Evan Adams {OK}

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 Evan Adams {OK}

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Sorcier Noir ~ Membre de Rosenrot
LOCALISATION : Derrière toi
CITATION DU PERSONNAGE : J’te fascine hein ? Allez viens on parle de moi !

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DATE D'INSCRIPTION : 01/09/2011

Niveau du personnage
Point RP:
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Niveau: 6 - Affirmé
Evan Adams
Evan Adams
Sorcier Noir ~ Membre de Rosenrot
MessageSujet: Evan Adams {OK}   Evan Adams {OK} EmptyJeu 1 Sep 2011 - 17:34

Welcome to Mystery...

Evan
Adams
Je suis assis sur votre honneur et vos valeurs que je méprise.



      Evan Adams {OK} 6157v3jt
      feat Ian Somerhalder
        Âge : 25 ans.
        Date & Lieu de naissance : 21 Juin 1986, Londres.
        Race : Sorcier.
        Statut : Célibataire.
        Groupe : Sorciers Noirs.
        Don premier : Téléportation.
        Pouvoir premier : Élementariste de feu





« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »

    ● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées.

    Chapitre 1.

    Evan a 12 ans.
    Il devrait être à l’école, mais il est tombé malade. Sa mère lui a permis de rester à la maison. Ils parlent beaucoup. Ils parlent, mais il ne comprend pas. Il sent pourtant que quelque chose ne va pas chez lui…
    Faites qu’ils se taisent. Je vous en supplie, faites qu’ils se taisent.
    S’il n’avait pas été si impuissant, il leur aurait craché au visage. Il hait les médecins. Il les hait tous. Ses parents aussi. Surtout ses parents.
    Ils disent que c’est trop tard, qu’il va y passer, lui aussi. Comme les autres. Il est faible. Il l’a toujours été.
    Plus encore que la douleur physique, il y a la douleur mentale. C’est la pire. Elle lui souffle qu’il n’est rien, s’insinue en vous comme un poison vicieux et consume jusqu’à la dernière goutte de raison. Et de la raison, Evan n’en a plus beaucoup.
    Agonie.
    Une douleur fulgurante au bras lui rappelle qu’il est encore en vie, qu’il n’a pas le droit d’abandonner. C’est un nouveau médecin qui apporte avec lui une nouvelle seringue. Il ne veut pas être comme eux.
    Puis tout à coup, une petite forme se blottit contre son cœur. La chambre paraît un peu moins sombre. Un peu.
    « Je t’aime Evan. »
    Allie. Moi aussi je t’aime, Allie.
    Les deux enfants échangent un regard. Un regard en forme de promesse. Ils ont les mêmes yeux. Deux yeux immenses d’un bleu à couper le souffle. Evan s’y raccroche de toutes ses forces, comme à une bouée de sauvetage. Il referme ses bras sur la petite fille et du bout du doigt, essuie tendrement la perle d’eau qui a roulé sur sa joue.
    Allie. Sa sœur. Sa jumelle. Son autre partie.
    Il ne t’arrivera jamais rien, Allie. Je ne laisserai personne te faire de mal. Si seulement je pouvais te croire, murmurent les yeux de la petite fille.
    Déception.
    Alors elle aussi. Evan baisse la tête pour qu’elle ne remarquent pas les larmes qui lui brouillent la vue.
    « Ce n’est pas grave. »
    Si c’est grave, Allie. Mais ça tu ne le sais pas encore. Parce qu’ils ne te l’ont pas dit. Ils ne t’ont pas dit que quand ils n’auront plus besoin de moi, ils m’enlèveront à toi.
    Et ça je ne le supporterai pas.


    Il ferme les yeux.
    Abandon.
    Quelque part, à des années lumières de lui, une petite voix le supplie de revenir.
    Mais il est déjà si loin…
    Trop loin.

    Chapitre 2

    « Et malgré les menaces du maître
    Sous les huées des enfants prodiges
    Avec des craies de toutes les couleurs
    Sur le tableau noir du malheur
    Il dessine le visage du bonheur. »

    J’ai pointé le bout de mon nez un matin de juin 1986, en même temps que l’été. Du moins c’est comme ça que cela aurait dû se passer. Mais, comme cela arrive parfois, ma mère était enceinte de jumeaux. Une fille et un garçon. Alicia et Evan. Les enfants du bonheur. Et puis quoi encore ? Ce ne sont que des sottises, des balivernes, des contes de fées pour enfants. Et j’en passe… Toujours est-il que ma sœur est moi avons vu jour ce Samedi 21 Juin 1986. Ce fut la pire et la meilleure chose qui me soit arrivée dans la vie. Vous savez, il n’est pas rare que l’un des jumeaux naisse un tout petit peu avant l’autre. Quelques fractions de secondes à peine. Un simple battement de cil. À croire que mon destin était déjà scellé.
    Je suis donc sorti en retard. La ponctualité, ça n’a jamais été mon truc, vous savez ! Mais trêves de plaisanteries. Mes parents voulaient une fille. Ils m’ont moi, petit garçon pas très bavard qui écrivait des poèmes sur ses cahiers de mathématiques. J’adorais Verlaine. Et Rimbaud, Baudelaire, Hugo, Prévert…
    Allie et moi avons grandi ensemble, inséparables. De véritables jumeaux, disaient les gens. S’ils avaient su. Allie était ma deuxième partie, mon double au féminin. Mais chacun de nous savait intérieurement que cela ne pourrait pas durer. J’en ai eu la certitude, un soir, en surprenant une conversation entre mes parents. Je tombais souvent malade ces derniers temps. J’étais faible. Et je détestais ça ! Je détestais ces regards de pitié, ces paroles sans fond qui glissaient sur moi comme de l’eau sur une vitre.
    Hypocrites.
    Et puis les yeux que maman posaient sur moi, quand elle pensait que j’avais le dos tourné. Pas des yeux tristes, non, pire que ça. Des yeux désolés. Désolés d’avoir mis au monde un bon à rien !
    C’était l’hiver. J’avais un peu plus de dix ans. J’étais malade, encore. Comme chaque fois, Allie était venue se glisser dans mon lit. Je sentais son souffle régulier dans mon cou. Ça me chatouillait. Si je ne m’étais pas sentie si las, ça m’aurait fait rire. Elle s’était assoupie. Je l’ai repoussée avec douceur et me suis glissé hors de mes draps. Elle paraissait si naïve, si insouciante, comme ça. Mais elle n’était pas faible, elle.
    J’ai descendu les escaliers. Une marche. Deux marches. Dix marches. Je me suis arrêté net. C’était la voix de maman. Et il y avait celle, dure, de papa. J’ai écouté. Ce n’était pas mon intention, je ne voulais pas me mêler de ce qui ne me regardait pas… Mais vous savez comment sont les enfants. La curiosité est un vilain défaut.
    J’ai arrêté de respirer. Maman venait de prononcer mon nom.
    - Evan est trop faible, James. Il ne peut pas être l’un des nôtres. Tu l’as entendu comme moi, les médecins ont dit qu’ils ne savaient pas s’il atteindrait les dix-huit ans…
    La voix de maman s’est cassée sur les derniers mots, mais elle n’a pas bronché.
    - Ce sera Allie, a tranché James.
    Sourire.
    - Nous l’avons toujours su, après tout… Tu te souviens, nous voulions une fille ! Allie fera une grande Sorcière.
    - Oui mais pour l’instant, il faut qu’ils restent ensemble. Ils ont besoin l’un de l’autre.
    Quand je me suis relevé, quelques instants après, une éternité après, je crois que mon cœur avait tout simplement explosé. Je suis remonté machinalement dans ma chambre. J’avais même oublié pourquoi j’étais sorti du lit. Les phrases tournaient dans ma tête, encore et encore. C’était donc ça. C’était donc ça l’avenir qu’on nous réservait ! Allie allait devenir une sorcière noire, comme mes parents. Elle allait siéger à Rosenrot. Je ne sais pas quelle place ils lui réservaient, mais cela avait l’air important. Je me suis assis, que dis-je, je me suis effondré sur le lit.
    Trahison.
    Je me sentais meurtri, blessé, abandonné… Mais plus encore, je me sentais inutile. Et terriblement seul.
    Je me suis allongé sous les draps et j’ai pressé la main de ma sœur dans la mienne. Fort. Trop fort. Elle a ouvert ses grands yeux bleus. Ils étaient si beaux. Si pétillants.
    - Je suis là Evan, tu as fait un cauchemar…
    À ce moment-là, j’aurais tout donné pour que ce ne soit qu’un cauchemar. Mais les larmes qui roulaient sur mes joues étaient, elles, bien réelles.
    Mon cœur était découpé, déchiré, désarmé.
    Et comme d’habitude, c’était Allie qui allait devoir recoller les morceaux.

    Je n’ai jamais rien dit de tout ceci à ma sœur et j’ai continué de faire comme si de rien n’était. J’ai continué de sourire, comme si je ne savais pas. Mais à l’intérieur, je hurlais. Je me suis mis à les détester, tous autant qu’ils sont. Puis ma haine viscérale est devenue promesse.
    De mort.

    Chapitre 3

    « Le passé sert à construire l'avenir, mais il est immuable. Me venger ne rendra pas la vie à celle que j'aime, me venger est aussi vain que vouloir remonter le temps. »

    Et puis un jour c’est arrivé. Comme ça. Sans prévenir. Comme ce petit grain de sable qui, au détour d’une bourrasque, se niche dans votre œil.
    Je venais d’avoir dix huit ans. Ce qui me servait de famille et moi avions fêté mon anniversaire mais nous avions tous conscience que le cœur n’y était pas. N’y était plus. N’y avait jamais été.
    Allie ne venait plus que rarement à la maison, par intermittence. Bientôt, elle ne viendrait plus du tout. Je me demandais simplement quand elle pensait m’en parler. Je ne pouvais m’empêcher de remarquer, chaque fois que je la voyais, qu’elle ferait une bien jolie sorcière. Ses pouvoirs, eux aussi allaient croissant. Elle était si belle lorsqu’elle riait, faisant voler ses boucles brunes et pétiller ses yeux océans. J’adorais l’entendre rire.
    Papa et maman étaient si fiers d’elle. Quelle ironie du sort, quand j’y pense… J’en ressens presque de la peine pour eux. Presque.
    Et puis un jour, alors que je rentrais à la maison, j’ai entendu des bruits de sanglots étouffés, dans la cuisine. C’était maman. Maman pleurait. Je ne l’avais encore jamais vu versé une larme… C’est étrange. J’aurais dû ressentir de la tristesse, de la compassion peut être. Non. C’était tout à fait différent. J’avais peur. Peur de cette femme que je haïssais plus que tout au monde, recroquevillée tel un vieux chiffon desséché. De la peur et du mépris. Elle a levé ses yeux inondés de larmes vers moi. J’ai eu envie de détourner la tête, mais son regard me retenait aussi sûrement que des chaînes d’acier. C’est seulement à ce moment-là que j’ai remarqué papa, dans un coin de la pièce, les yeux rouges d’avoir pleuré.
    - Qu’est-ce qu’il se passe ? Vous avez une mine affreuse…
    Ma tentative d’humour est tombée à plat. On aurait presque entendu le plouf.
    - Allie est morte Evan.
    J’ai éclaté de rire. Littéralement. Ils m’avaient presque eu ! Mes parents m’ont regardé, horrifié, comme si j’étais un étranger. C’est alors que j’ai compris. J’ai compris que ce n’était pas une blague. Qu’il n’y avait jamais rien eu de plus sérieux. « Allie est morte, Evan ». Morte… Morte… MORTE ! Un rictus de douleur a déformé mon visage et je me suis effondré au sol. C’était impossible. Allie ne pouvait pas mourir. Allie de ne devait pas mourir ! C’était un cauchemar, j’allais me réveiller et elle allait me murmurer que tout allait bien. Comme avant. Comme quand nous étions enfants.
    Sauf que non.
    Mon corps est devenu glacé tout à coup, c’est à peine si je sentais les perles d’eau qui roulaient sur mes joues.
    NON !!
    Je ne sais pas vraiment si je l’ai crié ou simplement pensé. Mais cela n’avait plus aucune importance. Plus rien n’avait d’importance, à présent.
    Tiens, c’est étrange, il s’est mis à pleuvoir. À moi que ce ne soit mes larmes…
    Doucement, tout doucement, j’ai fermé les yeux en attendant que les ténèbres m’engloutissent.

    Je n’ai jamais cherché à savoir comment ni pourquoi. Cela ne rimait à rien de raviver les blessures. Je suis parti, du jour au lendemain, et j’ai essayé de vivre avec, voilà tout. J’ai erré pendant quelques années. Mais cette situation ne pouvait pas durer. Sans argent et sans logement, je finirais ma vie sur le trottoir à vingt-cinq ans. Triste destin. Je méritais mieux, tout de même. Alors j’ai décidé de prendre sa place. Sa mort ne resterait pas impunie. Je suis allée à Rosenrot et je me suis présenté comme jumeaux d’Alicia Adams. C’était tout ce que j’étais après tout.
    C’est ainsi que je suis devenu un Sorcier Noir. Je n’ai de sympathie pour aucun de ces derniers, disons simplement que je les hait un peu moins que les autres.
    Mes pas m’ont alors conduis jusqu’à Londres, devant la maison où j’avais passé mon enfance. Je suis resté planté là quelques minutes, juste pour observer, de loin. Peut-être ai-je oublié de préciser que je suis un élémentariste de feu ? Détail important. Ces dernières années, mon pouvoir n’avait cessé de croître. J’ai gravé l’image de ma maison dans un coin de mon esprit. Par chance, quelqu’un s’était amusé à dresser un feu non loin de là. Les braises n’étaient pas complètement éteintes. Sans aucun remord, j’ai mis feu à mon enfance.

    Après ce flamboyant épisode, je n’y suis jamais revenu. J’ai continué ma vie, entre apprendre à maîtriser mon don et draguer les filles. Je voguais de conquêtes en conquêtes. Je dois le reconnaître, j’ai la désagréable habitude d’expédier mes histoires de cœur en une semaine tout au plus.
    Parfois le soir, j’ai l’impression d’entendre Allie me demander où est passé le petit garçon réservé qui écrivait des poèmes sur ses cahiers de maths. Je crois bien qu’il est mort, lui aussi…

    Et voilà, c’est ici que s’achève la tragique histoire d’Evan Adams. La suite, c’est à vous de l’inventer. J’enfermerai cette lettre dans une bouteille que je jetterai à la mer. Qui sait, quelqu’un la trouvera peut-être un jour ?

    En attendant, n’oubliez pas : Je suis un bad boy, un magicien de pacotille, et je vous salue bien bas, chers ennemis.





« QUI-ES-TU ...? »

    ● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées.

    Si l’on me demandait de me décrire en un seul mot, j’aurais tendance à dire que je suis parfait. Mais c’est peut-être un peu… Excessif. Encore que. Pas la peine donc de vous faire un dessin, disons que je n’ai aucun complexe envers moi-même. Ma confiance en moi frôle le narcissisme, je vous l’accorde, mais quoi de plus normal chez un tombeur de mon espèce ? Aller, je le sais, vous refusez encore de vous l’avouer, mais vous mourrez d’envie d’en savoir plus. Certains diraient, à tort, que je suis un salaud égoïste mais ce ne sont que des jaloux. Je suis l’hypocentre de mon existence. La vérité c’est que je me fiche royalement de ce que peuvent penser les autres ce qui facilite beaucoup la tâche. J’ai appris à cacher mes sentiments ; je les enfouis tout au fond d’un coffre dont j’ai jeté la clef, il y a bien longtemps. Il demeure parfois quelques bribes de mon passé, un brin d’espoir, un filet de lumière dans l’obscurité. Mais attention à ne pas s’y leurrer. Je suis définitivement irrécupérable.
    Je suis également froid, arrogant, méprisant –et méprisable- et tout ce qui va avec. J’ai un humour absolument détestable qui ne fait rire que moi mais qui, curieusement, a un effet on ne peut plus positif sur toutes les filles. Presque toutes les filles. Ah aussi, je ne suis jamais à l’heure. Mais cela fait partie de mon charme.
    J’adore rire. Pleurer en revanche est beaucoup moins amusant. Et puis je ne supporte pas qu’on ai pitié de moi ! En somme, j’aime profiter de la vie. Je pense que vous l’aurez compris tout seul, j’ai un tempérament bien trempé et une volonté en béton armé.
    Ah oui, j’oubliais. Je suis allergique à tout ce qui est niais ou mignon. J’aime bien aider mais cela n’aboutie la plupart du temps à rien. Je ne suis pas très douée pour les jolis mots, c’est vrai.
    Pourtant, si l’ont creuse bien profond, on s’aperçoit que je suis resté ce petit garçon qui ouvrait ses grands yeux curieux sur le monde. Quelque part, je me hais plus encore que tous les autres, pour ce que je suis devenu. Mais cela, pour rien au monde, je ne l’avouerai.


    ● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées.

    Pour cette fois, je crois que je vais me limiter aux bruits qui courent à mon sujet, sinon je risque de m’étaler… Oh, détendez-vous, c’est une blague. Je ne suis pas narcissique à ce point ! Résumons. Mes cheveux sont bruns, toujours en bataille, faute de brosse à portée de main et je les porte un peu en dessous des oreilles. J’ai la peau blanche, presque blafarde. Il parait que ça me donne un côté vampiresque, qui effraie parfois. Mes yeux sont d’un bleu-gris, reconnaissable entre mille. En général, ils plaisent beaucoup. Ils peuvent être rieurs et l’instant d’après, aussi froids qu’un morceaux de glace. En général, ils sont plutôt porteurs d’une menace non formulée mais parfaitement claire… J’aime assez jouer sur cet effet là. Mon sourire, enfin. C’est un peu un sourire colgate, mais en moins pathétique quand même. Il varie de rictus moqueur à sourire charmeur, en passant par sourire en coin et j’en passe. Le sourire, c’est ma spécialité. C’est très communicatif. Il y en a un dernier, que je réserve pour de très rares occasions. À vrai dire, je ne l’ai pas ressortit depuis mon enfance. Le sourire sincère. Le vrai, le juste, celui qui fait chavirer nos cœurs. Dommage, je l’aime bien celui-là. Il me ressemble assez en fait.
    Mon visage, quant à lui, reste aussi indéchiffrable que possible, bien que de nombreuses expressions y défilent régulièrement. Je ne suis pas spécialement grand, mais pas petit non plus, juste dans la moyenne. Je n’ai pas non plus un corps d’athlète, mais ce qu’il faut d’abdominaux. Voilà, c’est à peu près tout ce qu’il est utile de savoir. Pour le reste, allez voir par vous-même.


MORE?


Framby

    Âge : 99 ans 13 ans...
    Poste Vacants ? : []oui [X]non
    Comment avez-vous connu le forum? : En fait je suis aussi Framboise Weasley (:
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    Codes : Je suis obligée de les redonner? ^^

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- I wear your granddad's clothes, I look incredible. -
« life sucks. get a helmet. »





Dernière édition par Evan Adams le Jeu 1 Sep 2011 - 17:50, édité 4 fois
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AnonymousInvité
Invité
MessageSujet: Re: Evan Adams {OK}   Evan Adams {OK} EmptyJeu 1 Sep 2011 - 17:58

Non pas obligé pour les codes, j'adooooooore ton histoire **

VA LI DE !!!
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Evan Adams {OK}

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