EMPLOIS/LOISIRS : Adjoint de Dorian Cross, comique & sadique
LOCALISATION : Sur le mont blanc zy va
CITATION DU PERSONNAGE : Et là le chef des gentils il en a marre hein. Il en peut plus. Il les regarde d'un air...D'autoroute.
MESSAGES : 817
DATE D'INSCRIPTION : 06/05/2013
Niveau du personnage
Point RP:
    (5/200)
Point Membre:
(86/200)
Niveau: 10 - Chef Mohamed A. Al Hattal
Administrateur | Bras droit de Dodo le dodo | Croix |  Sujet: C'est nous les méchants HA-HA-HA ~ Momo {OK} Lun 6 Mai 2013 - 22:09 | |
| Welcome to Mystery...Mohamed Abdelkaddour
Al Hattal I'm your dad and I wear black space pants-Why do you like seeing people in shock ?
But my question to you is why not !?
 feat Gad Elmaleh | Âge : 43 ans
Date & Lieu de naissance : 25 juillet 1969 à Marrakech, Maroc
Race : Sorcier
Statut : Célibataire en quête de femme sorcière, encore amoureux d'une humaine, toutefois
Groupe : Sorciers Noirs
Don premier : Bourreau
Pouvoir premier : Elémentaliste de feu
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« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »Je suis né. Oui, je suis né, certes. Mais je suis né dans un certain endroit. A Marrakech, au Maroc. Dans l'après-midi, ce qui est fort peu commun, car la plupart des bébés naissent la nuit. Vous ne le saviez pas ? Maintenant vous savez. Nos mamans sont comme les juments en fait. Sauf ma mère qui ne saurait être comparée à une jument. Ou alors à une pure-sang-arabe avec une robe merveilleuse et crée avec une poignée de vent comme dans le Coran. Je ne suis pas musulman vous savez. Enfin, je fais le ramadan, parce que je trouve que c'est une épreuve que je trouve intéressante et ça purifie le corps, mais je ne crois pas vraiment, même si je sors des phrases pieuses de temps en temps. La faute à mon enfance tout ça. Mais on n'en est pas encore là !
Pour l'instant je nais, dans un petit hôpital un peu miteux de la ville, d'une mère exténuée, qui avait fui des saloperies d'humains noirs, afin de sauver la lignée. La lignée de son mari déjà éteint, la lignée des Al Hattal. La lignée pure s'entend, hein, parce qu'il existe des tas de petits mêlés Al Hattal, mais ils sont sans importances. Ce ne sont pas eux qui vont faire vivre notre sang pur. Donc je nais, ma mère souffre, ma mère meurt. Les sage-femmes sont bien embêtées, alors je me retrouve dans un orphelinat, au main de femmes bien douces et bien gentilles, mais qui ne sont pas ma mère, et qui n'ont pas le temps et le moyens de me donner tout l'amour qu'elle m'aurait procurée. On me donne donc un nom complètement banal, Mohamed, un nom de prophète, même si le vrai c'était Muhammad, mais c'est presque pareil, c'est la racine qui compte. Et comme deuxième prénom, ils bricolent un truc, Abdel plus le prénom de mon père, ce qui donne quelque chose qui fait Abdelkaddour, je ne sais pas si ça existait avant, mais maintenant c'est moi. Et puis mon nom de famille, voila, un nouvel orphelin. On était vraiment nombreux, chahuteurs, désorganisés et parfois un peu maigres et sales, mais pas malheureux. C'est ici que j'ai grandi, que mes premières dents sont sorties, que j'ai fait mes premiers pas, que personne ne m'a adopté, et qu'Orpheo n'a jamais capté qu'il y avait un petit sorcier qui grandissait dans un orphelinat normal, ici, à Marrakech. Mais ne croyez pas que je leur en veut, au contraire, non, non, bien que j'aie manqué de faire cramer tout l'orphelinat à l'âge de quatre ans parce que j'avais vu une araignée dans mon lit -bon, ok, étant donné mon âge peut-être pas le bâtiment en entier, mais quand même, j'étais bien flippé- et que j'aie torturé Youssef sans le vouloir à l'âge de six ans rien qu'avec mes pensées parce qu'il m'avait volé mes billes...Je n'ai tué personne, et heureusement, les madames qui tenaient l'orphelinat avaient remarqué que quelque chose de pas très normal se passait avec moi. L'une d'elles, qui était un peu attirée par tout ce qui est sciences occultes et tout le toutim, finit par rencontrer un vieux berbère qui était venu se reposer quelques jours en ville avant de repartir avec son chameau dans le désert -je sais, à ce moment là de l'histoire, vous vous dites que c'est très pittoresque et cliché, mais c'est la vérité- et qui se trouvait être un sorcier, lui aussi, un élémentariste d'eau (bien pratique quand tu vis dans le désert hein) et télépathe. Il accepta de venir me voir à l'orphelinat. On me convoqua dans la salle commune, seul, et il se tint devant moi, sa peau parcheminée et sombre piquée de deux yeux très brillants, et il me dit "Alors mon petit Momo, on n'est pas très sage ?" moi je n'étais pas content qu'il me dise ça parce que je me trouvais sage, quand même, j'avais pas fait exprès de faire les grosses bêtises hein. Alors j'ai levé le menton, et j'ai boudé. Et tout à coup, il s'est mis à me parler dans ma tête, et j'ai réagi. Je lui ai infligé une décharge brève mais intense de douleur, il a fait une horrible grimace et a dit "Très bien mon petit Momo, on va sortir un peu tous les deux". C'est ainsi qu'il alla trouver la gentille dame qui était un peu versée dans les sciences occultes même si, concernant la réalité de la chose elle était un peu à coté de la plaque, et déclara qu'il s'occuperait de mon éducation deux après midi par semaine, et qu'un week-end par mois, nous irions dans le désert tous les deux, et que c'était nécessaire à mon développement parce que j'étais un petit garçon spécial. J'étais fier qu'on dise ça de moi. J'aimais bien ce mot, spécial. J'étais important pour une personne en particulier. Et l'orphelinat n'a pas refusé, pour une raison mystérieuse, peut-être qu'il était un peu influent, ou qu'ils avaient peur de ce que je pourrais faire si personne ne m'éduquait dans ce domaine, mais personne n'en parlait jamais, même mes camarades ne me posaient pas de question, ce qui est très rare pour un enfant vous savez. Très. Rare. Je dirais qu'un enfant pose des questions pendant 50% de son temps, pendant 20% il dort, 10% il mange et les autres 20%, ils courent partout et pleurent quand ils tombent. Non, je n'ai jamais eu d'enfant, mais j'ai vécu dans un orphelinat, messieurs-dames, jusqu'à mes vingt ans, oui messieurs-dames, ce qui fait que j'ai une certaines expérience de ces trucs braillards mais néanmoins adorables.
Je m'égare une nouvelle fois, retenez moi de faire des digressions enfin. Sinon on n'est vraiment pas couchés. Enfin voila, je grandis donc, j'allais à l'école normale de tout le monde, j'apprenais à lire et à écrire, et j'apprenais également à maitriser mes pouvoirs. J'appris dès lors que j'étais un sorcier, car en arrivant à ma première leçon, le berbère, qui répondait, je vous le précise, au prénom d'Alsan, me traça une rune sur le bras, ce qui eut le don de m'effrayer, mais également de lui indiquer que j'étais un sorcier de sang pur. Je ne savais pas ce que ça voulait dire, mais ça avait l'air valorisant. Quoi qu'il en soit, il ne me donna pas plus de détails ce jour là, à part le fait que j'étais un élémentariste de feu ainsi qu'un bourreau, et ce que cela signifiait, et qu'étant donné que j'étais un sorcier, je maitriserai certainement plus facilement le feu que le fait de pouvoir torturer des gens rien qu'en le voulant. On est bien avancé à six ans avec une information comme ça. Nous avons donc commencé l'entrainement. Et le week-end suivant, il m'emmena pour la première fois avec lui dans le désert. C'était brûlant, et absolument éreintant, mais magnifique, et très instructif. J'appris à diriger un chameau, et au fil des semaines, des mois et des années, à connaitre le désert à apprendre à y vivre. J’eus également la connaissance de certaines traditions berbères, et durant ces week-end, j'en apprenais plus sur le monde de la magie. Il m'appris comment sa tribu fut décimée au fil des années par des humains noirs venus d'Espagne, et par Santiago, j'appris ce qu'étais Santiago, et par la même occasion Orpheo, Croix, Rosenrot et toutes les organisations dont il avait connaissance. A partir de l'âge de dix ans, il se mit à me parler des familles, de leurs caractéristiques, de celles qu'il fallait éviter, ainsi que des différentes sortes de pouvoirs qui existaient. A cette époque là, nous n'allions plus dans les régions désertiques que le week-end, mais également une semaine de vacances par an. Quand j’eus atteint quinze ans, il avait épuisé le sujet des familles, me parlais toujours des pouvoirs, mais décida de m'emmener avec lui dans le désert à chaque fois que j'aurais des vacances. Il me parla alors d'hypothèses sur la magie, de choses encore incomprises, de choses mystiques, et des fantômes. Il m'expliqua tout ce qu'il savait, les différents types d'esprits, ceux dont il était utile de s'attirer les bonnes grâces, et ceux qui ne causaient que malheur et destruction. Mais également comment communiquer avec eux, et comment s'en débarrasser. L'année de mes dix-huit ans, j'obtins mon bac mention bien, et pour me récompenser de mes efforts, Alsan m'offrit une chamelle, que je baptisais Couscous. Oui, j'ai de l'humour. Mais ça lui allait très bien Couscous. Et puis c'est bon le couscous. Même s'il ne faut pas voir les marocains comme des couscous, c'est mal. Nous sommes toute une culture et une langue et bref, ne nous égarons pas, je venais d'avoir mon bac, j'étais euphorique, j'avais eu ma première cuite et ma première fois, et du coup comme j'étais un peu débile, j'ai trouvé que Couscous, c'était drôle. Et d'ailleurs je vous interdit d'affirmer que Couscous ce n'est pas drôle. Dans tous les cas, c'est la plus belle chamelle du monde. Non elle n'est pas morte, elle avait trois ans quand Al me l'a offerte, et un chameau vit jusqu'à 60/70 ans. Donc ne vous moquez pas de Couscous ou ça ne va pas le faire. Et puis elle a mauvais caractère si on est méchant avec elle. Passons. Je compris rapidement que mon mentor m'avait également offert cet animal pour me permettre d'aller moi même voyager dans les désert, car il se faisait très vieux, et malade. Nous partîmes donc moins, je fis mes premières expériences seules, mais il m'apprit tout de même les runes, les conventionnelles, et celles spécifiques aux sorciers berbères. Dans le désert, je passais de merveilleux moments de solitude, je rencontrais également des esprits, avec lesquels je sympathisais, bien que cela soit difficile. Je commençais des études d'archéologie à l'université de Marrakech, subventionné par l'état, car j'étais orphelin. Et deux ans plus tard, Alsan mourut. J'emportais ses cendres dans le désert et je les y dispersais. A ce moment je pris une décision. Bien qu’intéressé par mes études, je voulais en savoir plus sur le monde magique, rencontrer des gens comme moi, et j'avais perdu ma seule attache à cela en perdant mon mentor. Il m'avait parlé de lieux où je pourrais me rendre pour m'instruire encore plus, lorsque je le désirerais. Je fis quelques recherches et décidai d'aller étudier à l'école St Burstry en France, parlant aisément la langue du pays, qui est encore très enseignée dans les écoles du Maghreb. Je quittai donc l'orphelinat avec une bourse d'études, et me rendis donc à Saint Germain de Lévis pour m'inscrire dans le prestigieux établissement pour exorcistes. A ce moment, Orpheo découvrit que je n'étais pas dans ses registres, l'ordre se répandit alors en excuse, et m'offrit une coquette bourse d'études afin de se faire pardonner. J'appris ici que ma famille était une de celles qui étaient considérées comme historiques dans le monde magique, sujet qu'Alsan avait toujours évité d'aborder, ce que je compris aisément en apprenant qu'ils étaient des sorciers noirs, et qu'il n'aurait pas voulu m'entrainer dans cette fois, et puis, apprendre à un orphelin qu'il est descendant d'une grande famille peut vite lui monter la tête. J'ai donc pris la nouvelle humblement, et ai commencé à étudier la magie à l'école St Burstry, en compagnie d'enfants, mais également d'autres jeunes étudiants de mon âge. Une résidence universitaire avait été construite au abords de la belle bâtisse où nous étudiions, et j'y pris une chambre. Je me fis des amis de tous horizons, de toutes races, et je progressais. Mais la rencontre qui m'a le plus marquée, est évidemment celle de la femme que, je le souhaitais, aurait du partager ma vie, Selena Deslilas. Elle était mi française, mi anglaise, et n'avait pas la langue dans sa poche. Elle me faisait rire, et réciproquement, elle avait son propre caractère, elle était libre, et je tombai rapidement amoureux. Deux ans après être entré à l'école, nous débutions une relation riche et romantique, nous partions en mission ensemble, mais aussi en vacances, nous nous disputions, nous nous battions parfois, mais nous nous aimions, surtout. Je trouvais notre relation belle, et tout le monde autour de nous était d'accord. Elle débutait tout juste sa carrière au sein d'Orpheo lorsque, avant de décider ce que j'allais faire de ma vie, je décidai de me rendre au Maroc, voulant en apprendre un peu plus sur mes origines, et savoir qui étaient mes parents. Je me rendis donc à l'hôpital qui m'avait vu naitre, et demandais des informations sur ma naissance. On me sortit un dossier médical, où j'appris que ma mère se nommait Halima Faousia Al Hattal et m'avait laissé une lettre. Voici ce qu'elle disait
Gibraltar, le 10 juillet 1969,
Mon fils, mon enfant à naitre,
je fuis les humains noirs depuis six mois, ton père, Kaddour Al Hattal est mort à ce moment pour nous protéger, afin que tu puisses vivre, toi, le dernier descendant au sang pur de la famille Al Hattal. Je suis très faible, et je peine de plus en plus à te porter en ces dernières semaines de grossesse, mais cela ne change rien à l'amour que je te porte. Mon fils, si je venais à mourir en couche, ou plus tard, je voudrais que tu saches que le sacrifice de ton père et ma fuite sont non seulement des symboles de notre immense amour pour toi, mais également une traduction de notre vœu le plus cher, qui est que tu vives, et que tu deviennes un sorcier noir, afin d'en finir avec les humains fanatiques qui nous ont harassés sans relâche, et de perpétuer la lignée pure des Al Hattal en donnant de nombreux enfants à une sorcière.
Puisses-tu être un enfant heureux, un adolescent vigoureux, et un homme fort et droit,
Avec ton mon amour,
ta mère, Halima F. Al Hattal.
Je fus profondément troublé par cette lettre, par cet amour écrit qui me revenait de droit, et que je n'avais jamais pu connaitre dans mon enfance. Je nourrissais déjà une certaine rancœur envers les humains noirs qui avaient exterminé la tribu d'Alsan, mais j'avais su faire la part des choses entre eux et les autres humains doués que j'avais pu rencontrer à Saint Burstry, et en particulier Selena, ma copine. Je partis dans le désert avec Couscous, je réfléchis longuement, puis je revins en France, plein d'interrogations. Je ne pouvais continuer ma relation avec elle si je rejoignais une organisation de sorcier noir, et son caractère ferait qu'elle préfèrerait me quitter plutôt que de se faire passer pour mon esclave et objet sexuel. De plus, elle croyait en Orpheo avec ferveur, et ne me laisserait pas rejoindre les sorciers noirs sans que j'en sois inquiété. J'arrivais à notre appartement parisien, morose, et n'eus pas le temps de prononcer un mot, qu'elle me tendait un test de grossesse positif, et qu'elle me déclarait d'une voix enrouée "je suis enceinte". Ce fut le choc pour moi. J'aimais et j'aime toujours profondément les enfants, mais il ne me fallut que peu de temps pour comprendre que selon toutes les lois de la génétique, l'enfant qu'elle portait serait un mêlé, et les mêlés sont la pire engeance qui puisse exister pour les sorciers noirs. Ceci me décida à faire la chose la plus horrible que j'aie fait de ma vie. La quitter.
La laissant seule sur le pas de la porte, choquée, je pris ma voiture et roulais toute la nuit vers Sarzeau, en Bretagne, où, selon mes renseignements, je pourrais trouver le quartier général de Croix, l'organisation que je souhaitais rejoindre. Oui Rosenrot, je trouve ça trop allemand, pas que je n'aime pas les allemands, simplement je suis attaché à la culture française, et Croix me paraissait moins sanglant. Moins radical. Juste dans la forme, car je découvris plus tard qu'ils n'étaient pas les derniers en matière de cruauté.
J'arrivais donc là bas et rencontrais le père de Natasha Cross, qui, à l'époque, était encore en cavale avec son mêlé de Grey, qui m'accepta parmi leurs rangs. Je montais en grade au fil des années dans l'organisation, puis Natasha revint prendre sa tête, et je fus tout de suite admiratif de cette femme, qui réussissait à imposer tant d'autorité tout en cherchant à récupérer sa fille, une mêlée, elle dépassait cette contradiction d'idéologie, et était simplement exceptionnelle. Si bien que, même sans ressentir de vrais sentiments amoureux pour elle, je me pris à espérer qu'elle finirait par vouloir de moi pour lui assurer une descendance pure. Mais elle mourut laissant derrière elle le fruit d'amour encore une fois interdits, avec un autre Grey, mais un petit sorcier, cette fois. Je passai alors sous les ordres de son cousin, Dorian Cross devint un chef encore plus cruel et charismatique que Natasha, et de qui je restai assez proche, toutes proportions gardées, nous sommes chez les sorciers noirs, ne l'oublions pas. Mais j'espérais ainsi que lui comprendrait mon désir d'avoir une descendance pure afin de raviver ma lignée, et qu'il me conseillerait dans ma recherche d'une sorcière pure, et pourquoi pas, pour un mariage arrangé avec une Cross. Après tout, je demeure un loyal serviteur et un conseiller qui peut se montrer avisé.
« QUI-ES-TU ...? »Je suis quelqu'un de discret, ce qui est très pratique pour les missions, je peux espionner, traquer, et me mettre à l'affut de façon particulièrement efficace. Cela est aussi vrai durant les réunions et autres situations de la vie, ce qui me rend très observateur, et me permet de récolter un bon nombre d'informations. Il faut toutefois arriver à me sortir de mon cocon, je suis un flemmard né. J'aime me retrouver dans mon lit ou sur mon canapé devant ma télé à grignoter des choses grasses et bonnes. Mais il ne faut pas se méprendre, je sais faire preuve de courage, avoir la flemme ne veut pas dire être lâche, et j'ai appris à reconnaitre les situations importantes, je n'hésite pas à me mettre en danger pour Croix, c'est mon devoir, et cela est également vrai pour tout ce qui m'est cher, c'est à dire ma chamelle et mon confort, ainsi que ma furieuse envie de devenir père. Ceci semble toutefois un peu compliqué étant donné que je suis un romantique de base et que j'aime toujours une humaine. Et voila, faire preuve de courage dans ce domaine, ce sera me marier et coucher avec une femme dont je ne suis pas amoureux, et oublier enfin la femme de ma jeunesse. Car je veux une famille. C'est quelque chose qui me manque profondément, et je sais que si j'en avais une, je ferais tout pour elle, je crois que je suis le genre papa poule. Oui, un papa poule sorcier noir. Parfaitement. Mais après tout, regardez Dorian, il a ses méthodes à lui mais recherche la puissance de sa famille malgré tout ! Bref, moi aussi je veux une grande famille pour servir Croix et pour mon bonheur personnel. Paradoxalement, j'ai développé un petit coté sadique, depuis que je suis chez les sorciers, noirs, j'aime faire souffrir ceux qui m'ont fait souffrir, et grâce à mon don, je le fais bien. Mêlé à cela, je suis toujours plein d'humour, même en tuant, même en traquant, même sous la douche, même dans une situation embarrassante...Je suis un peu le comique de Croix, mais pas trop parce qu'on pourrait croire que je me moque de tout, alors que ce sont simplement mes méthodes ! Niveau physique, je suis assez grand, brun, pas spécialement beau, mais disons très charismatique. J'ai de très beaux yeux bleus, et un sourire charmeur, une peau qui bronze facilement. Il m'arrive d'avoir une maladie que j'appelle "la flemme du rasage", mais cela ne dure jamais longtemps, j'aime avoir un visage net et propre, je me prépare toujours dans l'idée que je vais rencontrer un supérieur ou une belle femme -ceci n'est pas une obsession- et je suis donc quelqu'un de soigné. Je m'habille souvent en noir, et j'affectionne particulièrement les costumes, même en mission, et les écharpes. J'aime les écharpes pour homme, j'en voudrais de toutes les couleurs, mais je n'ai pas spécialement le temps. Et puis, je n'oserais jamais dire à Dorian que je veux un peu plus de temps pour aller m'acheter des écharpes. Je suis également un homme fin et sportif, sans avoir un physique d'athlète, car je ne pratique pas vraiment de sport en dehors de mes missions. MORE?
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Dernière édition par Mohamed A. Al Hattal le Mar 7 Mai 2013 - 18:53, édité 10 fois |
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