Welcome to Mystery...Elio
Fine
I'm Fine!
feat Robbie Wadge | Âge : 22 ans Date & Lieu de naissance :4 Avril 1990 dans le quartier général des Cross (France) Race : Humain doué Statut : Célibataire Groupe : Esclaves Humains de Croix Don premier : Téléporteur Pouvoir premier :Elementariste (feu) ( Cours facultatif suivis : pour les élèves) ( Matière(s) enseignée : pour les professeur) ( métier : pour les humains innocents)
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« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées.
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Une jeune femme enceinte (peut être huit mois):
Je vais enfin pouvoir me regarder dans la glace… chaque matin je vais trouver la force de me lever. Je vais trouver la force de prendre enfin ma vie à bout de bras, il va me donner de la force cet enfant
Je vais montrer aux autres qui je suis, je vais montrer aux autres que je ne suis pas ce qu'ils croient, je vais montrer à mes parents que je ne suis pas ce qu'ils pensent ! Je vais montrer à ma mère qu'elle a eu tort de ne pas me faire confiance ! Mon enfant il va être fier d'être mon enfant, mon enfant il va être heureux ! Ce sera même un enfant plus heureux que la moyenne des autres enfants. Il ne manquera de rien, il n'aura pas besoin de supplier sa mère pour obtenir quelque chose dont il aura envie, il n'aura même pas besoin de le demander parce qu'il aura tout ce dont il a besoin ! Tout ce dont il rêve il l'aura ! Parce que je ne laisserai pas mon enfant être triste, mon enfant il n'aura pas une mère qui lui répond tout le temps "t'as vu le prix que ça vaut ça !?"
Il sera gâté mon enfant, les autres enfants seront même jaloux de voir à quel point il est gâté !
Je ne le taperai pas mon enfant ! Jamais je ne lèverai la main sur mon enfant ! Quand il fera quelque chose qu'il ne faut pas faire je lui expliquerai bien tranquillement ce qu'il faut faire. J’aurai de la patience. Pour lui je deviendrai différente ! Je ne me laisserai plus aller comme je l'ai toujours fait. Parce que je n'avais aucune raison d'être quelqu'un au-dessus de la moyenne avant d'avoir mon enfant ! Je trouverai un travail décent avec un salaire décent pour pouvoir devenir une mère absolument irréprochable ! Même si c'est compliqué de trouver un travail je me lèverai le matin et j'irai directement parler avec des employeurs ! Je ne lâcherai pas ! Je ne baisserai plus la tête ! Au contraire je tiendrai tête jusqu'à temps qu'on me donne ce que je veux !
Je ne baisserai plus les bras ! Parce que maintenant j'aurai une bonne raison de ne plus me laisser faire ! Pour mon enfant je deviendrai quelqu'un qui va surprendre ! Lorsque j'aurai mon enfant je prendrai soin de moi ! Je prendrai soin de mon physique, je ne me laisserai plus aller… je deviendrai belle. Pour qu'il n'ait pas honte, pour qu'il n'ait pas honte de sa mère, au contraire pour qu'il soit amoureux de sa mère si c'est un garçon. Pour que les autres enfants, ses camarades à l'école en soient jaloux, d'une mère aussi belle aussi féminine et aussi maternelle à la fois.
Je ne serai pas une mère dont son enfant peut avoir pitié ! Je ne pleurerai plus pour un rien ! Je ne serai plus malheureuse ! Déprimée ! Je ne serai pas une mère toujours déprimée qui reste là sur son fauteuil à fumer clope sur clope la télévision allumée.
Un soir j'inviterai ma mère à venir chez moi lorsque je serais installée dans un appartement décent et lorsque l'appartement aura été installé de façon irréprochable ! J’inviterai ma mère pour qu'elle se rende compte à quel point elle s'est trompée sur mon compte ! J’inviterai mon père aussi à venir même si je sais que lui il s'en fout finalement… mais je l'inviterai parce que je sais que ça aura encore plus de poids pour ma mère que mon père soit là ! Ma mère se rendra compte alors de qui je suis. Elle sera bien obligée de voir que je suis capable d'être quelqu'un.
Elle ne pourra pas ne pas le voir ! Et elle en crèvera à l'intérieur ! Elle en crèvera de voir ce que je suis capable de faire ! Ce que je suis capable de faire pour mon enfant ! Elle crèvera de voir que je suis capable de faire mieux que ce qu'elle a fait elle pour nous ses enfants !!!
Elle en crèvera de voir que mon enfant est heureux alors que nous nous avons été malheureux ! Et elle en crèvera de voir que je suis heureuse et que je m'en sors que je m'en sors et que je n'ai plus besoin d'elle ! Elle en crèvera et alors là je serai vraiment heureuse ! Je serai heureuse ! Vraiment heureuse ! Je serai vraiment heureuse et mon enfant aussi sera heureux ! Il sera heureux ! Il faudra bien qu'il soit heureux ! Il le faudra bien…
Every day are sad and flowers die
Quand je vins a naître, j’étais si vif, si agité déjà que je semblais tout destiné a devenir un Hanssanssin. Ma mère eut peut être entendu mon premier cri, mes premiers pleurs. Elle n’a rien fait pour me retenir quand ils sont venus me prendre. Elle ne s’est pas débattue pour me reprendre, elle n’a pas pleuré, elle n’a pas crié. Peut être même qu’au fond de ses songes silencieux elle criait « tenez ! Prenez le ! » Soyez honnêtes vous aussi… rien qu’un peu. J’étais le combien ? Deuxième ? Quatrième ? Plus ? Qui sait ? Au final vous savez je m’en moque. Je n’ai connu cette femme qu'en aparence, cette mère que je devrais reconnaître comme la mienne. Donc cette femme qui laisse son enfant aux mains de personnes mal intentionnées en toutes connaissances de causes sans un mot et sans un regret.
Ou alors je n’étais pas désiré.
Dès mon plus jeune age j’ai grandit avec cette idée que j’étais un accident, que personne ne me voulait. Et donc je n’ai jamais réclamé ma mère, je n’ai jamais cherché a savoir qui elle était. Pas plus que les raisons de ma naissance et je n’ai jamais posé cette question qui met toujours les adultes plutôt mal lorsqu’elle sort de la bouche d’un enfant de cinq ans : comment on fait les enfants comme moi ? Il faut dire que si l’on peut félicité les professeurs que j'eus pour quelque chose c’est peut être pour la franchise dont ils font part. Et donc tout a toujours été clair.
A six ans j’ai eut les professeurs avec leurs yeux tout noirs du diable, leur méchanceté et puis cette haine que je ressentais contre moi. Tuer ou être tué. L’avantage est qu’il n’y a peut être pas de formulation plus simple ni plus claire. J’étais né pour tuer.
Je ne pense pas vous paraître un extraterrestre en vous annonçant que déjà je n’aimais pas les mathématiques. Et cela ne m’aurait pas déplut de faire brûler quelques professeurs si je n’avais pas très vite compris ce qu’il se passait quand on avait en tête de les affronter.
Pourtant à un moment où je devenais un très bon élémentariste j’ai commencé a aimer lire. Des œuvres stupides, de gens stupides aussi mais que l’on reconnaissait toujours lorsque quelqu’un prononçait leur nom. Pourquoi Zola ? C’est pourtant un nom ridicule ! Avec son grand « Z » et son petit « a », avec ces quatre lettres ! Il semblait résumé a l’envers tout l’alphabet de mes connaissances. Il était si connu que je voulu pendant un temps avoir moi aussi un nom a quatre lettres. Bien sur, cela n’avait rien avoir. Trop différents. Lui il grattait des paperasses moi j’étais destiner a tuer. Il y avait un mur entre nous. Et si vous pouviez savoir a quel point mes émotions et le papier font mauvais ménage ! J’en ai brûlé des pages sous la colère. Et pas seulement du Zola.
Enfin, j’ai quitté ces cours idiots ! On m’emmenez ailleurs, là ou mon destin devait tourner selon moi. Je serais le meilleur et j’aurais un nom en quatre lettres pour être aussi populaire que Zola. J’avais trouvé ironique dans mon déménagement d’avoir ce livre à la main et d’y lire que Zola avait été assassiné. S’il avait été plus comme moi il ne serait peut être pas mort ce jour ! Il aurait été l’assassin de ses ennemis. Enfin bref ! Adieu les maths ! Pardonnez mon impolitesse je ne vous pleurerez pas.
Je devais avoir la dizaine quand j’ai rencontré les gens qui donnèrent pour la première fois un sens véritable a ma vie et, par la même occasion, une définition au mot « famille ». Ce mot que j’avais effacé de mon vocabulaire s’était peu a peu mit a y refaire surface. Je me suis peut être plus attaché a Dastan, Gabriel et Alexis et parmi eux Alexis était une chose des plus étranges pour moi : une fille. C’est d’ailleurs elle qui me nomma pour la première fois avec un nom plutôt qu’une insulte ou un numéro. Elio. Non ! Pas Eliot ! Mais bien Elio, j’ai mit un bon moment avant de me reconnaître quand on m’appelait ainsi. Mais j’étais content, idiot mais un idiot heureux. Personne ne pouvait comprendre. J’avais quatre lettres.
Je l’ai ensuite gardé par habitude ou par mémoire des belles journées ou j’étais entouré des gens que j’aimais et qui, après qu’ils soient devenus Hassanssin se débrouillèrent pour consacré toujours un peu de leur temps. Entre temps… D’autres étaient arrivés dans leurs lits. Comme s’ils pouvaient remplacer ma famille de cette façon. Pff pure connerie. Je me suis remis a l’écart ou plutôt je me suis retrouvé mit a l’écart. Je n’arrivais pas à leur parler comme si je les connaissais. En fait, maintenant que j’y pense c’est vrai ! Je ne les connaissais pas. Il y avait bien cette autre fille là… Nala si je me souviens bien. On s’entendait bien. Mais je n’avais pas avec elle les mêmes émotions qu’avec Alexis. Et peut être que c’est ridicule. Mais j’avais l’impression de trahir en essayant de m’attacher a d’autres personnes.
Alors je me suis remis a Zola. J’avais ce sourire fier face a ses livres en me disant « toi t’es mort comme un con mon gars ! » Mais je ne trouvais pas dans ces livres de gens comme moi. Des gens qui pouvaient mettre le feu sur un simple coup de tête a une pièce. Alors en plus tu ne savais pas tout Zola ? Ou tu as préféré te taire sur ce que tu savais ? Zola, Les autres auteurs m’ont toujours parut a coté de toi de biens piètres illusionnistes, trop fades.
Enfin, je suis devenu hassanssin. Je suis né un troisième fois mais plus comme cette chose fragile. Comme un tueur fier d'avoir un role dans les plans des Cross, aussi inutile puis je paraitre. C'est vrai. Personne n'a a choisir de ma vie pour moi sinon eux.
J'ai appris quelques mois plus tard que celle qui m'a donné la vie était morte. J'ai ressentit en l'apprenant un sentiment étrange et désagréable auquel je ne veux plus jamais gouter. Un mélange amer de tristesse et de pitié.
« QUI-ES-TU ...? »● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées.
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Il faut bien l’avouer, j’ai dans ma nature un optimisme qui me perdra un jour. Quelqu’un d’autre a-t-il déjà volé une voiture de police ? Qui a fait sept ou huit fois le tour du même pâté de maison en se disant : mais si ça va passer ! ils vont me lâcher ces flics ! Bon bien sur, ça s’est presque fini comme je l’avais pensé –en sortant de la voiture je me suis retrouvé a la gendarmerie mais il n’y a eut aucune plainte- ta dam ! Non ? On dit de moi aussi que j’ai un calme à toute épreuve ! Mais s’est mieux, vous ne croyez pas ? je vous aurais déjà tous brûlés vifs les un après les autres ! J’aime beaucoup lire même si, comme je l’ai dit déjà, a coté de Zola les autres auteurs sont pour moi juste bons a avaler leurs pages et se taire. Si seulement ils avaient pu s’étouffer en même temps et en perdre leur connerie ! Enfin bref ! Donc j’aime lire et je l’avoue. J’ai, comme je l’ai déjà entendu dire, une intelligence frétillante, c’est simple, j’aime toucher a tout mais je comprend très vite dans quoi j’ai mit les pieds quand je suis attaqué. Vous appellerez cela comme vous voudrez bien le faire : spontanéité, droiture, vivacité. Peu m’importe puisque vous n’étés pas Zola !
Une autre fois, Gabriel m’a dit qu’il était fier de m’avoir parce que j’étais quelqu’un d’attentif. Si quelqu’un pouvait m’expliquer, se ne serait pas de refus. Après se n’était sûrement qu’une parole gentille d’un grand frère. Mais voila, il paraîtrait que je suis attentif.
Depuis mes douze ans et donc que j’ai vécu replié sur moi, que tout le monde est devenu Hassanssin en me laissant en plan je me suis permit de rester un gamin. Que voulez vous ? La perfection n’existe pas ! Mais j’ose espérer que je peux m’en rapprocher.
Ah ! et temps que j’y pense ! je ne serais jamais contre une petite guerre amicale, histoire de jouer un peu. Bah c’est qu’il faut bien tuer le temps. Et puis qui a rentrer crade comme si on avait pas encore découvert l’eau et le savon autant que se soit en s’amusant un peu.
● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées.
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Pour ceux qui ne l’auraient toujours pas compris je suis un homme. Cela peut sembler ridicule de le préciser mais au moins c’est dit ! J’ai 22 ans et je mesure un peu plus d’un mètre soixante quinze et je suis svelte. Sportif, je ferais toujours honneur au repas que l’on me propose même si je m’en rends malade. J’ai été habitué manger peu donc ne me le reprochez pas. L’important c’est que je face honneur a votre cuisine au fond, non ? Je dois peser dans les soixante ou soixante dix. Comment je pourrais le savoir ? Je ne monte pas sur une balance tous les deux jours moi !
J’ai des cheveux aussi –non sans blague !- je m’auto vanne ça devient grave… vous aussi vous pensez comme moi : vivement que cette fiche se termine ? Rassurez vous je n’en ai plus pour très longtemps. Donc j’ai des cheveux châtains qui brûlent quand je me face et deviennent couleur noire cendrée par la suite. Ils sont légèrement frisés quand il pleut mais d’un ordinaire lisses et doux comme du satin. J’ai une peau difficile à qualifier. Je suis blanc mais blanc couleur pèche. Un peu comme si j’étais bronzé mais ce n’est pas ça, j’ai toujours eut cette couleur de peau, comme celle de ceux qui vivent prêt de la méditerranée.
J’ai des yeux que vous qualifierez aussi comme vous voudrez, bleus –si seulement j’avais put naître avec des yeux de feu… j’ai un petit remord mais au fond ce n’est pas plus mal- donc un bleu lui aussi difficile a définir, sachant que s’est une couleur unique et que vous n’avez jamais vu ailleurs. Je me demande de qui je les ai hérité parfois, dans la salle de bain quand je suis devant la glace et que j’ai du temps. Ces yeux me donnent un regard profond, persant et qui en meme temps peu se montrer comme une vitre teintée si vous cherchez a trouver qui je suis sans que je vous y autorise. Et donc caché sous de long cils. Eux non plus je ne les ai pas choisit mais j’assume.
Une dernière chose ? Que pourrais je vous dire d’autre sur moi ? Oh ! et pourquoi pas la façon dont je m’habille ! Tout d’abord je me lève et j’enfile mes… Non plus sérieusement ! Et bien premièrement je porte des jeans qui ne laissent pas voir mon boxer. Vous n’avez nullement besoin de savoir la couleur de mes sous vêtements il me semble. Donc un jean qui tombe sur mes converses crades. Je porte aussi, le plus souvent des t-shirt sans manche ou a manche courtes pour ne pas être dérangé dans mes mouvements. J’ai dans ma poche arrière un briquet avec lequel je tue le temps quand je n’ai rien à faire ou que je dois attendre quelqu’un. Le feu pouvant m’amuser durant des heures. J’ai un manteau qui tombe a demi de mes cuisses mais que je ne porte que lorsqu’il fait particulièrement froid, noir et avec un col en laine. Dire que des gens donnent ça aux mendiants pff !
J’ai aussi une chaîne autour du cou. Je ne la retire jamais et dors avec même si vous etes contre et même si je risque de m’étrangler en dormant. Je l’ai attachée le jour ou je suis devenu Hassanssin comme une sorte de rappel à la fidélité que je dois a Croix.
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Elio
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