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| « voyage de noce ☼ bateau de croisière » | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité | Sujet: Re: « voyage de noce ☼ bateau de croisière » Lun 15 Avr 2013 - 0:37 | |
| « Enfin, si c'est toi qui me propose d'apprendre, je pense en être capable. »
La belle blonde se demandait combien de « danse » avait-elle appris tout le long et interminable vie de « princesse ». Il y avait peut-être plus que son mari, après tout c'était une « dame » et devait apprendre des danses pour pouvoir plaire aux hommes, comme apprendre à les séduire avec beaucoup charmes. Il n'y avait pas un moment, ou elle était dans sa chambre en train d'apprendre quelque chose. La petite s'ennuyait de ce monde de « princesse » et rêvait de pouvoir devenir adulte pour sortir dehors même si sa santé ne lui permettait peut-être pas. Il y avait peut-être des danses qu'elle pourront maintenant apprendre à son mari. Elle se mordit nerveusement sa lèvre supérieur, pour savoir laquelle elle pourrait lui apprendre..
« ma mère étant une artiste complète m'a demandé d'apprendre une centaine de danse, dont chacune à un but particulier.. mais y a en une seule qui serait intéressante.. »
Elle venait de lui faire part d'une part de son vécu, ou sa mère était toujours en train de la faire « parfaite » pour qu'elle ne vit pas sans « famille », elle qui rêvait de former une famille, et d'être aimer par un homme. Elle n'avait pas une vie de « conte de fée » loin de là, c'était plutôt un cauchemar avec son père, et son éducation stricte ou on lui avait déjà imposé un métier, ou même un amant qui plus tard deviendra l'homme qu'elle allait aimée. Elle s'installa sur son homme, tout en posant un doigt sur ses lèvres, toujours autant hésitante à manger quelque chose qui lui faisait terriblement envie. Et vint cette fameuse question. L'adolescente avait tellement peur d'être abandonner par son poids, ou même physique, qu'elle posait des questions idiotes, et qui lui semblait importantes à ses yeux. Miyaki avait toujours été une femme « plaisante » qui avait habitude d'être demander par les hommes, ou mêmes les enseignants, qu'elle ne savait pas comment c'était la vie autrement. Il était hors de question qu'elle perde son homme pour une question de poids, ou même de physique, c'était impensable..
« Ce n'est pas avec un repas que tu prendras dix kilos. Au pire... je serai là pour t'éviter d'en gagner trop. »
Les yeux de l'adolescent s'illuminèrent, en entendant la « fin de la phrase ». Il y avait des dizaines d'idées qui lui viennent en tête en ce moment là. Laquelle était la bonne ? Il avait fait un sous-entendu qui ne laissait pas indifférente la belle blonde qui voyait qu'elle avait toujours le même effet sur son homme. Il se trompait cependant sur le poids, on pouvait gagner du poids dans une seule matinée. Il ne fallait pas négliger les kilogrammes que cela pouvait faire prendre à notre « allure », cela était important pour l'adolescente. Elle vint lui faire un bisou très léger, avant de s'amuser, en riant doucement. Oh elle était peut-être un peu provocatrice aujourd'hui. Il ne fallait pas réveiller la diablesse qui sommeillait dans le corps majestueux de cette « petite princesse.
« Oh vraiment ? J'ai hâte de voir ça, alors... »
La jeune femme était une provocatrice, une vrai allumeuse, même si elle ne le voyait pas elle-même. Elle était simplement elle-même, et ne voyait pas ce qu'il y avait de mal de s'installer sur son homme de cette manière, en venant déclarer « la guerre » dans une simple bise, avant de rigoler comme pour montrer qu'on était heureux de pouvoir partager enfin un moment ensemble. Il n'y avait rien de provocant pour l'adolescent, bien sûr que non ! Elle ne comprenait pas pourquoi tout le monde lui disait qu'elle faisait un peu aguicheuse, quand elle ne le faisait pas exprès. Elle se mit soudainement à sourire, en se mordant de nouveau la lèvre, en se mettant à rigoler, en entendant de nouveau la question de son mari.
« Qu'est-ce que tu mijotes, à jouer l'allumeuse avec moi ? »
La bretelle tombait sur son épaule doucement, en même temps qu'elle riait de la question de son mari. Elle était aussi innocente qu'une « plume » qui volait dans les cieux majestueux. Elle ne mijotait rien du tout. Elle allumait personne, ou peut-être s'amusait-elle à le provoquer depuis le temps qu'elle cherchait à avoir du temps à avoir avec son mari, c'était le meilleur moment de s'amuser, tout en voyant de quoi était capable son homme. Elle hocha la tête négativement, avant de l'embrasser, pour montrer sa bonne foi, qu'il n'y avait rien d’aguicheur dans son comportement, seulement de la provocation.
« Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles, mon amour.. »
Il y avait un élément perturbateur qui vint les interrompre. Il ne se gênait pas pour faire son entrée avec élégance, et pleine de bonne manière. Il fit sa révérence comme un « gentleman », il était vêtu d'une façon très chic montrant qu'il venait du même univers qu'eux, et qu'il était également asiatique, ce qui se voyait à ses traits du visage. La jeune femme observa un moment cet homme qui lui tenait la main, avec un sourire très complice et charmeur. Elle ne comprenait pas pourquoi chaque fois un homme venait rendre « jaloux » son mari. Il ne voyait pas qu'elle était déjà avec quelqu'un, ou croyait-il qu'elle était seulement son enfant, ou même son compagnon pour son voyage. Il vint lui adresser la parole, pour tout de même inviter à « danser ».
« Puis-je vous l’emprunter un moment ?! Mademoiselle, accepteriez-vous de danser avec moi ? »
Elle hésita pendant un long moment, se disant après tout que ce n'était qu'une « danse » et que là il pouvait bien dire qu'elle était aguicheuse de vouloir le rendre mal uniquement en dansant avec un autre homme. Elle prit délicatement sa main, avant que celui-ci la tire doucement contre lui, et de repartir avec elle, en adressant un sourire malveillant à son mari pour lui dire qu'elle lui appartenait maintenant, et qu'il comptait bien la séduire, malgré la concurrence, cela ne l'effrayait pas plus que ça. Il avait été séduit par l'adolescente qui s'amusait avec son mari. Ils se mirent à danser, malgré que celle-ci posait quelques moments les yeux vers son homme, en tournant légèrement la tête.
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Niveau du personnage Point RP: (339/300) Point Membre: (383/300) Niveau: 8 - ReconnuRen Takahata Admin | Don't waste my precious time | Sujet: Re: « voyage de noce ☼ bateau de croisière » Mer 24 Avr 2013 - 19:25 | |
| Laisse le temps au hasard, mais ne laisse pas le hasard te prendre ce que tu as.
Je regarde ma femme avec un air presque trop blasé. Parfois j'ai vraiment l'impression de découvrir une nouvelle facette de sa personnalité. Pas que ça me dérange. Au contraire, le simple fait de ne pas la connaître entièrement m'entraîne à vouloir en savoir toujours plus. De toute façon ne dit-on pas qu'on ne peut pas connaître une personne en une vie ? On peut tout au plus prévoir ses mouvements, et parfois, on se trouve agréablement surpris du contraire. Dans tous les cas, apprendre à connaître l'autre est aussi une manière de ne pas s'ennuyer. De voir de la nouveauté même lorsqu'elle n'est pas là. Enfin, qu'importe, tout ça pour dire que Miyaki peut avoir des manières bien à elle de montrer son intérêt à une personne. Ou son amour. Pas que ça me dérange, je me sens même privilégié pendant ces moments. Je me dis « il n'y a que moi qui la voit comme ça ». Et c'est aussi pour cette égoïste raison que j'en viens même à penser qu'elle essaye de m'allumer en public. Dans ces cas-là, j'ai parfois tendance à me replier, même si ce n'est curieusement pas le cas en ce moment. Je la fixe longuement tandis qu'elle me demande le nombre de danses que je suis capable de faire. Ah la danse, chose tellement inutile.
« ma mère étant une artiste complète m'a demandé d'apprendre une centaine de danse, dont chacune à un but particulier.. mais y a en une seule qui serait intéressante.. »
Une centaine... Oh mais quelle torture que voilà. Quoique, vu l'allure de Miyaki, je pense que, même si elle ne m'en parle pas, en vérité elle doit adorer danser. Je la vois très bien dans une grande robe de bal à panier. Elle serait magnifique. Enfin, elle est déjà magnifique, je suis loin de dire le contraire, mais quand je repense à nos débuts aux bals, je me remémore de beaux souvenirs d'elle. Peut-être que j'étais vraiment sous le charme du coup de foudre à ce moment aussi. Là... maintenant c'est différent. Je l'aime. Je l'aime de tout mon cœur, mais ce n'est pas un coup de foudre ou un coup d'un soir d'ailleurs. C'est vraiment juste parce que c'est elle et elle tout entier. Bref. Elle me parle d'une danse intéressante ? J'aurai peut-être dû mettre des conditions avant de me lancer à corps perdu dans l'apprentissage de la danse. Si elle m'apprend à danser, je ne veux même pas voir sa mère dans les parages. Ces deux-là réunies seraient capable de me maltraiter jusqu'au bon accomplissement de mon « entraînement ». Oh, et je parle en connaissance de cause. La fille et la mère séparées, c'est parfait, mais ensemble, elles se liguent face à n'importe qui. Et surtout à moi. Je lève un sourcil avant de prononcer, un peu ronchon :
-Laquelle ?
Si elle me demande d'apprendre je ne sais quelle danse tribale ou que sais-je, ce sera niet. J'aurai vraiment dû poser mes conditions, quand j'y pense. Soupirant, ma femme se décide à quitter mes genoux pour apprécier son siège. Je ne peux m'empêcher de sourire lorsqu'elle me ressort le discours habituel. Grossir. Mais elle est parfaite. Parfaite. Avec un p majuscule. Que lui faut-il de plus ? Je ne tiens pas à ce qu'elle devienne anorexique. Alors, tranquillement, je lui fais part de mes pensées. Le problème dans tout ça, c'est qu'à laisser planer des paroles légères, on finit par trouver des sous-entendus. Et j'en ai conscience un peu plus tard. Évidemment, il n'est pas sans dire que ce sous-entendu n'a pas échappé à l'oreille décidément si délicate de Miyaki.
« Oh vraiment ? J'ai hâte de voir ça, alors... »
C'est quoi ce regard ? Oh et puis, pour une fois, je ne boude pas dans mon coin, au contraire. Je la regarde de profil, amusé par mes paroles et par sa réponse. Est-ce que je dois répondre moi aussi ? Je lui souris en pouffant légèrement. Oui, je vais répondre, parce que c'est tout de même une belle provocation qu'elle me fait là.
-Oui, mais si tu me le permets, nous attendrons d'être seuls ce soir pour tester ça.
Pour conclure le tout, je lui offre un clin d'œil plein de malice. Peu après, la voilà qui rit à ma question. Quoi, qu'est-ce que j'ai encore dit qui la fasse rire à ce point ? Je ne vois vraiment pas. Elle joue ouvertement à l'allumeuse, et elle rit à ma question. Elle n'en a pas conscience, ou bien est-ce tout simplement parce qu'elle se rend compte que je suis lent à la détente ? Eh, à force d'être soumis à la même personne constamment, je finis par m'habituer à tout ça.
« Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles, mon amour.. »
Sa réponse me fait tomber des nues. Alors, elle n'en a tout simplement pas conscience. Que c'est triste. Pas que ça me dérange. En tout cas, pas lorsque c'est avec moi qu'elle teste ses nouvelles expériences. Ça me dérange dès l'instant où elle fait ça avec un autre, ou, accessoirement, devient la cible de quelqu'autre prétendant qui n'a strictement aucune chance avec elle. Et il me suffit d'y penser pour sentir brusquement quelqu'un derrière mon dos, s'avancer jusqu'à être face à la dem... dame plus précisément appelée Miyaki. Sérieusement. Franchement sérieusement, est-ce que c'est juste moi, ou bien dès qu'on mange/balade/bouge/fait quoique ce soit, il y a forcément quelqu'un pour venir se taper la discut' ? Il va falloir penser à une technique. Soit Miyaki est trop belle, ce dont je ne doute pas, soit elle a trop d'amis hommes à mon goût, soit c'est simplement dans sa nature de se faire arrêter par tous les hommes de la région. Quelque part, moi ça me fait me sentir un peu plus important pour elle, même si j'ai sans doute débuté comme les autres avant moi. D'un autre côté, c'est hm... comment dire ? Ah oui, chiant.
« Puis-je vous l’emprunter un moment ?! Mademoiselle, accepteriez-vous de danser avec moi ? »
Fais-toi plaisir. Rira bien qui rira le dernier. Tu ne perds rien pour attendre. Mon attitude tout à fait raisonnable extérieurement est en phase de bouillir mentalement. Pour une fois que je profite de ce moment avec Miyu, il faut qu'un trouble-fête ne vienne mettre sa patte à tout ça. D'autant plus que physiquement, le beau jeune homme est effectivement beau. Il me fait un peu penser à moi, en... plus jeune. Quel âge a-t-il, sans rire ? 20 ans, 21 peut-être ? C'est pile l'âge de ma nana ça. Et je parle comme je veux. Non mais. La dame se lève, accepte comme une petite brebis la proposition du grand méchant loup. Quoi, mes métaphores sont pourries ? Cet homme est un grand méchant loup. Regardez-moi ce regard qu'il me jette. J'en ai marre. J'en ai marre des gens comme ça qui connaissent rien à la vie. L'espace d'un instant, je suis prêt à rentrer dans la chambre pour aller chercher Ayumi, mais finalement je me dis qu'elle doit dormir en ce moment. Rien que de penser à son petit visage endormi suffit à me rassurer et à me calmer. Je les regarde danser, sans rien dire. Le serveur apporte alors le repas, sous cloche. Je lui fais signe d'une main de bien vouloir poser les plats même si Miyaki n'est pas encore là. Au moins, le repas permettra de virer les mauvaises herbes, hein. Elle devrait bientôt avoir fini, là. Je jette un coup d'œil à ma montre. Il commence à être tard.
Alors, tranquillement, je me lève et me met sur les côtés de la piste de danse. Je râle un peu dans ma barbe lorsque je les aperçois très proches l'un de l'autre. Non mais. Elle est déjà prise, mince. Les jeunes, de nos jours. Je soupire. Une femme arrive avec ses copines. Elles sont trois, en tout. Mais dans le lot, il n'y en a qu'une qui s'approche de moi. Mon air assez râleur n'a pas l'air de trop l'impressionner. Je détourne donc la tête pour la fixer. Elle cligne quelques secondes des yeux lorsqu'elle découvre la couleur de ces derniers. J'en ai fait peur à plus d'un avant elle. Mais il faut croire que c'est un détail que les filles apprécient. Bref, voilà où tout ça nous mène. Miyaki se fait emporter par un jeune homme galant, et moi, en tentant d'aller la chercher, je suis considéré comme seul et donc aussi demandé. Je ne dirai pas ce que je pense car ce serait égoïste de ma part, mais je le pense très fort tout de même. Je regarde toujours cette jeune femme. J'ai l'impression qu'au fur et à mesure, son attitude devient de plus en plus... hm.. comment dire... apaisée. Elle hausse alors les sourcils avant de décréter, en me prenant les deux mains, soudainement joyeuse :
-Ren ! Ah, j'ai pris du temps pour te reconnaître, mais c'est bien toi !
C'est à mon tour de cligner des yeux, ébahi. Allons bon, on ne m'avait encore jamais fait la technique du « j'te connais toi ! ». D'autant plus qu'elle a l'air de vraiment me connaître. Ce n'est pas comme si mon prénom était vraiment inconnu, mais c'est plutôt pour sa familiarité. Elle est typée asiatique aussi -il y a décidément beaucoup d'asiatiques dans le coin- et doit donc savoir le respect qu'on accorde à al familiarité entre personnes. Surtout à mon stade. Enfin qu'importe, je la regarde, tâchant de reconnaître ses traits. Mais ça ne me revient pas, et ça finit par me gêner. Je la vois qui m'offre une moue déçue, et je préfère me concentrer sur autre chose plutôt que d'observer cette jeune femme. Me concentrer sur Miyaki par exemple. La danse s'achève. Alors, je me dirige vers le centre. La fille à mes côtés me prend alors aussitôt par le bras. Je m'arrête. La regarde.
-Eh bien, où vas-tu ? -Lâche-moi.
Sa moue déçue se transforme en petite colère et elle me serre encore plus. Je la dévisage. Je pense que si Ayumi devait avoir une vingtaine d'années, elle aurait ce visage. Mais non. Et puis, sa grande robe montre vraiment qu'elle se trouve aussi du même milieu que moi. Mais qui est-ce ? Passons, je vais me diriger vers Miyaki et tout ira bien. Si ça se trouve, les deux dragueur/dragueuse ambulant(e)s finiront par tomber fou amoureux l'un de l'autre et nous laisserons tranquille. Alors, tout en ayant ce poids accroché à mon bras, je me fraye un chemin parmi les danseurs. [HRP=Tu m'as laissé trop de place à mon imagination xD] _________________- Spoiled children:
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: « voyage de noce ☼ bateau de croisière » Jeu 25 Avr 2013 - 0:13 | |
| « Laquelle ? » Laquelle ? Le « tango ». Oh, tout simplement parce que c'est l'homme qui magne la femme, et non inverse. Je suis une femme qui apprécie énormément « l'instrumentale ». J'en ai beaucoup appris de ma mère. Il est maintenant sûr que mon goût vestimentaire reflète beaucoup mes goûts musicaux. Je me suis attachée à la période de « Louis XIV ». Je refuse toujours de changer ma façon de me vêtir, ou même mon tempérament. Je pense que mon mari ferait un beau « roi soleil » convoitait par toutes les femmes. Il brillerait comme une « étoile » et gouvernerait comme un majestueux roi. Je ne peux m'empêcher de sourire à cette pensée douce comme un rayon de soleil. « Le tango, c'est une danse ou l'homme dirige la femme, t'en sens-tu capable ? » Il sera peut-être capable de me diriger comme un « vrai » homme. Je n'ai aucun doute là-dessus. Il m'a montré tellement de fois, l'homme qui sommeillait en lui. Il n'aura qu'à fermer les yeux pour laisser guider ses pas. Je m'occuperais de « l'enseignement », mais au bout d'un temps l'élève devra devenir autonome. Je ne serais peut-être pas autant autoritaire, ou dirigeante comme l'a été « ma mère ». Je suis peut-être un tantinet « derrière » mon élève. Je veux la perfection, comme ma mère m'a autant appris à être « parfaite ». Je crois que si ça aurait été ma mère. Il aurait été mort dés le début du cours. Il en a quand même de la « chance ». Bref. Le sous-entendu était plutôt flagrant. Je ne suis toute de même pas « perverse » pour entendre partout des « sous-entendu » non ? Il ne l'a pas mal pris. Il ne boude même pas. Je crois que c'est rare, ou il doit être vraiment en manque. Il faut dire que son travail lui occupe la plupart de son temps, que la famille est « secondaire ». J'aimerai qu'il soit autant présent pour son enfant. Ayumi a besoin de lui. Je peux supporter, du moins pour le moment. Je me demande pourquoi autant d'éloignement pour un simple métier. Je me refuse de le perdre une nouvelle fois. Il faudra qu'on discute en tête à tête pour voir comment on pourrait faire. Je n'ai pas envie de passer toute ma vie à attendre un fantôme qui vient uniquement le soir, et le matin. « Oui, mais si tu me le permets, nous attendrons d'être seuls ce soir pour tester ça. » ça tombe bien pour moi. Je vais pouvoir essayer un nouveau sous-vêtement. J'ai voulu acheter quelque chose qui pourrait plaire à mon homme. Il faut bien se sacrifier par moment pour rallumer « la flamme ». J'espère alors qu'il ne tombera pas de sommeil. La nuit promet d'être très longue, en première vue. Je ne compte pas le lâcher de sitôt maintenant. Il ne pourra pas revenir en arrière. Je demanderai à ce que notre enfant soit dans une autre chambre. Je veux préserver innocence de ma « princesse » le plus longtemps. Le clin d’œil, c'est très provocateur. Il ne faut pas me tenter, chéri, c'est très mal me connaître. Je ne suis pas en période d'ovulation, mais ça pourrait l'être. Quelle femme pourrait résister à un homme pareil ? « J'aurai du mal à attendre aussi longtemps ! » Je le pense vraiment. Je crois qu'à mi-repas cela deviendra un enfer surtout sur maintenant. Je m'amuse à le provoquer depuis un moment, en rigolant bêtement. Oh cela peut paraître stupide, mais une « provocation » de tout ce qu'il y a de plus banale pour intriguer un homme. Et c'est plutôt efficace, non ? J'ai l'air d'une « aguicheuse » comme ça. Je suis simplement naturellement « belle » en plus d'être provocante. Je trouve que cela me va bien pour manipuler les hommes.
Oh d'ailleurs, un homme vient à ma rencontre. Je crois que ça déplaît à mon homme. Je le comprends parfaitement. Je n'aurai pas apprécié qu'il soit en compagnie d'une autre femme. Je ne peux pas refuser, cependant. Je vais seulement danser. Je sais très bien me défendre au moindre changement de comportement. Je reste cependant sur mes gardes. Je ne veux pas lever les soupçons. Je suis cependant surprise par les propos, ou du moins les compliments de cet homme. Je ne le connais même pas, mais cela à l'air de lui plaire. « Je vous trouve resplendissante, mademoiselle aujourd'hui ! » Je me demande ce qu'il cherche à prouver comme ça. Je ne suis pas dupe malgré ma naïveté légendaire. Je fronce légèrement les « sourcils », en observant mon mari qui avait bougé de place apparemment. Il cherchait peut-être à me retrouver vu que c'était bientôt la fin de la danse. Je crois que le plus surprenant, c'est ce qui s'apprête à me dire à mon oreille. Je ne comprend pas du tout ce qu'il veut dire par : « C'est le moment ! » Je n'ai compris uniquement quand il déposa un baiser sur mes lèvres. Je le repousse brusquement, avant de le baffer devant tout le monde. Je ne supporte pas qu'on me manque de respect. Je suis une femme mariée, cela se voit non ? Je suis contrarié maintenant. Que croyait-il pouvoir faire ? Je ne suis pas une femme à homme, comme on dit souvent . Je reste cependant bouche bée, quand je m'apprêtai à partir. Il annonçait à tout le monde, quelque chose d'absurde mais qui pourtant va semer la confusion à la plupart des personnes. Quel abruti vraiment ! « Je suis désolé, ma femme est devenu incontrôlable ! » What ? Je n'ai pas tout suivis là. Il parle de moi quand il dit « sa femme ». Je croirais rêver. Il se moque de moi vraiment. Il m'est vraiment insupportable. Je vais lui dire quelque mots avant de me retirer. Je suis vraiment en colère, maintenant. Je ne crois pas que cela va se dérouler comme ça. Je respecte mon mari autant que lui. Je ne tolérerai pas qu'on sème la confusion sur ma fidélité, et notre mariage. « Je suis loin d'être votre femme ! Je suis seulement incontrôlable quand on me manque de respect, pour votre gouverne ! Je voue prierai de ne plus m'adresser la parole, ou de me toucher.. me suis-je fais comprendre ? » Je crois que mon regard vire au blanc involontairement. L'homme à l'air d'apprécier ma mise en garde. Je trouve cela très étrange. Mais que cherche-t-il à faire bon sang ? Je n'ai pas envie de chercher pour le moment. Je vais directement dans ma chambre, en trombe pour montrer ma colère, en ouvrant la porte avant de m'étaler sur le matelas tout en regardant mon enfant. Je ne sais pas pourquoi autant de garçons s'intéressent à moi. Je suis peut-être « belle » mais ce n'est pas une raison tout de même. Je voudrais par moment être simplement moi-même et ne plus être autant aimer par les hommes, mais seulement mon mari. Je regarde Ayumi qui dort, en déposant un baiser sur son front. Elle est tellement magnifique. Je suis tellement heureuse de l'avoir. Je ne regrette vraiment rien.
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Niveau du personnage Point RP: (339/300) Point Membre: (383/300) Niveau: 8 - ReconnuRen Takahata Admin | Don't waste my precious time | Sujet: Re: « voyage de noce ☼ bateau de croisière » Jeu 25 Avr 2013 - 17:18 | |
| Tu ne me vois pas ? Pourtant je suis juste derrière.
Parler de danse. Non, je n'aime pas particulièrement ça. En revanche, j'apprécie de voir les autres danser devant moi. Surtout les femmes. Elles ont un charme assez ravageur en vérité. Leurs robes volent et leurs jambes, lorsqu'elles sont dénudées, semblent pareilles à de fines épingles plantées dans le sol, en contact léger avec le sol. Lorsqu'une femme sait vraiment très bien danser, parfois, on a l'impression de la voir voler. On la pense ailleurs que dans notre monde. Je me demande ce qu'est ce monde. Pourtant, ça n'ira jamais au-delà, je ne chercherai pas à connaître le monde de la danse. Je me pose simplement des questions, je n'en ai pas le droit ? Alors, c'est à moitié intéressé que je lui demande quelle sorte de danse elle veut me faire apprendre. Visiblement, ma réponse à l'air de l'enchanter, et durant quelques minutes elle me semble perdue dans ses pensées, à la recherche de la meilleure danse qui soit. Personnellement, je me doute sans en être sûr de ce qui résultera des réflexions de la jeune dame.
« Le tango, c'est une danse ou l'homme dirige la femme, t'en sens-tu capable ? »
Je soupire. Parfois, j'aimerai bien que mes supputations se trouvent fausses. L'homme qui dirige la femme. Elle souhaite vraiment à ce point que je lui marche sur les pieds ? Et puis, le tango, ce n'est pas simplement une danse comme une autre. Elle est difficile à apprendre. Et qui plus est on ne peut plus sensuelle. À ma connaissance, je n'en connais pas une plus sensuelle que celle-là. Les corps sont proches l'un de l'autre, les pieds se chevauchent parfois, sans se toucher. On se frôle, on se taquine. Et ça s'arrête là. Oui, c'est bien ce qui m'énerve. Ça s'arrête là. Le tango, c'est la danse du diable. Elle aguiche et puis paf, quand tu t'apprêtes à recevoir ta récompense, paf elle disparaît entre tes mains. Nan, c'est vraiment pas une danse pour moi. Malgré tout, en reposant mon regard sur Miyaki, je ne peux m'empêcher de changer instantanément d'avis. Après tout, c'est avec elle. La récompense après ça, je peux l'avoir même sans faire du tango.
Bref, est-ce tout simplement moi, ou mes réflexions se font-elles de plus en plus sujettes à des sous-entendus ? Bref.
-On verra ça.
N'empêche qu'avec ses messages subliminaux, j'en finis par trouver le mal partout. Et à parler comme je ne sais pas qui. Et évidemment, je ne m'arrête pas à la pensée. Il faut aussi que je lui fasse part de mes idées à voix haute. Elle n'en est que plus heureuse, à ce que je vois. Je dois bien le prendre je suppose. Avec mes sourires, mon clin d'oeil je ne vois vraiment pas comment on peut interpréter ma phrase autrement que ce qu'elle veut bien laisser penser. Je ne fais décidément pas d'effort pour cacher mes pensées profondes. C'est mal, c'est très mal. Mais il n'y a pas qu'à moi que ça fasse plaisir. Même moi, je peux voir ce petit sourire chez elle.
« J'aurai du mal à attendre aussi longtemps ! »
C'est vrai que j'ai été assez occupé par mon travail, ces temps-ci. Mon père a l'air de vouloir me refiler un maximum de responsabilité. Je crains les semaines à venir. S'il me balance toutes mes charges en une journée, je serai contraint de me pencher uniquement dessus. Le travail de professeur demande déjà un sacré investissement. Celui d'exorciste en demande un autre. Ça commence à faire beaucoup. Mais au moins, cette croisière sera l'occasion de pouvoir rattraper le temps perdu, comme on dit. Peut-être n'aurions-nous pas dus emmener Ayumi. Quoique, l'avoir trop loin ne me rassure pas trop. Et les nurses savent très bien s'en occuper.
Je m'apprête à lui répondre lorsqu'un monsieur me passe devant et s'adresse indirectement à moi. Je ne râle pas, mais c'est uniquement par courtoisie et non pas par manque d'envie. Il est beau. Ça oui. Pour avoir eu une aventure avec un homme, je sais ce que je dis. Mais ce n'est pas une raison. Pour ne pas paraître malpoli, je ne le fixe pas plus longtemps. Ce qui ne m'empêche évidemment pas de jeter des coups d'oeils sur Miyaki. Finalement, l'élément déclencheur, à savoir le serveur, m'oblige à me lever pour aller voir de plus près comment se déroule cette fameuse danse. Comment ça, je suis jaloux ? Je suis préventif, nuance. Miyaki a grandi, tout comme moi, mais ce n'est pas une raison. Nous possédons tout de même quelques années non négligeables. Dans la tête d'un homme -il s'y passe des trucs dedans, je vous assure- on en arrive parfois à faire obstruction d'un autre homme en se disant qu'il l'accompagne simplement. TOUJOURS EST-IL que Miyu est ma femme, que j'ai un enfant avec elle et que je tiens à elle plus qu'à n'importe qui.
C'est en continuant à me balader sur les bords de la piste qu'une femme vient subitement se coller à moi. Je la regarde, elle me regarde. Point à la ligne. Elle me pose des questions, ça m'énerve. Elle a l'air de me connaitre, ce qui n'est pas mon cas. Je n'ai pas envie de parler. Si ça se trouve, elle est de mèche avec l'autre blondinet teint ou brun, j'ai pas encore identifié exactement la couleur. Chimique. Voilà tout. Elle aussi, en y pensant, a une couleur de cheveux chimique. Si ça se trouve, ils sont même de la même famille. Mais je divague. La chanson s'arrête.
« Je suis loin d'être votre femme ! Je suis seulement incontrôlable quand on me manque de respect, pour votre gouverne ! Je voue prierai de ne plus m'adresser la parole, ou de me toucher.. me suis-je fais comprendre ? »
Mon regard se tourne brusquement vers les mots de mon épouse. Je vois la scène se dérouler sous mes yeux. Elle l'a baffé. En public. Mes yeux se font aussi ronds que des boules de billard. Je ne l'ai que rarement vu dans un état pareil. En général, elle se tient très bien, mais là... Je n'ai pas écouté ce qu'il s'est passé précédemment, mais dans tous les cas, ça ne me plaît pas. Mon sang ne fait qu'un tour alors que Miyaki disparaît sous le regard de tous les convives. Si je vais m'en prendre à elle ? Vous rigolez j'espère ? S'il n'y a qu'un seul bâtard dans la soirée, il est à quelques mètres à peine de moi. Et vous savez ce qu'il arrive aux gens comme ça lorsqu'ils sont à portée de main ? Je vais vous le dire. Je me rapproche brusquement, l'empoigne par le col et lui déballe à voix basse ces quelques mots :
-Ne l'approche pas si tu tiens à ton joli petit minois, bâtard.
Ceci dit, je sors en trombe, avant de me rendre compte qu'un poids me ralentit toujours un peu plus. En proie à un subit agacement, je me retourne et fusille la demoiselle. Ma forme fusionnelle se fait sentir au niveau de mes prunelles, qui disjonctent pendant quelques secondes, rendant ma vision trouble. J'aboie un ordre sur elle, mais elle ne semble pas du tout intimidée. Alors, une fois la colère passée, je reprends conscience du fait que j'ai crié sur une femme de haute famille. Je m'apprête à m'excuser, mais la demoiselle me retient d'un geste de la main. Cette dernière me lâche le bras et pose ses mains sur ses hanches en reculant de deux pas. Son expression se fait légèrement agacée lorsqu'elle me lance :
-Alors tu m'as vraiment oublié, hein ? Tu es ultra décevant, Ren. Ah, et pour ton information, l'homme que tu viens d'insulter de bâtard, c'était mon petit frère. Il était trop petit lorsqu'il t'as vu pour la première fois pour te reconnaître aujourd'hui, mais je suis sûre que tu te souviendras de lui au moins.
Sur ce, elle fit volte-face et se dirigea vers la salle de bal. Moi, resté planté sur mes deux pattes, je suis terriblement seul, et il fait nuit dehors. À cet instant, j'hésite entre éclaircir le mystère de cette famille étrange et retrouver Miyaki. Mais comme je l'ai dit précédemment, mon épouse passe avant tout le reste. Alors, sans plus d'hésitation, je fonce dans les cabines après un dernier regard pour la femme qui s'en retourne près de son dénommé petit frère.
Je descends les marches quatre à quatre puis ouvre aussitôt la porte de notre chambre. Un sourire nait sur mes lèvres et tous mes soucis disparaissent lorsque j'aperçois ma fille dormir et Miyaki la regarder. Doucement, je referme la porte et m'approche de mon épouse et passe dans son dos pour l'enlacer tendrement. Je me penche légèrement pour embrasser son cou et lui murmure au creux de l'oreille :
-J'espère qu'il ne t'as rien fait de déplacé. Auquel cas, il faudra que j'efface ça de ta mémoire.
Et comme pour le lui montrer, je me décale légèrement en l'embrasse amoureusement. Oh non, je pense que la personne qui me séparera de Miyaki n'est pas prête d'arriver de sitôt. [HRP= TOI MSN DES QUE TU PEUX]_________________- Spoiled children:
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: « voyage de noce ☼ bateau de croisière » Jeu 25 Avr 2013 - 19:40 | |
| Les gens ne comprennent pas. Ils croient qu'à mon âge. Je suis encore « célibataire » en quête d'un homme plus viril. Je ne le suis plus depuis longtemps. Je me suis mariée avec un homme plus viril. Je n'ai pas besoin qu'on me tourne autour. Je ne sais pas comment leur faire comprendre. Il faudra une pancarte avec « Je suis mariée » peut-être qu'il comprendrait mieux. Il était pourtant évident qu'il est mon mari, non ? Je ne suis pas comme ces adolescentes, en train de tourner autour des garçons pour compter leurs nombres de conquêtes. Je n'ai pas besoin de ça pour être heureuse. Je ne vois pas à quoi tout cela peut servir. Je ne montre pas mon corps à n'importe qui, et surtout pas à des hommes qui sont en manques. Je trouve cela dégradant pour une femme. Bref. J'ai mon intuition qui me dit que quelqu'un vient d'entrer. Je ne suis pas paranoïaque, du moins pas tellement. Je ne suis pas vraiment d'humeur. Je suis à bout de nerf pour la première fois. J'aurai du me calmer, mais c'était plus fort que moi. Je ne supporte pas qu'on me manque de respect, tout ça parce que mon physique est attrayant. « J'espère qu'il ne t'as rien fait de déplacé. Auquel cas, il faudra que j'efface ça de ta mémoire. » Il compte vraiment effacer ma mémoire ? Je me demande si cela est vraiment possible. Je pense plutôt qu'il a des idées mal placées. Oh cela ne me dérange pas. Je suis plutôt partante. J'ai commencé le travail, manque plus qu'à le terminer maintenant. Je prolonge le baiser amoureusement, en déposant une main sur ses cheveux. Il ne faut rien voir de pervers là-dedans. La petite « princesse » se met à sourire, en tapant dans les mains, en nous voyant autant proche. Je crois que cela la fait plaisir de me voir autrement qu'en colère. Je suis du même avis qu'elle, mais ce n'est pas facile surtout avec des hommes. Je romps le baiser, en faisant une légère moue contrariée par le comportement de l'autre abruti.
« Je ne supporte pas, qu'on me manque de respect.. en essayant de semer le doute sur ma « fidélité » ! Je ne sais plus quoi faire.. Je ne suis pas comme les autres femmes à vouloir tourner autour des hommes pour obtenir quelque chose.. » Je n'ai pas besoin de ON, ou même d'argent venant d'un homme. Je suis même celle qui est la plus « visée » depuis longtemps. Les hommes m'ont toujours tourner autour. Ils veulent seulement avoir mon argent, ou même entreprise familial de mes parents. Je crois également qu'un certain homme serait totalement perdu, sans l'argent de l’entreprise familial. Je m'en fou de l'argent, certes cela m'apporte beaucoup de bonheur. Je peux habiller, comme beau me semble, mais ce n'est pas ça le vrai bonheur. Je peux me satisfaire déjà de tout ça, uniquement. « Je crois revivre le temps, ou on s'intéresse à moi uniquement par intérêt ! » Je m'étale sur le matelas, en soupirant longuement. Je n'ai pas envie de revivre ça, ou que mon homme doute de mon amour. Je sais que cela n'arrivera pas, mais tout de même. Je le connais suffisamment, pour dire qu'il pourrait être jaloux à cause de cet homme. Oh d'ailleurs, voilà un bruit de porte qui m'est bien familier. Je ne le crois pas. Il y a une femme qui me demande. Je me demande, ce qu'elle peut bien me vouloir. Je me redresse doucement, en allant la voir pour voir ce qu'elle peut me vouloir. « madame takahata, c'est pour vous ! » une lettre pour moi ? Cela m'étonne surtout après la « gifle ». Je me demande qui cela peut bien être. Je remercie la femme, avant de la prendre entre mes doigts, et de refermer la porte ensuite. Je retourne auprès de mon mari, en gardant un œil distraite par cette mystérieuse lettre qu'un inconnu m'a écrite sur le bateau. Je pose mon regard sur mon homme, en cherchant une réponse à ma question. Je me rappelle même ce qu'il m'a dit à mon oreille avant de m'embrasser. Oui, il m'a murmuré quelque chose d'assez troublant. « J'en suis sûr que tu as aimé ! On se retrouvera bientôt ! » Je n'aurai pas du entendre ça. Je me demande pourquoi cela tombe toujours sur moi. Je dois avoir une aura envoûtante pour que ça tombe comme ça du ciel. Je parle bien sur des hommes qui me tourne autour. Je peux bien le dire, tout ça me déprime de savoir qu'on ne pourra pas rester ensemble, sans que quelqu'un vienne nous déranger. Je me tourne doucement vers lui, avant de lui demander. « Tu crois que je devrais l'ouvrir ? Cela peut-être n'importe qui, même cet homme ! » Et mon intuition me dit que ça doit sûrement être un homme. Et si c'est le contraire que c'est une femme qui cherche à venger cet homme. Je suis dans un sacré pétrin, comme d'habitude. Je suis vraiment maudite, aujourd'hui. Et moi qui voulait profiter ce cette croisière en amoureux.
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| | | EMPLOIS/LOISIRS : Solitaire en quête de raison LOCALISATION : Japon CITATION DU PERSONNAGE : La vie est un conte, l'amour est une vie
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Niveau du personnage Point RP: (339/300) Point Membre: (383/300) Niveau: 8 - ReconnuRen Takahata Admin | Don't waste my precious time | Sujet: Re: « voyage de noce ☼ bateau de croisière » Dim 21 Juil 2013 - 19:37 | |
| Arrêtons de nous tourmenter, et profitons de la soirée.
Cette scène me revient en mémoire, et ça ne contribue qu'à m'agacer davantage. De quel droit les hommes se permettent-ils de courtiser ma femme ? Non mais. Je m'en vais leur apprendre les bonnes manières, si ça continue. Quoiqu'il en soit, après avoir menacé le jeunot avec toute la fougue possible, je me suis précipité dans la chambre. Et le spectacle qui s'offre alors à moi me fait penser que j'ai tendance à m'en faire vraiment pour rien. Miyaki observe la petite dormir. Si c'est pas mignon. Et moi qui l'aurait cru sur le lit en train de pleurer ou que sais-je. Je suis vraiment trop stressé. Enfin, au moins elle a l'air de bien aller. Je la repousse alors sur le lit et l'embrasse en prononçant quelques mots. Et je manque de sursauter lorsqu'un brusque claquement de main retentit. Ah, résultat j'ai réveillé la petite.
« Je ne supporte pas, qu'on me manque de respect.. en essayant de semer le doute sur ma « fidélité » ! Je ne sais plus quoi faire.. Je ne suis pas comme les autres femmes à vouloir tourner autour des hommes pour obtenir quelque chose.. »
Semer le doute sur sa fidélité ? Ah, parce qu'en plus, il y aurait un petit pourcentage pour qu'on en vienne à casser à cause d'idiots pareils ? Non, mais retire ça tout de suite de ta tête, Madame Takahata. À me raconter des fables pareilles, je vis finir par y croire. Ah, c'est de ta faute, tout ça. Pourquoi ne peut-on pas vivre comme un couple tranquille, franchement ? J'ai pensé qu'en nous mariant, tout ceci disparaîtrait, mais en fait c'est presque l'inverse qui se produit. Enfin qu'importe, je vais finir par croire que toutes ces mascarades n'ont pour unique but que de vérifier mon amour pour elle. Mais c'en devient lourd à la fin de regarder constamment où elle se trouve. J'ose croire qu'elle n'est pas une fille facile. Elle me montre facilement ses faiblesses, mais en même temps c'est normal, puisque je suis son mari. J'aimerai croire qu'elle ne fait pas pareil avec tous les autres hommes. Sinon, il va falloir y remédier bien vite.
-Tu sais, en général les femmes ne se font pas autant draguer que toi. À croire que tu les attires.
Et pas les bons. Je trouve qu'elle se fait trop draguer, ça oui. Peu importe où nous nous trouvons, ça finit toujours comme ça. Si ça peut lui plaire, moi ça finit par m'énerver. Là, je n'en suis pas encore à ce point, mais ça devient lourd malgré tout. Quelqu'un toque alors soudainement à la porte et Miyaki s'empresse de se lever. Moi en revanche je m'étale sur le lit et regarde le plafond. Pff, et dire que je suis venu ici pour me détendre, je n'en suis que plus irrité. J'écoute d'une oreille inattentive les réflexions faites vers la porte d'entrée et me lève alors pour prendre les mains d'Ayumi. Je la regarde tendrement jusqu'à ce que sa mère revienne, une lettre dans les mains. Sans froncer un instant des sourcils, j'observe cette lettre en me demandant ce qu'il peut bien y avoir à l'intérieur. Enfin ça, c'était ce qu'un bonhomme normal aurait pensé. Moi, avec les derniers événements, ça a plus tendance à m'agacer.
« Tu crois que je devrais l'ouvrir ? Cela peut-être n'importe qui, même cet homme ! »
Justement. Raison de plus pour ne pas l'ouvrir. À cette heure-ci, ça ne peut être personne. Si c'est une facture, ce qui m'étonnerai, on regarder plus tard, ça n'urge pas. Ça ne peut pas être une lettre de bons vœux non plus après tout nous sommes sur un bateau, les lettres n'arrivent pas en claquant des doigts. Bref, dans tous les cas, ça ne peut-être que cet idiot de première. Et j'ai vraiment, mais alors vraiment pas envie d'en entendre parler.
Alors, je m'approche de la dame et lui chipe la lettre des mains, sans lui laisser le temps de riposter. Je pose cette dernière sur la table et lance :
-Non, tu ne devrais pas l'ouvrir. J'ai vraiment pas envie que tu l'ouvres. Alors voilà.
Et comme pour lui faire comprendre que, oui, ça se passera comme ça et pas autrement, je l'embrasse avec fougue tout en la collant à moi. J'veux pas qu'elle pense à un autre homme que moi alors oui j'suis jaloux pour le coup. _________________- Spoiled children:
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: « voyage de noce ☼ bateau de croisière » Lun 8 Mai 2017 - 23:22 | |
| Elle avait impression d'être sous un sortilège. Qu'une sorcière aurait jeté un mauvais sort ou quiconque poserait son regard sur elle, se verrait alors envoûte par son charme. Cela n'avait pas que des avantages, de posséder un physique aussi attrayant. Miyu songea à l'époque, ou elle n'eut pas à se confronter à ce genre de problèmes. Sa santé ne permettant pas de s'exposer comme quelqu'un de normalement constitué. Elle dut se replier dans sa chambre pour se protéger des maladies. Que peu de visite, et aucune personne hormis son paternel qui y pénétrait.. Les personnes ne portaient que peu d'importance, même si l'école n'était pas aussi aisé, que certain était même voir désagréable au lieu de vouloir l'encourager. Oui, pourquoi voudrait-il encourager ? Quelle drôle d'idée, surtout qu'ils n'avaient pas l'âge de la raison, ou de comprendre ce qui était mal, de ce qui était bon. On lui faisait apprendre des leçons, lui indiquait comment devait se comporter une dame. Lui expliquer qui elle devait épouser, et la raison qui la pousserait à accepter. Les enfants aiment croire aux « prince charmant » qu'on ne croise uniquement que dans les contes de fées. Qui pour elle était un peu ce qu'elle vivait actuellement. Sa famille ne s'était pas trompé sur la personne qui la rendrait heureuse. Même si à l'époque, c'était une enfant apeurée, fragile, crédule, et curieuse. Les temps ont changé pour que dorénavant, elle fonde sa famille avec un homme plus âgé qu'elle, lui apportant ce qu'elle recherchait dans une relation amoureuse. Elle voudrait seulement que cela cesse pour pas engendrer des problèmes. Et qu'il ne ressente aucune jalousie, parce qu'en même temps elle avait yeux seulement pour lui. Il en était toujours ainsi, malgré les regards des autres hommes. Peut-être étaient-ils plus jeunes ? Ou même avaient-ils un tempérament plus doux que son époux ? La jeune femme ne s'en souciait pas, et n'était pas intéressée. Sa naïveté, lui poussait à croire qu'en enlevant ce qui fait d'elle, une femme. Les hommes cesseront de courir auprès d'elle, comme des animaux en chaleurs.
« J'aimerai pourtant que ça cesse. J'ai déjà tout ce qu'il me faut. Et je n'ai nul besoin de regarder ailleurs. »
Elle reporta son regard noisette sur celui chocolaté de son époux, en soupirant d'incompréhension. Les gens cherchaient à les séparer ou à provoquer des problèmes. Comme si elle ne semblait pas suffisamment souffrir depuis son adolescence. Il ne manquait plus qu'ils viennent rajouter un coup pour la rendre malheureuse. Miyu n'eut le temps de réfléchir davantage, que quelqu'un frappa pour remettre une lettre, de l'homme qui avait courtisé récemment. Il ne lâchait pas l'affaire. Les deux étaient bien déterminé dans leur complot pour corrompre les amants. Ce qui était peu être plus aisé pour la femme aristocratique, mais pas pour son conjoint. Qui d'ailleurs ne se priva pas de lui oter des mains cette morceau de papier. Le ton qu'il employait, exprimait clairement qu'il ressentait une quelconque jalousie concernant cet étranger. Qui avait proposé de danser le temps d'une musique. L'air surpris, elle observa donc Ren, avant qu'elle ne songea à lui répondre, mais ce dernier l'embrassa, collant son corps contre le sien, pour lui faire comprendre le message. Elle se fit un plaisir d'y répondre, passant ses bras autour du cou de son compagnon, avant de rompre au bout d'un moment, se léchant la lèvre supérieure.
« Ne serais-je pas de la jalousie que je lis sur ton visage. Je pensais que tu aurais compris depuis le temps qu'aucun homme ne pourra être à ta hauteur, chéri. »
Miyaki le pensait sincèrement, et elle acceptait uniquement par politesse les invitations. Il n'y avait jamais eu aucune ambiguïté, et pour elle c'était intolérable la tromperie. Elle ne comprendrait pas pourquoi devrait-elle chercher ailleurs, ce qu'elle avait déjà. Et rompre ce bonheur qui lui tendait les bras depuis que son compagnon avait sauvé de son paternel, et avait en quelque sorte rassuré sur le monde extérieur. Celle-ci mourrait envie pour leur voyage, d'observer un couché de soleil ensemble. Cela paraissait peut-être puéril, incompréhensible, mais pour elle c'était magique. Dés son plus jeune âge, elle demandait à sa mère d'en observer un d'extérieur. De ressentir le premier vent, lorsque le soleil se couche, et songer à l'avenir. Un avenir à l'époque, incertain, mais qui depuis était devenu réalisable, et concret. Aucune maladie, un accouchements, et un mariage digne d'un véritable conte de fée. Elle méritait enfin de pouvoir être heureuse en compagnie de son homme. Son père même semblait être redevenu un temps l'homme qu'il fut auparavant.
« Tu veux bien qu'on aille voir le couché de soleil.. » |
| | | EMPLOIS/LOISIRS : Solitaire en quête de raison LOCALISATION : Japon CITATION DU PERSONNAGE : La vie est un conte, l'amour est une vie
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Niveau du personnage Point RP: (339/300) Point Membre: (383/300) Niveau: 8 - ReconnuRen Takahata Admin | Don't waste my precious time | Sujet: Re: « voyage de noce ☼ bateau de croisière » Mar 9 Mai 2017 - 18:37 | |
| J’aimerais être une étoile, Ainsi je pourrais briller sans me figurer de tout le reste.
Briller, briller jusqu’à m’en faire tourner la tête, en me fichant du monde entier, en le regardant se débattre dans ses journées à travers mon très très lointain télescope. Je visionnerais, caché par le Soleil la journée, ce que cette colonie de fourmis sur cette petite planète s’active à répéter jour après jour sans jamais se lasser. Et puis la nuit, j’illuminerais le ciel avec mes cousines, nous orienterons les personnes perdues grâce à nos positions, nous créerons de la mélancolie, de la nostalgie parfois, on chanterait peut-être même des chansons sur nous. Mais moi, je me contenterai de briller, je ne serai pas chef d’entreprise, ni exorciste, je ne risquerai pas ma vie. Il y avait tellement d’avantages à être une étoile.
La voix de Miyu me sort de ma torpeur et de mes réflexions astronomiques. Ça y est, les pieds retombés sur Terre suffisent à me faire froncer les sourcils. La jalousie ? Oui, c’est tout à fait ça. Tout s’est passé si vite depuis que nous nous sommes rencontrés. J’ai envie de la croire, de me dire qu’après tout, nous étions de toute façon destinés l’un à l’autre. Mais cela ne suffit pas. Toutes les marques d’amour n’y suffiront pas. J’ai peur de perdre maintenant que j’ai tout obtenu, une femme, un enfant et un mariage. Il y a tant à perdre et si peu à gagner. Je ferme les yeux. Essayer de se convaincre que tout ceci est normal, que sa vérité devrait être la mienne. Pourtant, elle est si belle, si chaleureuse, si réservée. N’importe quel homme pourrait se retrouver dans ses bras pour peu qu’elle baisse sa garde. Je n’aime pas ça et je ne manquerais certainement pas de fusiller le moindre impertinent qui poserait les yeux sur elle. Je suis comme ça, possessif. Mais c’est l’effroi de me reprendre quelque chose qui m’accapare le plus.
Je détourne les yeux pour les orienter sur ceux de la lettre dans ses mains. Ben voyons. Comme si les pigeons voyageurs pouvaient venir ici. Si encore c’était un hélicoptère. Manquerait plus qu’on lui envoie une lettre par hélico tiens. La richesse n’a plus de limite. Je dépose l’enveloppe avant de lui prouver encore une fois que c’est elle que je désire et qu’elle n’a pas besoin d’ouvrir ce fichu bout de papier pour vérifier de qui il s’agit. Mince alors, est-ce que c’est trop demander ? Une autre réflexion de sa part et je brûle littéralement ce truc sous ses yeux. Ou j’en fais de la charpie. Ou je le mange. Ou… BREF. Ça me saoule, c’est tout.
Elle finit pourtant par ajouter quelque chose, comme par exemple appuyer sur le fait qu’il est un homme jaloux. Evidemment, ça ne date pourtant pas d’hier. Je la regarde d’un air un peu hautain, parce que je voulais passer un bon moment et toute cette histoire commence à me taper sur les nerfs. Je n’ai pas envie de répondre, alors je fais ce que je sais faire de mieux, c’est-à-dire la gueule. Sans doute parce que la flagrance de mon brusque changement d’humeur ne passe pas inaperçu, elle finit par me proposer d’aller voir les étoiles. Je la regarde longuement, mes bras encore enroulés autour d’elle. Fait mine de réfléchir. Après tout, ce n’est pas si mal que ça. Et puis, ça a le mérite d’être simple et fascinant. Je détache mon emprise de ma femme et part dans le sens opposé à la porte, en direction de la petite pièce réservée à Ayumi. Elle dort, finalement. Je passe une main dans son duvet de cheveux bruns et lui offre un baiser sur le front avant de revenir auprès de Miyaki. Empoignant sa main, j’ouvre la porte de la chambre avant d’ajouter :
-Allons-y.
Peut-être que, comme ça, je pourrais rencontrer mon alter-ego étoile d’en bas. Et il se payera probablement bien ma face.
[Voilà, je balance tout d’un coup pour qu’on en finisse, je pensais terminer ici, si tu veux répondre, fais, mais je me stoppe là et dans tous les cas tu devras conclure au prochain post si tu y réponds. Sinon poste dans les fin de rps o/] _________________- Spoiled children:
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