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| Et dire qu'íl y a des citrouilles ici [pv kara] | |
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Invité Invité | Sujet: Et dire qu'íl y a des citrouilles ici [pv kara] Ven 2 Mai 2014 - 18:35 | |
| L'inde c'est des paysages de reves, une langue chantante, une tache rouge au milieu du front et surtout une saleté d'utopie ultra stéréotypée. Il faisait une chaleur étouffant toute forme de vie et les plantes étaient les premières atteintes. Rien ne semblait pouvoir pousser hors de la ville. Hors de la ville il semblait n'exister d'un desert sans rien d'autres ou quelques chèvres cherchaient a se proteger du soleil.
Ce n'était sans aucun doute pas la destination vacances lq plus adaptée a Bianco qui ne supportait juste aucune forme de chaleur sans en avoir une migraine a s'en cogner la tête contre les murs. Autant dire que Bombay en plein milieu de l'été ne lui donnait qu'une idée : retourner chez lui aussi vite qu'il le pouvait. Mais hélas même lui ne choisit pas toujours ce qu'il veut faire. Madyson était assise a l'arrière de la petite voiture et il ne voulait pas l'entendre. Déja qu'il ne comprenait pas en quoi ca lui plaisait ces décors de fin du monde. Il ne voulait surtout pas l'entendre et la seule raison qui l'avait poussé a l'emmener c'est qu'elle s'y connaissait un peu en langue indienne et qu'elle connaissait les traitement qu'il lui arrivait de prendre en cas de fortes migraines.
Elle semblait dans son élément selon le coup d'oeil qu'il lui avait rapidement jeté -comme dans l'espoir qu'elle ait sauté de la voiture- puis il soupira. Non, elle était toujours assise.
Dès qu'ils arrivèrent ils se séparèrent comme s'ils ne se connaissaient pas. Madyson malgré sa mission se jeta comme une fan sur les petits standes qui la sortirent de sa rèverie pour la ramener duerment a la réalité des salades... pas très fraiches. Bianco pour sa part savait déja exactement ce qu'il cherchait. On l'avait informé qu'une femme s'était rendue ici récement et qu'elle pourrait peut etre lui être utile. Pas qu'il cherche a reconstituer sa famille déja bien trop détruite pour qu'il reste le moindre espoir. Mais il se disait qu'il y avait quelqu'un ici qui pouvait s'avérer un allié de poid comme un ennemi dangereux a massacré et pour le moment il voulait d'abord voir la personne en face pour la juger.
Il en avait toujours fallut beaucoup pour l'impressionner et si ce récit avait réussit a le faire bouger de son petit bureau bien calme et bien tranquille c'est que quelque part même sans la connaitre elle avait réussit a attiser sa curiosité. Il ne la connaissait pas pas il avait une idée de ce a quoi elle pouvait ressembler... Il avait fait l'un de ces reves auquels il ne se fera jamais et qui lui disent presque ce qu'il faut qu'il face dans la vie... Ou du moins quand les évenements le sortent de son quotidien.
D'ailleurs il comptait beaucoup sur ce petit plus si soudainement elle se décidait a l'attaquer sans raison. Vous savez bien: une femme c'est suceptible. En fait il n'aimait pas trop les femmes... Selon lui elles n'existaient que pour les faire vivre eux les hommes et même les hommes il ne les aimait pas trop. Soit ils étaient idiots et prévisible de façon a l'ennuyer dès la première demi heure soit il étaient farouches, incontrolables et juste bon a mourrir.
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Niveau du personnage Point RP: (249/200) Point Membre: (229/200) Niveau: 7 - ConfirméeFinola Halliwell Ange & Démon | Sujet: Re: Et dire qu'íl y a des citrouilles ici [pv kara] Sam 3 Mai 2014 - 5:01 | |
| Appuyée sur ses genoux, la respiration contrôlée, immobile sur place, elle observe droit dans les yeux le prédateur qui lui fait face de son regard doré. Elle ne transpire pas et ne lâche pas du regard le félin, seigneur de cette jungle indienne. Aucune hostilité de la part de la femme, de même que du félin qui avait déjà jugé si la sorcière était une menace pour lui ou pas. Néanmoins, son grognement perce le silence faisant sursauter la sorcière. La capuche de son chaperon rouge, recouvrant sa chevelure, laisse dévoilé qu'une infime partie de son visage. Elle baissa la tête après s'être agenouillée comme signe de soumission, quand la bête grogna la première fois. La jeune sorcière ne relève pas la tête, attendant le moment adéquate pour le faire ou plutôt, l'autorisation du tigre pour le faire. Et même si le souffle de la majestueuse créature fut à quelques centimètres de son visage, elle resta la tête baisser, tentant de contenir sa peur. Elle n'était pas ici pour le plaisir ou par choix, mais pour le devoir, pour son apprentissage. Elle devait devenir une bonne sorcière et son apprentissage se doit de passer par la compréhension, ainsi que le respect de la nature et de ses créatures. Quand elle sent le souffle de l'immense bête s'écarter de son visage, un poids dans sa poitrine se libère. Elle se relève et observe le tigre s'en retourner dans sa jungle, il avait un territoire à garder et l'apprentie sorcière avait reçu son autorisation pour traverser celui-ci. Kara laisse un soupire de soulagement s'échapper, avant de jeter un oeil à New-Mee qui était de nouveau présent à ses côtés. Un nouveau soupire lui échappe avant que la jeune femme reprenne son chemin, cette fois, ce fut un soupire d'agacement. Elle devait marcher en direction de Bombay, une ville impressionnante et beaucoup moins tranquille, et plus vivant que dans ce secteur où la vie est bien plus sauvage.
Les humains, ici, se faisaient discret. Il n'est jamais bon d'attirer l'attention sur le territoire des tigres, c'est s'offrir à la mort volontairement. De son petit sac que la sorcière garde accrochée sur l'avant de son balai, elle y sort un manuscrit pour y noter son expérience d'aujourd'hui. New-Mee se faisait silencieux depuis son retour, trouvant que son élève avait fait de réels grands progrès. Aggatha a raison de mettre tous ses espoirs en Kara, même si elle fut un démon autrefois, aujourd'hui elle est partie pour prendre la succession du Clan Cromwell, en tant que nouvelle cheffe de famille. Le chat noir, esprit d'un lointain passé, observe donc silencieusement son élève tandis qu'il traverse le territoire hostile et sauvage de la jungle. Il est fier de la sorcière et il pense avoir bien fait de prendre la décision de s'occuper d'elle en particulier. En deux jours et deux nuits, ils traversèrent la jungle pour rejoindre le premier village. Il fallut compter encore une journée de plus, pour attendre Bombay et avec l'aide de quelques personnes aimables et des moyens de transport en commun. Il y a dans cette ville un centre non-lucratif qui aide les enfants et les jeunes à la rue. Kara trouva aisément l'association, l'aide qu'elle apportera pour les orphelins, sera d'une grande aide. Un mois entier s'est écoulé à Bombay et pour la jeune femme, il sera bientôt temps de reprendre la route. Vendredi 2 mai 2014, est la date d'aujourd'hui. La jeune femme résidait chez une famille qui avait accepté de l'héberger, en échange, elle faisait les tâches ménagères pour aider la famille qui tout comme la sorcière, n'a pas d'argent qui tombe du ciel. La jeune femme porte les vêtements indiens que la famille lui a offert, mais bientôt elle devrait remettre son uniforme d'apprentie sorcière. Elle sort de l'appartement pour se diriger vers un magasin, elle devait de nouveau faire des réserves de nourriture pour la route.
Sa prochaine destination est la Chine, elle a beaucoup à apprendre de ce peuple. Elle sort son manuscrit afin de vérifier tous les sorts, incantations, Runes et écriture énochien qu'elle a acquis au cours de son apprentissage avec New-Mee. Le chat fantôme se tient face à la jeune sorcière sur une rambarde, sous un équilibre gracieux. « Je pense, qu'on en aura pour plusieurs jours à pied avant d'atteindre la frontière chinoise. Je vais favoriser l'eau ainsi que les pains séchés et les fruits secs, ils se conservent plus facilement. » Annonce Kara, tandis que New-Mee acquiesce de la tête, satisfait de la responsabilité de son élève. Le chat disparu de manière espiègle, laissant Kara avec sa prochaine épreuve qui va déterminer, très bientôt, la sorcière qu'elle est. Qui va déterminer si elle est, bel et bien, digne d'être la future Queen du clan Cromwell et de sa magie ancestrale. Kara remarque que son mentor avait filé, encore une fois. Elle hausse les épaules avant de se rendre vers le magasin en question, ou plutôt le marché.
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: Et dire qu'íl y a des citrouilles ici [pv kara] Lun 5 Mai 2014 - 10:43 | |
| Il fallut plusieurs heures avant que Bianco ne trouve un semblant de piste. Mais ce n’était pas lui qui allait lacher si facilement. Il laissa Madyson a ses reveries exotiques. Pas parce qu’il craignait qu’il lui arrive quelque chose dans la jungle épaisse mais parce qu’il ne voulait pas d’une pleurnicharde qui allait hurler a la moindre petite bête. Parfois il se demandait bien ce qui lui était passé par l’esprit le jour ou il l’avait ramassée. Il devait être malade, c’est un fait. Elle ne l’attirait pas particulièrement – pas plus que n’importe qui en fait- elle était bruyante, maladroite, agaçante et toujours dans ses pattes.
A l’occasion il l’aurait volontiers laissé en Inde.
C’était a la prise du Mystery qu’il l’avait trouvé. Elle avait préféré etre a son service comme esclave que de mourir et maintenant qu’il y pensait ce n’était pas ce qu’il aurait préféré. D’accord il n’y avait jamais trop d’esclaves et en avait ramassé un paquet, tous au service de Rosenrot. Il faut dire qu’il n’était pas peu fier de ce travail. La broussaille le genait et abritait aussi bien de petits animaux que des gros et des moustiques. Il ne tarda pas a tomber nez a nez avec un félin qui, mine de rien, montrait facilement que ceux des zoo et des cirques n’étaient que de petites tailles. Un vrai monstre qui, visiblement, n’aimait pas voir un étranger sur son territoire.
Bien qu’assez surprit il n’avait pas peur de Bianco et de même Bianco n’en eut pas plus peur que ca. Lui, il n’avait pas peur pour sa vie car elle était insignifiante et mourir ici était surement l’anéhentissement de son projet, de son avenir. Qu’est ce que ca changerait ? De toute façon il ne serait plus la pour le voir.
La famille Soul était completement démentelée. Depuis la disparition de Green plus rien n’allait alors ce n’était pas sa disparition a lui, complètement effacé, qui allait changer quelque chose. Il se contenta donc de faire demi tour et de contourner l’animal et son territoire. Il arriva ensuite dans un petit abris.
Il y avait des odeurs étrange mais personne. Totalement vide. C’était une fausse piste ou plutôt c’était une piste érronée. L’information était a peu prêt aussi fraiche que les légumes tous flétris par la chaleur sur les étales des marchands de la ville. Il n’avait plus qu’a faire demi tour et cette idée l’ennuya. Il faisait tellement chaud que s’en était infernal. Madyson devait probablement le chercher partout et avoir completement oublié la raison pour laquelle ils étaient venus ici. Il y avait des nuées de moustiques et finalement le centre ville n’était pas si mal.
Il retira sa veste blanche pour la porter par-dessus son épaule et rentra a la voiture. Il avait soif. Il revait d’une bouteille d’eau bien fraiche mais ici les choses ne restent pas fraiches très longtemps. En passant il ramassa Madyson qui s’était laissée avoir par les babioles des boutiques de souvenirs. Heureusement il ne lui avait laissé qu’une dizaine d’euros. C’était exaspérent de voir comme cette fille était materialiste. Pas que lui ne le soit pas, mais c’était différent parce que s’était son argent et que c’était un sorcier noir et pas une sale morveuse en culotte courte.
Bianco fut étonné de voir qu’ils étaient incapables d’avoir une maison convenable dans cet endroit et que pourtant il y ait un Macdo. Ah ! Macdo ! Heureusement que ca existe. Il prit deux menus et mangea avec Madyson. Comme il le pensait, hormi les babioles crasseuses elle n’avait trouvé aucune information qui puisse le satisfaire. Madyson n’était pas une esclave torturée et battue quand elle n’avait rien ramenée. En fait… C’était plutôt une sorte d’animal de compagnie. Ce qui explique surement que Bianco laisse parfois passer ses bétises avec un simple coup de journal sur la tete. Dans l’après midi il alla faire le tour des stands avec Madyson et trouva finalement quelqu’un qui avait quelques informations pour lui.
-Madyson tu ne bouges pas d’ici.
C’était un sorcier et il avait vu une gosse blonde suspecte. Elle parlait de remonter vers la chine a pied mais c’était a plusieurs jours de marche. Il avait encore de nombreuses chances de la trouver. Il n’existait que peu de santiers permettant de remonter a la chine. Il remercia et quand Bianco en revint a Madyson. Plus de Madyson. Ce que ca pouvait l’énerver ca. Il la chercha pendant plusieurs minutes avant de la trouver finalement devant une boutiques assez étrange.
- Je vais finir par te mettre une laisse ! On y va !
Ce n’était qu’a moitié une plaisanterie. Voir juste un quart. En colère comme il l’était elle avait plutôt interet a se faire oublier. Ils prirent la voiture et remontère finalement la route qui menait en chine. Des kilomètres et des kilometres de terre incapable de faire pousser quoique ce soit sinon de petits arbustes épineux. Aucun signe de vie et Bianco commencait a se demander si c’était finalement une si bonne idée. L’information n’était peut etre plus bonne, fausse. C’est a ce moment là qu’il peut distinguer au loin une silhouette bel et bien blonde.
Il s’arreta a coté d’elle. C’était quoi ca ? Elle semblait tout juste sortie de l’enfance et pas encore entrée dans l’age adulte.
-Mademoiselle Halliwell ? se risqua t’il.
Si ce n’était pas elle il laisserait sans aucun doute l’inconnue a son sort : la mort certaine. Mais il ne s’y serait pas risqué s’il n’était pas déjà quasiment certain que c’était elle. Ses dons avaient quand même quelque chose d’utile dans tout ca. Madyson sur le siège arrière avait des yeux comme des billes. Intriguée et même fascinée. Ce n’était qu’une première impression. D’ici un ou deux kilometres elle ferait sa crise de jalousie parce que c’était une fille et qu’elle était sur le siège avant. Madyson n’avait jamais le droit au siège avant. Il la prenait juste parce qu’il ne pouvait pas la laisser seule a son bureau sans craindre qu’elle le face exploser.
-Ce n'est pas raisonnable par ce temps de ce balader en zone desertique et en plein soleil. Je vous emmene?
Il était le premier a se demander comment il était possible que ce qu'il cherchait soit une jeune femme plus jeune que lui. Il était évident pour lui que c'était une femme adulte, mature et donc plus agée que lui mais visiblement il s'était trompé.
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Niveau du personnage Point RP: (249/200) Point Membre: (229/200) Niveau: 7 - ConfirméeFinola Halliwell Ange & Démon | Sujet: Re: Et dire qu'íl y a des citrouilles ici [pv kara] Mer 7 Mai 2014 - 20:28 | |
| Un doux parfum de multitude d'épice dans l'air qui va très bientôt manquer à la jeune prodige du clan Cromwell, dont elle est la future reine, héritière d'Aggie la généreuse. Une chouette d'une blancheur immaculée, survole le marché indien de Bombay pour se poser sur la sorcière. Une chouette pas comme les autres, dressé pour servir de pigeons voyageur aux services des sorciers. Le clan Cromwell se refuse à utiliser toutes ses choses électroniques et incompréhensible et même pour Kara ce monde est encore une énigme. Ce qui est certain, c'est que les humains possèdent une ingéniosité incroyable, peut-être supérieur à celle des sorciers. Mais ce n'est que l'avis d'une sorcière, elle-même n'ayant pas une telle ingéniosité. La chouette porte un certain message, ce message fut le feu vert pour reprendre la route. La sorcière sortie de son sac un chaperon rouge, après que la chouette s'envola de nouveau, elle enfila son vêtement par-dessus sa robe indienne. De retour avec ses provisions pour la route chez la famille qui l'avait hébergé un mois entier, elle fut accueillie avec toute la générosité indienne, la générosité que les humains peuvent faire preuve dans leur grande bonté. Elle récupéra ses affaires avant de leur dire adieu ou à une prochaine fois. Avant que Kara s'en aille, la famille offrit à la jeune femme de la nourriture pour la route, bien que la famille n'ait pas le placard rempli. Et même si Kara refusa une première fois, la famille ne lui laissa pas le choix. La jeune fille n'oubliera pas leur geste et en fera de même pour autrui. Avant de reprendre la route, elle observa un moment la ville, puis marcha sur la plage, la longeant. Bombay est vraiment une ville immense, riche et magnifique. Lui dire adieu est bien difficile pour la sorcière, mais dire adieu tout court lui est difficile en réalité. Enfin lasse de s'être extasiée une dernière fois sur la plage, elle se dirige de nouveau vers la ville en direction de sa frontière.
Une fois qu'elle sera hors de Bombay, une fois qu'elle sera lasse de marcher, peut-être utilisera-t-elle un peu de magie pour se déplace plus vite. Tenant fermement son balai entre ses mains, elle doit s'habituer à l'utilise d'une manière nouvelle. Autrefois, elle ne pouvait pas bien voler vite et haut, mais désormais elle est capable de faire des bonds à une vitesse considérable. Le hic, c'est qu'après elle se retrouve rapidement en manque d'énergie magique. La jeune femme aimait bien perdre du temps à contempler la beauté d'un lieu, surtout avant de la quitter. C'est surtout pour cela, qu'elle avait longé la plage au lieu de partir directement. Bien évidemment, maintenant elle devait couper au centre de la ville pour prendre le chemin en direction de la frontière de l'Inde. Elle ne sait pas combien de temps elle mettrait à pied, à balai ou en voiture, mais elle prenait tout de même son temps. Ce n'est pas comme si la jeune fille avait un ultimatum au-dessus de sa tête, bien sûr que non. Elle n'était donc pas pressée, d'ailleurs elle marchera un sacré moment avant d'utiliser son balai ou demander qu'on la transporte en voiture. Elle ne veut pas vraiment prendre le bus, préférant économiser le peu d'argent qu'elle a sa possession. La jeune femme met une trentaine de minute, voire plus pour atteindre la limite de Bombay. Quand soudain, une voiture s'arrête à son niveau pour laisser un homme en compagnie d'une femme l'interpeller. Tout en écoutant l'homme et en le fixant dans les yeux, elle sort une feuille blanche et un stylo de son sac. Elle lève un sourcille en scrutant l'âme de l'homme et celui de la femme, elle remarque que les deux sont magiques. Malgré tout, la jeune fille doute un peu que l'homme soit un humain. Le problème c'est que les âmes se ressemblent toutes, elle ne peut pas en être certaine des gènes de l'homme et donc de son appartenance raciale.
- Et vous êtes ? Demande-t-elle d'une voix plutôt calme et posée. Je ne crois pas vous avoir déjà rencontré.
La jeune femme ne se sent pas du tout menace par l'homme, bien qu'elle soit en présence d'un sorcier noir. La sorcière est plutôt confiante concernant ses capacités, elle a acquis d'immense quantité de savoir, rien que pour se défendre en cas de problème. Ce qui est sûr, c'est qu'elle ne compte pas monter dans ce véhicule. Pour une raison ou une autre, elle n'a pas confiance en lui. De plus, il ne semble pas vraiment dans le besoin d'une quelconque aide, comme certaines personnes qui luttent pour trouver de la nourriture pour leurs enfants et eux-mêmes par exemple. Oui, c'est bien une référence à la courageuse famille qui a hébergé Kara. Tout en attendant une réponse de l'homme, la future reine du clan Cromwell commence à écrire sur sa feuille en main.
- Pourquoi je monterai dans votre véhicule, précisément ? Rajoute la jeune mage. Que me voulez-vous, réellement ?
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Dernière édition par Kara Halliwell le Ven 9 Mai 2014 - 23:15, édité 1 fois |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Et dire qu'íl y a des citrouilles ici [pv kara] Ven 9 Mai 2014 - 23:13 | |
| Dans ses réactions elle lui fait vaguement penser a Bleuann quand ils étaient enfants mais la ressemblance n’est pas flagrante a vrai dire si l’on se pose sur des détails mineurs comme le fait que Bleuann soit brune et cette femme blonde comme les blés.
Elle n’a pas l’air inquiète de le voir ici et lui ne l’est clairement pas. Il ne pense pas avoir a s’en méfier actuellement.
- Et vous êtes ? Je ne crois pas vous avoir déjà rencontré.
-Vaguement curieux. Non jamais encore.
Bianco sait que s’il se pointe devant elle en hurlant qu’il est un sorcier noir elle risque immédiatement de s’éloigner. Et mine de rien il doit admettre qu’il a besoin de quelques informations qu’elle est la seule a probablement pouvoir lui fournir sur Croix. Il a entendu dire de Dieu sait qui et Dieu sait ou, qu’au cours de sa vie elle y était déjà allée et s’était collé un peu trop a Dorian, ce qui lui avait frisé la moustache. Il cherchait donc a savoir si cela était vrai et si oui ce que cela avait impliqué. Il était rare qu’il parcourt autant de kilomètres pour des informations dérisoires comme celle-ci et qui n’avaient pas été demandées par un supérieur hiérarchique. Il était juste là pour discuter, se renseigner et il faut dire qu’il était de meilleure humeur maintenant qu’il l’avait trouvée. Plus empreint a une discussion posée qu’a lui tirer dans les pattes.
Elle n’aurait eut que peu de chance de l’atteindre car comme sur la majorité des personnes formant son entourage Bianco a toujours un tour d’avance.
- Pourquoi je monterai dans votre véhicule, précisément ? Rajoute jeune mage. Que me voulez-vous, réellement ?
- Je ne vous y contraint pas. Si vous préférez la marche en discutant je m’en contenterais. Lui qui se voulait arrangeant risquait de rouler au pas encore bien longtemps. Madyson pour sa part aurait surement été une proie moins difficile. Elle le regardait avec un air suppliant pour pouvoir monter a l’avant et peut être les séparer. Elle n’était pas une fan de Bianco et leur relation ne dépassa jamais le professionnel mais elle n’aimait pas le voir avec de jeunes femmes. Bianco le ressentait mais n’y apportait en réponse pas plus d’intérêt que pour le nombre d'étoile dans le ciel nocturne.
Contrairement a beaucoup d’Hommes qui jouaient les inaccessibles Bianco s’en sentait différent. Il n’était pas un inaccessible… juste un Homme compliqué a vivre.
-Vous vous décidez a monter ? Le moteur commence a s’encrasser a cette vitesse.
Lui qui supportait deja mal la chaleur n'avait pas particulièrement envie de renouer les liens déchiquetés qu'il avait avec mère nature. S'aurait presque été le contraire. |
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Niveau du personnage Point RP: (249/200) Point Membre: (229/200) Niveau: 7 - ConfirméeFinola Halliwell Ange & Démon | Sujet: Re: Et dire qu'íl y a des citrouilles ici [pv kara] Sam 10 Mai 2014 - 3:10 | |
| Visiblement, l'homme n'est pas conscient de la dangerosité de suivre un inconnu dans sa voiture, surtout pour une jeune et jolie fille comme Kara. Non pas qu'elle considère le jeune homme comme étant un éventuel violeur en série, mais pour le principe de sécurité, elle ne prendra pas le risque de monter dans ce véhicule. Elle détourne un moment son regard pour laisser passer quelque passant, ainsi qu'une femme poussant la poussette de son bébé. Elle lève la tête pour contempler la hauteur du building indien de la ville de Bombay, songeant qu'elle devrait peut-être prendre le train rapide finalement. Elle continue d'écrire sur sa feuille blanche, tout en jetant quelque regard à l'homme qui s'était arrêté en face d'elle. Et le fait qu'il ne veuille pas dire ce qu'il veut de la jeune sorcière, n'intime pas vraiment l'envie de le suivre. C'est là, après tout, un comportement suspect d'un homme peu fiable. Quelle folie poussera une personne à suivre un étranger sans raison ? « Une personne que je ne connais pas, que je n'ai jamais rencontré, mais qui pourtant s'arrête pour m'inviter à monter dans sa voiture sans me dire la raison, hors que je me porte très bien à pied... Je crois que ma vague curiosité est justifiable. » Dit-elle, le regard plongé dans les yeux celui de l'homme assied dans son véhicule. Le plus drôle dans l'histoire, c'est que l'homme l'a dit d'une certaine manière, d'un ton de la voix qui donne l'impression que c'est la jeune femme en question, qui a tort d'être curieuse. Dans ce cas, où va le monde ? Elle secoue la tête et termine avec précision et délicatesse ses dernières notations sur sa feuille, que l'homme et sa compagne ne peuvent voir de leur place. Qu'importe, ce qu'elle fait de sa vie, ce qu'elle entreprend, cela ne regarde absolument pas ces deux étrangers. Dès qu'elle termine, elle plie légèrement la feuille sans la froisser. Elle repose son regard sur l'homme, avec un peu moins d'enthousiasme.
- Oui, vous ne m'y contraindrez pas en effet. Répète la sorcière, acquiesçant de la tête pour appuyer ses dires. Et non, il n'y aura pas de marche en discutant, tant que je ne sais pas qui vous êtes et pourquoi vous semblez vous intéresser par ma personne.
Kara trouve la façon de faire de l'homme, un peu trop culottée et impolie. Le peu de temps passé avec l'homme, est déjà une assez pénible expérience pour la jeune sorcière. Elle a l'impression de devoir se justifier devant l'homme pour son comportement, voire s'excuser face à un inconnu de première. Oh mais, quoi qu'il arrive de toute façon, elle ne s'excusera pas pour sa curiosité ou pour le simple fait de faire tourner le moteur en point mort de la voiture de ce type. Pour dire vrai, elle s'en contrefiche royalement, elle n'a pas demandé à l'homme de s'arrêter pour elle. Kara jette un coup d'oeil à la fille assise à l'arrière du carrosse à moteur, elle lève un sourcil à la suite. L'homme doit avoir que peu d'estime pour elle, pour ne pas la laisser s'asseoir à ses côtés ou peut-être, avait-il prévu que Kara monte devant avec lui, bien avant. Bah voyons, il faut arrêter la fumette, c'est officiellement nuisible pour la santé physique et mentale d'une personne. « Je crois que je vais continuer mon chemin et vous le vôtre, mais merci d'avoir proposé tout de même. » La jeune fille détourne les talons avant de continuer sa route, tenant sa feuille et son stylo dans une main, elle reprend de l'autre son balai volant sur lequel elle s'appuyait. Il y a bien trop d'humain autour d'elle pour faire usage de son instrument de vole, elle devrait marcher encore un peu.
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