Péché capital ~ Luxure [Explicit Content, 18 et +] {BY luka}

Welcome to Mystery...

Kasumi
Hoshizora

Ce qu'il y a de bien avec moi, c'est qu'il a tellement de "moi"...

Péché capital ~ Luxure [Explicit Content, 18 et +] {BY luka} Hoshizora

feat Miwa Oshiro

Âge :

Date & Lieu de naissance :

Race :

Statut :

Groupe :

Don premier :

Pouvoir premier :

Cours facultatif suivis :

« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »

Au Japon, les Vendredi 13 sont des jours comme les autres. En occident, il s’agit là d’un jour maudit pour certains. Mais es-ce que les frontières et les idéologies suffisent à repousser les malédictions ? Pour Hoshizora Kasumi, ce ne fut en tout cas pas le cas…

Née le Vendredi 13 Août 1993, cette jeune fille n’a jamais connue sa mère, morte à sa naissance. S’appelant Hoshizora Tenshi, elle était une avocate à la défense reconnue, Kasumi se l’est toujours imaginée comme une très belle femme, intelligente et cultivé, et aime à croire qu’elle à hérité de certaines de ses qualités. Dans l’entourage de sa mère, du moins les rares personnes qu’elle connaît de son entourage, il se murmure que la petite Kasumi à bien beaucoup hérité de cette dernière, que ce soit sa beauté ou son esprit particulièrement aiguisé et capable de tourner une situation dans tout les sens pour mieux la comprendre.

Quand à son père, Darakushita Yami, il n’a jamais put pardonner à sa fille d’avoir tuer sa femme en venant au monde, refusant même de lui donner son nom. Commercial reconnu, ce dernier n’était pas souvent à la maison, heureusement pour la petite fille, mais malheureusement pour elle, il avait une très forte influence dans beaucoup de milieux, notamment celui de la pègre d’après les rumeurs, aussi personne n’osa jamais s’opposer à lui par la suite. De part la nature du travail de ce dernier, Kasumi apprit à parler plusieurs langues, principalement le japonais, sa langue natale, l’anglais et le français, toujours à la mode au Japon.

Au début, durant les premières années de sa vie, ce ne furent que des coups que son père échangea avec la petite fille, suffisamment prudent pour ne pas lui casser d’os ou laisser de preuves formelles de ses actes, jamais ce dernier ne se permit de lui casser un os ou quoi que ce soit du genre. Des coups, des bleus et parfois quelques coupures, rien de plus, même si la maltraitance était constante, c’était là sans doute la partie de sa vie où cet homme fut le plus gentil avec elle, la laissant avec une nurse la quasi-totalité du temps où il ne la battait pas.

La « chambre » qui lui avait été désignée représentait bien tout le ressentit qu’avait pour elle cet homme immonde. Il ne s’agissait ni plus ni moins que d’une cave dans laquelle on avait ajouté un lit. Insalubre et macabre, l’on pouvait sentir de partout cette horrible humidité, implacable et immuable, s’infiltrant partout, collant à la peau et empêchant le sommeil, sans parler de l’état de santé qui en devenait parfois extrêmement précaire. Quand aux cafards et aux rats, il valait tout simplement mieux ne pas y penser.

Cependant, à cet âge là elle ne pouvait pas imaginer la vie plus dure avec elle que quand son père rentrait à la maison, pourtant ce dernier lui montra rapidement qu’elle avait tort : il pouvait faire pire.

Elle n’avait que 9 ans à cet époque, 9 ans et pourtant on la considérait déjà comme une très jolie jeune fille. Cela faisait quelques années qu’elle avait commencé le ju-jutsu déjà pour rester en forme, de toute façon aucun sport de combat à cet âge ne pouvait lui permettre de résister efficacement à un adulte. A coté de cela la jeune fille parlait correctement le japonais et avait des bases dans plusieurs autres langues et commençait à développer un humour assez cynique et acide tandis qu’elle se trouvait de plus en plus désabusée par la vie. Mais personne ne disait rien, car personne ne pouvait rien dire…

Aujourd’hui son père rentrait d’un voyage d’affaire et Kasumi appréhendait déjà ce moment : peu de monde aime servir de défouloir physique à qui que ce soit pour qu’il puisse se sentir mieux. Cependant elle se devait d’être là le jour de son retour, car elle le savait, si elle était absente, ce dernier rattraperait le retard avec intérêt par la suite. Résignée, la jeune fille attendait sur une chaise l’arrivée de son bourreau, le pire de tous. Le bourreau qu’elle devait appeler « père » et qui depuis tant d’années s’évertuait à la briser.

Cependant ce jour là quelque chose fut différente de l’habitude : sa première action en entrant fut de renvoyer la nurse chez elle. D’habitude il ne prenait pas cette peine quand il venait battre sa fille, cette dernière se contentant de pleurer en entendant les supplications de la jeune fille. Comme tous, elle était totalement impuissante. Mais même si elle trouva ça bizarre, elle ne bougea pas d’un pouce, attendant sur sa chaise qu’il vienne s’occuper d’elle, résignée. Elle savait que d’ici quelques minutes elle crierait de douleur, mais là elle attendait, comme le condamné attend qu’on vienne le chercher pour la potence.

Lorsque l’homme approcha elle se contenta de baisser la tête, regardant ses pieds, n’osant croiser son regard : il l’effrayait…

« Bonjour, père…

La seule réponse qu’elle eut fut une gifle monumentale qui la renversa de son siège. Il n’était pas aussi expéditif d’habitude, et ce changement effrayait encore plus la petite fille qui sentait déjà ses jambes se défilés et incapable de se relevée, paralysée par la peur. Elle ne voulait toujours pas croiser son regard, il la terrifiait quand il était dans cet état là. Sa voix refusait de lui répondre correctement et elle commençait déjà a bafouer quand la suite lui arriva avec autant de délicatesse qu’un caillou dans le visage.

« Pa… Pard… Pardon père… je… je suis déso…

La main qui se posa sur sa bouche, lui plaquant la tête au sol l’empêcha de continuer ses excuses. De toute évidence, son père n’était pas d’humeur à entendre une quelconque gérémiade venant d’elle. D’une main l’homme lui arracha au sens propre du terme ses sous-vêtement, de là où elle était, Kasumi eu l’impression qu’il sortait quelque chose de son pantalon, mais avec une main sur le visage et la tête plaquait au sol, elle n’en était pas vraiment sur, du moins pas avant qu’il enfonce cette chose en elle par un endroit qu’elle n’aurait même pas envisagé jusque là comme étant à cet usage.

Même la main sur son visage ne suffit pas à étouffer le cri de souffrance qui s’échappa de sa bouche. Ca faisait mal, c’était douloureux… Son père commença à bouger cette chose en elle, d’avant en arrière, de plus en plus fort et sans la moindre tendresse. Elle avait l’impression qu’une sorte d’animal enragé était en train de la détruire de l’intérieur. Des larmes de souffrances commencèrent à couler le long des joues de la petite fille. Mais cela ne s’arrêtait pas, cela ne voulait pas s’arrêter, continuant de la briser de l’intérieur alors que ses cri étaient toujours étouffés par cette mains inquisitrice et que seules ses larmes parvenaient encore à couler le long de ses joues…

Au bout de quelques longues minutes de souffrance, l’engin de torture se retira d’elle, ainsi que la main, pour venir se loger dans sa bouche et aller taper au fond de sa gorge. Elle n’arrivait plus à respirer. Un liquide chaud et visquer sembla alors se déverser en elle. Elle ne savait pas ce que c’était et n’était de toute façon plus en état d’y réfléchir. Cherchant sa respiration, par réflexe elle finit par avaler la substance, désespérée. Sa tête lui faisait mal et elle commençait à voir des points noirs tourner autour d’elle avant que cet outils ne se retire d’elle, la laissant reprendre sa respiration en toussant, sa tête heurtant le sol dans un bruit mat.

Sans un mot de plus, l’homme s’éloigna de celle qui était sencé être sa fille et la laissa ainsi gire sur le parquet froid…

« Ma…man… Où… es-tu ?

Après cela elle sombra dans l’inconscience.

Ce service, ce viol comme on appel cela, se répéta plusieurs fois dans la semaine qui suivit, parfois plusieurs fois par jour, puis un peu moins souvent quand son père était là, mais ce dernier avait trouver d’autres passes temps à faire découvrir à sa « fille chérie », ou plutôt son jouet, son défouloir. A titre d’exemple, la jeune fille c’est déjà retrouvé attachée sur une chaise, des glaçons dans cette partie creuse de son anatomie, ces derniers, froids, lui donnaient des gerçures et une douleur telle qu’elle n’en avait jamais connues. Par d’autres fois, des morceaux de papiers roulés lui furent placés entre les doigts de pieds avant d’être allumé à l’aide d’un briquet. La combustion était extrêmement rapide et s’accompagnait systématiquement de cloques particulièrement douloureuses, rendant chacun de ses pas plus difficiles.

Tout le monde le savait, tout le monde sans doutait, et tout le monde se taisait. Et c’est à partir de là qu’elle même est partie à la dérive…

Plus aucun respect pour son corps et ce qu’il pouvait représenter. Sa première relation sexuelle consentante, elle l’eut aux environs de ses 10 ans, avec un garçon de 4 ans plus vieux qu’elle. Elle savait parfaitement qu’il ne voulait que ça, et elle savait aussi que ça ne durerait pas après qu’il l’ait fait. Déjà on pouvait sentir la dépravation couler en elle quand elle lui dit « Hésite pas : tape au fond, j’suis pas ta mère. », mais ce n’était que le début de cette descente aux Enfers toutes flammes dehors.

Etrangement débordante d’énergie, on disait parfois d’elle qu’elle avait du carburant pour fusée dans les veines. Douée en tout, elle ajouta plusieurs autres sports de combats au ju-jutsu. Peut-être qu’inconsciemment elle commençait déjà à prévoir sa vengeance…

La jeune fille ouvrait les yeux… Quel mal de tête ! Elle avait l’impression qu’un grand black venait faire du tam-tam avec son cerveau. C’était une sensation très… désagréable. Portant une main sur son visage, un gémissement consterné s’échappa de sa bouche. Toux, crachat et sang suivirent bien vite. Sa migraine l’empêchait de penser correctement, mais une question se posait : comment faisait elle pour tenir en équilibre sur sa tête avec une douleur pareille ? Et qu’est-ce qui la serrait comme cela ?

Ah oui, les liens à même sa peau… ceci expliquait cela… elle commençait à se souvenir de cette affreuse après-midi. Elle avait été attachée, et solidement en plus ! Les faibles forces qui lui restaient ne lui suffiraient pas pour se libérer. Pas cette fois, elle était vraiment trop mal en point pour cela… d’ailleurs, pourquoi n’avait-elle rien pour se vêtir ? Elle essaya de se rappeler, en vain… Elle décida de remettre ça à plus tard. Quand elle aurait dormi un peu par exemple. Oui, quand elle aurait dormi un p…

Le sommeil ne fut guère long, ni réparateur : une demi-heure tout au plus. Mais au moins elle n’avait plus trop mal à la tête. C’était un mal pour un bien en soit, car toutes ses autres blessures recommençaient à crier pour la peine…

Elle avait froid, en elle… et un liquide dégoulinait de son intimité… de l’eau ? Il y avait encore quelque chose de solide en elle, elle le sentait. Tentant de bouger sa main droite, l’irradiation de douleur fulgurante qui en suivit la ramena bien vite à la réalité et aux coups de cravache qu’elle avait essuyait, protégeant au moins son visage de ses mains libre. Le bras droit avait été le plus durement touché. L’autre bras la lançait moins, alors lentement elle le bougea, plongeant finalement deux doigts dans son intimité douloureuse, la brûlure du froid ayant plus que contribué à cela. Lentement elle retira un premier glaçon, puis un deuxième et, haletante, elle finit par retirer le troisième qui se trouvait en elle.

« En… tout cas… ils sont mieux… dehors… que dedans…

Ce fut ce quelle murmura de manière presque indistincte à ce moment là. Retenant le rictus de douleur alors quelle essayait de déplacer un des glaçons de son pied sanguinolent. Eux aussi avaient été brulés, mais par les flammes cette fois-ci. Au moins la fraicheur du sol de la cave qui lui servait de chambre avait un effet anesthésiant sur cette douleur là. Cependant, la quantité de sang au sol lui fit peur un instant. Etait ce vraiment le sien ? Une nouvelle quinte de toux la secoua, et un peu de sang s’ajouta à cette marre. Aucun doute, ça devait être le sien…

Il y eu un son… un peu comme une petite détonation, sans en avoir la puissance. Un nuage noir, de la suie. Cela lui arracha de la toux et du sang en plus. Mais, elle n’était plus seule à tousser, elle l’entendait en face d’elle. Que se passait-il ? Si quelqu’un était entré, elle l’aurait entendu, ou au moins aurait entendu le bruit du loquet de la porte. Mais non, rien. Pourtant, elle en était sure, il y avait quelqu’un d’autre qui toussait, juste en face d’elle, au centre de la suie, supposait-elle. Comment pouvait-elle le savoir ? Elle n’en avait aucune idée, l’instinct sans doute.

La suie retomber, Hoshizora se retrouva littéralement née à née avec une jeune fille d’environs 11 ans, totalement nue et salement amochée. Elle avait l’impression de l’avoir déjà vu quelque part, elle n’aurait pas put dire où de tête mais elle en était sure. Ce fut lorsque cette dernière cracha du sang que la jeune fille fit le lien : cette fille en face d’elle, c’était elle, ou plus précisément, c’était « un autre elle ». Elle ne l’avait pas compris, mais instinctivement elle avait réveillé son don sans même s’en rendre compte, comme si la sensation de danger avait été déterré quelque chose d’enfoui profondément en elle. Cependant, elle avait quand même compris que c’était elle qui avait fait apparaître ce double, sans même savoir comment.

Elle n’était pas en état de parler correctement mais elle n’en avait pas besoin : son double avait sa mémoire, elle savait qu’elle devait la détacher. Quelques instants infiniment long plus tard, ce fut fait. Les deux filles se soutenant clopin clopant, le clone et elle-même se dirigèrent vers le lit où on l’aida à s’allonger, dégageant l’invité du moment, un rat qui n’était pas à sa place. Lorsqu’elle fut allonger, le double disparut de la même manière qu’elle était venue, s’éloignant préalablement afin que la suie n’affecte pas l’originale.

Elle s’endormit le sourire aux lèvres. Si elle l’avait put elle aurait rit : désormais elle pouvait espérer penser à une revanche : elle avait un nouvel atout…

A FINIR

« QUI-ES-TU ...? »

« Psyche

Par où commencer pour décrire l’esprit complexe de cette femme ? Par le plus évident sans doute, sa perversité dans tous les sens du terme…

Le premier sens est le plus évident à remarquer chez elle, à savoir la connotation sexuelle du terme. Nous avons en effet là une fille qui se trouve malgré son visage d’ange être totalement débridé avec un appétit qui tient de la nymphomanie. Sur ce point il faut savoir le lui reconnaître, Hoshizora confine au divin. Cela va de ce qu’elle peut faire dans un endroit intime à la vie quotidienne où elle se trouve pouvoir passer de la sagesse à l’aguicheuse à une vitesse surprenante, et ne parlons pas de ses doubles sens qui peuvent en laisser plus d’un dans le doute quand à ses véritables intentions.

Car oui, c’est là l’autre aspect de la perversion de cette femme : elle à un esprit aiguisé, intelligent et particulièrement retord et sadique. N’espérez pas arriver croire que malgré son attitude faussement naïve et innocente elle soit facile à comprendre. Toujours un coup d’avance et un plan tordu en réserve, cette garce vous réserve son lot de surprise si vous commencez à la fréquenter. Manipulatrice, si elle le peut elle fera ce qui lui plaira pour faire de vous son jouet, son esclave, ou autre chose selon le nom que vous donnez à cela. Dans tous les cas, si elle y arrive, le résultat est simple, c’est comme si votre âme ne vous appartenait déjà plus…

Mais résumer Kasumi à ce mot, malgré cette flagrante relation, ce serait faire une énorme méprise à son égard. Outre d’être une personne complexe, elle est une personne souffrante et torturé, non pas au sens physique, mais au sens psychique du terme. Son âme est noire de suie, envahit par les ténèbres, et inconsciemment elle ne pense plus qu’une rédemption soit possible…

Seule, coude sur la table et tête entre les mains elle pense. Elle pense à ce sang encore chaud qui lui coule entre les doigts, à ces horreurs qu’elle à vécut, à cette basse vengeance qu’elle à faite. Se sent-elle mieux maintenant qu’il est parti ? Non, bien sur que non. En fait ce serait peut-être même pire qu’avant : non seulement ses mauvaises habitudes et ses cauchemars de son enfance ne l’avait pas quitté, mais à cela venait de s’ajouter un liquide carmin à l’odeur cuivré sur ses mains. Elle avait beau se laver, se doucher autant qu’elle le voulait, cette odeur de sang ne semblait plus vouloir la quitter, et ce regard désespéré semblait toujours l’observer au delà de la mort.

Elle ne pouvait se pardonner, elle n’avait pas de vrai excuse, d’excuse valable pour ce qu’elle avait fait. Quel que soit le sens dans lequel elle retournait le problème, elle ne parvenait pas à en trouver un qui lui convenait, comme si elle s’était elle même enfermé dans un labyrinthe sans la moindre échappatoire. Elle ne pouvait être excusé, ne pouvait s’excuser, et ne pouvait pas l’accepter sans pouvoir le nier, et elle ne pouvait pas partager ce fardeau… Que pouvait-elle faire ? Il n’y avait simplement pas de réponse, un jeu sans la moindre chance de gagner.

Pourtant elle continuait à attendre et à se battre. Aussi loin qu’elle s’en souvienne elle avait toujours était ce genre de personne, à la fois fière et déterminée, mais c’était aussi ce qui l’avait mené à sa ruine. Cette volonté de ne jamais courber l’échine contre son grès, de ne rien laisser lui résister, laissant se plier ou se briser tout ce qui lui résistait, même si cela devait lui prendre des années…

Elle se rappelait encore cette fois, dans cette ruelle sombre… Avec ces deux enfoirés qui avaient voulut abuser d’elle, il y à même pas un an de cela. Ils n’étaient même pas beaux à vrai dire. Se soumettre à cela ? Elle n’en avait pas l’envie : qu’on la traite de salope ou de pute, elle en avait l’habitude, et le méritait. Elle en était consciente. Se laisser embrocher comme un gros morceau de viande par les premiers imbéciles venus ? Hors de question, elle se gardait toujours le droit de choisir qui aurait la grâce de bénéficier de ces charmes.

La suite avait été pour le moins… violente. Elle avait elle même dut appeler une ambulance pour deux personne lorsque ce fut finit, mais ils avaient trop cherché aussi, mais les chiens qui jappent sont souvent ceux qui en ont le moins dans la réalité des faits. Bleues, hématomes, os brisés, elle ne se trouvait bien sur plus sur les lieux lorsque les secours étaient arrivés, et les pauvres ères avaient trop peur de la croiser à nouveau en colère pour oser la dénoncer aux autorités compétentes. Et puis, elle leur avait fait « comprendre » que cela n’était pas dans leurs intérêts. La mort était encore douce comparé à elle, leur a-t-elle dit.

Avait-elle eut le moindre remord à cela ? Non. S’ils n’étaient pas assez fort pour la battre, ils n’avaient qu’à se plaindre à eux mêmes d’avoir fait une erreur. Pour un peu elle se considèrerait presque comme la victime dans cette histoire, et ce dans la totalité des faits. Après tout, ils l’avaient agressé et elle n’avait fait que se défendre. La disproportion de sa réponse n’était pas à remettre en compte, qui sait ce qu’ils auraient fait si elle ne leur avait pas correctement « expliqué » leur erreur ? Les hommes étaient si stupides qu’elle n’avait fait que prendre une précaution nécessaire.

Ce ne sont que des exemples de son expérience personnelle, mais ces faits montre bien quel genre de femme peut être Hoshizora. Mais cela reste incomplet, et le restera toujours. Chaque personne est un monde, et elle n’échappe pas à cette règle. Comment résumer un être humain en quelques lignes alors que plusieurs livres n’y suffiraient pas ? Ce ne sont là que les grandes lignes de cette femme, mais j’espère que vous la comprendrez mieux avec cela, et que vous ne la détesterais pas trop, car malgré tous ces défauts, elle est humaines et cache dans ses ténèbres sa propre perle…

« Physique

Dans une boite de nuit de Tokyo parmi tant d’autre, une scène comme il y en à tant d’autre se déroule. Une femme, fort belle, effectue une démonstration de pole dance tandis que plusieurs personnes, homme et femme, profitent du spectacle. Cette femme n’est autre qu’Hoshizora, se déhanchant et chauffant la salle au rythme de la musique, virevoltant autour de la barre de dance. Certains regards sont attirés, d’autres lubriques, parfois envieux, parfois haineux, rare sont cependant ceux a pouvoir rester indifférent aux charmes de la dame se cambrant sur le pole.

Parmi les observateur, un homme, ses pensées sont toutes tournées vers la jeune femme, décrivant ses attraits et ses envies.

*Décidément il y à des choses très intéressante ce soir. Je commence à regretter que ma copine m’ait accompagnée, impossible de tenter quoi que ce soit avec cette peste dans les pates. Non mais regardez moi cette danseuse là-bas, quelle souplesse, quel déhanché ! Si elle n’était pas là je lui proposerais bien de faire quelques acrobaties… intimes.

Heureusement que j’ai un verre dans la main, sinon ma gorge serait sèche depuis longtemps à la vue d’un tel spectacle : elle n’a pas froid aux yeux celle là ! Faut dire qu’elle à l’air d’avoir de quoi.

C’est vrai quoi, regardez moi ces hanches qui se déboitent dans le rythme du son ! Ni grosse, ni rachitique, elles sont comme une invitation à y poser les mains. Et ce n’est certainement pas le jean moulant qu’elle porte qui va faire penser le contraire ! Quand à ce string qui dépasse de ses fesses, il donne envie de donner quelques fessées à cette vilaine fille. Rhaaa quelle plaie, j’aurais tant aimé pouvoir la corriger moi même cette petite garce, elle à l’air de n’attendre que ça en plus, avec ses regards langoureux…

Ce regard d’ailleurs… A chaque fois qu’elle me regarde dans le fond des yeux avec ce regard, j’ai l’impression qu’elle m’arrache mon haut sans même me toucher. A bien y réfléchir je me demande bien si ça aurait bien été moi qui l’aurait corrigé ou elle qui m’aurait remis à ma place. Un regard comme ça, aussi profond et déterminé, avec cette lueur de sureté et cette fierté, même si je ne le croise qu’un fragment de seconde, il me donne l’impression qu’en un rien de temps elle prend l’ascendant sur moi.

Ca me met mal à l’aise pour dire vrai. Autant reboire un coup et regarder une autre partie de son… anatomie.

Je ne peux que baisser le regard en parant de là, et forcément, je tombe sur cette poitrine généreuse, nouvelle invitation pour mon corps à la débauche. Ca en devient presque malsain de me rendre compte à quel point cette femme m’attire, et aux vues des regards autour de moi, je ne suis sans doute pas le seul à avoir une réaction sanguine normale dans ce genre de circonstance. Mais ça reste toujours agréable de regarder une telle beauté se mouvoir sur le dancefloor. Elle à un physique très agréable, et elle sait le mettre en valeur en plus.

Ce genre de fille ne doit pas manquer de prétendant quand j’y pense, et moi je n’aurais sans doute aucune chance. D’un certains points de vue c’est pas si mal tout compte fait que cette gourde soit venue : ça m’évite sans doute de me ridiculiser comme jamais. Mais je vais malgré tout pas me gêner à continuer de profiter du spectacle. Ce n’est pas tous les jours qu’on à l’occasions de voir de telles formes sous tous les angles…*

Mais toutes les personnes ne pensent pas la même chose que lui de la belle. Le meilleurs exemple reste la fille juste à coté du précédent mec trop remplit de testostérone…

*Rha, mais regardez moi cette garce, c’pas parce que t’as de jolies formes et un jolie visage que tout t’es permis ma mignonne ! Remarque, vue le nombre de mecs qui doivent te passer dessus, c’est étonnant que t’arrives encore à marché droit.

Mais… mais… mais… Regarde pas cette pute comme ça toi ! Tu lui trouve quoi à cette salope ? C’est ses fesses, sa poitrine ou son visage ? Mais punaise arrête de la dévorer des yeux, un peu plus et on te verrait baver dessus ! Et moi je suis quoi pour toi ? Un trou à boucher, comme ce que t’aimerais lui faire à elle ? Non mais regarde moi ça comment elle est vulgaire avec ses déhanché et se sourire mi-amusé, mi-enjoué sur les lèvres ! Me dis pas qu’elle te plait cette garce, si ?...

D’évidence si en fait à ce que je vois… C’est déprimant.

Je la hais.

Son air fier et sur d’elle, sa beauté, tout ce qu’elle semble être je le hais. Ce talent dans cette pole dance à attirer les regards je le hais. Ces hanches et tout cela je le hais. Cet air si mystérieux et si captivant, ce visage d’ange et cette attitude sans aucune restriction, ce charme, je les haient…

Et le pire, c’est qu’inconsciemment, je l’envie.*

… … …

Et ce n’est qu’une partie de ce que les gens pensent de ce corps entre le rêve et la folie…

MORE?

La Jice - DarkStorm

Bieeenvenue =)

Je ne sais pas ce qu'en diront les admins, mais normalement, les célébrités japonaises/coréennes/chinoises ne sont plus autorisées :s. Maintenant je dis ça, mais c'est mieux d'attendre un modo ou un admin ^^. Bon courage avec ta fiche en tout cas

Bienvenue, et il me semble aussi Take avoir lu la même chose...xD

Je viens de voir cela sur la page d'accueil que je n'avais pas lut avant en effet -.-'

Ce qui m'ennuie plus que profondément car il ne me sera pas forcément facile de trouver un avatar qui correspond à l'idée même du personnage, et qui risque de m'obliger à revoir la quasi totalité des "petits" détails secondaires de l'histoire qui font justement son réalisme...

Donc je vais attendre l'avis d'un admin avant de faire l'histoire, même si j'aimerais vraiment pouvoir la garder tel quel, je n'ai pas vraiment mon mot à dire si le refus est catégorique...

Edit : Psyche fait.

Bienvenuue!

Oh Hoshizora : Ciel Etoilé *-* Très beau nom -^.^-
Et oui en effet, petit problème au niveau de l'avatar .. :S Mais bon, il vaut mieux que tu vois ça avec un Admin ^^

Ps : Je sent que ton perso' va être intéressant *-*

Bonjour et Bienvenue sur Mystery Orphanage

Je m'appelle Luka et je suis une admin comme tu as sûrement pu le constater.
Je vais ajouter un {By Luka} dans le titre de ta fiche pour dire que je la prend en charge, merci de ne pas l'enlever !

Tu trouveras toutes les infos nécessaires ici : REGLEMENTS & CONTEXTE

N'hésites pas à me contacter par MP je suis là pour répondre à tes questions !

Yeah bienvenue ! Donc effectivement comme le disent si bien les autres pas d'avatar asiatique. Seulement je viens de voir ton Psyche et je dois dire qu'on ne peut rien refuser à une telle rpgiste alors ce sera ok, (parce qu'on vient de supprimer quelques asiatique après le rescencement.

EDIT : je viens de mieux lire ta fiche et je me demande pourquoi ton perso n'a pas de pouvoirs premier? Si c'est un choix no problème ^^

Bonjour !

Mon perso n'a pas de pouvoir premier parce que le pouvoir d'ubiquité combiné a 5 art martiaux est déjà assez puissant si je dois livrer un RP combat, et qu'il me suffit amplement pour délirer dans les autres RPs.

Merci pour l'autorisation ^.^

(PS : je suis un homme, juste que j'aime bien jouer des filles aussi parfois Wink

(le mitho : je joue plus souvent des filles que des gars > >))

D'accord ^^

Note : j'ai oublié de remercier tous ceux qui m'ont salué, donc je le fais là...

Merchi !!!! =D

Quand à Euridyce : Hoshizora : Ciel étoilé / Kasumi : Brume / Saseko (surnom) : salope, pute.

Le Ciel étoilé est caché par une brume, et tout ce que l'on voit d'elle est la salope. (c'est un peu l'idée de ce nom > >)

J'espère bien que le perso te plaira ^^

Bienvenue mam'zelle (enfin Monsieur apparement) , et aussi de la part de Ren qui est avec moi Smile

J'ai beaucoup de rertard en lecture de fiche, je la lirai donc plus tard comme toutes celles que je dois lire >.> Désolée...

Mais enfin bon je suis quand même ravie d'accueillir un nouveau membre =D (==> Pas fréquent les hommes qui jouent des filles !)

Merci pour l'accueil =)

Bonne lecture d'avance xD

(Que veux-tu, j'aime me distinguer Wink

)

Bientôt le physique en plus =D

Edit : fait ! =D

*très en retard* Bienvenue.

Salut et Merci de l'acceuil =)

Bienvenue !!!

Avec 40 trains de retard

Merci ! ^^

Moi je dis bienvenue en étant véritablement derrière l'écran cette fois-ci, alors Bienvenue xD

Merci =D

Juste pour dire de pas supr la fiche, je passe toujours mais j'ai bientôt les partiel et un manque de moral pour finir une fiche aussi sombre...

Pas de problème, on garde ta fiche au chaud Wink

Je vais pas souvent sur les présentations en cours, donc bienvenue, avec toute une vie de retard xD.
Super, un mec qui joue une fille, je suis comme toi =) mais j'ai surement moins d'expérience ^^
Bon courage pout ta fiche, je suis pressé de Rp avec toi Smile