Elizabeth le caca

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 Elizabeth le caca

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Vice présidente des QG Allemagne et Danemark | Femme dévouée de Cormag
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LOCALISATION : A coté de Cormag. Ou du moins pas très très loin.
CITATION DU PERSONNAGE : Seul les poissons morts vont dans le sens du courant.

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Elizabeth M. Porter
Elizabeth M. Porter
Vice présidente des QG Allemagne et Danemark | Femme dévouée de Cormag
MessageSujet: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyLun 5 Juin 2017 - 17:03

Le soir tombe sur Berlin et je rentre à peine du bureau. L'appartement est frais, calme, comme si appartenant à une autre dimension. J'apprécie particulièrement ce moment là ou, épuisée de notre journée de travail, nous aimons tous nous assoir sur le canapé ou à la table de la cuisine pour boire une boisson fraîche et grignoter quelque chose. J'arrive donc, pose mon sac et mon blaser sur le canapé de cuir blanc, retire mes escarpins et ainsi que les premier boutons de ma chemise, laissant apparaître mon haut de dentelle couleur chair, puis me sers un verre d'eau froide pour me caler devant notre bai vitrer, afin de contempler le jour qui descend se cacher derrière les immeubles du quartier des affaires de Berlin. Aujourd'hui il a fait chaud, plus que les autres jours de la semaine. Le soleil est du, rouge vif, et le ciel se dégrade de couleur vive. Je contemple ce spectacle, quand Gabriella entra dans le salon.
-Bonjour madame, comment était votre journée ?
- Très bonne, merci !
Elle pris mon blaser et mon sac puis les rangea dans le hall.
-Je pars plus tôt ce soir, vous savez, mon fils...
Elle me regarda d'un air désolée. Ah oui c'est vrai, elle n'étais pas là ce soir.
-Oui oui évidement ! Ne vous en faites pas vous pouvez y aller.
-Merci madame !
Elle sortie de la pièce. Deux minutes plus tard, la porte de l'ascenseur se ferma.
Qu'est ce que je vais manger si elle n'est pas la ? Et Cormag ? Je ne m'étais pas encore posé la question. Bon, je suppose que je commanderai un petit quelque chose avant qu'il soit rentré du bureau. Chinois ? Non, je n'en avais plus envie depuis la fois où Cormag avait trouvé un bout de viande moisie dans sa salade. Un restaurant ? Non plus, si il rentre tard, plus aucun n'accepterai de nous servir. Peut être ce petit restaurant italien sur la 5ème... Tout en réfléchissant, mon regard parcouru la cuisine, et s'arrêta sur un livre de cuisine.
" Et si je cuisinai ?"
Je posa mon verre sur l'îlot central et pris le livre. C'était la première fois que je l'ouvrait et ça m'inspira. D'un coup, j'avais envie de faire plein de choses.
Je pris une page au hasard, regarda la recette et sortis un part un les ingrédients.
Je pris des œufs dans le frigo. Une fois dans ma main je les regarda. Ils étaient bien ronds, comme le ventre d'une femme enceinte. Ça me fit penser à la discutions que j'avais eu avec une collègue aujourd'hui. Elle était arrivée après quatre mois de stage en France et était revenu enceinte. Elle a à peine la trentaine, très belle, blonde et grande, un petit stéréotypes des gens qui habitent dans le nord. Après quelques "Felicitation" de politesse elle entamât le sujet avec ma secrétaire. Étant en pause café, je me pris au jeu de les écouter. Après quelque rigolades, elle se tourna vers moi :
"-Et vous Eli, c'est pour quand ?
Je la regardai avec un sourire, un peu bloqué. Pourquoi m'appelles-tu Eli ? Je ne me souviens pas qu'on se soit jamais appréciée... Ni même vraiment parlé en fait.
-De quoi ?
-Et bien, pour quand sera votre enfant avec Cormag ?
J'ouvrais les yeux un peu plus grand. Heu, j'avais envie de lui dire que ça ne l'a regardais aucunement mais après un mini débat interne je décidai de lui répondre gentiment.
-Et bien pas pour tout de suite, apparement.
-Ah et bien, faites attention, avec l'âge c'est plus difficile d'en avoir.
Avec l'âge ? Comment ça ?
Nouveau débat interne, cette fois, j'avais eu un coup de sang et avait une soudaine envie de lui renverser mon café sur elle. Sa voisine de table enchaîna vite, apparement une femme de 45 ans avait réussi à avoir un bébé, mais celui ci était né prématuré.
Avec l'âge ? Ça signifiait quoi, que j'étais vieille ?
Mais que le bébé, après quelques opération du au manque pour la croissance dans l'utérus, avait survécu et vivait très bien.
Avec l'âge ? 45 ans c'est vieux ? Non mais je rêve !
Je posa mon café et lui souris de nouveau.
-Merci pour le conseil. Sinon, n'oubliez et pas de vous remettre au travail, vous n'êtes pas payer à boire des cafés et parler sur la "babythéorie".
Une fois à mon bureau, je n'avais pas réussi à travailler. Je ruminais encore et encore tout en repensant à ce qu'elle avait dit. Rien qu'en y réfléchissant j'avais un élan de haine envers cette femme. Je ne suis pas vieille. Et qui donc osera me le dire en face aura affaire à moi.

Une fois revenu de mes pensées, je claqua la porte du frigo. J'entendis les bouteilles s'entrechoquer à l'intérieur.
En fait j'avais pas passé une si bonne journée que ça.
Cuisiner va sûrement me détendre ! Au menu : pâtes à la carbonara et aux petits légumes, et fondant chocolat au dessert. Je mis de côté les ingrédients et lu la recette des pâtes.

Pour 4 personnes :
-500 fr de pâtes fraîches
-400 grade lard fumé
-150gr de crème fraîche
-2oeuf
-Une courgette
-Une carotte
-Un oignons
-Sel, poivre


Ca c'était bon, tout était sortie.

Dans une poêle, mettre le lard coupé en bou d'un centimètre de largeur faire cuire 2min. Puis ajouter les oignons jusqu'à obtention d'une couleur doré.

Ils étaient précis. Je pris le couteau de cuisine, la planche à découpé et m'installa sur le plan de travail pour découper le lard et les oignons. Dès la troisième tranche de lard, je me coupai le doigt. " Merde, ça commence bien....". Je passa rapidement mon doigt sous l'eau, l'essuya avec un torchon et mis un mouchoir dessus. Les oignons me firent pleurer, mais je réussi à les 'émincer' sans me couper d'autre doigt -ce qui était une petite victoire péronnelle.

Couper les légumes en petits dés, et ajouter les aux lardons. Cuire à feu doux.

Une fois revenu à la poêle, je pris les autres légumes et les coupai à leur tour. Je du mettre trop de temps, car les oignons avaient commencé à noircirent. Après, ce fu au tour des légumes de noircirent.

Pendant ce temps, faire chauffer l'eau des pâtes dans une grande casserole. Ajouter dans l'eau du gros sel et des herbes.

Trop d'informations en même temps. Bon, une grande casserole.... Je pris l'une de celles qui pendaient au dessus du plan et la posa sur le feu. " Des herbes ? Comment ça des herbes ? Il fallu que je fouille les étagèrent mais après deux minutes, je pris des Herbes de Provence. " Ca doit être ça. "

Ajouter la crème fraîche et les jaunes d'œuf dans la poêle. mettre un couvercle et réduire le feu au minimum. Laisser reposer 15 minutes.

Oui Monsieur, bien monsieur. Je fais ce qui était écris.
L'eau était déjà en ébullition et il fallait encore que je trouve les pâtes.
Deuxièmes partie de cache cache avec les ingrédients. Pour le moment, j'avais gagné la première manche mais j'avais beau chercher je ne trouvait aucune pâtes, à part des coquillettes. Ça ira pour ce soir j'ai perdu déjà assez de temps. Je mis les pâtes dans l'eau. Pendant les 15 minutes qu'il me restaient à attendre je commença le gâteau au chocolat. Je connaissait déjà la recette, c'était le gâteau que ma cousine et moi préparait pour son anniversaire. Je n'en ai jamais mangé mais je pense que Celui la fera plaisir à Cormag.

Essorer les pâtes et y rajouter la garniture. Servir rapidement.

Pendant la confection du gâteau, j'avais oublié tout le reste. Je mis le gâteau au four pour 40 min et alla voir ma poêle. J'avais oublié de rebaisser le feu, la deuxième fois, ce qui faisait que mes légumes étaient collé au fond. Je pris une cuillère en bois et essaya de gratter. Je ne réussi à retirer aucun des légumes noirs carbonisé, mais par contre, j'avais repeint la moitié de ma chemise.

-Merde.

L'eau des pâtes avait débordée. Et les pâtes, elles, étaient beaucoup trop cuites. Je pris la casserole et la renversa dans la passoire.

Merde !

Une jolie gâteau en sortie.
Coup de sang. Je le senti venir dans mes tempes. Je pris la casserole et la balança dans l'évier avec le reste.

- Merde merde !

Je jette le tablier sur le plan de travail, sortie une bouteille de blanc et un grand verre, me servis un verre et le bu cul sec. Puis, je déboutonna ma chemise et mis la musique à fond.
Journée de merde.

Après une dizaines de musiques de mon cher Elvis Presley hurlant dans tout l'appartement, la porte de l'ascenseur s'ouvrit avec un "ting" que je n'entend pas.
Cormag était rentré, et je me trouvais sur la table de la salle à manger, avec presque les trois quart de la bouteille déjà dans le sang.
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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyMar 6 Juin 2017 - 21:13

Cormag s’exécutait avec application dans ses tâches quotidiennes de directeur de quartier général. Il commençait tôt ses journées et les finissait tard. C'était généralement le premier arrivé et le dernier parti. Il devait coordonner les frappes contre ceux qui menaçaient le secret, voir comment l'industrie avançait, attribuer les budgets … Il faisait beaucoup de paperasse et était rarement sur le terrain. Ca lui manquait, parfois, de ne pas attraper lui même les bad guys. Mais il savait qu'il avait beaucoup plus d'influence ici plutôt qu'en simple agent de terrain. Il faisait tout ça pour le bien commun, il le savait et tous ceux qui supportaient ces idées le savaient également. Il avait réussi à en avoir un certain nombre, des fidèles, au fur et à mesure des années. La guerre avait beaucoup aidé, il était vrai. Beaucoup pensait que Orpheo devenait impuissant, qu'ils étaient incapables de protéger les sorciers, les mêlés, les humains. Qu'il fallait frapper plus fort contre la menace.

Encore une fois, il apposait sa signature pour un dossier de budget qui lui convenait. Il se leva alors de sa chaise qui roula derrière lui jusqu'à toucher ses étagères, sans bruit. Il lissa son costume et le boutonna, contourna son bureau et passa la porte pour aller voir où en était ses équipes d'enquête et d'espion. Ils savaient que le QG de Rosenrot n'était pas loin, mais encore fallait-il leur mettre la main dessus. C'était devenu une des missions prioritaires. Si on affaiblissait Rosenrot, on affaiblissait Croix et on pourrait reprendre plus facilement l'orphelinat d'Ecosse. Mais ces sorciers savaient se cacher et nombre de ses espions s'étaient fait prendre. Certains étaient revenus, complètement ahuris, ayant oubliés tout leur souvenirs, d'autres leur étaient revenus morts. Des échecs cuisants. Cormag serrait les dents et les poings en y repensant, il ne supportait pas d'être ridiculisé par ces vermines.

Une autre piste était envisagée pour trouver leur repaire. Cormag laissa carte blanche, il n'était pas réellement doué pour les enquêtes, c'est d'ailleurs pour ça qu'il les observait de loin et demandait surtout des nouvelles sur les avancées de celle-ci plutôt qu'autre chose.

Il se dirigea ensuite au laboratoire. Son chercheur devait lui montrer une nouveauté. Quand il entra, Lionel avança vers lui, tout excité. Cormag essaya de le calmer tant bien que mal, avec détachement, comme d'habitude, pour ensuite lui demander ce qu'il avait découvert.

-Je pense que j'ai réussi à avoir une balle qui les tue, monsieur.

Cormag haussa un sourcil, demandant à en voir plus. Ils ouvrirent une soute où ils stockaient une quantité monstre de fantômes. Ils étaient enchaînés, ne pouvait pas s'enfuir. Les chaînes avaient des runes pour empêcher qu'ils ne bougent ou qu'ils fassent quoi que se soit de surnaturel. Le fantôme qu'une des assistantes tira était celui d'un petit garçon d'une dizaine d'années. Il avait peur. Si peur. Il regardait tout autour de lui. Il criait, pourtant aucun son de sortit de sa bouche, aucun objet aux alentours ne bougea, ne se brisa. Des larmes commençaient à perler dans ses yeux. Qui coulèrent bientôt le long de ses joues avec de s'évaporer dans le vide. Cela n'émeut pas Cormag, insensible à tous ces fantômes. Ils étaient morts, il fallait juste se débarrasser, anéantir ces restes infâmes qui ne causaient que panique et destruction. Ils attachèrent le petit au plafond, il essayait de se débattre, tant bien que mal. Lionel regarda son chef, des étoiles plein les yeux. Ce dernier hocha la tête, pour lui signifier de continuer sa démonstration. Tout sourire, le chercheur s'arma, visa, tira.

Un trou se forma dans la tête du fantôme. Ses yeux étaient morts, livides, sa bouche grande ouverte. Cormag s'approcha, inspecta les restes, passa sa main au travers, c'était comme traverser de l'air.

-Et cette chose ne revit pas ?
-Pas pour le moment monsieur, on en as mis plusieurs dans une autre cave, le premier date d'un mois. Le soucis est qu'il reste dans cet état.
-Et bien, Lionel, vous n'avez plus qu'à trouver un moyen de nettoyer les restes.

Sur ce, il parti. Il était satisfait de cette séance de test, mais l'enveloppe qui restait à la fin devait partir aussi. On ne pouvait décemment pas garder toutes ces … Enveloppes de fantômes. Il aurait fallu ouvrir des cimetières de fantômes ? C'était absolument n'importe quoi. Non, il fallait s'en débarrasser, purement et simplement, comme quand on jette la poussière qui s’amasse sous notre tapis.

Il jeta un œil à sa montre. C'était bientôt l'heure de rejoindre Elizabeth, encore une ou deux affaires à régler, et il pourrait rejoindre sa femme.



Il tourna sa clef dans l'ascenseur et attendit pendant la courte montée, fixant le plafond. Quand les portes s'ouvrir, une odeur de cramé entrant dans l'ascenseur. Il fronça les sourcils et s'avança dans l'appartement. Il déposa ses affaires sur la table de l'entrée et se dirigea vers la cuisine.

Cormag aperçut alors sa femme affalée sur la table de la salle à manger, un verre vide à la main, une bouteille presque vide à côté d'elle et un nuage de cramé flottant tant la cuisine. Sans rien un mot, il se dirigea vers les fenêtres pour les ouvrir et vit ce qu'aurait dû être leur repas – du moins le pensa-t-il – au fond de l'évier, tout carbonisé. L'air frais de la nuit s'engouffra dans la cuisine et on pouvait alors mieux y respirer. Il inspecta un peu mieux l'évier, essaya de frotter la poêle, en vain. Il fit donc couler l'eau pour que le tout trempe.

Enfin, il alla voir sa femme, il posa une main sur son épaule pendant qu'il faisait le tour pour s'installer en face d'elle, non sans avoir pris un verre propre avant. Il se servit en jetant des coups d'oeil à celle qui partageait sa vie. Elle était décoiffée, toute tâchée, son visage, ses habits, le tablier traînait par terre près d'elle. Ca n'avait pas dû être facile pour elle.

Il se mit plus profondément dans son siège, but une gorgée et sortit son téléphone. Pendant qu'il composait un numéro déjà enregistrait, il parla enfin.

-Chinois, ça te va ?

Il ne savait pas quoi dire par rapport à l'état de la cuisine. Il avait beaucoup de mal dans les rapports humains. Eli le savait. Et elle n'avait jamais insisté pour qu'il fasse énormément d'effort. Il lui était reconnaissant. C'était une belle intention de sa part d'avoir voulu s'essayer à la cuisine, mais comment dire merci alors que rien n'était au final sur la table ? Evidemment, il n'en voulait pas à sa femme, il avait l'habitude que ses essais en cuisine … finissent de cette manière. De temps en temps elle pensait être un cuistot et c'était une catastrophe. Au moins il n'y avait pas de feu.

Il passa commande, livraison à domicile. Il finit son verre de vin, prit le menton de sa femme dans sa main et l'embrassa sur le front avant de retourner à l'évier où il avait oublié d'inscrire des runes sur la vaisselle. Il n'aimait pas faire la vaisselle, il n'aimait pas faire les tâches ménagères de n'importe quelle sorte, sauf peut être cuisiner, et c'est pour ça qu'ils avaient une domestique. Mais il refusait que Gabriella voit la cuisine dans cet état le lendemain matin. Il ouvrit le lave vaisselle, transvasa tout ce qu'il y avait dans l'évier dedans et le lança, avec une rune supplémentaire dessus, pour être sûr que tout se désincruste bien.

Le dîner arriva bien vite, il alla donc régler leur commande à l'entrée de l'appartement avant de revenir à la salle à manger. Il servit Elizabeth et commença à manger en silence.

-Ce n'est pas grave tu sais, dit-il entre deux bouchées.

Après tout, il avait l'habitude.
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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyMar 6 Juin 2017 - 23:21

Durant toutes ses années, ce qui m'impressionnait le plus c'était le calme avec lequel Cormag faisait face à toute les situations. Je ne l'avais pas entendu rentrer dans l'appartement, ni entendu poser ses affaires et faire le quelques pas jusqu'à la cuisine. Finalement le vin avait fait effet plus vite que prévu. J'aurai certainement du manger quelque chose. Elvis s'était mis à crier "Blue Suede Shoes"... C'était ma chanson préférée.
Je vis Cormag. Il s'approcha et posa sa main sur mon épaule. Comment expliquer que seul ce geste me réchauffe le cœur ? Je ne sais pas. À ce stade je n'arrivais plus à réfléchir. Je le regardais faire, prendre un verre, s'installer, sortir son téléphone... je m'attendais à ce qu'il me fasse un minimum la moral, sans trop parler évidement, sinon ça n'aurait pas été normal. Il me regarda.

- Chinois, ça te va ?

Chinois ? Bah dans l'état où j'étais j'avais pas le choix. Mais en tout cas merci d'avoir proposé. J'approuve le chinois avec un hochement de tête, et repris une gorgée. Je suis lamentable. Ca je le sais.
Je voulais lui parler mais pour dire quoi ? En vrai j'avais pas besoin d'expliquer ce qu'il s'était passé il l'avais compris.
Il se leva et s'approcha. Il pris mon menton dans sa main et m'embrassa le front. Je caressa sa main avant de le voir s'en retourner en cuisine. Merde j'avais même oublié de faire la vaisselle. Je suis encore plus pitoyable que prévue. Je prend la télécommande et éteints la musique. Ma tête commençe à tourner...
La sonnette retentit dans l'appartement et Cormag alla chercher notre commande. Une fois revenu, il disposa devant moi un bol en carton et une paire de baguettes.

-Excuses moi... dis-je dans un soupir.

J'ouvre mon pot et détache les baguettes. Il avait déjà commencé à manger lui...

-Ce n'est pas grave tu sais.

Ca me fis sourire. Finalement il ne m'en voulait pas. Sûrement qu'il commençait à avoir l'habitude de mes tentatives désespérées en cuisines. Ca me fit oublier un instant mon mal de crâne.... et en vrai, les nouilles étaient bonnes.

-Dis...

J'avoue que je ne savais pas ce que j'avais envie de lui dire, mais j'avais envie de parler. De lui parler à lui.
Je pris une bouchée et le regarda.

-Ta journée c'est bien passée ?

J'ai déjà été plus inspirée pour engager la conversation, et en plus j'avais la voix cassée. Je pris un autre verre de vin, et remarqua qu'il se mariait très bien avec les pâtes.
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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyVen 9 Juin 2017 - 19:05

Pendant que Cormag s'occupait de la vaisselle, soit de mettre les plats avec de la nourriture carbonisée dans le lave vaisselle, il entendit que la musique se coupait. Il jeta un coup d'oeil derrière son épaule pour voi que sa femme s'était légèrement agité. Avec tout ce qu'elle avait bu il était étonné qu'elle sache encore aller éteindre les enceintes. Mais il l'en remercia par la pensée. Il avait déjà beaucoup à faire au bureau, il n'avait pas du tout envie d'avoir la tête qui explose une fois arrivé à la maison. Même s'il travaillait dans un endroit calme, ses collègues sachant qu'il ne supportait pas le bruit, sa condition impliquait de lourdes responsabilités et parfois de gros casse tête. Le mal de crâne pouvait donc arriver très vite et il avait tendance à insister pour que l'appartement soit un havre de paix où il pouvait se détendre, et parfois travailler dans le plus grand des silences.

Lorsqu'il revint à table avec la commande fraîchement apporté et encore chaude, Elizabeth s'excusa. Il la regarda d'un air interrogateur puis hocha la tête. Ce n'était pas grave. Ca partait d'une bonne intention. Si il avait été un peu plus loquace, il aurait sûrement rit de cette situation. Mais voilà, Cormag n'était pas très bavard, il prenait la parole quand il avait quelque chose à dire. Parfois pour faire plaisir à sa femme. Même si il ne le montrait pas beaucoup, il l'appréciait beaucoup et la respectait. Sa vie sans elle serait vide d'une certaine manière, il appréciait grandement sa compagnie.

Sa femme souriait. Elle avait les joues rosies par l'alcool et les yeux légèrement humides. Cormag n'avait pas l'art de la conversation quotidienne. Il se terrait alors dans son mutisme. N'ayant rien de plus à dire, et un peu de silence ne lui faisait pas de mal. C'était agréable, ça lui permettait de se vider la tête et de souffler de ce qu'il se passait au bureau. Les légers bruits de mastication et les baguettes qui frottaient contre le carton d'emballage lui suffisait amplement comme bruit de fond.

-Dis...

Il leva les yeux vers elle, attendant qu'elle poursuive, tout en buvant un peu de vin.

-Ta journée s'est bien passée ?

Il ne pu retenir un léger sourire amusé. Sa femme avait envie de parler. Soit.

-Oui. On a des tests concluants pour une arme qui tue les fantômes. Le seul soucis étant que leur spectre reste, même s'il est inanimé.

Le sourire avait, bien entendu, très vite disparu. Il fixait sa nourriture en la mangeant. Il sentait qu'il devait ajouter quelque chose. En temps normal, il aurait juste répondu « oui » à cette question. Mais il s'appliquait à faire des efforts pour la femme qui partageait sa vie. Il savait qu'elle en avait besoin et d'une certaine manière, elle voulait qu'elle soit heureuse. S'il fallait pour lui qu'il parle plus que d'ordinaire, c'était largement dans ses cordes. Elle avait bien réussi à le séduire, ce qui était en soit un exploit. Elle avait réussi à lui délier la langue, elle avait même réussi à le faire danser le soir de leur première rencontre. Si ça, ce n'était pas un miracle.

-Et toi ?

Il aurait aimé posé une question un peu plus spécifique, mais il était un peu débordé au travail en ce moment et il ne savait plus quel dossier il donnait à qui. Et sa femme savait très bien coordonner ses actions et se débrouiller seule. Elle n'avait absolument pas besoin d'une nourrice. Elle pourrait parfaitement diriger un QG à elle toute seule, mais elle avait décidé de rester à ses côtés. Et c'était de l'aide qu'il ne refusait absolument pas. D'ailleurs, elle était bien plus douée que lui en relations humaines, elle pouvait donc appâter la proie en premier. Et Cormag revenait ensuite par dessus avec son don de persuasion. Il faisait une belle équipe.

Il finit son repas, prit ses emballages et alla les jeter. Arrivé dans la cuisine, il sentit une odeur qui restait. Il tourna sur lui même et vit que le four était allumé. Il s'attendait à une énième catastrophe. Il l'ouvrit, délicatement. De la fumée en sorti. Mais pas noire. Ca ne sentait pas le cramé. Ca sentait, le chocolat. Il toucha le plat. Trop chaud pour le commun des mortels. Il le prit à pleine main, à main nue. Il inspecta ce gâteau qui lui semblait bon, étonnant de la part de sa femme. Il prit un couteau, le découpa. Facile. Il sortit une assiette et se serva. Le gâteau était fumant mais une délicate odeur alléchante s'en dégageait. Il prit une cuiller et posa son dessert sur la table à manger. Il resservit sa femme et lui même de vin.

-Ce gâteau m'a l'air plutôt réussi.

Malgré tous ses échecs en cuisine, elle persévérait. Il appréciait ça, d'une certaine manière, il ne voulait pas qu'elle abandonne ces essais. Peut être qu'un jour elle y arriverai jusqu'au bout. Et ces essais étaient trop rares pour que cela l'exaspère de ranger la cuisine après ses essais lamentables. Et puis, elle n'aimait pas le chocolat. Il trouvait cette attention adorable, de faire quelque chose juste pour lui.

Il se rassit et goûta le gâteau. Il était succulent. Il sourit donc à sa femme pour le lui signifier.
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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyLun 12 Juin 2017 - 15:47

Ma tête tourne moins depuis que j'ai commencé à manger. Pas étonnant, j'avais le ventre vide avant... Cormag devant moi était sage comme toujours, calme, il mangeait tranquillement ses nouilles. Mon dieu... en fait il aime cette tranquillité et je me demande, pourquoi il reste avec moi ? Oh la. C'est l'alcool qui parle, pas moi. Il faut que je finisse mes pâtes ça ira mieux après. En attendant je vais essayer de ne plus boire de vin, faire un petit effort, pour lui.
Il me sourit, il a l'air amusé. J'ai dis quelque chose qu'il fallait pas ? Je ne me souviens déjà plus...

- Oui.

Ah oui c'est vrai. Sa journée.

- On a des test concluants pour une arme qui tue les fantômes.

Oh ça c'est bien. J'eu un léger hochement de tête comme si je commentait intérieurement ce que je pouvais dire -ce que je faisais en fait...-

- Le seul soucis est que leur spectre reste, même s'il est inanimé.

Mince... ça aurait été trop beau.
Il resta un instant silencieux, je m'attendait à ce qu'il continue, ou alors qu'il se taise. Le simple fait d'avoir entendu sa voix m'avait redonné le sourire. Il avait une voix profonde et juste, et sur le fond je me demandais souvent si il utilisait son pouvoir sur moi... je sais qu'il est puissant, et ca le rend encore plus.... beau ? Oui aussi. Mes idées s'embrouillent.
En fait le connaissant, il allait sûrement se taire.

- Et toi ?

Première surprise de la soirée. Je ne m'attendais pas à ce qu'il continue la conversation, en vrai je savais pas quoi lui répondre. Ma journée avait elle été bonne ? Hm.... la matinée Oui, l'après midi moyen, et le soir... n'en parlons pas.

- Hm... dans l'ensemble c'est une journée moyenne. J'ai pu finir les dossiers importants ce matin, d'ailleurs je l'ai ai déposé à ton secrétariat... hm... sinon j'ai eu une discussion 'interessante' avec mes secrétaires et enfin... une soirée un peu canonisée.

Je me mis à rire un peu. J'avoue j'étais fière de ce jeu de mot.
Il me sourit. Définitivement : j'aime quand il sourit. Je ne sais pas si il sourit pour ma blague nulle, ou pour se moquer de moi.
Il se leva et jeta les emballages et baguettes à la poubelle. Je gratte ma joue, et y découvris une légère croûte : C'était un reste de mon essaie catastrophique, certainement de la crème.
Sur le buffet il y avait un petit miroir, et je m regarda furtivement. C'est pas jolie tout ça... . Je détacha mes cheveux. C'est deja mieux.
J'entend la porte du four se fermer et Cormag entra avec une part de gâteau, il me resservit de vin et s'assit.

- Ce gâteau m'a l'air plutôt réussis.

Je le regardais les yeux et la bouche entre-ouvert, j'étais étonnée. Deuxième surprise de la soirée : j'avais réussis le gâteau au chocolat. J'étais contente et dans la tête je criait victoire ! Enfin pas trop fort.... fallait pas que je fasse revenir mon mal de crâne.
Quand je suis contente -ou plutôt fière- je me morts inconsciemment les coins droit de la lèvre inférieur, tout en souriant, les lèvres légèrement pincée.
Je me lève et me placederrière lui. Je mis mes bras autour de ses épaules en dégageant mes cheveux sur le côté.

- Si il l'est, j'en serait ravie. J'espère qu'il est bon... En tout cas régales toi !

Et Je lui posa un baiser sur le coin des lèvres.
Voilà. Je l'aime
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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyMer 5 Juil 2017 - 0:46

Sa femme hochait doucement la tête en entendant Cormag décrire sa journée, pensive. Le ton de celui-ci était plat, monocorde, aucune émotion, juste une banale description de ce qu'il avait fait. Et avouons le, les journées de directeur n'était pas très intéressantes ou palpitantes, surtout de la paperasse. Et la paperasse, sa femme s'y connaissait vu qu'elle l'aidait énormément dans tout ça. Aider était d'ailleurs un faible mot. Elle l'assistait avec brio. Bref, la paperasse, elle connaît, et elle partage la majorité de ses journées de paperasse avec lui, elle connait la majorité des dossiers qui tombent ensuite dans ses propres mains. C'est parfois même si elle connait pas mieux ses propres journées que lui. Son emploi du temps, c'est elle qui le gère dans son ensemble. Certains diront que ce n'est qu'une assistante. Cormag la voit comme une assistante. Mais dans le vrai sens du terme, et pas qu'une secrétaire, elle l'assistait véritablement chaque jour, surveillant les dossiers, s'occupant de la communication, surtout quand il s'agissait de faire de la propagande pour leur parti, elle avait la tchatche pour accrocher les gens, chose qu'il n'a jamais su faire, étant trop pragmatique, trop rationnel. Les sentiments, c'était son truc à elle, et pas uniquement parce qu'elle était une femme, loin de là, et c'était pour ça qu'ils faisaient une si belle équipe. Le relationnel pour elle, le rationnel pour lui. Sans elle, il n'aurait jamais pu arriver si loin dans la propagation de ces idées. Les idées étaient déjà là, bien sûr, il ne les a pas inventés, des gens avec qui il a parlé, anciens Orpheo ou toujours présents, pense comme ça et combattent le système actuel. Mais ils étaient complètement désorganisés. Alors Cormag a juste mis de l'ordre dedans. Leurs idées se sont propagés, les anciens conservateurs se sont élevés, ils ont parlé, et maintenant leur parti règne sur plusieurs pays (Europe de l'Est, Russie, Chine, Corée du Nord...) et nombreux sont les sièges du conseil pris par eux.

Sa femme souriait à nouveau. Il n'était pas sûr de comprendre pourquoi donc il continuait de manger ses pâtes paisiblement. Les subtilités des émotions humaines, un grand questionnement pour lui. Lui c'était sourire... Et encore. Cette marque de joie n'était pas dispensée à tout le monde. C'était bien avec sa femme qu'il était le plus à l'aise et où ces gestes lui venaient le plus naturellement. Il les entendait au bureau, dire que leur chef avait un balai dans le cul. Mais il s'en fichait, il n'avait jamais été blessé par des remarques de ce genre, même quand il était plus jeune. Il savait qu'il était comme ça, il ne changerait jamais et n'avait jamais cherché à changer. Ca lui convenait très bien. Il était également plus facile pour lui de lui faire plaisir, en continuant de lui parler par exemple. Il ne voyait pas ça comme une corvée, alors qu'avec les autres, les conventions sociales l'agaçaient au plus haut point et … Il décidait de ne pas s'y résoudre. Heureusement dans son QG, tout le monde savait qui il était et commençait à avoir l'habitude de son caractère. Et puis il était le chef, il fallait bien que ça serve à quelque chose. Quand il croisait d'autres personnes de d'autres QG... C'était autre chose... Et ça l'exaspérait.

-Hm... dans l'ensemble c'est une journée moyenne. J'ai pu finir les dossiers importants ce matin, d'ailleurs je l'ai ai déposé à ton secrétariat... hm... sinon j'ai eu une discussion 'interessante' avec mes secrétaires et enfin... une soirée un peu canonisée. 

Elle rit. Il sourit. Il ne savait pas s'il devait en demander plus sur cette discussion « intéressante » ou non. Ca lui venait plus facilement avec sa femme mais ce n'est pas pour ça qu'il excellait dans l'art de la conversation. Mais son repas était fini donc il alla dans la cuisine pour se rapporter du dessert qui n'avait pas l'air raté. Il fit par de cette réflexion à sa femme quand il revient dans la salle à manger et elle avait l'air soulagée et ravie. Malgré son étonnement, elle était fière, il pouvait le voir à sa façon de se pincer les lèvres. Après tant d'années de vie commune, il arrivait à percevoir quelques tics qu'elle pouvait avoir.

Elle se leva pour se mettre derrière lui, ses bras enserrèrent ses épaules. Il se tendit un instant avant de se détendre face à ce contact paisible et plutôt familier vis à vis de la sorcière qui partageait sa vie. Ses cheveux retombait sur son épaule. Il aimait quand elle les avait détachées. Il trouvait ça plus spontané et beaucoup plus charmant. Leur parfum léger montait jusqu'à lui et l'enivrait quelque peu. Il n'avait pas l'habitude du contact physique, souvent, il ne supportait pas ça. Elizabeth, c'était différent. C'était toujours différent avec elle. Après tout, elle avait su le séduire, là où tant d'autres avaient essayé et abandonné. Elle avait su y mettre du sien, elle avait trouvé les mots et les gestes pour attirer son attention. Et elle était arrivée à ses fins en se mariant avec lui. Cormag ne regrettait rien de tout ça, évidemment. Il était heureux avec elle.

- Si il l'est, j'en serait ravie. J'espère qu'il est bon... En tout cas régales toi ! 

Un baiser au coin de ses lèvres. Il sourit avant de s'attarder sur son assiette. Il découpa soigneusement un morceau avec sa cuiller et l'apporta à sa bouche. L'amertume du chocolat se développa dans sa bouche. Il ferma les yeux tandis qu'il mâchait soigneusement sa part. Il ne pouvait pas en proposer à sa femme étant donné qu'elle n'aimait pas ça. Il trouvait ça quelque peu dommage qu'il ne puisse pas partager ce moment avec elle. Il posa délicatement une main sur les siennes et se retourna légèrement.

-C'est très réussi, Eli.

Il ne pouvait se décider à lui poser un baiser sur sa joue. Plus tard peut être. Les marques d'affection spontanée venant de lui allaient et venaient, cela dépendait beaucoup des moment, des instants, des jours. Comme les personnes arachnophobes qui peuvent hurler un jour face à une petite araignée et s'en ficher le lendemain. Le directeur était comme cela.

Enfin, il finit rapidement le morceau qu'il s'était coupé, fini son vin et se leva, sans interrompre l'étreinte de sa femme. Il déposa un baiser sur ses lèvres, vous voyez, ici, c'était plus facile, avant de se diriger à nouveau vers la cuisine pour débarrasser ce qu'il restait sur la table.

Il revient dans la salle à manger, les bras ballants. Il ne savait que faire, habituellement, ils ne tardaient pas à se coucher. Ils se mettaient parfois un film, ou vaquaient à leurs occupations chacun de leur côté. Ce soir, il ressentait le besoin de sa femme à être à ses côtés. Difficilement, il lui prie la main et l'entraîna vers le salon. Il alluma la télévision alors qu'il s'était assis sur le canapé. Il commença à zapper sur les différentes chaînes jusqu'à trouver quelque chose digne d'intérêt. Il baissa légèrement le son, pour qu'il puisse demander quelque chose à Eli en même temps. Il ne savait même pas ce qu'elle voulait faire. Et il aurait sûrement de meilleures idées que lui. Qui était douée en expérience sociale ? Certainement pas lui.

-Quelle était la conversation avec tes secrétaires ?

Il savait que c'était risqué comme question. Il avait mis du temps avec de la poser. Il espérait que ça ne parlerait pas chiffon mais vraiment quelque chose de plus sérieux voire d’inhérent à l'organisation. Après, c'est vrai qu'il n'était pas forcément très plaisant de parler encore du boulot une fois arrivé dans le calme du foyer. Il y passait lui même déjà assez de temps comme ça. C'était éreintant. Et souvent il ramenait du travail à la maison. Mais encore une fois, parler de mondanités lui était quelque peu étranger. Mais après tous ses efforts, il voulait faire à son tour plaisir à sa femme, en quelque sorte. Et surtout, il aimerait que elle prenne les devants sur ce qu'elle voulait faire ce soir. Il se sentait un peu mal à l'aise de l'activité qu'il avait initié.
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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyMer 5 Juil 2017 - 14:12

Je restais accrochée à lui, attendant une réponse. J'espérais qu'il me dise que mon gâteau est réussis, voir plus mais bon vous savez, avec Cormag, c'est toujours un peu compliqué. On ne sait jamais ce qu'il pense et ne dis presque jamais ce qu'il récent. Voir jamais... Je commence seulement à déchiffrer certaines de ses émotions, après plus de 20 ans de vie commune. Vous imaginez ? Je sais quand il n'est pas content, Ca se voit assez clairement. Il ne change rien à son sourire toujours invisible -évidement celui ci est toujours inexistant-, mais ses yeux se ferment légèrement, et un tout petit froncement de sourcil se fait ressentir. Léger. Mais je le remarque toujours, car Ca arrive lors des réunions et généralement c'est avec des personnes assez... stupides. Dans ces rares moment je me permet de prendre la parole et de conduire à la sortie nos invités avec un blabla déjà tout programmé. Oui, mon rôle à moi, on peut dire que c'est le relationnel, en même temps, vu la tête de mon mari... qui imaginerai celui la rigoler avec des clients ? Lui c'est le sérieux. A nous deux, nous formons une équipe imbattable. Je ne serai dire pourquoi mais ce lien entre nous est au delà de notre mariage, c'est quelque chose de plus fort et désormais je ne m'imaginerai pas ma vie sans lui, au final, il bouchait le vide tout au fond de mon cœur. Il n'était pas bavard ni beaucoup affectif, mais je remarquais qu'il faisait beaucoup d'efforts pour moi, déjà il me pose des questions sur ma journée. Vous allez rire, mais ça il ne le fait qu'à moi... Après, pour ce qu'il peut se passer au lit, notre vie sexuelle n'est pas forcément aussi torride que la plupart des couples normaux. Nous avons mis du temps avant de se voir nu l'un l'autre -même si je ne suis absolument pas pudique-, et plus encore avant de faire l'amour. Mais ça ne me dérange pas. Je me dis que si il ne veut pas je ne le forcerai pas, et si un jour il arrive qu'on le fasse, je prend ça comme un cadeau et profite de chaque instant. Le plus important pour moi c'est qu'on reste ensemble.
Bon, l'alcool partait progressivement, et je commençais à reprendre la main sur mon esprit. Cormag lui, savourait sa première bouchée de gâteau... verdict ? Il pose une main sur les mienne.

-C'est très réussi, Eli.

Bingo ! J'étais heureuse. D'une j'ai réussi à faire un gâteau sans le cramer, et de deux, il lui avait plu. Je souriais d'un sourire plutôt niai le temps qu'il finisse sa part de gâteau et son vin. Si je sais qu'il aime, je lui en referai certainement. D'ailleurs, ca me redonnait du courage, il ne fallait pas que j'abandonne mes efforts en cuisine ! Bon, en espérant qu'il dise la vérité et que mon gâteau soit réellement bon.. personnellement je n'allais pas y goûter, vous comprenez, le chocolat et moi Ca doit faire 2, même plus. Je pris parti de le croire sur parole, d'ailleurs je croyais sur parole toutes les personnes qui me dise que le chocolat c'est délicieux.
Il se leva et se tourna, sans que mes Bras s'enlève. Il pose délicatement un baiser sur les lèvres. Vous voyez ? C'est pour ça que je l'aime : on ne sait jamais ce qu'il va faire ni quand, et quand Ca arrive, mon cœur se déloge de ma poitrine. Je lui rendit son baiser et le libéra. Il me donnait encore moins envie de me séparer de lui pour ce soir. Je rangea la bouteille de vin et le regarda revenir de la cuisine. Pendant quelques courtes secondes, il resta les Bras le long du corps à regarder dans le vide. Il devait réfléchir, à tout les coups. Moi j'aimais le voir réfléchir, son visages est tiré par certain traits spécifique. Puis, il s'approcha et me pris la main. Troisième surprise de la soirée. Il me conduisit jusqu'au canapé. Il faisait rarement ça et pendant un court instant je pensais qu'il avait une petit envie mais quand je le vis allumer la télé je secoua la tête. "Non Eli, de toute façon tu as trop bu.". Je m'assis à côté de lui et me cala contre son épaule. Ce programme me plaisait aussi. Je le regardais changer les chaines, elle passait une part une et je n'arrivais pas trop à comprendre les programmes de chaque. Il s'arrêta deux seconde sur une chaîne de découverte, le commentateur parlait du diplodocus, et montrait des images aux invités. Cormag changea les chaînes encore trois fois après Ca. Il baissa le son, toute manière il n'y avais pas beaucoup de choses intéressantes à cette heure de la journée. De mon côté, j'étais bien contre lui.

-Quelle était la conversation avec tes secrétaires ?

La conversation avec mes secrétaires. La conversation... cette phrase résonna plusieurs fois en moi. Hm... que pouvais-je lui dire ? Par ou commencer ? Par le début ? Oui ca peut être bien.

-Tu te souviens de Josiane ? La fille de la compta, elle est revenu du séminaire enceinte. Les filles était à la cafétéria avec elle et discutait de son futur bébé du coup je me suis incrusté.

Je mis un temps. Je n'arrivais pas trop à réfléchir à une tournure de phrase adéquat.

-Et elles m'ont demandé pourquoi je n'avais pas d'enfant encore, et s'en est suivit plusieurs insinuation sur mon âge, comme quoi je serais trop vieille bientôt pour pouvoir avoir un enfants en bonne santé...

Ouais bon j'ai pas envie qu'il prenne Ca comme une attaque personnelle. Je ne veux pas d'enfants et il est au courant. Pourquoi pas un jour en adopter un et encore...

-Une discussion intéressante quoi...

Évidement, la phrase était ironique. Elle était sortie dans une sorte de souffle de désespoir et mon moral diminua d'un coup. Pourquoi une femme d'un cinquantaine d'années n'ayant pas d'enfants c'est aussi mal vu ? Quel est ce monde ? Je n'avais pas autant le droit sur mon corps, ces réflexions prouvaient qu'une femme devait avoir des enfants pour rentrer dans les normes. Ces mêmes normes qui guidaient notre monde du bout du doigt, et que chacun suivait tel un mouton. En plus du fait de dire que à 54 ans j'étais déjà obsolète... Je ne suis pas vieille. "Non Eli, tu n'es pas vieille." Heureusement que Cormag était la, le fait de l'avoir près de moi me permettait de ne pas sombrer dans un désespoir certain. Je ne savais pas trop ce qu'il pouvait dire là dessus, c'est ce genre de discussion qu'il évitait d'avoir, et j'aurai aimé pouvoir éviter de répondre à ces question quatre fois par semaine, mais étant femme de 54 ans mariée et sans enfant, c'était dur. Ca se trouve, on lui pose également la question souvent...
Je pris sa main et lui fit des papouilles sur le dos de celle-ci. Sa respiration me berçait. Si je continuait comme ça j'allais m'endormir... Mais je ne voulais pas, ces moments d'intimité entre nous était assez rare en ce moment et je voulais en profiter au maximum.
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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyLun 10 Juil 2017 - 23:26

Elle lui rendit son baiser. Quelque chose de très prévisible. Il la savait amoureuse de lui. Très amoureuse même. Il était attachée à elle, sans aucun doute possible. Après, avait-il un jour été amoureux ? Il n'en savait rien. Mais il se doutait que s'il la perdait, cela lui ferait un grand vide dans sa vie, très regrettable. Il la respectait énormément et s'était habitué à sa compagnie qu'il trouvait souvent agréable. Sans aucun doute, elle était chère à ses yeux.

Sa femme le regardait pendant qu'il se torturait les méninges pour trouver une activité pour le soir. Il n'était vraiment pas doué pour ce genre de choses. Que faisaient-ils tous les deux habituellement?Déjà, c'est Eli qui proposait, c'était plus simple, il n'avait qu'à suivre s'il en avait envie, il n'avait pas besoin de réfléchir aux activités pour conserver des relations humaines. Les relations humaines étaient si compliquées, si codifiées. C'était relou. C'était surtout les codes, Cormag n'avait eu à s'occuper de rien ou quasiment dans sa relation avec Eli, et ce n'était pas plus mal, elle avait tout fait, n'avait pas abandonné et sa persévérance lui avait bien plu. Mais quand il pensait à tout ce qu'elle avait dû endurer : ne pas harceler la personne, ne pas lui envoyer de signaux contradictoires, laisser le temps à l'autre personne de se reposer, relancer la personne quand on voit qu'elle ne répond pas, tout en ne l'étouffant pas. Tant de codes à avoir, c'était épuisant. Heureusement qu'il ne réfléchissait jamais à ça. Heureusement que sa femme s'en était occupé. Heureusement que c'était elle qui s'occupait des relations humaines. Il en aurait été tout bonnement incapable. Et nous n'allons pas se mentir, c'était en grande partie grâce à elle que le parti s'était bien agrandi ces dernières années.

Elle l'accompagna alors jusqu'au canapé où il zappa jusqu'à tomber sur … Quelque chose. Parce qu'il savait qu'il tomberait exclusivement sur des programmations déjà entamées et il n'avait pas envie de s'évertuer à trouver quelque chose qui n'était pas encore commencé. Il avait aperçu des télé réalités, des dessins animés, des séries, des documentaires, des films de romance, d'action, d'espionnage, d'horreur, des thriller... Bref, il y en avait pour tous les goûts.

Il s'arrêta sur un programme au hasard donc. L'annonceur indiquait une comédie dramatique. Ca promettait. Mais il baissait le son pour entendre la réponse de sa femme quand elle lui racontait la conversation qu'elle avait eu cet après midi avec ses collègues. Cormag travaillait aussi avec elles mais … Ce n'était pas lui qui avait des casuals conversations avec elles.

Cette conversation ne lui plaisait guère et il fronça le nez pendant que sa femme lui racontait prenant des pauses mais ça ne lui permettait quand même pas d'apprécier la chose. Leur vie intime et privée ne regardaient qu'eux et c'était leur choix de ne pas avoir d'enfants. Cormag ne s'était jamais vraiment posé la question mais il savait que ça ne le gênait pas d'en avoir. Vu son sens de la conversation de toutes façons, son enfants aurait certainement été malheureux avec lui. A moins qu'il ne soit comme son père, quelqu'un sans sentiment et froid. Mais un enfant a besoin d'attention, de jouer, et ça, il s'en savait incapable. Et puis il n'avait pas le temps. Et pas forcément l'envie non plus de se libérer ce temps. Ils en avaient déjà parler tous les deux. Avant qu'ils se marient. Et qu'ils soient d'accord sur ce point était une très bonne chose, il ne voulait pas se disputer sur des sujets importants comme ça. Et si vraiment un jour ils voudraient un enfant, il savait qu'il y en avait plein sur terre qui étaient déjà présents qui ne demandaient qu'un foyer. Cormag se pensait par contre incapable de leur donner de l'amour. Une éducation, un foyer sûr, oui, sans soucis. Mais de l'amour, des marques d'attention, non. Même Eli devait encore les chercher. Il pouvait assurer une protection sans soucis. Même là, il voulait passer un savon à ces dames. Un savon était bien sûr, un euphémisme. Il voulait les renvoyer. Surtout quand il entendait sa femme soupirer ainsi. Elle avait l'air … Blessée ? Mais il savait qu'elle ne voulait pas d'enfant. Ou avait-elle changé d'avis ? Si c'était le cas, elle lui en parlerait sûrement au moment venu. Ils se parlaient toujours. C'était quelque chose d'énorme qu'ils avaient là. Ils, surtout Cormag, soyons honnêtes, parlaient peu, mais ils parlaient bien. Dès que quelque chose n'allait pas, ils étaient sincères l'un envers l'autre et c'est pourquoi cela marchait si bien entre eux. Eli imposait souvent la conversation mais comme dit plus tôt, Cormag avait l'habitude. Il avait appris à vivre avec, à l'accepter, à l'apprécier.

Il était donc tendu face au désarroi de sa femme. Comment devait-il réagir ? Les virer ? Lui demander s'il devait les virer ? Ne rien faire ? Faire comme si il n'avait pas senti cette tristesse dans sa voix ? Ou avait-il tout faux et interprétait-il mal les émotions de sa femme, encore ? Devait-il agir ?

-Je peux les changer de service si tu le souhaites. Ou autre chose.

Il pensait que c'était le meilleur compromis. Changer de service pour plus qu'elle ne soit en contact avec ces acerbes individus. Sans pour autant être trop radical, ce qu'on lui reprochait souvent. Et là, il n'avait pas d'excellentes raison de les renvoyer, les relations humaines seraient capables de lui râler dessus. Encore. Il en avait plus que marre, il ne pouvait même pas gérer son propre QG comme il l'entendait. Et pourtant, il était censé être froid, manipulateur, calculateur, sans cœur … Et voyez le, ne renvoyant même pas ses femmes. Peut être avait-il un cœur, au final.

-Au moindre débordement de leur part, elles ne travailleront plus pour nous.

Ou pas. Il embrasse le sommet du crâne de sa chère et tendre. Celle-ci lui prit la main pour la caresser. Une habitude qui s'était instaurée très rapidement entre eux. Encore une fois, c'était bien parce que c'était elle. Quand ils étaient tous les deux, à faire une activité reposante ou distrayante, elle lui faisait souvent des papouilles ; il avait horreur de ce mot, trop niais à son goût mais n'avait pas d'autre vocabulaire pour les appeler, étant ce qu'elles étaient ; sur la main, le ventre ou les cheveux. C'était une caresse plutôt agréable. Il appréciait surtout celles au niveau du crâne. Mais faisant une bonne tête de plus qu'elle, celles-ci n'étaient possibles quand lorsqu'ils étaient allongés ou presque. Car quand le sorcier était au lit, c'était pour dormir. Et il n'appréciait pas trop les contacts pendant son sommeil.

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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyDim 16 Juil 2017 - 21:53

Non, je ne désire pas dévernir mère. Déjà, être mère signifie attendre neuf mois avec un ventre gros comme une montgolfière, un accouchement qui dur des heures et qui déchire tout ton être intérieur et extérieur, un gosse qui pleur toute les trente minutes pour boire ton lait -si tu en a...- et une traite qui t'assèche intégralement et de manière plus efficace qu'une randonnée en plein désert. Non, définitivement non, je ne veut pas d'enfants. C'est vrai que avoir un enfant permet de continuer la lignée et le nom de famille, mais partant du principe que déjà j'avais refusé de prendre le nom de Cormag, je n'allais pas imposer à un gosse un nom de famille, que ce soit le mien ou le sien.
Je me souviens quand j'avais douze ans environ, il m'est arrivé de m'imaginer mère, à vingt-cinq ans, heureuse dans un foyer et chéri par mon époux. Mais ce rêve je l'ai vite oublié, découvrant que la vie sans attache était plus excitante qu'une vie bien ordonnée. Même si, j'ai rencontré Cormag, et celui-ci a chamboulé tout mon raisonnement... Mais lorsque je n'avais qu'une petite vingtaine d'année, l'orque que je découvris le monde du sex et du plaisir, il était hors de question que je gâche tout ça avec un enfant. Et depuis, mon aversion pour la procréation et la mise au monde d'un nouvel être n'a fait que s'aggraver.
Oui je me suis mariée et pendant un instant j'ai eu peur que Cormag désire un enfant. Il n'en veut pas non plus, du moins pas pour l'instant, et si un jour il aimerait en avoir un, ce serait en adoptant. Sur le principe je suis entièrement d'accord. Adopter un enfant qui attend une famille c'est mieux que donner vie à un gamin qui, à mon sens, prend la place d'un autre.
Jusqu'à présent, je n'eu aucun moment de faiblesse, je n'avais jamais flanché sur ma position. Malgré toutes les réflexions sur je me prenait tout les jours au travail, lors dès gala et autre sauteries officielles. Ce qui me faisait le plus mal était les réflexions sur mon âge. Oui, je suis une femme qui complexe de vieillir. Même si les sorciers on une espérance de vie plus longue que les humains, à 54 ans, je me sentais vieille. Surtout que, dans les bureaux d'Orphéo, les places qui étaient vides suite à la guerre d'il y a quatre ans se remplissaient de jeunes sorciers, humains doués, tous d'environ la trentaine et ayant une vigueur implacable. Je ne sais pas si jai encore cette force. Mais je sais une chose, c'est que Cormag me fait me sentir entière et forte.

Il m'avait demandé d'expliquer la discussion et je lui avait répondu. Son air septique me fis penser qu'il ne savait pas quoi répondre. En même temps, qu'est ce qu'on pouvait répondre à ça ? Je ne peux rien faire contre les bavardages de mes secrétaires, et encore moins contre tout les dires de tout le monde. Je pouvais leur donner plus de travail, pour éviter qu'elles ne se retrouvent plusieurs fois par jours pour discuter mais ça ne passerait pas inaperçu. Je suis leur chef après tout et Cormag le grand patron.

-Je peux les changer de service si tu le souhaites. Ou autre chose.

Bon, lui avait aussi des idées assez radicales. Ca me plait. J'eu un sourire de satisfaction. Ce genre de phrase montre qui est le chef, et le chef, c'est mon époux. Oui, oui... je suis fière d'être sa femme et le sentiment de pouvoir qui m'envahit me fait énormément plaisir.

-Au moindre débordement de leur part, elles ne travailleront plus pour nous.

Pour nous. J'aime ça. Nouveau sourire de satisfaction. En plus, il me dépose en mode furtif un baiser sur le front. Cet homme, je suis heureuse de l'avoir à mes côté tout les soir. Je suis heureuse de l'avoir comme mari et de partager sa vie.
Assise toujours contre lui, je me redresse et lui souris en guise de réponse. Qu'est ce que je peux lui répondre d'autre ? Je suis certe du genre bavarde mais là...
Je caresse sa joue et l'embrasse.

-Je te remercie.

Je détourne le regard... J'avais envie de prendre une douche. Une bonne douche, pour oublier tout oublier de cette journée assez énervante. Ma main gauche était toujours posée sur la cuisse de Cormag... Hm... Et si... Je me mordis la lèvre. Ma main glissa vers l'intérieur de sa jambe et remonta jusqu'à sa chemise. Je déboutonna le premier bouton qui était sur mon chemin, et introduisi mes doigts pour caresser le bas du ventre de mon cher époux... Il ne bougeait pas d'un pouce. Pas étonnant. Je me mis devant lui et me rapprocha de son oreille.

-Je vais me prendre une douche. Si tu as envie de venir...

Oui, c'était un gros sous entendu. Mais bon, même si Cormag n'était pas très câlin, qui ne tente rien n'a rien. Je lui mordis le laube et lui déposa deux baisers dans le cou. Puis, je me leva en laissant mes cheveux glisser le long de son épaule et de ses joues. Je sais qu'il aime mes cheveux détachés et leur odeur. Je pris les escaliers et me dirigea vers la chambre. Arrivée devant le fauteuil dans l'angle, je retira mes vêtement. Je pouvais voir la ville depuis la baie vitrée, et l'océan d'étoiles qui s'étendait dans toute la vallée où se trouvait Berlin. Dire que quelque part, se trouvaient des sorciers noirs, prêts a détruire l'harmonie de ce monde. Avant que cela ne puisse se produire, j'aurai pu au moins profiter de la vu qu'offrait notre appartement. Je m'approcha de la vitre et le reflet de mon corps se mélangea au reste. Notre appartement était du bon coté, aucun autre immeuble ne gâchait la vu et n'offrait de vis à vis. Le jour où nous l'avons trouvé, nous avons gagné une pépite. C'était désormais notre nid.
Une fois nu, je fis coulisser la porte de la salle de bain et entra dans la grande douche à l'italienne. Celle ci était carrelé de gris et le sol était composé de galet. J'avais insisté pour mettre ce sol, il massait les pieds, et je trouvais ça très agréable, en plus du côté esthétique et du fait de faire rappeler la mer et ses belles plages de galets. Je mis l'eau en route et attendis tranquillement qu'elle se réchauffe. L'eau arriva d'abord à mes pieds. Je déteste me mouiller entièrement dès le début. Je suis plutôt du genre à me mouiller les pieds, puis les jambes, ensuite le torse et je finie par la tête et les cheveux quand je dois les laver.

Une fois l'eau à température souhaitée, je tend l'oreille. Cormag était monté à l'étage, et j'espérais qu'il vienne me rejoindre.
Oui j'avais envie de lui. Et non, ce n'était pas à cause de l'alcool. J'avais tout simplement envie de passer un moment agréable avec l'homme que j'aime.
De plus, cela faisait un certain temps que nous n'avions pas eu de moment aussi intime. Comme il rentre tard, je suis généralement déjà couchée, ou alors devant la télé, amorphe et ayant aucune envie de quoi que ce soit.
Là, c'était different.
Là, c'était le bon moment.
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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyLun 7 Aoû 2017 - 19:29

Sa femme souriait de plus en plus à mesure des réponses du directeur. Il savait qu'elle aimait le pouvoir, comme tout le monde, un minimum de pouvoir est toujours agréable. Et les conversations se ses secrétaires, et surtout tout ce jugement n'avait rien à faire sur le lieu de travail. Même pendant la pause café. Devait-il leur rappeler que sa femme était son assistante, par conséquent qu'elle était leur supérieure ? De quel droit osaient-elles lui faire de telles réflexions. Tous ses employés savaient pertinemment qu'il ne fallait pas jouer avec ses nerfs. Sa femme et lui savait tout ce qui se passait au QG. Tout. Ils avaient de fervents fidèles à tous les étages de la hiérarchie, et le couple se communiquait sans arrêt des informations. Certes, Cormag ne parlait pas des conversations bateau, il n'y participait pas de toutes manières. Mais tout ce qui se passait se savait, au sommet de la direction. C'est à dire, eux deux.

Eli approcha sa main du visage de son mari pour venir caresser sa joue. Ses lèvres rencontrèrent les siennes.

-Je te remercie.

Il ne comprenait pas très bien pourquoi. Parce qu'il la défendait ? Sûrement, ça devait être ça. Il n'y avait pas d'autres explications. Mais ça lui paraissait normal, si on nuisait à sa femme, on nuisait à lui et son entreprise. Et leur vie privée ne regardait absolument personne excepté eux deux. C'était quoi ce monde où les paysans voulaient tout savoir de la vie privée et intime des personnes célèbres et importantes ? N'importe quoi.

La main d'Elizabeth remonta le long de sa cuisse. Il fut interpelé, leurs contacts physiques étaient … Plus que rares. Exceptionnels. Il n'était pas encore tout à fait à l'aise avec ça, malgré toutes leurs années de mariage. Leur relation était beaucoup plus intellectuelle que physique. Sa main se déplaça sur sa chemise, qu'elle déboutonna légèrement avant de venir caresser son ventre. Il haussa un sourcil circonspect.

-Je vais me prendre une douche. Si tu as envie de venir... 

Elle continua ses avances en lui mordant le lobe de l'oreille, posant deux doux baiser dans le cou qui le fit frissonner, avant de se lever et de partir. Il avait compris ce qu'elle voulait. Il n'était pas très réceptif souvent, parce que les sous entendus, ce n'était pas du tout son genre. Mais là, elle n'y allait pas par quatre chemins. Donc il comprenait. Il l'entendit monter les escaliers et le plancher craquer légèrement au dessus de sa tête. L'appartement était silencieux à part ça. Il se leva à son tour, éteignit les lumières sur son chemin, admira la vue de Berlin de nuit, alors qu'il avait un panorama magnifique. Le fait qu'il n'y avait aucun vis à vis était une clause extrêmement chère à son cœur quand ils cherchaient un endroit où habiter. Cet appartement était … Parfait. La vue était à tomber, le dernier étage, aucun bâtiment si haut à proximité, loin du bruit de la ville.

Il se dirigea donc vers les escaliers pendant qu'il commençait à enlever les boutons de sa chemise. Il entendit la porte de la salle de bain coulisser et l'eau qui commençait à couler pendant qu'il finit de se déshabiller dans la chambre. Finir de contenter sa femme ne serait pas trop désagréable ce soir. Il avait peu envie de contacts physiques, très souvent c'était Elizabeth qui les commençait, et parfois, il succombait à quelques désirs charnels. Parfois, comme ce soir, il n'avait pas forcément envie mais une petite idée trottinait dans sa tête. Un petit pourquoi pas. Ces aventures étaient loin d'être désagréables. Dans tous les cas, elle avait uniquement proposé une douche. Mais il pensait bien que ça irait sans doute plus loin. Si elle le voulait, et bien, pourquoi pas. Il attendrait tout de même qu'elle démarre la chose, ne voulant pas faire quelque chose qu'elle ne souhaitait pas. On ne savait jamais. Il ne voulait surtout pas la blesser, après tout.

Nu, il pénétra dans la salle de bain. L'eau de la douche ruisselait sur tout le corps de sa chère et tendre. Il la rejoint bien vite, dans son dos et l'enserra de ses bras, lui posa un léger baiser dans le cou avant de relever la tête et de profiter de l'eau chaude fort apaisante.

Il prit ensuite le savon et dans un élan de confidence et de surprise pour lui même, commença à le poser sur sa femme, sans mot dire.
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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyMar 8 Aoû 2017 - 21:33

Nietzsche disait : le mariage est une longue conversation.
Si je devait comparer mon mariage et ma vie, je dirait que Cormag et moi n'en somme qu'à l'introduction de notre existence. Nous avons encore beaucoup à dire, beaucoup à entendre, à écouter surtout et à apprendre de l'autre. Je ne pense pas que le mariage au fond soit ce lien qui brise un couple, ou change les rôles, ou encore brises les miroirs où se cachaient les vices. Je pense que justement cela reste une période de découverte, ou l'on trouve chez le ou la partenaire de notre vie, de nouveaux défauts, et surtout de nouvelles qualités qui se révéleront êtres importantes.
Cormag et moi n'en sommes qu'au début de notre vie et comme nous partons du principe que nous nous disons tout, je pense que nous pourrions continuez ainsi des milliers d'années.



Je sentis sa présence dans la douche avant même qu'il me touche. J'eu des frissons. Je trouve que cette sensation reste l'une des plus intense que je puisse éprouver avec lui. Quand Cormag m'autorise son corps et qu'il partage des moments d'intimités intenses.
J'étais sous la douche depuis quelques minutes déjà, les cheveux étaient mouillés et plaqués contre mon dos. Durant quelques secondes, j'avais fermé les yeux et écoutais. J'avais entendu les pas sur le carrelage, des pas dur et fermes, de l'homme qui partageait ma vie depuis bientôt une vingtaines d'année. Aller savoir, nos rapports étaient je dirai, bien plus intellectuels que physiques. Nous étions l'un dépendant l'autre, à nous deux nous formions un tout. Un unique. Et ça, Ca valait tout les rapports physique du monde. Autant vous dire que, mes hormones misent à rudes épreuves, s'affolaient quand l'un de nous deux -autant vous dire, presque toujours moi- décidait de se donner à l'autre, et d'offrir du plaisir. Rien qu'en sentait Cormag arriver près de moi, les frissons m'envahissaient.
Ainsi donc il m'avait rejoins, et mon cœur s'affolait déjà dans la poitrine, comme un oisillon désirant ardemment prendre son envole. Il plaça ses bras autour de moi, ses bras solides, confiants, et me déposa un aider dans le cou. Autant vous dire que ces gestes la, je les savoure pleinement... l'envie montait en moi mais il fallait que je la contienne un peu. Il ne fallait pas que je lâche, je devait éviter de lui sauter dessus sinon, tout mes efforts allaient être anéantis et ça sûrement pas !
Les baisers de Cormag étaient doux. Ca change du personnage que l'on prend pour de la glace. Ses baisers étaient comme des roses qui, encore protégées dans leurs bourgeons, allaient bientôt voir pour la première fois le ciel. Ils étaient tendres et plutôt romantiques. Il prit le savon, et me frotta doucement le dos. Cormag était décidément un homme plein de surprises.... et je l'aimais à la folie pour ça. J'avoue que son initiative m'étonna sur l'instant, mais le fait qu'il le fasse me fit énormément plaisir, et puis... je n'allais pas refuser. Je ne dis rien, bercé par le bruit de l'eau qui tombe et les mouvements de ses bras qui se mouvaient autour de moi. Autant d'affection, pour moi.... Ses mains me caressèrent de toute part, plaçant le savon que l'eau faisait immédiatement fuir.
Je me tourna et l'imita, après avoir mis de côté mes cheveux. C'était à mon tour de lui donner de la tendresse, et surtout à mon tour de le récompenser. Il avait fait pas mal d'efforts et je savais que j'étais souvent la première me lancer. Sûrement qu'il ne voulait jamais me forcer à rien, mais avec lui, c'était plutôt moi qui des fois avait l'impression de le forcer. Ainsi donc, je mis quelques minutes à savonner son corps en prenant bien soin de passer partout, commençant par son torse, caressant ses poils, puis ses hanches, ainsi que ses bras. Venait donc le moment crucial, le moment où, je passa d'abord mes mains sur ses fesses, tout en collant mon corps contre le sien. Je les adore ses fesses. Elles sont lisses, belles et bombées. Je me hissa sur la pointe des pieds et me mis nez à nez avec mon époux, l'une de mes mains calée sur son épaule pour ne pas tomber, et l'autre descendant entre ses jambes. Je me mordit la lèvre avant de déposer un baiser sur le coin des siennes, sur sa joue, dans son cou, avant de revenir sur les lèvres, que cette fois je mordillais. L'envie en moi était presque devenue incontrôlable. Mes pupilles se dilataient, et mes lèvres tremblaient, je priait intérieurement pour qu'il réagisse au plus vite. Mon souffle se coupait a quelques reprise, je n'osais pas respirer trop fort de peur de briser ce moment. Ma main libre caressait son sexe, quand à l'autre ramena l'une de ses deux mains sur ma poitrine, avant de remonter pour s'agripper de nouveau à son épaule. Le seul inconvénient c'est que j'avais du mal à tenir longtemps sur la pointe des pieds sans appuie. Je pris en main son pubis et cette fois ci enchaîna les premiers va et viens, tout en embrassant son cou et son torse, laissant quelque petite morsures par ci et par la. Une peu d'amour ça fait pas de mal....


La nuit était belle et la lune blanche et pâle. Dans cette ville d'étoiles, se déroulaient ainsi des milliers de vies et des milliers d'amour.
Je ne sais pas si mon histoire est une histoire d'amour, mais je sais qu'elle se joue en ce moment, et que je fais partie de ces étoiles.


Dernière édition par Elizabeth M. Porter le Dim 13 Aoû 2017 - 8:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Elizabeth le caca   Elizabeth le caca EmptyMar 8 Aoû 2017 - 22:33

Ca... Frétillait. Ca pouvait effectivement être le mot. Il trouvait ça bizarre de penser à un tel vocabulaire dans une telle situation. Après tout, il partageait une douche avec sa femme et il pensait bien qu'elle avait des idées derrière la tête. Lui ne voulait pas la brusquer. Mais plus il y réfléchissait, plus il pensait que ça lui ferait du bien. Après tout, leurs ébats étaient toujours une partie de plaisir. Ca le déstresserait aussi du boulot. Un jour peut être il songerait à lui demander si elle voulait que cela se fasse plus régulièrement, que lui commence à jouer avec elle. Mais rares les fois où il en avait envie. Il avait toujours à faire, et les pensées prises par trop de choses à la fois. Parfois, quand il revenait du bureau, Elizabeth avait déjà mangé et se divertissait comme elle en avait envie, végéter devant la télévision ou un livre par exemple, voire même, dormait déjà. Ô grand jamais il ne la réveillerait pour ça. Elle travaillait autant que lui et il lui était extrêmement reconnaissant d'en faire autant. Jamais il n'aurait pensé avoir une telle femme dans sa vie quand il était plus jeune.

Eli se retourna quand il eu finit de la savonner sous toutes les coutures et s'appliqua à faire de même pour lui. Comme toujours, il n'était pas sûr de la manière dont il devait réagir. Sourire ? Fixer le vide intersidéral ? Ses caresses étaient loin d'être désagréables et lui donnaient de petits frissons dans tout le corps.

Elle agrippa ses fesses et colla ses seins nus contre sa poitrine, il plongea son regard dans le sien. Ses intentions devenaient de plus en plus claires, ne laissant plus aucun doute possible à Cormag. Elle se mit sur la pointe des pieds pour embrasser la commissure de ses lèvres et fit glisser la main le long de son bas ventre. Les lèvres de sa femme papillonnèrent sur son visage avant de revenir sur les siennes, qu'elle s'amusa à mordiller. Un petit râle monta dans sa gorge, exprimant son désir qui montait davantage. Evidemment, quand on le provoquait, lui aussi avait du désir et des pulsions.

Elle agrippa alors son intimité, Cormag eu le souffle court un moment, le temps de s'habituer à ce contact peu fréquent. Une de ses mains fut guider sur la poitrine de sa tendre femme, qu'il massa, profitant de ce contact bien agréable, jouant même avec son téton pour faire encore plus monter son excitation, déjà bien présente, comme il le sentait. La sienne suivait celle de sa femme. Sans aucun soucis, elle savait l'exciter. Elle avait les mots, et surtout, les gestes pour lui faire comprendre qu'elle avait envie de lui. Et finalement, il répondait plutôt bien à tout ça.

Elle entama alors les mouvements. Il cacha sa tête dans les épaules de sa femme, se mordit la lèvre et poussa un gémissement. C'était … Fort agréable. Même bien plus que ça. Il appréciait fortement ce qui se déroulait en ce moment. Bien sûr, il avait apprécié toutes leurs autres fois. Elle savait y faire. Elle embrassait son corps en même temps, ce qui le rendait fou. Il n'y avait pas d'autres mots finalement.

Il lâcha alors son sein, pris à deux mains son visage et l'embrassa fougueusement. Si fougueusement qu'il la précipita contre la paroi en verre derrière, l'y plaqua et continua de faire jouer sa langue avec la sienne. Pris par ses désirs, il fit glisser sa main le long de son ventre pour arriver à son entrejambe qu'il caressa le plus délicatement qu'il pue. Tout en ayant un minimum de puissance pour faire assez d'effet.

Finalement, n'y tenant plus, il se décrocha d'elle, un instant. Le temps de la retourner, pour qu'elle soit dos à lui et la pénétra.
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