Autumn Bowen [Terminé] {OK}

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 Autumn Bowen [Terminé] {OK}

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Admin | Exorciste d'Orpheo
CITATION DU PERSONNAGE : Life's short. If you don't look around once in a while you might miss it!

MESSAGES : 297
DATE D'INSCRIPTION : 28/10/2010

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Autumn Bowen
Autumn Bowen
Admin | Exorciste d'Orpheo
MessageSujet: Autumn Bowen [Terminé] {OK}   Autumn Bowen [Terminé] {OK} EmptyJeu 28 Oct 2010 - 20:35

Welcome to Mystery...

Autumn
Bowen
On peut fermer les yeux sur la réalité mais pas sur ses souvenirs.



      Autumn Bowen [Terminé] {OK} Avaficheautumn
      feat Kaya Scodelario
        Âge : 16
        Date & Lieu de naissance : 14 Février 1994 à Cleveland (Ohio, États-Unis)
        Race : Sorcière
        Statut : Célibataire
        Groupe : Adolescente
        Don premier : Illusionniste
        Pouvoir premier : Métamorphe canine (ou presque):
        - Forme fusionnelle Loup de mackenzie noir
        - Loup à crinière
        - Chien chanteur de nouvelle guinée
        - Renard polaire
        - Dhole
        - Ecureuil
        ( Cours facultatif suivis : pour les élèves) - Sabre
        - Forge des armes anti-poltergeist
        - Musique
        - Théâtre
        - Runes anciennes
        ( Matière(s) enseignée : pour les professeur)
        ( métier : pour les humains innocents)





« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »

    ● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées.

    Mon souvenir le plus ancien remonte tellement que je ne m'en souviens plus.
    On passera donc au suivant sur la ligne chronologique. Je me rappelle avoir ouvert les yeux un jour sur ma grand-mère alors penchée au dessus de mon lit pour gamin. Ses yeux souriaient au moins autant que sa bouche était étirée. Avec tous les plis de son visage, elle semblait juste sourire de chaque centimètre carré de sa peau ridée. J'avais tendu un bras court, tellement court, terminé par une main minuscule aux doigts potelés. Je voulais la toucher, cette tête familière et rayonnante. Obtenir un câlin, une étreinte, une marque d'affection même si ces yeux disaient déjà tout. Encore aujourd'hui, dans ma tête j'entends raisonner le rire innocent que j'avais émis. En somme, je faisais l'adorable bambin pour me mettre ma grand-mère dans la poche. C'est ce que je dis toujours pour y repenser avec le sourire.

    La vérité est tout autre. Cette personne âgée qui me regardait avec tant d'affection était morte deux jours plus tôt. La vieillesse l'avait juste emportée dans sa vague, avec tous les autres vieux qui ont eu la chance de mourir à la fin de leur vie, et pas avant. Dès lors, ce que j'avais eu en face des yeux ne pouvait pas être mon aïeul. Je ne saurais vous dire si c'était un fantôme, ou un tour de mon esprit perturbé par sa croissance. Je sais juste que le souvenir est suffisamment percutant pour que je m'en rappelle encore aujourd'hui avec tant de détails. Mais pour moi, ça restera toujours ma première rencontre avec un fantôme. Et comment mieux appréhender ces êtres qu'en ayant eu une première approche aussi douce? Je les croyais tous bons. Esprits de personnes trépassées, à qui on accordait un petit sursis pour rendre visite aux plus jeunes, aux proches, pour consoler et partir tranquillement. Je croyais qu'ils étaient tous rendus purs par la mort.
    L'utopie. La désillusion n'en a été que plus dure. Croyez bien que je les hais au moins autant qu'ils me le rendent.

    J'ai... Non, j'avais un frère, et une sœur. Nous étions tous les trois nés le même jour. Faux jumeaux, complètements liés par l'esprit. Tous deux mes ainés de quelques minutes, il en résultait pourtant qu'ils me protégeaient toujours. Alors même que nous avions le même âge. Nous jouions aux mêmes jeux, nous nous comprenions parfois sans parler. Parce que nous avions les mêmes envies, les mêmes craintes il était aisé de deviner celles des deux autres. Oh, nous n'étions pas identiques, loin de là. Si moi j'adore les pommes sous toutes les formes, mon frère les abhorrait et ma sœur ne pouvait pas les voir autrement qu'en compote. Avec de la cannelle, s'il vous plait.
    Mais c'étaient des détails, des détails, toujours des détails qui nous différenciaient. Dans le fond, nous étions tous les trois sur la même route. Nous ne ramassions juste pas les mêmes fleurs sur le chemin. Qu'importe au fond. Là où tout le monde était seul à affronter la vie et ses épreuves, nous étions trois.

    Nos parents, sorciers, ne s'attendaient pas à en avoir trois d'un coup. Oui, avec les moyens modernes, on doit le savoir. Mais ma mère n'était jamais allée faire d'échographie. Elle avait déboulé rayonnante dans une clinique de Cleveland en sentant les premières contractions, avec son ventre énorme ou nous étions de plus en plus serrés. Et ce fut là son premier contact avec un médecin depuis le début de sa grossesse. Femme irresponsable si vous le voulez, dans tous les cas trois cris résonnèrent dans la même salle de travail ce jour là.
    Jusqu'à nos dix ans, notre existence était parfaite. La perfection n'existe pas bien entendu, mais c'était juste la vie dont rêverait n'importe quel gosse.

    Et puis, parce qu'il faut toujours que quelque chose vienne briser la paix fragile, mon frère et ma sœur ont été tués par des poltergeists. A cette époque, nous étions en Californie. Le ciel brillait de toutes ses étoiles, la route était déserte, la radio allumée, et notre père au volant nous ramenait à l'hôtel. De temps en temps, je sais que notre mère nous jetait un regard attendri, à nous, ses trois rejetons lovés sur la banquette arrière. Nos yeux fermés, bercés par la musique douce, on s'endormait dans une parfaite imitation de la fratrie de chatons épuisés par leurs acrobaties journalières.
    Je glissais vers l'inconscience cotonneuse du sommeil quand j'ai brutalement percuté la vitre de la voiture sur la droite. Comme réveil, y'a pas mieux. Père avait dévié la voiture sur le côté d'un coup. Cette même voiture qui partit en tonneaux en quittant la route. A l'atterrissage, nous avions été sortis du véhicule par nos géniteurs. Je me rappelle avoir vu du sang sur mon père, et pourtant il se souciait de moi. Qui n'avait d'ailleurs que miraculeusement récolté un bon mal de crâne. Je m'en sortais très bien. Mon frère plus ou moins, mais pas ma sœur. A demi écrasée, elle avait du mal à respirer. Son souffle se bloquait par intermittence, sa respiration sifflante détruit encore toute volonté chez moi quand j'y repense. Mère l'avait tirée de la voiture, et ne pu que lui appliquer des soins basiques. Aucun de mes parents n'avait jamais été doué pour le soin.

    On aurait pu la sauver. Si ces... Ces fantômes, ces esprits abjects et immatériels n'étaient pas venus frapper à notre porte. Non contents d'avoir déjà renversé la voiture, ils voulaient nous renverser aussi. Comme des pions sur un échiquier, qu'on élimine d'une pichenette une fois bien placé. Ils étaient nombreux. Cinq, peut être plus. Deux d'entre eux étaient particulièrement haineux, tandis que les autres n'étaient là que pour le spectacle. Ce qui ne les empêcha pas de mettre la main à la pâte.
    Je me rappelle m'être mangé un rocher, qui m'offrit un aller simple pour l'inconscience. Lorsque le monde extérieur vint toquer à mes paupières et qu'elles s'ouvrirent de nouveau, je n'avais plus de sœur. Et un frère handicapé à vie.

    Inutile de décrire comment cette perte nous a brisés, et me brise encore aujourd'hui. C'est un trou dans mon esprit que je m'efforce de combler, et qui se rouvre quand ça lui chante.
    Mon opinion sur ces êtres du paranormal changea du tout au tout, et je me mis à les craindre. Une crainte profonde. A cet âge, je ne pouvais pas vraiment les haïr même si c'était déjà le cas au fond. La crainte s'atténua quand j'ai commencé à découvrir que j'avais les moyens de lutter contre eux.
    Mes parents étant sorciers, il est normal que je le soit à mon tour. Je ne sais pas si c'est une particularité de notre famille, ou juste le hasard qui s'amuse, mais nous sommes tous métamorphes. Tous, tous, tous. Et, autre fait amusant, je suis métamorphe canine. Juste des canidés. Ou presque, en fait je peux aussi me transformer en écureuil. Je cherche toujours d'où ça sort d'ailleurs. Enfin, à part le mangeur de noisettes, toutes mes autres formes sont des chiens. Mon frère lui, n'avait que des oiseaux. Et, ma sœur... Je pense qu'elle penchait vers les félins. Elle est morte avant d'avoir pu faire sa première transformation.
    Tout ceci est peut être lié à notre condition spéciale de triplés, ou encore une fois, juste au hasard. Mes parents pouvaient prendre des formes assez diverses, eux.

    Ils nous ont entrainés, mon frère handicapé et moi. Mon frère aimait tellement ses transformation. Son handicap l'empêchait de marcher correctement, et bien souvent cette contrainte le forçait à se mouvoir en fauteuil roulant. Sous sa forme d'oiseau, cette peine disparaissait. Il tendait ses ailes, et goûtait à nouveau à cette liberté dont il était privé sous forme humaine.
    Pendant qu'il volait, je courrais. J'adore courir! Encore plus sous l'une de mes formes à quatre pattes, qui vont tellement plus vite qu'un humain. Mais ce n'est pas le sujet. J'ai donc appris. Mais ça n'a pas suffit.

    Un soir, nos parents sont partis pour une mission en urgence. Restés seuls avec mon frère -alors tous deux âgés de treize, presque quatorze ans-, nous regardions un film dont je ne me rappelle pas le nom. Tard dans la soirée, le téléphone sonna de manière frénétique, et une fois décroché, nous parvint du bout de la ligne la voix affolée de notre mère. A travers le combiné, elle nous criait de fuir la maison rapidement, et de filer jusqu'à la périphérie nord de la ville. L'incompréhension peignit le visage de mon frère et le mien. Et pour cause, pourquoi mère nous disait-elle de fuir ainsi? La réponse vint rapidement sous l'apparence de deux poltergeists. Je ne sais pas ce qu'ils ont contre notre famille, mais maintenant ils doivent se frotter les mains. Ce soir là, même en se battant, mon frère handicapé y est resté. Mes parents sont arrivés bien trop tard pour le sauver. Ce jour là, j'ai cessé de penser "nous". Je hais les esprits.

    Je vais abréger la suite de ce récit, ça me fait tellement mal d'y penser... Un étau enserre ma poitrine, compresse mes poumons, m'étouffe et fait perler des larmes à mes yeux chaque fois que j'y songe.

    Mon père a succombé à une maladie au milieu de ma quatorzième année. Trop, ça faisait trop de pertes pour ma mère. Deux de ses enfants, l'homme qu'elle aimait... Elle est partie les rejoindre. Je ne lui en veut pas, elle n'a pas eu le choix. Si elle avait pu, elle serait restée pour moi. Tous, vous me manquez, mais je n'ai pas le courage de vous rejoindre. Pas maintenant.

    J'avais quinze ans, soit il y a un an et demi. La blessure est fraiche, elle refermera petit à petit ses bords, mais ne cicatrisera jamais.
    Les dix mois qui suivirent me virent voyager un peu partout aux USA.
    De familles en familles, de lieux en lieux, je passais sans qu'un seul ne pose ses liens sur moi. De toute façon, qu'est-ce que j'en avais à faire? Souvent, je fuyais, trouvant du réconfort dans mes formes animales, la seule chose qu'on ne m'ait pas enlevée. Et puis, ma route a croisée celle d'un homme décalé, à l'humour douteux mais aux capacités bien présentes. Ce mec mène une véritable double vie! Sérieux dès qu'il est en face de ses collègues, dans le milieu professionnel, et l'opposé dès qu'il passait la barrière du privé. Imprévisible, il a des spasmes de bêtises qui lui montent à la tête et s'extériorisent toujours. Le diable qui sort de sa boîte alors qu'on ne pensait pas avoir suffisamment tourné la manivelle. Je l'ai suivi pendant huit mois. Jusqu'à maintenant, parce que c'est lui qui m'envoie.

    Il m'a dit qu'il connait un orphelinat, et un professeur de cet orphelinat en particulier. Professeur qu'il a formé, selon lui. Je lui dois tellement pour ces huit derniers mois, que j'ai accepté derechef pour lui laisser sa liberté. Exorciste, c'est ce que je veux devenir après tout. Je ne connais pas ce prof, mais mon protecteur m'a dit de ne pas le ménager, puis il a rédigé une lettre (que je nommerais personnellement un brouillon) adressée à cet inconnu en Écosse.
    La lettre, il l'a écrite sous mon nez, en poussant régulièrement des ricanements flippant en écrivant. Je ne sais pas ce qu'il y a de drôle dans ce papier, mais il s'est amusé à le faire. J'en ai une copie qu'il m'a offerte, pour une quelconque raison obscure que je refuse de connaitre.


    Mon disciple adoré,

    Je vis encore, ne déprimes pas. Le temps me manque pour venir en Écosse. Mais ton sursis ne durera pas sois en sûr! En attendant, j'envoie une jeune fille au Mystery. Elle s'appelle Autumn, je l'ai chargée de t'espionner et avec mes pouvoirs, je te déclare son tuteur. Tutorat qui commence à partir du moment où tu auras ouvert cette lettre (tu regrettes, hein?). Regardes bien la date, ce n'est pas le premier avril et je suis sérieux, comme toujours. Je veux la voir en pleine forme quand je viendrai en Écosse (toi par contre tu as le droit d'être mourant à mon arrivée, ma présence te remettra sur pieds en moins de deux! Tu connais mes méthodes).

    P.S: Je suis passé voir tes parents l'autre jour, et ils ont hâte de te revoir. Ta mère est persuadée que tu leur caches quelque chose. Fils indigne. Tu me raconteras tout quand je viendrai. Ça fait partie de ta formation.

    Un maître ne fait pas de bisous à ses élèves. Mais comme je sais que tu aimes les câlins, je t'en fais un mentalement, crevette.

    Ton vieux jeune maître que tu as dû reconnaître.



    Étrange n'est-ce pas? Aucune importance, je lui dois d'être capable de sourire aujourd'hui et tellement plus. Il veut que j'aille à cet orphelinat, alors j'irai. Pour devenir exorciste.





« QUI-ES-TU ...? »

    ● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées.

    Si il y a bien une chose à savoir, c'est que je hais profondément les esprits. Je refuse de chercher à parlementer, et soyez sûr que lorsque j'en croise un à ma portée, je lui fais sa fête. C'est comme ça, ils paieront tous. Des morts ne devraient pas avoir la possibilité de prendre la vie des vivants.
    Je suis de nature impulsive, très impulsive. Je sais mon comportement instable par moments, illogique. Seulement par moments. J'ai la fâcheuse tendance de toujours détourner mes phrases de sorte à ne jamais montrer si je suis une fille ou un garçon. Constatez par vous même, vous ne pouvez actuellement pas le dire, rien qu'en m'écoutant non? Ça me vient naturellement, et ce n'est pas un réel problème en soit.
    Pour la suite, mes actions ne sont pas guidées selon une loin immuable du caractère. J'agis, voilà tout. Comme tout le monde au final direz vous. Ce que j'essaie de faire passer, c'est mon incertitude vis à vis de moi même et de mes réactions. Il s'est passé trop de choses ces dernières années pour me permettre une stabilité mentale entière. Ce qui doit déjà se ressentir dans mes propos. Malgré tout, cela ne me met pas à l'écart de la société, dans une bulle avec un post-it "à éviter" collé dessus. Enfin, je l'espère sincèrement. Mon arrivée au Mystery est bien trop récente pour me permettre de juger quoi que ce soit.
    Que raconter de plus... Je suis capable de piquer des crises sur des choses d'une futilité ahurissante. Et de me calmer aussi vite que ça a commencé. Mais je crois que ça rejoint plus ou moins cette histoire de caractère funambule, qui penche tantôt à droite, tantôt à gauche, et finit par s'écraser pour mieux remonter.
    Et, tout au contraire, je peux rester calme pour quelque chose qui aurait dû me mettre hors de moi. On dit que dans la colère rien ne convient mieux que le silence. Après tout, l'ignorance reste la pire des réactions -ou absence- face à quelque chose qui cherche à en susciter.
    J'aime bien sourire pour rien, et tirer la tronche pour rien aussi. Un sourire, c'est tellement facile à faire apparaitre et disparaitre sur son propre visage. Mais c'est parfois un défi de le faire venir sur celui des autres. Alors, à chaque fois que j'y arrive, je me sens un peu mieux, un peu plus présente. Je sais que cette description n'éclaire que faiblement, mais j'ai bien du mal à vous parler d'un sujet aussi obscur pour moi-même. Allez parier au Loto, vous aurez plus vite fait, et ça vous rapporterait bien plus.


    ● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées.

    Que? Question étrange, vous m'avez sous le nez. Mais peut être que vous voulez juste mon point de vue, c'est ça? Mon point de vue, c'est le votre. Enfin, la partie objective tout du moins. Je suis... De taille moyenne, du haut de mon mètre soixante-quatre. Plutôt fine sans être maigre. Je crois que j'ai quelques muscles, à force de me métamorphoser et de courir. Je l'ai déjà dit, mais j'adore la course. Alors oui, sous forme humaine ou sous forme canine -laissons l'écureuil de côté-, mes jambes tiennent le coup.
    Mes cheveux châtains atteignent juste en dessous de mes épaules. Je les coiffe toujours sur un côté, sans avoir de frange. Ils sont relativement lisses de nature, alors aucune raison d'y toucher. Mes yeux sont bleus-gris, et honnêtement je n'aime pas leur iris. Je trouve qu'elle ne permet pas la réflexion d'assez de sentiments. Cela reste mon avis personnel, et il n'engage que moi. Après tout, je suis bien incapable de me voir lorsque je parle à quelqu'un. Le miroir reste un objet renvoyant une image plate.
    Puisqu'on est là, je peux aussi décrire mes formes de métamorphose non? Le loup noir, mon préféré, a justement le pelage noir de jais. Ses yeux sont jaunes pales, ce qui le différencie des autres loups -mis à part que ça soit moi-, c'est la tâche blanche à sa patte droite. Les quatre doigts de cette patte sont couverts d'un pelage blanc.
    Ma forme de renard polaire elle n'a rien de très particulier, si ce n'est qu'elle est absolument trop mignonne et pleine de poils. Le dhole quant à lui, est un petit chien roux court sur pattes. Je me plais à dire que le loup à crinière est son grand frère, par la couleur de leur pelage respectif. Mais le loup est plus grand. Cependant, contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, il ressemble plus à un renard géant. En plus, c'est un animal dont la moitié du régime alimentaire est composé de fruits. Oui, j'aime les fruits.
    Le chien chantant... Est particulier. Un petit chien, qui tient son nom des sons qu'il peut émettre. Sans être mélodieux, ils restent déconcertants à entendre sortant de la gorge d'un tel animal.
    Et pour finir, l'écureuil. Non, je ne sais toujours pas ce qu'il fiche là. Il fait un peu cheveux sur la soupe, mais je l'aime bien. C'est une forme passe partout, et tout le monde le trouve mignon, pas de quoi se plaindre. Au pire, pour se défendre il peut toujours lancer des noisettes.


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    Âge : 16
    Poste Vacants ? : []oui [X]non
    Comment avez-vous connu le forum? : ... =D *déjà présente*
    Fréquence de venue : 6/7
    Codes : barycentre, ion chlorure, biotope


Dernière édition par Autumn Bowen le Ven 29 Oct 2010 - 20:01, édité 7 fois
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Admin Fondatrice | Le vent l'emportera...
EMPLOIS/LOISIRS : Vivre à en crever
LOCALISATION : Là où le vent me porte...
CITATION DU PERSONNAGE : Marche, cours, va là où il te plait, à l'autre bout de la Terre, par delà la mer, prêt des étoiles, mais surtout ne t'arrêtes pas de rêver

MESSAGES : 2282
DATE D'INSCRIPTION : 21/04/2010

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Luka E. Grey
Luka E. Grey
Admin Fondatrice | Le vent l'emportera...
MessageSujet: Re: Autumn Bowen [Terminé] {OK}   Autumn Bowen [Terminé] {OK} EmptySam 30 Oct 2010 - 18:51

PARFAIT ! VALIDE !

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If I had a world of my own Everything will be nonsense Nothing will be what it is Because everything will be what it isn'tI invite you to a world Where there is no such thing as time And every creature lens themselves To change your state of mind.
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Autumn Bowen [Terminé] {OK}

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