I'm Victoire S. Capitain de Clacy. Check your records again. {OK}

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Exorciste d'Orpheo | Maquilleuse et Archéologue | Hell in high heels
CITATION DU PERSONNAGE : anyone miss me ?

MESSAGES : 14
DATE D'INSCRIPTION : 10/05/2013
Victoire S. Cpt de Clacy
Victoire S. Cpt de Clacy
Exorciste d'Orpheo | Maquilleuse et Archéologue | Hell in high heels
MessageSujet: I'm Victoire S. Capitain de Clacy. Check your records again. {OK}   I'm Victoire S. Capitain de Clacy. Check your records again. {OK} EmptyVen 10 Mai 2013 - 18:07

Welcome to Mystery...

Victoire Serafina
Capitaine De Clacy
Got a problem with
archaeologists?




      I'm Victoire S. Capitain de Clacy. Check your records again. {OK} Ava_ri10
      feat Alex Kingston
        Âge : You embarrass me! On ne pose pas ce genre de questions aux dames ! Mais je vais te le dire : 116, je sais je ne fais pas mon âge !
        Date & Lieu de naissance : 2 Août un été de canicule. Il a fait ... Très chaud ! Et à Paris évidement d’où ma classe naturelle !
        Race : Sorcière, mais je peux être ce que tu veux…
        Statut : Spoilers ! Disons que c’est compliqué… Mais si tu es intéressé, call me.
        Groupe : Orpheo, mais rien n’est gravé dans le marbre. Et je reste avant tout une archéologue…
        Don premier : Persuasion : fais ce que je dis, pas ce que je fais.
        Pouvoir premier : Mains protéiformes, disons que je suis très habile de mes mains…






« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »

    You're going to find out very soon now, and I'm sorry, but that's when everything changes...


    You tell me who you are!
    I am telling you.

    1925… J’avais vingt-huit ans. Ah les années vingt ! Les fêtes étaient absolument somptueuses. Mes amants nombreux. J’étais à la fleur de l’âge comme on dit. Je vivais comme bon me semblait, mes parents n’étaient plus de ce monde, ils avaient embarqués sur le mauvais bateau au mauvais moment lors du 10 Avril 1912. Je suis née en 1897 en France, à Paris. C’est sans doute de là que je tiens mon élégance. Plus le fait que je suis d’une grande famille de la noblesse française, c’est ce qui donne ce je-ne-sais-quoi de plus qui vous différencie des autres femmes. J’ai toujours fait partie de cette classe supérieure. Et c’est ainsi que l’on m’a élevée, dans le respect des traditions. Un monde où l’argent domine tout le reste. J’ai d’ailleurs gardé ce goût pour les richesses, qui m’a aussi apporté un certain nombre d’ennui je dois bien l’admettre. J’ai toujours eu le goût des belles choses. Cela oriente mes choix aussi bien dans mes achats purement domestiques que dans la sélection de mes partenaires. Les années vingt en Amérique, le faste des grandes demeures égalait sans aucun doute la débauche des grands dans certains cabarets réservés à ceux qui pouvaient se payer le prix de la discrétion des employés. Une période entre deux guerre où on laissait aller sa folie, après tout c’est bien le nom qu’on leur donne aujourd’hui n’est-ce pas ? Les années folles. C’est lors d’une de ces grandes fiestas, alors que l’on célébrait en grande pompe la réussite d’un parvenu, que je fis la connaissance de celui qui m’apprit la véritable valeur de ce que je suis. Il me montra certains tours, comment baratiner les pigeons pour les déplumer de tout leur fric, comment flairer les bons gogos, ceux qui vont tout vous donner pour deux jolis yeux, un sourire et quelques nuits avant. Pendant quelques années je le suivis partout. Lui se trouvait quelques veuves en mal de compagnie et moi un vieux richard qui ne supportait pas sa boniche de femme. On prenait du bon temps au bord de la piscine avant de recevoir de beaux bijoux et des tenues de soirées pour les réceptions auxquelles nous les accompagnons pour trouver nos prochains pigeons. Le soir nous retournions auprès d’eux, du moins pour la première partie de la nuit… Nous nous retrouvions ensuite dans un hôtel luxueux pour partager notre couche avec des personnes de notre goût, c’est-à-dire nous. Ce n’était pas le grand amour entre nous évidement, qui parle d’amour ? Nous nous comprenions. C’est avec lui que je fis la plupart de mes premières fois. Non pas cette première fois là. Disons qu’au moment ne nous séparer de nos pigeons adorés certains se montraient plus compréhensifs que d’autres. Et il fallait les réduire à un silence éternel. Pas la peine de s’apitoyer leurs héritiers ont sûrement été ravis. Je me rappelle encore de ma première fois… Je portais une robe argentée qui reprenait le motif des écailles de poisson. Entre la robe et mon don de persuasion on peut dire que j’étais une véritable sirène. Sans parler de mon charme naturel. Alors que je sortais de la demeure du dernier berné en date en prenant mon temps pour choisir quelles coupes en cristal je préférais, il se jeta sur moi telle une furie. Je n’entendis l’avertissement que trop tard. Mais heureusement je fus assez rapide pour utiliser mon pouvoir. Ma main devint un poignard. Très joli d’ailleurs, avec des rubis sur le manche, de l’or blanc. Bientôt la lame fut teintée de rouge et le visage de l’abrutit exprima sa surprise. Puis il s’affala sur le sol, à mes pieds, à sa place. Je me retournais et demanda à mon acolyte avec un sourire:

    -Ou en étions-nous ?

    Je choisis les coupes finement ciselées et sortit par la grande porte. Hélas ce temps béni ne pouvait durer éternellement. Il essaya de me doubler. Penny in the air. Je n’avais d’autre choix que de l’éliminer, et l’élève dépasse le maître. The penny drops. Je vécu alors une vie solitaire. Enfin solitaire… Disons une carrière solo car je n’étais jamais seule. Je fis de nombreuses rencontres, tous n’y survécurent pas. Je me passionnais pour les objets anciens, et précieux. Je les collectionnais. Mais je voulais en savoir plus sur mes spécificités de sorcière et sur le monde auquel j’appartenais. Aussi apparut en moi un certain engouement pour la recherche, et pour le passé dont je faisais déjà partie d’une certaine manière. Aussi je décidais d’en faire mon métier, après tout celui qui sait détient le pouvoir. Archéologue, j’étais professeur, professeur de Clacy. Un jour je fis une rencontre des plus étonnante qui me mena à ma relation la plus explosive, décalée, intense et sans doute celle qui fut la plus merveilleuse. La plus exclusive surtout. La seule en vérité parmi celles qui ont durées suffisamment longtemps. En 1984, Kurt Höwigräsche, à croquer vraiment. Il ne faut pas croire qu’il n’est qu’un amant parmi tant d’autres, non il est plus que ça… C’est d’ailleurs peut-être celui en qui j’ai eu le plus confiance. I absolutely trust him. Enfin ! C’est assez de ressasser ces vieilles histoires ! L’année 1985, en Décembre… J’ai perdu quelque chose de cher, ou plutôt on me l’a enlevée. Je n’avais pas la moindre idée de comment la retrouver. Pourtant je retombais sur de vieux papiers. Lors d’une mission de recherche j’étais tombée sur des textes relatant une vieille légende : On raconte qu’une pierre, un rubis possédait certaines caractéristiques magiques. Un homme le brisa en deux morceaux. Il en fit deux bagues. Sur l’une des bagues il associa au rubis un saphir la bague permettait de retrouver ce que l’on désirait le plus au monde, il la garda pour lui afin de toujours retrouver sa bien-aimée. Sur l’autre il ajouta un rubis, la bague devait donner l’immortalité, il la donna à sa bien-aimée. Le texte ne mentionnait pas le nom des deux amants. Il me fallait la bague, celle de l’homme, pour retrouver ce que l’on m’avait pris. Je fis d’autres recherches, j’appris que la bague donnant l’immortalité n’était pas aussi bienfaitrice qu’elle le semblait. En effet si on portait la bague trop longtemps on perdait son doigt, et ce n’était pas tant l’immortalité qu’une sorte d’invincibilité, elle ne protégeait pas du vieillissement et aux problèmes naturels du porteur. Un jour je trouvais un document représentant les bagues. Je les avais déjà vues. Lors d’un bal à Paris en 1912, j’avais alors quinze ans. Les jeunes mariés De Soubise, c’était leurs bagues de fiançailles, on en parlait dans tout Paris. La famille devait sûrement encore avoir en sa procession les fameuses bagues. Alors que je me lançais dans l’opération je rencontrais un jeune homme, un certain Redwan Soul. Nous voulions chacun une bague, mais pas la même, nous devinrent donc associés. Je me suis dit que je devrais pour une fois utiliser une approche différente. Alors je pris rendez-vous avec l’actuel comte De Soubise pour lui demander directement s’il avait encore les fameuses bagues en sa possession. Je me présentais pour cela comme une collectionneuse. Ce n’est pas vraiment un mensonge, comme je l’ai déjà dit j’aime les belles choses de valeur et il m’arrive de prendre et de conserver les pièces que je souhaite avoir. Enfin là n’est pas la question. Le comte, un vieillard, me dit que son père les avait vendues à un bijoutier qu’il connaissait bien et en qui il avait confiance puisque la famille était cliente de la boutique depuis presque un siècle. Son père avait pris la décision de s’en séparer alors qu’ils avaient quelques problèmes d’argent, le fils n’a jamais revu les bagues. Je souris gracieusement au comte et m’en alla. Les habitudes des vieilles familles ça me connaissait. Et il n’est en effet pas rare que certaines boutiques de luxe renommées gardent leur clientèle générations après générations. Et il y avait effectivement un bijoutier qui faisait fureur début 1900, c’est chez lui qu’on fit faire mon bracelet pour fêter mes 13 ans. Me voilà donc de nouveau place Vendôme, mais pas pour acheter cette fois. Mon nom de famille était inscrit dans la liste des clients anciens, ceux qui ont droit à certains privilèges, y compris la confiance du gérant qui ne souhaite pour rien au monde que ces clients aillent voir ailleurs. Il me donna l’adresse de son grand-père qui tenait la boutique à l’époque. Le vieux m’accueillit avec méfiance et rechigna à dévoiler l’affaire. Il fallut un petit coup de pouce de mon don pour le persuader de tout m’expliquer dans les moindres détails. Il avait bien eu une visite du feu comte avec les bagues mais c’était pour leur enlever le saphir et l’émeraude le comte avait tout récupéré. Je le remerciais et lui suggérais fortement d’oublier les détails de notre échange avant de partir. Ainsi ce vieillard de comte pensait pouvoir me berner aussi facilement ? J’aurais pu me débrouiller pour avoir sa confiance et en faire un pigeon parmi d’autres mais il m’avait agacée. Redwan et moi montâmes un coup. Mais le soir de l’opération les choses ne se déroulèrent pas comme prévues. Je m’occupais de fouiller le bureau pour trouver les papiers qui indiquaient où trouver les pierres censées compléter les bagues. Je n’avais pas la preuve de l’existence desdits papiers mais qui laisserait de tels pouvoirs hors de sa portée où de celle de ses descendants ? Non il devait y avoir des indications menant à ces fichues pierres. Et il y avait effectivement des papiers, c’était ça où je réveillais le vieux pour qu’il les cherche, dût-il réveiller son père d’entre les morts pour cela. Je retrouvais Redwan dans le salon, il buvait du vin rouge dans une coupe. Deux psychopathes dans une maison qui n’est pas la leur, tranquillement installés dans le salon près de la cheminée. One psychopath per room, don't you think? Je voulais observer les bagues alors je lui tendis les papiers qu’il posa sur le rebord en marbre de la cheminée. On entendit un bruit. Nous nous retournâmes de concert et découvrîmes une fillette de 12 ou 13 ans une main sur le chambranle de la porte l’autre sur sa bouche. En un éclair Redwan fût à ses côtés, la maintint contre lui et lui plaqua une main sur la bouche. Il fit un étrange sourire alors qu’il mit un doigt devant sa bouche lui intimant de se taire. Il voulait la tuer, évidement, et il énumérer ses différentes idées toutes plus sanglantes les unes que les autres. La fillette entendait son bourreau expliquer les différentes façons de l’exécuter, elle commença à essayer de se dégager. Je vis Redwan se raidir et son sourire s’élargir. Je l’arrêtais net. On n’allait pas tuer cette gamine, on pouvait lui effacer la mémoire. Mais il était catégorique. Et valait mieux ne pas se faire l’ennemie de ce jeunot. Après une courte délibération nous nous mîmes d’accord. J’endormis la gamine pour qu’elle ne souffre pas. Je me détournais, les larmes me montaient aux yeux mais je me repris et bu plutôt un verre du whisky qui se trouvait sur le buffet. Puis je me dis qu’un deuxième ne me ferait pas de mal pour ne plus entendre Redwan littéralement jouir face à la barbarie qu’il était en train de commettre et pour couvrir l’odeur du sang. Mais qu’est-ce qui me prenait ? Ce n’était pas mon genre ! L’enfant, ce devait être parce qu’il était question d’une enfant… Je me rappelais de son visage, je ne pourrais jamais l’oublier il semblait si calme… Je secouais la tête pour effacer ce souvenir. J’entendis alors quelqu’un bafouiller. Je me retournais et vis le croulant. Il gueula plusieurs trucs, il n’était pas très clair. Je compris que la gamine était sa petite fille. Soudain il s’élança près de la cheminée, attrapa les papiers et les jeta au feu. Il appuya aussi sur une télécommande et une alarme se déclencha. Redwan et moi échangeâmes un regard. Je mis les bagues dans ma poche rapidement et nous traversâmes la grande pièce. Au moment de sortir le me retournais et utilisais mon don de persuasion pour que le vioque nous oubli un peu et… Mais entre le l’alcool, l’adrénaline, et le fait que je ne pus finir ma phrase… Je n’étais pas sûre d’avoir réussis. Okay on avait merdé. Nous décidâmes de ne plus nous revoir. Je voulais savoir si le croulant ne savait rien sur les pierres manquantes. Mais je lus dans le journal qu’il était devenu sénile et on l’a diagnostiqué Alzheimer, on le soupçonnait d’avoir lors d’une ses crises de folie assassiné sa propre petite-fille. Je me rendis de nouveau chez le vieux bijoutier et lui intima de me dire la vérité sur les bagues. Les pierres manquantes l’étaient depuis bien plus longtemps qu’on le croyait, c’était des fausses qu’il avait retiré, lui aussi souffre désormais de troubles de la mémoire. Il fallait que je les retrouve. J’en avais besoin pour le retrouver. Je voyageais beaucoup, dans le monde entier, à la poursuite des
    pierres. Je cherchais le moindre écrit qui les mentionnait. Des têtes tombaient parfois, j’amassais toujours des objets précieux, je collectionnais toujours les amants. Mais je n’aimais pas l’idée de puiser dans mon héritage, certes assez considérable mais tout de même ! Je démissionnais donc de mon emploi à Paris. Direction Orphéo, le QG des maquilleurs, Paris. Mais je n’appréciais pas de vivre en permanence sous le nez de mes employeurs je décidais alors d'acquérir un somptueux duplex au cœur de Londres. Ainsi je pouvais y aller pour me vider la tête loin du QG des maquilleurs. Ah Londres... C'est une ville extrêmement rafraichissante ! Et j'y rencontrais pas mal de personnes intéressantes, je me souviens par exemple d’un jeunot qui était assez particulier, il adorait les nœuds
    pap’, bow ties are cool, enfin là n’est pas la question.
    Je devins maquilleuse. Soit plutôt du genre à faire des bavures. Ce boulot me payait les dépenses que je faisais dans ma recherche des pierres. Et je m’amusais un peu. Mes supérieurs n’avaient pas l’aire d’apprécier mon humour. Mais je faisais ce pour quoi j’étais payée et il ne restait jamais aucune trace de ce qui devait être effacé. Alors on laissait passer les petites libertés que je prenais sur le scénario et la mise en scène. On me communiquait mes ordres de mission par téléphone, ainsi je ne me rendait au QG parisien seulement lorsque je n'avais pas d'autre choix. Je me suis mise à bosser en freelance aussi. Il y a moins de contraintes et c’est moi qui fixe certaines règles. Je fis donc la rencontre de Joaquin, entre autre. J’en ferais bien mon quatre heure celui-là, mais il ne faut pas se laisser aller avec les clients. Quoi qu’il en soit il y a un endroit que j’aimerais fouiller pour trouver des infos au sujet des pierres. Une bibliothèque particulière. 2013, vingt-huit ans, tu as vingt-huit ans. Je fais faire ce par quoi j’aurais dû commencer. Où retrouver un enfant perdu ? Dans un orphelinat !




    'Til the next time,


    Spoilers. Goodbye. Sweetie.


    It's hard to leave when you haven't said goodbye.






« QUI-ES-TU ...? »




    Je suis une femme d’action très cher, aussi veille à ce que je ne m’ennuie pas, sinon je pourrais jouer avec toi et il n’est pas sûr que tu finisses dans le même état qu’au début du jeu, quelques oublis…Ou un membre en moins. Ca dépend de mon humeur, si je suis en forme tu peux finir… disons mort, c’est possible, tu ne pourras pas dire que je ne t’avais pas prévenu. Question jeu je ne suis pas difficile, si tu as des questions demandes à mes amants, ceux encore en vie bien sûr. Mais ne t’inquiète pas je suis capable d’éprouver des sentiments. J’ai même aimé, une fois, lucky boy. Il ne faut pas m’en vouloir très cher, je suis habituée à avoir ce que je veux. Cela doit venir de mon don, persuasion… Joli mot n’est-ce pas ? Joli son, très sensuel, chuchoté sur l’oreiller. Je dis et tu ne peux
    rien faire, à part m’obéir, je peux te convaincre au plus profond de toi que tu peux voler. Essaie donc. J’ai une volonté de fer. Je suis une femme d’un naturel assez vivant, têtue, je peux aussi me montrer insolente, mais avoue le tu aimes ça. Mais je suis responsable tout de même, je ne suis plus une enfant depuis longtemps. Chose que tu auras remarqué sans doute, flirter est comme une seconde nature, je ne peux m’en empêcher. Mais parfois la manière douce ne suffit, vient alors mon pouvoir, mes mains changent de formes, et peuvent parfois même créer, je ne suis jamais désarmée. Je suis… charmante mais ça tu le sais déjà, dangereuse ? Possible…Tu penses que je suis folle? You're good. I'm not saying you're right. But you're very, very...good.




    Je suis sexy, évidement ! Mes cheveux sont… improbables, car rien n’est impossible. Ca frise dans tous les sens là-haut ! Ces petites mèches blondes. Je suis… Je suis, je suis, je suis… Et bien comment me trouves-tu ? De taille moyenne, 1m70 il me semble, et bien faite, très bien faite même. Enfin il s’agit surtout de savoir se mettre en valeur n’est-ce pas ? Il est vrai que c’est plus facile pour certains que pour d’autres. Mes yeux ont des couleurs changeantes, dans les tons bleu-gris, avec une pointe d’orange au milieu. Enfin si tu es là dans ce lit, tu sais à quoi je ressemble, dommage que tu doives perdre la mémoire


MORE?


Mrs. Robinson

    Âge : Never ever let him see you age.
    Poste Vacants ? : []oui [<3]non
    Comment avez-vous connu le forum? : Oh, I had lessons from the very best.
    Fréquence de venue : Whenever and wherever you want. But not all the time.
    Codes : YEAH YOU ARE - LUKA (And you doesn’t like endings…

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Admin | Roi du monde | Espion et sorcier noir pour Rosenrot
EMPLOIS/LOISIRS : Baiser June ♥
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CITATION DU PERSONNAGE : Trash ta life, ce soir je meurs et pas toi

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Mikeal O'Callaghan
Mikeal O'Callaghan
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MessageSujet: Re: I'm Victoire S. Capitain de Clacy. Check your records again. {OK}   I'm Victoire S. Capitain de Clacy. Check your records again. {OK} EmptyMar 4 Juin 2013 - 23:40

VALIDE !

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My love for June
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With fuckin' demons inside

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June:
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Surprise:


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Mike roule une pelle à Invité
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