feat Sophia Bush

Âge : 21 ans • Date & Lieu de naissance : 14 février 1989, Little Angleton, Ecosse • Race : sorciers • Statut : célibataire • Groupe : personnel • Don premier : Empathe • Pouvoir premier : Métamorphose • ( Matière(s) enseignée : pour les professeur) Professeur d'arme à feu

POURQUOI AINSI
Tout a commencé par cette rencontre, le jour ou je sortais finalement de l'orphelinat, Mystery. J’y avais passé toute mon enfance. De ma naissance - bon peut-être pas - jusqu’à mes douze ans, ce jour où je quittai l’établissement. Je venais d’avoir mes douze ans. J’avais fait mes bagages, je pouvais faire ce que je voulais… De ma vie et de mon corps. J’avais mon sac sur le dos, le seul souvenir de mon père et entrouvrit la fenêtre. Le vent c’était brusquement mit à débarquer dans la pièce. Je n’étais pas seule, ma compagne de chambre dormait encore, malgré la fraicheur qui venait d’envahir la pièce. J’allais enfin pouvoir partir. Avec quel argent vous pensé ? Hein ? C’est simple depuis que j’avais l’âge de douze ans, je faisais des petits boulots facile et tranquille, mais j’avais de l’argent. J'enjambai le cadre et sortie refermant délicatement la fenêtre sans faire de bruit. J’espérais. Au moment où je tournais les talons, ma colocataire se réveillait. Dans un coup d'œil, elle me voyait sauter en bas du toit. Je pris mes jambes a mon cou et quittai rapidement la rue, courant sans me retourner. Je ne voulais pas avoir affaire aux religieuses. A chaque fois que nous faisions quelque chose d'incorrect, c'était la correction. Je courrais à m'en user les pieds. Je ne voulais pas rester a cet endroit. Je voulais pouvoir une vie honnête et sans problème, sans mal. De pouvoir faire avancer le monde. C'était ce que je voulais avant! Maintenant que j'avais mit le pied dehors, je voulais être ce que j'étais vraiment, je voulais trouver ma vrai histoire.

SANS LUI JE SERAIS OU ?
J'étais seule dans le noir, dans ce froid. Je m'étais rendu en Angleterre, je ne sais même pas comment... Je n'avais qu'un jean, un t-shirt et une veste pas très chaude. C'était toujours mieux qu'être enfermé dans cette endroit. Je restai a l'extérieur durant quoi, une semaine. J'avais faim, j'avais froid... Je devais résister a la tentation de me jetai dans les bras de la première personne passant. Ce jour-là fut l'un des plus surprenant et l'un des meilleurs. Qui aurait crut qu'on m'aurait prit sous un toit. Tout commença avec l'arrivé d'un groupe de garçon qui s'approchaient étrangement de moi. Je ne prenais même pas la peine de les regarder que je fus soulevé de terre. Ce fut a cet instant que j'ouvris les yeux sur un blond qui agrippait par le bras me ramenant vers lui. Je ne touchais pas à terre, il me tenait dans ses bras. Je secouais la tête et regardai derrière moi avant de me rendre compte que celui qui me gardait dans ses bras quittant la ruelle m'avait sauvé d'un groupe de voyous. Depuis, je vis avec lui, en Angleterre, il me protège contre ce qui est plus dangereux. Il m'avait appris a me battre et m'avais aidé a trouver qui j'étais vraiment.

PARTIR SANS PRÉVENIR
Des années plus tard, quatre ans pour être plus précise, je refis face au même voyous. Je n'étais pas très enjoué. Je voulais partir, mais on me barrait la route. Je ne voulais pas leur donner de l'attention, mais c'était ce qu'ils voulaient. Donc je finis donc par leur donner ce qu'ils voulaient, de l'attention. Tout ce qui sortait de sa bouche, c'était des menaces. Je n'avais pas l'intention de cédé a leur menaces, mais je ne voulais pas que Kiehgan ce retrouve en prison. Car si jamais il avait vent de ce qu'ils avaient dit et fait, il les aurait tous tué. K. Avait toujours été impulsif et colérique. C'était de lui que je tenais ma colère. Donc le lendemain je partais direction l'Écosse, mon pays natale. Changement d'air et je pouvais enfin m'éloigner de lui et retrouver Nérys et Pandore. Enfin pouvoir penser et vivre par moi-même. Je suis revenue ici... À l'orphelinat. Cela a toujours été ma place et le restera. Je suis revenu et on m'a accueillit à bras ouvert, malgré mon long départ. Il y a deux ans j'ai commencé à donner des cours aux jeunes de l'établissement.

Tout les jours, peu importe les aventures qui m’attend, je me réveille avec un sourire, j’ai la joie de vivre malgré les fait du passé. Je ne suis pas capable d’être triste, en colère plus d’une heure. Mais quand je le suis c’est intense. C’est une heure sans arrêt, sans même prendre le temps de respirer comme il le faut. Je ne suis pas facile a mètre en colère, mais pour me mettre en larmes, il ne m’en faut pas beaucoup, j’ai le cœur fragile, ce n’est pas comme mon frère qui a mit une heure à mourir, justement à cause de son cœur. Il faut dire, il a hérité de notre père et moi de ma mère… J’ai toujours le cœur gros, je vois quelqu’un en problème, je me dis, si j’avais été là plus tôt, il ne serait pas toujours comme ça. Mais si je reviens sur mon sourire, je n’ai pas peur de le montrer et il faut le dire, je suis très facile a faire sourire. Tu me complimente, j’ai un sourire radieux, tu me dis que tu m’aimes, fait gaffe, ce ne saura pas mon sourire, mais mes larmes que tu verras. J’adore vivre ma vie a plein gaz, mais je ne veux pas la gâcher pour quelqu’un d’autre, c’est trop dur a digérer plus tard…
À chaque année, au moins quatre-vingt personnes me mentent et c’est dur sur le cœur quand tu le sais. Je suis très rancunière et naïve. Je me laisse tout le temps tomber dans des bobards! On me demande de l’argent et on dit qu’on me rembourserait, mais en fin de compte on disparait… Tu me dis que tu m’aimes, mais le jour suivant tu te retrouve dans les bras d’une autre, comment je peux croire a tes sentiments quand tu me mens en plein visage. Parfois je réussis à déceler les failles de certain mensonge, mais jamais je n’ai réussis à les éviter. Cela fait quatre-vingt mensonges en quoi, deux semaines, cela fait combien en un an? Seulement y penser, ça me fait mal et beaucoup de questions se bousculent en moi, du style : Pourquoi me mentent-ils? Qu’ai-je fait? Comment leur faire confiance à nouveau? Et tout le tralala! Jamais je ne réussirais a leur redonner confiance. Il n’y a pas grand monde qui se mérite ma confiance, mais cela prend du temps a l’acquérir, mais cela moins d’une minute pour la détruire, mais jamais personne depuis longtemps, très longtemps à réussis a la ravoir…
Quand on s’adresse a moi comme si je n’étais qu’une petite fille de boulanger, je n’ai pas peur de défendre mais origine, car mon père n’a jamais été boulangé, mais il a toujours été un grand cuisinier et ses pains était délicieux. Je n’ai pas peur de m’attaquer au moral de ses gosses de riches. Je peux leur dire leur quatre vérité sans même flancher une seconde. Je ne me laisse jamais faire quand que l’on me hurle dessus ou qu’on me bouscule pour aucune raison. Comme si on me poussais pour me dire dégage pauvre naze! Croyez moi, je me retournais en un seule instant pour lui faire comprendre que ce n’est pas son argent qui fait qu’elle est supérieure a moi. Et je peux être très obstiné quand je le veux, je reste sur ce que je dis aussi longtemps que ma tête me le dis. Donc faites gaffe, je peux être une vrai tigresse quand je le veux. Je peux être aussi sauvage que la lionne et aussi agressive qu’une lutteuse en colère.
Je suis peut-être très sensible, mais jamais je n’ai laissé mes sentiments détruire ma vie sociale, car j’aime mes amis et j’ai comme l’impression que ce n’est que ça qu’il me reste, mais seulement les vrais amis. Je suis toujours été vers les autres, j’en ai toujours pris soin. J’ai de la facilité à avoir la confiance des autres, malgré qu’il profite parfois de la mienne. J’ai toujours crus qu’un jour je trouverai le prince charmant, mais lorsque je l’ai trouvé, il est partit avec mon cœur sans prévenir et sans revenir. Jamais personne ne pourrait avoir mon cœur. J’ai des amis, certain s’éloigne, d’autre se rapproche, parfois un peu trop, mais que faire de ça?

Que dire du physique d'Asheylenda, grande, mince a la peau pale, elle n'est pas differente des autres filles. Elle n'est pas superficielle, mais elle prend soin de sa personne. de sa peau a ses cheveux. Elle sourit toujours balancant constament ses cheveux long et brun. Ils peuvent etre friser ou plat, mais peu importe, ils gardent leur brillance. Elle a le visage rond et lumineux a tout les jours. Malgrer la tristesse qu'elle peu porter, son visage reste une grande souriante. Elle a toujours eu le regard profond et toujours d'un brun noisette, parfois plus foncé, peut-être d'un brun noir et sombre. Variant selon l'émotion. Elle toujours su faire fondre les hommes avec son regard charmeur.