerne l'amitié.
Lorsque (ba)Nana reprend sa route, Finn fait de même après une dernière petite prière à tous les dieux de l'Abysse et du monde réel pour qu'ils ne croisent personne. C'est ce moment que choisit Naaru pour parler à nouveau.

- Ça me va. Tâche de pas mourir si on me repère avant que j'ai le temps de faire quoique ce soit.

Le contractant observe le dos de sa chain en clignant des yeux, mais qu'on se rassure, le hibou est retourné dans son arbre cette fois. Oooooh des mots gentils.

- Sinon, j'aurai rien à manger ce soir.

Tout ce que tu veux Nana, les oreilles de Finn ont de toute façon sorti le filtre à piques juste après ta première réplique, sachant pertinemment - il commence à te connaître que veux-tu - que le truc qui suivrait ne vaudrait pas le coup.
Finny se permet de sourire un instant dans le dos de la chain, parce qu'il ne faudrait quand même pas qu'il voit que sa réplique a été bien accueillie.

- T'es un cas désespéré en cuisine. Tu serais obligé de trouver un moyen de me ramener de toute façon, sinon tu risques de crever de faim un bout de temps jusqu'à ma réincarnation.

Sérieusement. Ce bougre qui manipule le métal comme si c'était du tofu est incapable, combien même cela lui sauverait la vie, de cuisiner. Finn l'a interdit de cuisine d'ailleurs. Il n'a autorisation d'y mettre les pieds que pour faire la vaisselle, et quand Finn lui même le permet. Et alors quand le contractant cuisine, il devient une bête sauvage qui protège sa tanière. Nana a déjà expérimenté les coups de spatule, cuillères et autres fourchettes dirigés vers sa personne dans le but évident d'annihiler la présence génante qu'il représente dans ces moments.
Finn a, et c'est un phénomène très intéressant à observer, un coup de spatule-défensif remarquable. Précis et douloureux. Merci à Naaru de lui permettre, jour après jour, via sa bêtise son soutient sans faille, de pratiquer cette discipline délicate à maîtriser.
Merci Nana.

L'(a)Nana en question porte d'ailleurs suprenament bien la cape rouge des Baskervilles.
Bon en même temps c'est difficile de mal porter une cape.

- T'aurais fait un bon Baskerville. Au moins en apparence.

Oui parce que sinon à part ça, Naaru respire l'Abysse à plein poumons quand on est un peu trop prêt et qu'on fait attention, donc c'est un peu mort. En plus de cela, il agit un tantinet trop bizarrement pour être vraiment humain. Dommage Nana, dommage.

La première heure de voyage se déroule tranquillement et normalement, avec Finn et son intarissable moulin à parole faisant la conversation pour lui et pour les autres. Des fois Nana a daigné répondre. Des fois. Pas un passant non plus, rien, et c'est tant mieux. Enfin si, il y a bien eu ce petit vieillard à un moment, mais ils l'ont vu de loin et le vieux allait à une allure de... Ben, vieux, en fait. Il n'a pas été très dur, donc, de ne pas se faire voir.
Actuellement, le contractant n'a rien dit depuis deux minutes comme ça lui arrive des fois - oui, il sait en fait se taire, mais là il voulait s'occuper pendant le trajet - et il s'ennuie. Comme un rat crevé, pour sortir une expression classe, propre et distinguée.
Et il fait quoi Finn quand il s'ennuie ? Ben il continue de parler.

- On va où demain soir pour fêter ma paie ? Ou peut être après demain soir parce qu'en fait je me sens de dormir une journée entière.

Oui c'est logique, quand il gagne de l'argent, il va le dépenser. Enfin il veille à toujours en garder assez pour le loyer et les dépenses indispensables. Il peut bien faire ce qu'il veut du reste, non ?



Rp pour un autre forum... é_è

REN C'EST POUR TOI

Dominique Farroudjia 66 (-1)
Un Toupoutou 156 (+1)
Jeanne d'Arc 35
Anne Hathaway 63
Mrs Lovett 106
Caius 69
Georges Sand 42

Dominique Farroudjia 64 (-1)
Un Toupoutou 157 (+1)
Jeanne d'Arc 35
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Mrs Lovett 107
Caius 69
Georges Sand 42

Rien ^^

« C'est une blague ?! Comment tu as su, putain ! »

Elle a recopié la même marque de naissance que j'ai sur la poitrine, cette marque de naissance en forme de Fauche. Et ne me sortez pas une connerie du genre elle a pu voir ma poitrine durant la bagarre, c'est impossible. Mon haut ne s'était pas complètement ouvert et donc, personne dans la salle a pu la voir. Je montre mon corps à personne, même ma mère désormais je ne lui montre plus rien, elle qui me changeait les couches. Alors, c'est quoi cette fille devant moi ? Finalement, je la lâche sans lui faire de mal, toujours en la regardant, comme si elle venait de produire un miracle. Je me décide de reprendre enfin la direction de l'hôtel, finalement je rentre me coucher, je dois forcément rêver, demain, cette fille, je l'aurai oublié grâce à l'alcool. Pendant que, je sors de la ruelle, je lui lance...

« Tu n'existes pas, je ne t'ai jamais vu ! »

Dites-moi, juste comme ça... On me l'aurait dit si j'avais eu une jumelle, non ?

« Rétrospective 1 »
Un cri dans le nuit

Un cri strident retentit dans la nuit noire. Un soir de nouvelle lune, un soir de mauvaise augure. Dans cette chambre étroite, à l'abri sous les toits, une femme se tordait de douleur. Mais, ses yeux étaient clos, seules les gouttes de transpirations perlant sur son visage, montrait à quel point elle semblait souffrir. Elle rêvait, ou plutôt, elle cauchemardait.

Au dessus de sa tête, deux mains noires se mouvaient autour de son crâne, comme si elles récitaient un sortilège de magie noire complexe. Parmi les hurlements de la femme, un rire sinistre résonnait sur les panneaux de bois, et un sourire se dessina dans l'obscurité. Puis, plus rien, juste le silence et la noirceur de la nuit. Le rire continua et le démon descendit de son sommier de métal. C'était une jeune fille, elle semblait irréelle peut être était-ce à cause de ses cheveux noirs de jais, son maquillage prononcé et sa robe de lolita. Le sourire toujours présent sur son visage, elle jeta un dernier coup d’œil au cadavre sur le lit avant de disparaître dans la nuit.

Au matin, sept cadavres furent retrouvés dans les rues de Londres.

« Rétrospective 2 »
Le jugement de Morphée

Une jeune fille aux cheveux noirs avançait dans les rues bondés de monde. Comme dans toutes capitales qui se respectent, personne ne faisait attention à elle, malgré son accoutrement déjà très étrange pour l'époque. Son visage était d'une pâleur extrême, et de grosses cernes noires donnaient à sa mine un air cadavérique. Mais, personne ne la voyait, parce qu'elle n'existait pas, du moins, pas en pleine journée. Toutes ses personnes la connaissait sans la connaître vraiment, car elle n'était qu'une peur profonde, une appréhension qu'on ne souhaitait pas voir, un cauchemar. Juste un démon. Ce n'était qu'un simple démon, simple ? Non, elle ne l'était pas. Elle se savait spéciale, pour la bonne raison qu'elle n'agissait pas comme un monstre se devrait de le faire, elle n'agit que selon sa volonté, transgressant les lois, à son grand malheur, une existence caché mais présente.

« C'est fini maintenant, tu peux fermer tes yeux, tout est terminé, cette nuit sera la dernière ... »

Elle franchit une barrière et pénétra dans un terrain vague où se dressait pittoresquement, une vielle battisse. Elle poussa la porte, et s’allongea sur le lit poussiéreux après avoir grimpé les escaliers tordus. La chambre devint noire, une substance épaisse, faite d'obscurité, se rependait sur les murs de la pièce. Tout avait disparu sauf le pauvre lit où la jeune fille se forçait d'ignorer l'appel de l'obscurité. « Tout est fini... »

« Transgression des lois, tu es sous les foudres de ton roi. »

La démon releva la tête et scruta la pâle lueur qui se dessinait devant ses yeux. Maintenant, tout était réellement terminé.

« Tu n'étais qu'un démon, tu étais voué à protéger mon royaume pas à le pervertir... »

Morphée est cruel, Morphée ne fera pas preuve de sympathie. Ces derniers déserteurs ont tous été annihilés, de façon plus ou moins terrible. Deux d'entre eux, avaient aussi pervertie le royaume de l'onirisme, ils ont simplement disparu, quand au « Mérovingien », il était devenu un serial killer infâme et sans pitié. Le roi l'a brûlé vif devant sa foule en délire. En y réfléchissant bien, elle méritait un sort bien pire, elle avait détruit le vie de nombreuses personnes tout en déréglant l'équilibre du royaume. Ses mains se nouèrent, maintenant, elle connaissait et ressentait le mot « peur ». Elle voulu prononcer quelque chose, mais se ravisa. Morphée n'en serait que plus irrité.

« Tu sera punis, Elisabeth, car tel sera ton nom désormais … »

Elisabeth ? Le roi lui offrait un nom humain, peut être que cette punition ne sera pas si terrible que ça ? Elle cru défaillir, jamais son roi ne la laisserait vivre dans le monde des humains sans lui coller quelque chose d'abject sur le dos.

« Tu vivras parmi les humains, tu deviendras le croque-mitaine, le torturé … »

Ses yeux s'agrandirent de terreur. Le croque-mitaine, le dévoreur de cauchemars, le démon chargé de récolter les cauchemars, de les supporter jusqu'à leurs termes, pour empêcher la mort du sujet. Même pour un démon, supporter des milliard de souffrance chaque nuit, cela relève de l'impossible. Le croque-mitaine requiert d'une nuit de repos par mois, la nuit de pleine lune, cette nuit là, les cauchemars se libèrent l'espèce de douze heures, et vaquent à leurs occupations dans l'onirisme sans terroriser personne. Tel était l'ordre du roi. Le démon des songes de terreur était un « poste » donné aux fous, aux monstres sans sensibilité, aux créatures de matière première, ils ne sentent rien, il se contente d'attendre que les monstres que sont les cauchemars finissent de s'attaquer à sa conscience inexistante. Mais ce n'était pas son cas, elle possédait un esprit, des ressentis et même des sentiments. Elle avait tué ces gens parce que cela lui plaisait, c'est tout. Son esprit fonctionnait comme un assassin.

« Mon roi ... »

Le décor de la chambre était revenu, et la silhouette du roi des songes avait disparu. Elle était de nouveau sur ce lit à baldaquin poussiéreux. Dehors, le soleil commençait sa lente descente derrière les montagnes et les bâtiments.

La lune commença son ascension vers le ciel noir d'étoiles. Les rares passants encore dehors, repartirent terrorisés par les hurlements poussés dans l'ancienne demeure des « Finnegan ».

« Rétrospective 3 »
Le départ du royaume des songes

Le jour se leva sur la vielle maison où Elisabeth y avait élu domicile, provisoirement, du moins jusqu'à ce que les cauchemars finissent de lui dévorer la conscience, lentement mais sûrement. Avec toute la force dont elle possédait, elle se redressa et s'extirpa des couvertures moisis du lit. Claudicante, elle se traîna vers la fenêtre et observa l'aurore. Tellement semblable au crépuscule mais, nettement moins terrifiant. Elle se rendit compte que c'était sous l'aurore qu'elle était venue à la vie dans le royaume de l'onirisme. Son roi lui avait donné naissance sous le soleil levant et lui avait attribué comme mission de surveiller la porte entre les deux mondes. Elle s'était retrouvé devant cette grande porte, taillé dans une pierre indestructible, à observer les gens marcher, se pousser dans le monde du dessous. « Quel beau spectacle ».

Elle se retrouva très vite lassé de surveiller un endroit où il ne se passait presque rien. L'envie de descendre et de comprendre ce qu'il se passait à l’intérieur de la tête de toutes ces personnes étaient insupportable. Alors pour refréner cette envie lancinante, elle allait se balader à ce qu'elle appelait la « Colline Verte ». Elle savait que cet endroit avait un autre nom dans le jargon de l'onirisme mais personne ne lui avait communiqué. Elle s'asseyait dans l'herbe et continuait à observer la porte, juste au cas où. Et, inlassablement, elle revenait tous les jours freiner ses ardeurs de comprendre et cette étrange appétit qui naissait lentement en elle.

Jusqu'à ce que le ciel contrasté du royaume des songes lui devint trop détestable, elle emprunta le passage et c'est en Angleterre qu'elle foula pour la première fois le sol terrien. Son bonheur était total et si enivrant qu'elle oublia tout, son roi, son poste, l'onirisme. Elle était juste libre.

Elle le croyait.

« Rétrospective 4 »
Une envie malsaine et incontrôlable

Fouler la terre était une chose, y survivre en était une autre. Elle savait que revenir dans le royaume était impossible. Elle avait commis un viol de la loi posé par le roi, mais si elle ne faisait que flâner, la punition ne serait pas trop sévère. Mais, au fur et à mesure qu'elle avançait dans cette nouvelle vie, l'envie de se nourrir se fit trop forte, et malgré les différents mets terrestres, rien ne la rassasiait totalement. Elle était un démon et non un humain, c'était inéluctable. Dans l'onirique, elle n'avait ressentit le besoin de se nourrir, tout simplement parce qu'elle n'en avait pas besoin. Non, c'était autre chose dont elle avait besoin. Une chose interdite, dont la soif était énorme et impossible à repaître. Seuls quelques humains la ressente, les fous en général, mais les démons y sont encore plus friands, toutes formes confondus. Une envie de sang, une envie de mort. Une odeur malsaine.

Alors, ne pouvant plus contrôler ses pulsions, elle a tué sept personnes, se délectant de la souffrance qui se lisait sur leurs visages, les uns après les autres. Une dégénérescence, suivit de près par un roi aussi attentionné qu'il est cruel.

Elisabeth se réveilla dans le lit cassé de la demeure Finnegan, quelle ironie que de rêvé de ce qui a entraîné sa chute. Elle jeta un dernier coup d’œil à la fenêtre.

« Rétrospective 5 »
Et la pleine lune se leva

Cette chambre aux papiers jaunis était devenu sa cellule de souffrance. Chaque nuit, la pièce recevait en son sein, les cris de douleur de la jeune fille roulé en boule sur son lit brisé. Dans la battisse froide, où le vent glacial de Février s’engouffrait, le croque-mitaine souffrait car tel était son destin. De nouveau, le crépuscule laissa choir ses rayons à travers les morceaux de verres brisés de la fenêtre. Elle poussa un gémissement de terreur, cela faisait maintenant deux semaines que son roi lui avait attribué ce rôle si ingrat, deux semaines où toutes les nuits, elle souffrait le martyr sans rien pouvoir y faire. Elisabeth posa ses mains sur ses tempes, attendant le moment fatidique où les songes de tous ces humains traverseraient son esprit semant terreur et douleur. La lune apparu soudain dans le ciel. La démon releva la tête. Elle était ronde. Des larmes de soulagement se mirent à couler sur ses joues, elle ne souffrirait pas cette nuit. Elle se précipita à la fenêtre, fixant la lune ne un remerciement muet. Sans attendre, elle dévala l'escalier, et se hâta dehors et la brise la mordit au visage mais ce n'était pas important. Elle observa les maisons sombres et les habitants puis, se précipita dans les rues.

J'avais vraiment ça en contrôle V moi ? >w<