Welcome to Mystery...

W hen she was just a girl,
She expected the world.

feat Jordana Brewster

Âge : 28 ans. Date & Lieu de naissance : 1 Août 1984 Barcelone Race : Mêlé. Statut : Célibataire. Groupe : Mêlé innocent ? *sors*. [ Elle ne sait pas qu'elle est mêlée, ni qu'elle a des pouvoirs ] Don premier : Sirène. Pouvoir premier : Influente par le touché.. ( Cours facultatif suivis : pour les élèves) /// ( Matière(s) enseignée : pour les professeur) /// ( métier : pour les humains innocents) Guide ( soit disant.)

« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »

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Mia et Maxi étaient fait pour se rencotrer. Il était brun avec des yeux noisette et un sourire séducteur. Elle était châtain, et ses boucles brunes et soyeuses tombaient sur ses épaules. Ils s'étaient rencontrés un soir d'été sur un terasse, vers 1o h du soir. Tous deux étaient seuls, attablés devant un café pour elle, une bière pour lui. En parfait séducteur il est évidement venu l'aborder avec son sourire. Quelques mots plus tard une prochaine rencontre sur une certaine plage était fixée. Et quelques minutes plus tard sur cette plage, leurs lèvres se rencontraient. Mia était sans doute la femme la plus heureuse du monde. Ils étaient jeunes et amoureux.
Mais Mia ne savait pas à qui elle avait affaire. Maxi était un sorcier qui savait manier le feu et qui influençait par sa vue. Il suffisait de fermer les yeux pour ne plus être influencer. Elle l'apprit une nuit d'Autumn, quand le vent frais soulevait les rideaux de leur chambre. Un homme est apparut dans la chambre on ne sait comment avec de sortir une arme blanche. L'éclat de la lune sur le métal à brillé dans la chambre. Il n'en fallait pas plus à Maxi pour lever la main et faire jallir des flammes. Mia avait ouvert un oeil, sans comprendre ce qui se passait. L'assaillant était mort, carbonisé. Maxi avait pris le corps et était parti dans la nuit pour s'en débarasser sans doute. Puis en revenant, il avait du tout expliquer à sa belle. Même son don d'influent. Elle commença à croire que leur amour était faux et qu'il l'avait juste ensorcelé comme elle disait. Cette nuit là il lui avait murmuré de fermer les yeux. Elle l'avait fait. En les réouvrant elle sut que tout ça n'était pas faux. Mais elle, n'avait rien.
Et elle était enceinte.
Mia l'annonça à Maxi trois semaines plus tard tandis que son ventre s'arrondissait. Les mois passaient et jamais Maxi n'eut à se resservir de ses pouvoirs devant Mia, mais il s'absentait souvent quelques jours quelque part. Elle ne savait pas où, et ne demandait pas. Elle avait peur. Puis elle commença à perdre l'usage de ses jambes. Au début elle ne sentait plus ses orteils puis elle n'eut plus la force de se lever. Dans un fauteil roulant elle ne se sentait plus la force de quoi que se soit. C'est là que naquit leur petite fille. Mais Mia n'avait plus la force de faire sortir leur enfant. Elle mourut avant d'accoucher. C'est Maxi qui ouvrit le ventre de sa femme qu'il aimait tant pour prendre l'enfant dans ses bras. Sanguinolente, la petite semblait le fixer. Mais elle avait encore les yeux clos.
Le problème, c'est qu'il l'appela Mia, comme celle qu'il avait perdu. L'autre problème, c'est qu'elle était le portrait craché de sa mère. Il avait toutes les photos d'enfance de cette dernière, et rien que la regarder lui faisait mal. L'enfant était joyeuse et ne posait pas de problème. Elle avait son sourire et son regard. Puis à trois ans il est mort. On ne sait comment, on ne sait pourquoi. Disparu pas loin de Barcelone. Mia, la petite, fut confiée à son Grand Père Français qui ne parlait pas un mot d'Espagnol. Il était vieux mais bien gentil. Elle apprit le Français lentement, très lentement mais finit par être bilingue. Puis la petite grandit. Elle avait quatorze ans quand elle poussa pour la première fois les portes du long garage. Il était tard mais quand la porte grinça, Mateo, son grand père, sut ce qu'elle avait fait, et ses lèvres ridées s'étirèrent dans un sourire. Il descendit lentement, grimançant, ses articulations le faisant souffrir. Mia elle, touchait d'une main légère les carrosseries brillantes. Ses yeux noisettes se promenaient, fouillaient, essayer de capter l'éclat d'un cuir blanc. Ses pieds nus sur la dalle froide faisaient un bruit mat. Elle caressa chacun des bolides, un sourire immense sur les lèvres. Les larges pneus de gomme semblaient fait d'ombre dans l'obscurité du garage. Mateo était à la porte, l'observant tendrement. Oh, qu'elle ressemblait à son père la gamine, oui qu'elle lui ressemblait.

-" Elles te plaisent ? "

Sa lourde voix rauque fit retourner l'adolescente qui pensait avoir commis une faute. Mais en voyant ce sourire sur les lèvres de son grand père, elle su que tout allait bien. Alors elle continua de loucher sur chaque pommeau de vitesse luisant, sur chaque poignée de portière, sur chaque desing. Toutes étaient récentes sauf peu être une porsche ? Non, même pas.

-" Elles étaient à ton père. " Continua la voix.

Sa main passait sur le bleu, le noir, le gris. Ses doigts touchaient des phares depuis longtemps éteins. Elle releva ses yeux marrons vers l'homme ridé qui se tenait dans l'encadrement de la porte. De la ou elle était, elle voyait le profil de chacune des voitures. Il y en avait quatre. Chacune avait un profil moderne, agressive. Elle demanda :

-" Il était pilote de course ?"

Pourtant elles n'avaient pas le profil de voitures qui tourneraient en rond sur un terrain. Normalement, ces voitures là on des publicités et des sponsors. Elles ont des sièges baquets et puis n'ont pas de banquette arrière. Et là, rien de tout ça. Une peinture noire mate pour l'une, d'un blanc épuré pour l'autre en passant par un bleu et un gris foncé mat plutôt magnifique.

-" Pilote de Rodéo petite. "

Elle en avait déjà entendu parler. Mais seulement à la télé. Elle ne se rappellait pas très très bien de son père, mais l'imaginer défier les lois de la vitesse la réjouissait. Elle se promit de les conduire un jour. Toutes. Une par une.

Quand elle eut tout exactement 15 ans et dix-sept jours, le grand père mourut. Effondrée, Mia n'étant pas encore majeure elle dut se résoudre à partir un an à Oxford chez sa vieille tante malade. La vieille femme aigrie était atteinte d'un cancer, et Mia se retrouva obligée de tout faire dans la maison. Tout. Elle du même arrêter les études et elle en était triste. Mais pas le choix. Elle commença à faire ses premières vraies fêtes. Les premières aventures qui duraient plus d'un mois. Elle déccrocha son premier à seize ans en trafiquant papier, nom, origines, tout. Elle n'acheta aucune voiture. Il n'y en a que quatre qu'elle voulait. Et elles étaient en France. A la mort de la vieille femme elle partit donc en France. Son Grand-Père et son père lui avaient tout légué. Elle avait donc une sacré somme tout de même. Pas assez pour ne jamais travailler, ni assez pour être riche, mais assez pour les 1o prochaines années assurément. Mais elle n'avait pas besoin d'autant de temps. Il ne lui fallait que quelques heures pour rallier la France. Dès qu'elle mit la main sur les clés de la propriété, un large sourire éclaira son visage. L'odeur était celle d'arômes de poivre et percil. Il faisait un peu froid dans la bâtime, un carreau avait été cassé et des colombes s'y étaient installées. Elle n'eut pas le courage de les virer avant l'hiver. Puis elle ouvrit la porte du garage. Les quatre voitures y étaient toujours, comme si elles l'attendaient. Les clés étaient sur le siège. Elle ouvrit en grand les portes et démarra la première. Elle était dans la petite porsche bleue. Rien que le bruit.. Elle ferma les yeux un instant, essayant de se rappeller son père à l'interieur. Mais elle n'y parvenait pas. Le visage qu'elle voulait fixer fuyait toujours. Elle finit par les ouvrir à contre-coeur, frustrée. Elle fit sortir la petite bleue, lentement. Le volant très sport adhérait à ses doigts fins. Elle aurait voulut prendre la route, comme ça, telle quel. Mais elle ne pouvait évidement pas laisser toutes les voitures, clés sur sièges, avec le garage ouvert. Elle prit donc le temps de tout refermer. Et partit. Juste rouler, rouler, rouler ! Oublier ? Un peu aussi sans doute.
Elle revint le lendemain, fatiguée. Dans le garage, il y avait encore deux Nissan & une Subaru. Toutes racées, brillantes, comme neuves. Elle avait adorée la Porsche et avait roulé à des vitesse impossibles pour une voiture normal. Trafiquée toutes donc. Le lendemain, elle appellait trois amis. La France, c'est peut être joli joli, chic et sa fait du bon pain, ça reste mou. Pas énormément, mais quand même. Direction Miami.

On retrouve notre Mia à ses 23 ans. Fine, sûre d'elle, le regard aguicheur. Elle est très dépensière mais à les moyens. Plus ou moins. Elle enchaîne conquêtes d'un soir, amourettes d'une nuit. Elle n'arrive pas à se poser. Elle est partie à Tokyo une semaine. Aussi en Norvège et à Londres, avant de revenir à Miami en passant par Los Angeles. Elle n'ose pas retourner à Barcelone. Par peur des souvenirs.

Elle était au volant de sa Nissan, la grise, 535 chevaux. Une bombe. Tous sur la ligne de départ, elle passait ses doigts dans ses cheveux. Un homme se pencha à sa fenêtre, disant que tous les autres avaient pariés 35 OOO$. Elle sourit, lui toucha le bras.

-" 55 OOO$. " Murmura-t-elle.

Il accepta immédiatement. Alors que normalement, monter autant les enchères était interdit. Surtout quand on savait qu'on allait gagné. C'est bien sûr ce qu'elle fit. Pactole trop facile à gagner ? Pas tant que ça.

Elle joue de la guitare & du piano. Et chante, chante ! Une voix qui s'élève doucement dans l'air. Quand elle chante, tout le monde voudrait l'écouter plus longtemps, devenir ami ou plus avec elle. C'est pas pareil qu'être charmeur, être une sirène. Puis elle ne le contrôle même pas. On a juste envie de s'arrêter, de l'écouter. Mais ça, ce n'est que son niveau 1. Au 2, elle peut commencer à figer quelqu'un quelques secondes. Au 3, elle pourra figer quelques personnes. Au 4, elle pourra figer une dizaine de personne en même temps, une dizaine de minutes après qu'elle ait arrêté de chanter. Mais elle ne le sait pas...

Bref. Elle à acheté une maison assez proche de Little Angleton, une villa presque de campagne. Son énorme garage habrite Nissan & Porsche 'uniquement'. Le reste est en France. Elle à un chat. Très important. Elle a un bar plutôt bien remplit... Et aime beaucoup chantonner. Elle espère rencontrer du monde. Des gens bien. Ou pas ?

« QUI-ES-TU ...? »

● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées.
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Mia est franchement gentille. Il est rare qu'elle pense à comment faire mal à l'autre. Elle est franche et sincère, aime bien faire la fête. Elle ne fait pas confiance en beaucoup de monde et surtout pas les premières fois. Il faut du temps pour rentrer dans son coeur, mais une fois qu'on y est, c'est pour toujours. Elle est très rancunière parfois comme elle peut pardonner tout de suite. Mais elle est plus souvent rancunière quand même. Elle aime bien lancer quelques piques à ses amis mais pas méchament bien sûr. Elle ne fait pas beaucoup de sport sauf de la natation, beaucoup. Elle aime bien boire aussi. Elle n'est pas gourmande. Elle adore chanter et sait qu'elle à une belle voix. Elle aime bien séduire, juste pour le plaisir. Quand elle tombe amoureuse, c'est pour de vrai. 'Avant de casser un coeur, regarde si tu n'es pas à l'interieur. ' C'est un peu ça pour elle. Par contre, elle ne s'épanchera pas face à une photo de mec canon en rêvant de l'avoir à ses pieds. D'ailleurs, les garçons comme ça, ceux qui sont tout gentils, n'ose jamais dire un mot de peur de la vexer, elle n'en veut pas. Si un jour vous obtenez les clés de chez elle ou de sa bagnole, c'est que vous êtes dans son coeur, et que vous n'être pas près d'en sortir !

● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées.
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Fine, adepte des robes et des mini short comme des T-shirt larges au réveil, Mia se fou de votre regard sur elle. Elle se maquille plutôt légèrement, et avec sa peau bronzée elle met souvent du blanc ou des couleurs.. presque jamais de noir. Elle passe par beaucoup de style et n'aime pas se prendre la tête sur des vêments. Et pourtant, dieu sait combien de placards elle remplit avec ! Baskets en toile ou talons, tout dépend de l'humeur, du reste de la tenue, des envies. Elle a de longues jambes qui ne prennent pas un kilo, quelque soit ce qu'elle mange. Elle porte les cheveux longs, bruns foncés, rarement attachés. Elle a une frange droite qu'elle laisse pousser parfois pour ne plus en avoir, mais c'est rare.

MORE?

Parfait parfait

VALIDEE