LOCALISATION : Quelque part CITATION DU PERSONNAGE : Tout a ses merveilles, l’obscurité et le silence aussi.
MESSAGES : 69 DATE D'INSCRIPTION : 11/10/2012
Niveau du personnage Point RP: (21/100) Point Membre: (22/100) Niveau: 6 - AffirméeAmy "Zero" Lock Admin | Sa majesté | Sujet: Edonia Lise Sixteen Creed {OK} Jeu 11 Oct 2012 - 22:38 | |
| Welcome to Mystery...Edonia Lise Sixteen Creed Ne pense jamais que l’Obscurité est un ennemi
feat Monica Belluci | Âge : 31 ans Date & Lieu de naissance : 3 Août 1981 à Vancouver Race : Humain Statut : Célibataire Groupe : Exorciste d’Orphéo Don premier : Influent Pouvoir premier : Mime ( Cours facultatif suivis : pour les élèves) ( Matière(s) enseignée : pour les professeur) ( métier : pour les humains innocents)
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« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées. Histoire.
Life is wonderful. Petite Baby Doll.
Un 3 août 1981. Vancouver.
Dans une clinique spécialisée, une petite fille voit le jour pour la première fois. Elle tarde un peu à pousser son premier cri mais lorsqu’il vint, il soulagea tout le monde qui s’était affairé autour de l’heureuse nouvelle maman. La petite pèse 3,750kg pour 50 cm. C’était plutôt un bébé qui se portait bien. Ses parents étaient très heureux, ils étaient jeune et c’était leur premier enfant. Ils décidèrent comme c’était prévu de l’appeler Edonia Lise Sixteen. Edonia pour l’Eden, un mythe ou une utopie que tout le monde aspirait atteindre. Le fameux jardin d’Eden. Lise car c’était le prénom de la mère de la jeune maman. Enfin, Sixteen pour la période où les parents s’étaient rencontrés. Malheureusement, quelque chose n’est pas normal. Après lui avoir donné son premier repas, l’enfant se mit à vomir toute ses tripes. Un peu de sang était dans le rejet du nourrisson. Le bébé fût aussitôt enlevé des bras de ses parents pour des examens complémentaires. On lui fit un lavage d’estomac. Quelque chose avait du mal à se mettre en place. Finalement, ils ne furent autorisé à quitter la clinique qu’au bout de deux semaines. Le papa passait les voir tout les jours, ne pouvant rester avec elles en permanence. Edonia avec ses rejets, avait beaucoup de mal à grossir. Pour l’instant, elle n’avait rien vu qu’elle restait dans un endroit où il y avait le moins de bactéries possible mais le monde extérieur serait sûrement un choc pour elle.
2 ans plus tard
Ses rejets l’avaient tout de même beaucoup affaibli et elle tombait malade bien souvent. Elle était frêle et c’était normal. Seulement, elle n’avait plus de rejet depuis une semaine ou deux. C’était bien, cela allait lui permettre de se développer correctement. C’était un enfant aimé par tout l’entourage. Les grands parents étaient complètement fous d’elle sachant que c’était leur première petite fille. C’était donc aujourd’hui le jour de son anniversaire. Elle adorait Hello Kitty, c’est pourquoi sa grand-mère maternelle lui fit confectionner spécialement un gâteau avec un énorme Hello Kitty trônant dessus. Edonia était ravie et manifestait son contentement par de grands sourires. Elle souffla les bougies avec l’aide de son papa puis vint le moment d’ouvrir les cadeaux. Elle reçut plein de chose mais ce qui l’intéressait le plus était un petit boudoir offert par son oncle. Elle était vraiment heureuse et aimée. Une famille normale dans un monde normal. Que pouvait-on rêver de plus ?
5 ans plus tard
Un matin, son père lui annonça qu’on ne reverrait plus jamais sa grand-mère maternelle car elle était partie faire un long voyage qu’elle savait qu’elle ferait depuis longtemps. C’est vrai que sa mère n’était pas très heureuse en ce moment. D’un commun accord, les parents avaient décidé, compte tenu de leur moyen financier, de ne pas avoir de second enfant. Edonia était un peu triste de ne pas avoir de petit frère ou de petite soeur mais elle s’en passerait. Elle allait à l’école depuis un moment déjà, c’était une grande fille. Et elle avait remarqué qu’elle était capable de reproduire intuitivement quelques petites choses que la maîtresse faisait. C’était le vendredi 3 août 1986. Elle se décida à parler à son père. Peut-être qu’il ne le croirait pas mais elle avait confiance en son père pour lui dire les choses. Il lui répondrait au moins.
- Papa.. C’est bizarre parce que je trouve que ce que la maîtresse fait, c’est très facile pour moi..
Son père leva un sourcil puis sembla rester perplexe un instant. Il réfléchissait visiblement. Il semblait chercher dans ses connaissances pour trouver une situation comparable. Puis un sourire se dessina doucement sur son visage, comme si ce qu’elle venait de lui annoncer était un miracle.
- Edonia, tu es différente des autres personnes. Tu es douée. Comme maman et moi. Tu peux absorber les faits et gestes des autres. Mais ne t’en fais pas, c’est normal que tu ne puisse pas le faire automatiquement encore. Ca viendra avec le temps.
La jeune fille fût évidemment très surprise de ce que venait de lui révéler son père, ce n’était jamais évident à entendre que l’on aies «différent». Cela fut un petit choc. Elle qui pensait être normal, comme tout les autres petites filles. Après tout, elle avait un papa qui l’aimait et qui l’appelait «ma petite princesse», comme tout les autres petites fille et une maman qui était très gentille. Comme tout le monde. Elle avait un toit, elle fêtait Noël et respectait bien les traditions dans lesquelles elle avait bercé depuis toute petite. Comme tout le monde. Elle grandissait comme les autres petites filles, elle n’avait rien d'extraordinaire. Comme tout le monde. Ce qui la choqua quelque part c’est d’avoir été bercée dans un monde normal et que d’un coup elle se sente étrangère dans un monde normal. C’est comme d’un seul coup, on vous disait que toute la réalité que vous connaissiez depuis que vous êtes né n’existe pas. Il y a une autre forme de monde, que personne ne connaît. Seul quelques personnes dites «douées». Combien y’en avait-il exactement ? Mystère et boule de gomme pour la pette fille. Puis, comme tout ce qui nous arrive, on s’habitue. Vous le savez, ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort.
3 ans plus tard. C’était le jour de ses 10 ans mais c’était un vendredi, alors elle allait tout de même à l’école. Pas facile, facile depuis qu’elle savait qu’elle était différente des autres. Son père lui donnait des cours à côté pour maîtriser la plupart des connaissances qu’elle devait avoir su le monde magique. Il lui enseignait par exemple l’art des runes. Il avait aussi commencer à lui enseigner quelques mouvements d’arts martial. Pas quelque chose d’exceptionnel mais suffisant pour apprendre à se défendre. Elle allait donc à l’école et elle confia à une de ses amies qu’elle était capable de reproduire des choses sans même les avoir appris ou répété. Juste, elle les savait par intuition. Sa camarade la regarda comme si elle était une pestiféré et Edonia ne comprenait pas ce qu’il se passait. Le midi, elle l’avait déjà répété à quelques personnes qui la regardait bizarrement. C’est vrai qu’elle était unique mais était-ce pour autant une raison de la regarder ainsi ? Il n’y a sûrement pas de justification pour décrire le fait de rejeter quelqu’un. Si bien qu’elle se décida à coincer la fille en question dans un coin et à lui parler entre quatre yeux.
- Pourquoi tu répètes à tout le monde ce que je t’aies dit ? C’est pas bien de faire ça, d’être une balance. Va dire que tu as dis des mensonges sinon je raconte n’importe quoi sur toi.
- D’accord.
Edonia fût bien étonnée de s’en sortir à si bon compte. D’habitude, peu de personnes décidaient de revenir sur ce qu’ils avaient dit alors qu’elle savait que c’était la vérité. Sauf sous la pression bien sur, mais évidemment la jeune Creed n’avait aucun moyen de pression sur cette fille. Cela lui sembla bien étrange si bien qu’elle décida d’en faire part à son père le soir. Comme prévu, son «amie» alla dire à tout le monde qu’elle avait menti et que c’était n’importe quoi. Edonia rentra sereine chez elle mais se posant tout de mêmes quelques questions. Elle pris son père à part, comme 3 ans plut tôt et lui parla de l'événement qui s’était produit le matin même. Au départ sceptique, il invita sa compagne à se joindre à la conversation et ils parlèrent de choses que la jeune fille ne comprenait pas puis son père dit :
- Je ne t’ai pas tout dit sur le fait que tu sois douée. J’ai oublié de te préciser que tu avais un don mais tu es capable aussi de maîtriser une magie. Cela marche de la même manière que le don, tu le maîtrisera avec le temps.
La jeune fille fit un regard boudeur. Elle n’aimait pas le fait de ne pas maîtriser la chose et de devoir attendre pour pouvoir se donner à fond de ses moyens. Cependant, elle décida de prendre son mal en patience. L’exercice et l’apprentissage sont le meilleur moyen d’exceller dans quelque chose. Elle ferait tout pour être la meilleure
3 ans plus tard
Cela arriva un dimanche matin. Edonia dormait tranquillement dans son lit, il était bientôt 9h passé. La semaine avait été fatigante et en plus hier soir elle avait regardé la télé. Il y avait aussi ces garçons qui lui envoyaient des sms maintenant qu’elle avait un portable. Tout ça pour dire qu’elle n’avait pas vu le temps passé et qu’elle s’était couché après minuit. Elle s’éveilla doucement, ses paupières s’ouvrant sur sa chambre plongée dans le noir. Elle inspira un peu puis décida de se tourner. Elle sentit alors étrangement le matelas mouillé. Elle n’avait pas fait pipi au lit tout de même ? Ce n’était plus de son âge. Une odeur forte se dégageait aussi pas très agréable. Elle alluma sa lampe de chevet et souleva la couette. Ses draps, son pyjama et un peu sa couverture étaient couverts de sang. Du sang ? Mais elle avait une hémorragie ou quoi ? Des pensées défilèrent à mille à l’heure dans sa tête, voyant sa mort arriver à toute vitesse; Elle appela sa mère à plein poumons en essayant de contenir ses larmes. Elle avait honte d’elle mais en même temps terriblement peur. Sa mère entra dans la chambre et voyant le résultat, n’eût même pas le regard étonné. Ses premières menstruations lui expliqua-t-elle. Elle lui fit une description de tout ce qu’elle devait faire pour éviter que ça se reproduise et lui dit que c’était quelque chose de normal pour tout être féminin normalement constitué. Edonia, se sentant sale, se fit couler un bain très chaud. Elle avait des spasmes dans le ventre c’était assez horrible. Ses vêtements glissèrent au sol. Elle s’inséra dans l’eau chaude. C’était vraiment agréable. Elle frotta pour enlever tout le sang qui s’était répandu pendant la nuit. Cependant, il y eût un problème. Elle avait beau frotter sa main droite, elle gardait toujours un aspect un peu rouge. Pas quelque chose d’énorme mais c’était comme si elle s’était brûlée. Jamais ses parents ne lui avaient parlé de quelque chose de tel, une marque spécifique qui la différencierait des autres. Est-ce que c’était normal ? Elle ne savait pas. Elle avait un peu peur d’ailleurs. Est-ce qu’elle était différente parmi les différentes ? Elle ne savait que penser de cette situation. Elle aurait aimer voyager, tout laisser derrière elle pour savoir ce qu’était la normalité. De toute façon, à la base elle n’était pas normale. Ce n’était pas la peur qui l’abritait. Non, loin de là, c’était plus un sentiment d’indignation. Pourquoi c’était elle qui avait choisie pour être dans une famille magique et pas quelqu’un d’autre ? Ne pouvait-elle pas pour une fois être quelqu’un entrant dans le rang ? Ne pas se démarquer, que les autres ne trouvent pas qu’il y aies des différences avec eux.
Les jours passant, elle essayait de cacher sa petite différence. Elle mettait des mitaines et se créait un style autour de ça. Ses parents, bien que dubitatif sur le fait de mettre quelque chose sur ses mains en plein milieu du mois de Septembre ayant une chaleur relative ne se doutèrent bien sûr de rien. Ses camarades, eux pensaient simplement que Edonia s’était créer un style de gothique, ce qui était un peu la mode du moment. Elle n’en avait rien de tel mais ses cheveux sombres, ses yeux marrons et ses mitaines noires faisaient que les autres l’identifiaient ainsi. Elle avait demandé à son père d’arrêter les cours de tout ce qui avait rapport à la magie mais il avait refusé. Un mélange de rage et d’indignation était monté en elle puis il avait fait place à la résignation. Elle y allait juste sans aucune envie et ne progressait plus.
Juillet 1993.
Il faisait très chaud. Les chaleurs atteignaient bientôt les 35°. Elle dormait sans ses mitaines car c’était juste insupportable. Son père débarqua un matin dans la chambre claironnant joyeusement qu’ils allaient pêcher ensemble ce matin. Edonia rabattit précipitamment la couverture sur elle et se cacha en dessous. Son père prenant ça pour une blague, arracha la couette pour la forcer à se lever puis ouvrit les volets en grands pour être sûr qu’elle allait se lever. C’est alors qu’il vit la rougeur s’étaler sur la main droite de sa fille.
- Qu’est ce que c’est ?
Edonia baissa les yeux d’un air honteux puis ses paupières inférieures se remplirent d’un liquide salée et chaud qui se mit à perler sur sa joue. Roulant doucement, humectant sa peau. Elle avait honte d’elle. Si ils la déshéritait, ça ne serait qu’une conséquence logique. Cependant son père s’approcha doucement et passa sa main autour de ses épaules puis la serra contre elle.
- Papa, je suis désolé.. C’est apparu l’année dernière.
- Pourquoi tu ne nous en as pas parlé ?
- J’avais honte. J’avais peur de vous faire honte, c’est pour ça que je portais des mitaines.
- Cela arrive parfois sur les êtres doués, même si cela est plutôt rare. Tu sais quoi ? Il ne faut pas en avoir honte. C’est même une force. C’est ce qui te différencie des autres.
- Mais papa, je ne veux pas être différente. Je ne veux pas qu’on me remarque.
- Edonia. De toute les manières, tu es douée. Tu es quelqu’un de différente, ne l’avais-tu pas saisi ? Tu es né pour être différente. Et qu’est ce qu’un peu de rouge sur une main ? Rien du tout. Ca se camoufle aisément. Tu aurais dû nous en parler. (il prit un ton plus impérieux). Est-ce pour ça que tu te montres moi sérieuse et impliqué pendant nos cours ?
- Oui papa. Pardonne moi.
Plus un mot ne fût prononcé depuis cette dernière parole avant quelques minutes. Edonia se blottit contre la présence rassurante de son père. Puis au bout d’une dizaine de minute il demanda si elle voulait tout de même aller à la pêche. Les larmes d’Edonia avait séché et elle accepta avec un sourire. Elle renaissait.
Septembre 2001.
Les années avaient passé. Edonia Lise Sixteen Creed avait tellement changé. De jeune adolescente immature, elle était devenue une ravissante jeune femme. Elle attirait beaucoup d’homme. Bien que la jeune fille aimait draguer les hommes, elle n’était pas encore tombé dans les bras d’un. Elle attendait le bon, celui pour lequel elle aurait des sentiments forts. Elle avait hâte de le voir. Il existait quelque part dans le monde, peut être au Brésil, peut-être au Japon ou peut-être même au Royaume-Uni. Elle l’attendrait, autant de temps qu’il le faudrait. Elle avait obtenu un diplôme scolaire qui n’était pas exceptionnel mais qui représentait déjà un bon niveau. Elle l’avait bien évidemment facilement et sans presque travailler. Elle essayait de contenir son don au maximum mais bien évidemment il agissait tout seul le fourbe. Malgré tout ce que lui avait enseigné son père, elle n’était pas encore capable de contrôler le flux magique qui était en elle. Le plus intéressant était de l’utiliser à son plein gré. Elle ressentait une telle sensation de puissance. Elle s’imaginait maîtresse du monde et elle n’arrivait pas à s’arrêter. Elle avait aussi appris à maîtriser son corps. Elle avait conscience des mouvements autour d’elle. Son corps s’était bien développé, si bien qu’elle courait plutôt vite et était plutôt agile. Un vrai félin. Elle habitait maintenant seule, préférant s'émanciper de ses parents. Pas qu’elle ne les aimait pas mais elle préférait la liberté. Elle avait intégré l’ordre d’Orphéo comme ses parents. Elle n’était pas pour l’instant très active mais ses études étant terminés, elle allait plus s’investir. Elle avait d’autre objectif aussi. Elle aimerait créer sa société mais elle attendait une idée de génie pour se lancer. Avec ses neurones, ça serait plutôt aisé.
Elle n’avait plus de nouvelle de ses parents depuis maintenant 1 semaine. Elle ne s’inquiétait pas pour autant mais cela l’intriguait. D’habitude, sa mère ne la laissait pas sans nouvelle pendant 1 semaine. Elle attendit encore un peu puis le lendemain elle se rendit au domicile. Plus rien. Tout avait disparu. Plus aucun meuble, plus personne. Son monde s’écroulait autour d’elle. POURQUOI ? Pourquoi.. Pourquoi.. Pourquoi.. Pourquoi.. Elle ne le saurait sans doute jamais. Elle s’effondra en plein milieu du salon, tombant à genoux et oubliant un des principes fondamental de l’apprentissage de son père : ne jamais perdre son sang-froid. Elle se mit à pleure longuement en se remémorant tout les moments qu’elle avait passer ici. Bon ou mauvais, ici c’était sa maison. La tristesse laissa la place à des questions. Avait-il été enlevés ? Ou bien même tués ? Etaient-ils partis même de leur plein gré ? Bref, que s’était-il passé ? Tant de questions résonnaient dans sa tête. Elle décida qu’il était insupportable de vivre ici sans savoir. Elle décida de déménager. Direction l’Europe. Une petite bourgade du nom de Little Angleton. Elle s’était bien renseigné et là bas il y avait une forte consonance magique avec un orphelinat pour les enfants doués. Elle pourrait peut-être apprendre quelque chose là bas ? En tout cas, ce qui était sûr c’est qu’elle n’oublierait jamais ses parents. Ils étaient gravés au fer rouge dans sa mémoire. Elle avait besoin de changer d’air et Little Angleton était la meilleure ville pour devenir grande. Ne dit-on jamais que la vie est plus belle que lorsqu’on ne s’en rend pas compte ? On s’imagine vivre dans un monde de fou, un monde qui ne nous ressemble pas. On hait notre monde et puis quelques années plus tard, on se rend compte que la période dites n’était pas si mal. On était heureux et tout était plutôt bien. C’est la nature de l’être humain d’être toujours insatisfait, et ça ne changeras jamais. Sauf quelques exceptions qui rendent la vie exceptionnelle.
La suite ? Elle est entre nos mains. A tous.
« QUI-ES-TU ...? »● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées. Vous ne la connaissez pas ? Faisons comme si vous veniez de la rencontrer pour la première fois. Vous l'abordez avec comme raison de chercher votre chemin. Elle vous réponds courtoisement mais froidement. Son ton est incertain et vous ne savez sans doute pas si vous devez la croire. Cependant, elle met une telle force de persuasion dans ses paroles que vous auriez du mal à ne pas suivre le chemin qu'elle vous indique. Elle semble avoir une confiance infinie en elle. Vous insistez en lui demandant si elle est bien sûre pour le chemin ? Elle vous regardera d'un air méchant et vous regretterez sans doute aussitôt votre question. Elle vous enverra paître l'herbe des vaches avec beaucoup de répartie et d'ironie. Vous la connaissez ? L'histoire sera tout autre. Ses regards langoureux et son sourire ravageur vous feront fondre si vous êtes un homme. Si vous êtes une femme, l'humaine qui se tient en face de vous vous agacera de part de sa beauté mais aussi de son arrogance. Si vous êtes un être masculin plutôt mignon, vous aurez ses faveurs et elle tentera de vous draguer à tout prix. Cela se voit qu'elle est prête à tout pour réussir à avoir ce qu'elle veut. Elle n'est pas timide et plutôt bavarde. Elle n'agit pas simplement et chacun de ses actes est réfléchi mûrement. Pour conclure, on peut la définir comme une femme fatale. Très gentille si elle vous a dans son estime, mais aussi très rancunière si vous avez le malheur de lui faire quelque chose. De manière générale, elle est plutôt avenante si vous la prenez par le bon bout. Elle n'aime pas s'attacher aux hommes mais plutôt s'en servir. Vous vous en rendrez compte bientôt : elle aime manipuler les gens.
● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées. Son visage se révèle doucement à vos yeux ébahis face à une telle finesse de trait. Sa peau est douce au toucher. Une plume glisserait dessus aisément. Ses yeux est de couleur chocolat et son regard est à croquer. On a envie de lui sauter dessus rien qu'en un regard. Femme fatale. Elle a de belles lèvres pulpeuses mais pas trop et un sourire qui ferait décoller un belvédère. La lumière se fait un peu plus révélant ses longs cheveux d'un noir de jais. Ses cheveux sont lisses et volumineux ainsi que brillant, cela donne une vrai beauté à son visage. Puis la lumière se fait sur son buste. Elle n'a pas pas une poitrine surdéveloppée mais elle suffit à charmer les nombreux hommes qui tentent de la draguer. Son corps est plutôt fin mais pas maigre, elle possède une très belle silhouette. Plutôt musclée, même si cela ne se voit. La lumière se fait enfin sur son corps en entier. Elle possèdes des jambes très longues. Dès qu'elle met quelques chose d'un peu court, révélant ainsi ses jambes, les hommes ne peuvent s'empêcher de rester fixer sur sa démarche et la beauté de son corps. Combien d'homme refuserait d'avoir une créature comme ça dans son lit ? D'ensemble, la jeune femme est quelqu'un qui paraît peut être froide au premier égard. Ce n'est pas la personne qu'on approcherait d'abord si on cherche son chemin. Mais lorsque l'on s'approche, on se rend compte qu'elle possède un corps magnifique, aussi exquis qu'un gâteau au nutella. MORE?
Un nouveau ou pas. Guess. Âge : 19 ans Poste Vacants ? : []oui [X]non Comment avez-vous connu le forum? : Il y a fort fort fort longtemps Fréquence de venue : 6/7 Codes : Ok by Ange
Dernière édition par Edonia L. Creed le Dim 14 Oct 2012 - 22:45, édité 5 fois |
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EMPLOIS/LOISIRS : Musique LOCALISATION : Dans les baskets de Zacharia Creed CITATION DU PERSONNAGE : Ce qu'il nous faut décider, c'est quoi faire du temps qui nous est imparti.
MESSAGES : 1971 DATE D'INSCRIPTION : 04/05/2010
Niveau du personnage Point RP: (54/200) Point Membre: (58/200) Niveau: 7 - ConfirméeHayley Creed Admin | The Girl on Fire ~ Life, new definition | |