Invité Invité | Sujet: Lisbeth Van Mausen ♠ {OK} Dim 12 Sep 2010 - 0:08 | |
| Welcome to Mystery...Lisbeth Van Maussen " Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu'endormis. " E.Allan Poe-
feat Jodelle Ferland Âge : 13 ansDate & Lieu de naissance : 16 Juillet 1997Race : SorcièreStatut :Je n'ai pas le temps de m'occuper de ce genre de futilitéeGroupe : Prè - Adolescent... Tss.Don premier : Illusionniste de l'Horreur et des EnfersPouvoir premier : Métamorphose. Métamorphose fusionnelle: Léopard Blanc. Autres métamorphoses: Grand Corbeau. Cobra. Panda. Grand requin Blanc. Pitbull Américain.Cours facultatif suivis : Langues: Japonais, Arabe, Coréen. Combat: Armes blanches, Armes à Feu, Sabres (Katana), Kung-Fu.
« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »
● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées.Kapitel I. Si j'avais...
Que dire donc ? Que dire donc de ce qui se passe dans cette chambre ? Peut être que pour décrire ceci je vais vous dire un poème. Vous connaissez certainement Prévert n'est-ce pas ?Des draps blancs dans une armoireDes draps rouges dans un litUn enfant dans sa mèreSa mère dans les douleursLe père dans le couloirLe couloir dans la maisonLa maison dans la villeLa ville dans la nuitLa mort dans un criEt l'enfant dans la vie.Alors ? Est-ce que ca résume ? Je vais mieux vous expliquer ce qui c'est passé cette nuit là. Nous étions le seize juillet mille neuf cent quatre-vingt treize et j'étais entrain de naître. Ma mère venait du Canada de la ville de Ottawa a Ontario une région juste à côté du Québec. Si vous n'êtes pas fatigué allez dans un dictionnaire et cherchez un peu. Elle se nommait Alessa Mackleen. C'est origine était écossaise est vers l'année de ses 14 ans sa famille avait décidé de déménager sur les terres natales. Environ huit ans après Alessa partie faire des études poussées en Allemagne dans la ville de Magdebourg. Elle y rencontra mon père et... Pardon. Rassurez vous je ne vais pas vous raconter les amourettes de mes parents mais je reviens belle et bien au jour de ma naissance.Dans une maison sortie tout droit des films de Hitchcock ma mère s'efforçait tant bien que mal de respirait. Son souffle était saccadé, on aurait dit qu'elle faisait une véritable crise d'asthme. Mais non. Elle était juste entrain de me donner naissance. Était-ce tellement dur que ça ? Ou n'était-elle pas un comédienne ? A moins que la douleur venait de l'intérieur. D'après ce que je me rappelle mon géniteur m'as dit que ma mère n'aimait pas les enfants et qu'il l'avait en quelques sortes obligée à me laisser dans son ventre. La douleur physique devait être dur mais la douleur psychologique ne devait être que plus horrible et terrifiante. Des sages-femmes s'activaient autour de ma mère, il y avait une hémorragie. Du sang coulait certes mais il y en avait trop. Des draps d'un blanc pur devenait rouge sang, je ne sais pas si c'était la vision de mère qui était troublé mais elle laissa un petit crie de surprise éclater quand sur le drap elle crut voir un visage avec un sourire amusé se dessiner sur le drap taché. Mais elle n'eut pas tout le loisir d'y réfléchir quand dans un dernier gémissement de douleur mon corps de nourrisson sortie enfin de ses entrailles. Sa respiration continuait d'être bruyante quand du sang continuait de couler trop abondamment. On mit l'enfant apprenant à respirer dans un drap blanc de pureté alors que celle qui était ma mère était entrain de mourir dans les draps souillés de rouge.Mon père rentra dans la pièce en courant presque. Il fut horrifié de voir sa chère femme, sa Alessa chérie mourir. Il leva les yeux d'un bleu acier sur mon petit corps fragile pour me défigurer du regard avant de sortir de la pièce. D'après ce que j'avais entendue, c'était avec une haine qu'il m'avait accueillit. Et c'était avec haine que nous allions nous apprécier. Si j'avais sus... Jamais je ne serais née dans ce monde.Kapitel II. Je savais...Que fut ma vie ensuite ? Que se passa t-il ? Est-ce que cette haine que mon père m'avait lancé le jour de ma naissance était-elle toujours aussi vive ? Pour répondre à cette question si douloureuse et ironique soit-elle... Oui. Je vais vous raconter.Après que ma mère sois enterrée dans le cimetière de Magdebourg et que les pleurs d'un nouveau nés brisé le silence mortuaire qui régnait dans la maison. Mon père n'était sois-disant plus que l'ombre de lui même. Pendant exactement cinq ans je ne vis que trois fois mon père et à chaque fois c'était par le « pur » de hasard. Il ne voulait pas me voir. Il ne pouvait jamais me voir. Sois-disant il faisait des choses trop compliqués pour qu'une enfant comme moi ne comprenne. Renfermée je n'aimais pas parler et je préférer m'amuser à casse la tête de mes poupées pimbêches qu'autres choses. Et puis un jour... Je ne sais pas pourquoi alors que j'observais une vieille barbie les vêtements sobres qu'elle portait m'étonnais. Je la déshabillais, pris un peu de coton, des morceaux de tissu et une aiguille avec un fil. Pendant plusieurs heures je m'amusais à créer d'étranges poupées de tissu. Certaine effrayante, d'autres amusante. Les étranges poupées vinrent aux oreilles de mon père qui devint fou. Quand il l'es vit, je me rappelle de ses yeux bleu acier me juger avec méchanceté. Il m'arracha la poupée de la main pour la détruire sous mes yeux. Je me mis à pleurer et à gémir. Énervé par mon comportement et ma frustration je ressentie une gifle brutale me faire tomber à terre. Mes pleurs redoublèrent. Mon père hurlait et un silence de mort était encore présent dans la maison.Puis vint alors le temps de l'école. Dés le premier jour je sus que jamais je ne serais comme les autres. Je vis un fantôme, une gentille âme me parler avec tendresse. J'étais dans la cour, dans un coin sombre à parler toute seule. Les professeurs intriguaient en parlèrent à mon père. Le soir je ne compris pas quand des coups me tombèrent dessus. La maison était un enfer. L'école était presque pire. Les professeurs me faisait peur, les agents se moqués de moi et les élèves me maltraités. J'étais la risée de l'école. On me traitait de sorcière parce que je disais pouvoir parler au mort. Les professeurs ne m'écoutaient pas et j'avais presque l'impression d'être juste une gêne qu'une élève. J'avais environ huit ans ou neuf ans à l'époque. Il y avait cet homme... L'homme à tout faire. Je m'étais enfermé dans les toilettes des filles pour échapper au moqueries et au insulte. Mais lui... Il était là. Il guettait. Il me guettait. Ce fut quand je sortie de la cabine et en voyant cette homme au sourire effrayant que je fus prise d'une terreur sans nom. Je ne peux pas vous expliquer. Je vous laisse deviner. Quand je fus à la maison. Quand mon père vit l'état de mes vêtements, mes cheveux mouillés et sale, ma robe à moitié déchiré. Il ne se posa aucune question. Les femmes s'occupèrent de moi. Je ne me soucié pas d'elle. J'avais perdue quelques choses. On m'avait enlevée une chose... Je les haïssais tous. Je refusais d'aller à l'école le lendemain ou le surlendemain. Pour une fois mon père ne se déplaça pas pour venir me frapper. Mais j'y retourna la peur au ventre. Je fus accueillit avec amour... C'est de l'ironie. L'amour que ses enfants me portaient. Ils étaient en cercle autour de moi au centre, recroquevillé sur moi même. Je serrais mes poings en ne regardant pas l'horrible personnage se dressant devant moi... Cet homme. Je me mis à trembler. Comme pris par des spasmes, ma tête se relever vers les enfants qui avaient fait silence et me regardait, inquiet. Un étrange cri s'échappa de ma gorge quand le monde changea. Le sol se désintégrer, une lumière sombre apparaissait. Et surtout... Des monstres. Tous plus inhumains les uns que les autres. C'était la panique général où que les personnes se cache dans l'école. Il n'y avait que moi. Moi qui debout, un sourire amusé sur les lèvres je contemplais. Je savais... Qu'un jour j'aurais eu ma vengeance.Kapitel III. Si j'avais... Je savais... La fin.Et après ? Est-ce que mon père me frappa au bord de la mort ? Est-ce que je retourna à l'école ? Non ? Oui ?!Je me promenais. Un silence m'accompagnait. Voilà trois ans que l'évènement à l'école c'était produit. J'étais crainte. J'étais la personne à évitée. Je ne retournais plus à l'école d'après pour rester chez moi. Mon père avait arrêté de me frapper mais ne me donner pas plus d'attention. Je regardais le ciel d'un air serein que je n'avais pas eu depuis tellement longtemps. Je ne sais même pas si j'en est déjà eu dans ma vie. Je marchais près d'une maison abandonnée depuis peut-être plus de cinquante ans. La clôture était pourrie. J'ouvris la porte du jardin et pénétra à l'intérieur. C'était un endroit que j'aimais. Je pouvais venir ici parler avec mes amis et faire des poupées. Elles étaient de plus en plus belles et représentative. J'étais fière. Les autres aussi.Cette nuit là je rentrais un peu plus tard qu'à l'habitude, toute la soirée j'avais eu des envies étrange. Comme chasser une sourie qui s'amuser sur les planches. De me percher telle un oiseau et d'observer. D'aller nager dans un lac. Très étrange soirée. Quel âge ? Environ douze ans.Sur mon chemin je croisa des hommes. Ils étaient étranges. Je jouait avec une poupée à la main. La porte de la maison était grande ouverte. Que trouvais-je ? Mon père étendue à terre respirant tellement difficilement... Ma poupée à la main je regardais cette être. Il me faisait rire. Il me regardait avec un supplice inaudible. Mais qu'est-ce que j'ai fais moi ? A part me mettre à tourner autour de lui en dansant avec la poupée qui ressemblait étrangement à mon père? Je mettais amusé avec cette poupée cette nuit là. Elle en avait bavé la pauvre. Mon père aller trépasser... Je lui adressa un sourire radieux avant de prendre mes cliques et mes claques et de partir me réfugier dans cette vieille maison. Le soir même, je me sentais libre. C'est avec stupeur que assise je vis mon corps se changer. Des poils blanc poussèrent. Des pattes se formèrent avec des griffes. Des crocs. Tout... Qu'étais-je? Un animal sauvage et blanc. Blanc comme la pureté des draps qui m'avaient accueillit... Quel ironie! Ce n'était pas moi qui aurait dû être envelopper d'un drap blanc. Mais j'aurais dû avoir celui imbiber de sang. Peut-être que tout serait mieux...Que m'arriva-t-il par la suite ? A part que je disparus de la situation Allemande ? Ils vinrent me prendre. Dans un centre me disait-il. Je ne voulais pas de famille d'accueil. Mais j'arrivais dans une école avec des gens comme moi. Des gens qui voyaient les gens qui n'était plus. Qui avait des pouvoirs. Mais je ne pense pas être plus être appréciée ici qu'à Magdebourg. Même s'ils sont comme moi. Ils n'ont pas ce pouvoir de l'horreur. Ce pouvoir qui hante mes nuits et mes pensées.Personne ne peut comprendre les Enfers de Lisbeth Van Mausen.
« QUI-ES-TU ...? » ● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées.Psy? * Semble rire * Comment voulez vous qu'une gamine de treize ans décrive son mental! Vous en avez de bien bonne ici. Mais moi, la RPgiste se cachant je vais essayer de vous la décrire du mieux que je peux:* Calme/Patiente/Silencieuse (cela dépend de la situation). Elle n'aime pas se mettre en colère - tout de suite -. Elle a besoin d'analyser la situation sinon elle ne sera pas capable de faire le meilleur choix qui s'offre à elle. Mais n'allez pas non plus penser que cette étrange fille est le calme incarné, veuillez à ne pas l'énerver de trop près sinon vous risqueriez de vous heurter à quelque chose qui n'a plus rien d'humain entre autres. Ah oui ! Ne vous attendez pas à ce que la jeune fille montre son énervement par la colère, les sourcils froncées et la grosse voix. Elle n'en restera que plus passible et effrayante. Avec une voix légèrement plus mielleuse.* Déterminée/Combative. Elle ne risque pas de lâcher si elle veut quelque chose de vous. Elle peu être très persuasive . Et avec une tête pareille comment refuser ce qu'elle demande ? Dans les combats comme en cours ou rituel magique elle réessayera tant qu'elle ne sera pas satisfaite. Sauf qu'elle se pousse souvent trop au plus de ses limites.* Sarcastique. Un défaut que Lisbeth prend pour une qualité est de remettre certaines personnes à leur place. C'est un véritable plaisir et une chose que plus souvent il faudrait faire. Le plus drôle c'est que vous pouvez aussi être aussi sarcastique qu'elle, elle pourra avoir des réactions très différentes: un simple sourire triste et mystérieux qui vous clouera le bec ou juste une autre réplique. Tout dépend du niveau du sarcasme.* Cruelle. comme dans l'explication pour son calme, il ne faut pas chercher la jeune demoiselle. Vous vous heurterez une nouvelle fois à un personnage qui fera tout pour vous pourrir la vie jusqu'au désespoir le plus extrême. Elle n'a peut-être pas la force d'Hercule mais son esprit peut renfermer une cruautés, une malice et de la méchanceté au plus au point dont il se servira pour vous anéantir moralement. Donc le seul conseil: évitez de vous la mettre à dos.* Rebelle/Arrogante. Vous pouvez être un sorcier respecté si trouve que vous êtes sans intérêt elle pourra ne pas vous montrer grand intérêt. Ne la prenez pas de haut dès le début, elle pourra très facilement vous tenir tête. Elle dit ce qu'il pense pour la plupart du temps même si cela fait mal, elle manque parfois d'un peu de tact, même avec ses amis - si elle en avait - . Elle supportera mal les ordres... * Reconnaissante. Certes elle peu être arrogants. Mais elle sait quand il faut aller s'excuser ou bien aller remercier quelqu'un. Mais ne vous attendez pas à la voir le faire tous les deux jours. Elle restera des minimums polies mais n'essayera pas d'aller plus dans une relation.* Malsaine/Morbide. Lisbeth est une jeune femme solitaire et froide. Son comportement est étrange. Elle parle souvent seule à elle même ou bien à des poupées qu'elle fabrique à l'effigie des gens qu'elle rencontre ou bien encore qu'elle voit en rêve. Il est peu être rare mais il lui arrive de rire seule en prononcent des noms inconnues. Franchement, elle n'est pas appréciée dans l'école. Elle est trop étrange et trop tourné vers l'horreur et la mort pour que les gens l'apprécient .* Psy. La jeune demoiselle depuis son jeune âge à eut le droit à des tortures psychologiques. Depuis très longtemps elle voit des horreurs autant dans la réalité que dans ses rêves. On peut dire que toutes cette noirceur s'interprète dans ses transformations et de ses Illusions tellement particulière... Effrayant. Mais ce côté-ci... Il faudra mieux le découvrir.
● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées.Quel drôle de question. Ne me voyez vous pas ? Je ne pense pas avoir le don de me rendre invisible pourtant. Ne vous moquez pas c'est vrai. Donc puisque vous semblez être aveugle je vais me décrire le plus précisément et rapidement possible: je ne suis pas bien grande pour commencer. Environ un mètre cinquante. Normal pour une fille de treize ans me direz-vous. Mes cheveux sont de couleur marron foncée. Selon l'intensité de la lumière on pourrait croire qu'ils sont noirs. Ensuite j'ai des yeux dont la couleur est bleu. C'est un peu la même histoire que pour mes cheveux. Selon la lumière ils sont turquoises, ou bien vitreux. Ou encore foncée. J'ai un nez fin et aquilin qui semble bien fière. Des lèvres rosées ni trop fini ni trop pulpeuse. Style vestimentaire ? Cela dépend. Je passe souvent pour un fantôme pour dire. Ma peau est d'une pâleur extrême et un de mes seuls plaisirs sur cette terre c'est d'accentuer cette image d'ectoplasme ambulante.
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Nana-Chan Âge : 15 ansPoste Vacants ? : []oui [X]nonComment avez-vous connu le forum? : Sur Forumactif en cherchantFréquence de venue : 7J/7J plus d'une fois par joursCodes :Tell me what I want ! By Luka
Dernière édition par Lisbeth V. Mausen le Dim 12 Sep 2010 - 17:48, édité 12 fois |
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EMPLOIS/LOISIRS : Musique LOCALISATION : Dans les baskets de Zacharia Creed CITATION DU PERSONNAGE : Ce qu'il nous faut décider, c'est quoi faire du temps qui nous est imparti.
MESSAGES : 1971 DATE D'INSCRIPTION : 04/05/2010
Niveau du personnage Point RP: (54/200) Point Membre: (58/200) Niveau: 7 - ConfirméeHayley Creed Admin | The Girl on Fire ~ Life, new definition | |