Une Histoire peu commune ~

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 Une Histoire peu commune ~

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MessageSujet: Une Histoire peu commune ~   Une Histoire peu commune ~ EmptyVen 12 Aoû 2011 - 0:53

      Tous les récits parlent de Prince et Princesse. Celle d'un amour merveilleux et d'une famille heureuse. Mais le côté tragique de l'histoire personne le sait. La sorcière va tuer l'enfant pour se venger du Prince. Le Prince peut-il aimer seulement une personne horrible comme ça ? Non impossible, pourtant le chapitre d'aujourd'hui va parler d'une sorcière et d'un Passeur à l'âme calme et sadique. Voici le début..

      Chapitre I : Tout commence comme ça...
      Page 4, Aujourd'hui Märchen avait décidé de se reposer quelque temps dans un coin tranquille. Histoire de récupérer après la journée d'hier. Il ne connaissait pas la ville, et ne savait pas ou loger. Il savait seulement qu'ici des femmes, il y en avait plein. Mais faut-il encore qu'elle fasse appel à lui. Pour le moment, il en avait sauver une avant de se réfugier ici. C'était une bonne chose pour lui, savoir que les femmes souffraient toujours autant à cause des péchés de leur entourage. Le malheur des uns fait le bonheur des autres, comme on dit. C'était tout Märchen ça. Encore lui, ne l'avoue pas, il dit faire simplement son travail. Que voulez-vous on ne peut pas être parfait, même si aux yeux des femmes, il est […]

      Quelques heures plus tard, Märchen entendit du bruit. Non pas qu'il est peur de ce que cela pouvait être. Simplement qu'il n'aimait pas être déranger quand il est en pause. Alors si il devait manipuler encore une pauvre âme, pour faire comprendre qu'il ne veut voir, personne. Il le ferait. Il en a marre de tout ce bruit, on se croirait dans un zoo. Il manque plus que les singes, les animateurs.. Ensuite c'est parfait. Il pose donc sa main sur son front en murmurant des injures, malgré que cela ne lui ressemble pas. La mauvaise humeur passe aussi dans les mots. Donc il se redresse et va s'adosser contre le mur en face de son endroit de repos. Une fois que cela est fait, il attend plus que la bête tombe dans le piège.

      Page 5, La personne avait finalement montré le bout de son nez. Mais ce n'était pas ce qu'il s'attendait à vrai dire. C'était une femme. Une femme qui traînait à cette heure là dans la rue. Du jamais vue pour lui. Ou est l'homme ? Non pas que toutes les femmes ont un homme avec elle, mais le charme que dégageait cette étrange personne, ne devait pas laisser indifférent les Monsieurs non. Alors c'est qu'elle a un caractère de monstre pour se retrouver seule. Enfin chacun est différent, mais cela n'empêche qu'il ne va pas être courtois avec celle ci, vue qu'elle a osée interrompre son sommeil. Il fronce les sourcils en sa direction et l'observe s'avancer vers lui. Que lui veux-t-elle ? Un renseignement ? Une discutions ? Qu'importe cela n'allait pas durer bien longtemps vue l'humeur du jour de notre cher Märchen. Une douche le réveillerait mais il n'a pas envie encore de se baigner alors qu'il est occupé à s'en prendre à une pauvre femme. Quoi que la force qu'elle dégage lui montre qu'elle n'est pas qu'une simple humaine sûrement une sorcière noire, vue l’aura qui sort d'elle. Elle lui veut quoi au juste, un conflit planétaire. Il ne va pas la sous-estimer vue qu'une femme a tous les atouts quand elles veulent donc il jouera au même jeu qu'elle.
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Anja L. von Duisbourg
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MessageSujet: Re: Une Histoire peu commune ~   Une Histoire peu commune ~ EmptyLun 22 Aoû 2011 - 19:42

Chaque rencontre crée une histoire. Une histoire qu'Anja se plaît à retracer dans les lettres qu'elle destine à sa mère. Des mots rouges qui s'étalent, s'étalent, tant et si bien qu'ils prennent toute la place dans sa tête, dans son coeur et dans sa boîte. Bientôt il en faudra une plus grande, de boîte. Dommage qu'on ne puisse pas changer de coeur aussi facilement. Anja en aurait bien besoin d'un nouveau, tant le sien a été piétiné.
Mais en attendant, elle doit se contenter de celui qu'elle a, tout emplis de haine à l'encontre de l'humanité. Pauvre coeur. Pauvre Anja. Et surtout, pauvre humanité.

Little Angleton, 13 août 2011
Liebe Mutti,

Ces temps je ne suis pas beaucoup sortie. Par chance, la Croix ne m'a donné aucune mission, ce qui me donnait bien assez de temps pour penser à lui. À Jack. Mon frère. Mon fichu frère. J'ai encore de la peine à accepter cette vérité là. Que mon père nous ait trompé durant tant d'années... Cela ne fait que renforcer ma haine à son encontre. Il nous a toujours mentit. Depuis le début.
Mais mon père n'est plus là. Jack par contre reste. Pas pour longtemps, je l'espère. Un jour il mourra. Bientôt. J'en suis sûre. Du moins j'essaie de m'en persuader. Natasha Cross ne pourra pas supporter un mec comme lui longtemps dans ses rangs. Lâche, stupide et dragueur. Actuellement mon frère est la personne que je hais le plus au monde.
Malheureusement, c'est aussi le seul que j'apprécie un tant soit peu.
Que ferais-je s'il devait mourir ? Je ne sais pas... Je crois que ça ne me ferait même pas tant plaisir que ça... Je ne comprends plus mes sentiments. C'est tellement... étrange.
Si seulement Jack n'avait jamais existé.
Fichu frère.

Je suis restée des jours à penser à ça, à ressasser les évènements de notre rencontre. Enfermée dans ma chambre. C'était limite si je ne mangeais pas. Quasiment rien. Si j'ai perdu du poids ? Sûrement. Mais je ne suis pas femme à m'encombrer du nombre qu'affiche une balance. Je m'en fiche pas mal après tout. Mais il fallait que je me reprenne. Si j'étais trop faible, comment combattre un ennemi ? Alors hier, je suis sortie de ma tanière. Et j'ai marché.

Une route. Et sur cette route, un homme. Inconnu. Mais ô combien humain. Je reconnais les sorciers sans problème à présent. Et lui n'était pas un des nôtres. Ce n'était pas pour autant qu'il était totalement innocent... Un humain doué. Du moins c'était ainsi que je ressentais les énergies qui se dégageaient de lui.
Je hais les humains. Ils ne sont pas nos égaux, ce ne sont que de minables insectes. Aussi facilement écrasable. Même ceux qui se prétendent doués de pouvoirs... Heureusement que la Croix ne les accepte pas. Heureusement.

Toujours est-il que l'autre là était humain. Humain doué. Pas un de ces abrutis d'Orphéo j'espère. Je n'avais pas envie de me prendre la tête avec quelqu'un qui se prétend "gentil". Ce qui ne l'empêche pas de massacrer des familles entière de sorciers. Ou des fantômes. Alors moi, c'est vrai, je tue, je fais du mal et j'aime ça. Mais au moins, je ne me cache pas derrière des mensonges. Je suis méchante et j'assume.

- Tu bosses pour Orpheo toi ?

J'avais balancé ça d'un coup. En même temps, je me doutais de sa réponse. Vu l'aura noir qui se dégageait de lui, il y avait bien peu de chance pour qu'il soit du côté adverse. Même s'il restait humain. Et ça, en faisait mon ennemi.

J'ai pris une cigarette et l'ai glissée entre mes lèvres. Sans quitter des yeux l'inconnu. Au premier geste déplacé, ma dague était prête à fuser, faisant naître les gouttes de sang là où je l'aurais décidé.
Il ne faut jamais s'attaquer à une télékinésiste.
Encore moi quand elle est perturbée par la venue de son nouveau... frère.

[...]


Anja aurait bien besoin d'un nouveau coeur. Même plus capable de faire la différence entre le bien et le mal.
De toute façon, pour elle tout le monde fait le mal. Pas de gentil.
Fichu monde.

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MessageSujet: Re: Une Histoire peu commune ~   Une Histoire peu commune ~ EmptyLun 22 Aoû 2011 - 21:59

      Par moment l'histoire commence par un dialogue, qui est souvent représenter par la question début. En parlant du début, comment devient-on une sorcière ? Vous savez ces êtres horribles, laids, avec des boutons partout et une voix grinçantes. Oui ce genre de personne que tous les enfants ont envie de tuer dans l'histoire. Parce qu'elle fait du mal et que forcément ca ne plaît pas forcément aux gens. Il faut être sadique pour aimer les fins tristes ou là ou le mal gagne.

      Page 6, Orpheo. Là ou il était aller de nouvelles victimes pour ses missions. A vrai dire non, il ne vient pas de là bas, il vient de nul part. Il est solitaire mais fait partie de Santiago. Il voit si tel ou tel personne est digne d'être sorcier ou non. On juge et on tue. Voilà une belle affaire. Cependant celle ci, il ne pouvait encore dire dans quel coté il la mettrait, cependant la dague que porte la dame, montrait que son pouvoir vient de l'objet et non d'elle même. L'avantage de lui, c'est qui peut l'utiliser sans pour autant avoir un objet sur lui, suffit qu'il lève la main et le tour est joué. Un petit extrait peut être, sans grand mal par contre, sinon elle va croire des choses fautes, et il déteste ça. Alors il tend sa main devant en faisant signe du doigt de s'approcher. A cet instant, par un fil invisible qui lit la demoiselle à lui, il la fait approcher. Woua c'est fou que c'est pratique la magie noir. Maintenant qu'on a eux une vision de ce qu'il est capable en bougeant un seul petit doigt, il va répondre à ce que l'autre lui a dit. Malgré que pour lui, c'est une insulte vue que son aura est noir et qu'il n'a pas l'air d'une tête d'un gentil toutou.
      _ Tu bosses pour Orpheo toi ?
      _ J'ai la tête d'un chien chien à son maître.. demoiselle ?!
      C'était plutôt une question, mais aussi pour dire qu'il est loin de là de servir à un orphelinat remplit de gosse. Il n'aime pas les enfants à cause de son adolescence affreuse, et il ne supporte pas le bruit et les gens donc impossible qu'il se retrouve parmi eux, ou c'est seulement pour aider quelqu'un en faisant une de ses missions de vengeance. Par contre là, il aurait bien envie de fumer pour se détendre alors, si elle permet. Il lui emprunte sa clope de ses doigts, pour lâcher une latte avant de lui rendre. Pour se faire adorable avec une demoiselle, il s'approche de son oreille doucement et vient lui murmurer un doux « merci » avant de se retirer pour ne pas se recevoir un poing manqué de la charmante personne en face de lui.

      Page 7, Une fois la détente terminé, passons à l'acte suivant, discussion. Savoir pourquoi une personne comme elle traine à une autre aussi tardive le soir. Mais avant ça, il faut que sa victime soit sous son charme pour pouvoir rien tenter contre lui. Sa deuxième main alors agit et se met à la même auteur que l'autre, avant de lier la femme fatale pour qu'elle lui tombe dans ces bras, Olé. C'est pas drôle de se faire manipuler comme une poupée. Mais il a quand même dans ces bras, il est en train de l'enlacer, et elle ne peut rien faire. Il embrasse au cou, avec un sourire machiavélique, sentant la chaleur qu'elle dégage en elle avant de lui murmurer quelques doux mots à son oreille :
      _ Quel est ton nom, ma jolie ?
      Un nom pour une Princesse, toute les filles à un nom de princesse. Alors le sien devrait être aussi beau que son visage. Il ne tient pas à se faire chopper après ces actes, donc il la garde toujours prisonnière dans ces bras attendant que la demoiselle se décide de parler, on ne sait jamais les filles ont des griffes et faudrait pas qu'elle abîme quelque chose de fragile. Mais sinon allons la rassurée pour ne pas qu'elle se fasse de mauvaises idées, une nouvelle fois.
      _ Je ne te ferais aucun mal, à moins que tu veuilles m'en faire..
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Anja L. von Duisbourg
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MessageSujet: Re: Une Histoire peu commune ~   Une Histoire peu commune ~ EmptyMar 23 Aoû 2011 - 17:44

Dans la vie, il y a bien peu de chose qu'Anja aime.
Il y en a beaucoup qu'elle hait. Son père obtient la première place, sans hésitation. Les hommes obtiennent la seconde. Quand à Jack, dernière marche du podium lui est consacrée. Même si en quelque sorte, il obtient aussi la médaille d'argent étant un homme, ainsi qu'un bout de la médaille d'or tant la ressemblance avec leur père est grande.
Les hommes sont donc la deuxième chose qu'Anja hait le plus au monde. Les hommes humains sont encore pire que les sorciers.
Pas de bol pour lui, celui qu'elle avait rencontré la veille était un homme. Humain.

[...]

Quelque chose me dérangeait en cet homme. Pas le fait qu'il soit humain... Non, plutôt l'air manipulateur qu'il dégageait. Ca me donnait envie de fuir, de m'éloigner. Ce que j'aurais dû faire. Mais déjà j'étais empêtrée dans des fils invisibles. Et sans trop comprendre, par un simple signe de la main, l'inconnu m'a fait venir jusqu'à lui. Comme ça.
Magie noire...
J'en étais sûre cette fois. Cet imbécile ne pouvait donc pas faire parti d'Orpheo. Même s'il n'était pas de la Croix non plus. Nous étions toujours ennemis, juste un peu moins.
Par contre on risquait de l'être d'autant plus si il ne détachait pas ses fils... tout de suite.

- J'ai la tête d'un chien chien à son maître.. demoiselle ?!

Je l'ai regardé droit dans les yeux faisant mine d'hésiter. Juste pour l'agacer, l'énerver. Il ne ressemblait en rien aux prétendus "gentils" d'Orpheo auxquels j'avais déjà eu affaire - dont certains ont fini plus déchiqueté que de la pâtée pour chien. Mais je ne voulais pas lui faire le plaisir de l'avouer à voix haute. Autant ne pas répondre. Ce que j'ai choisis de faire, par ailleurs.

Je n'ai rien dit non plus quand il a pris ma clope pour m'en voler une bouffée et je me suis forcée à retenir une baffe quand il s'est penché vers mon oreille pour me murmurer un "merci". Tuer un idiot n'était pas dans l'ordre de mes principes du jour et de toute façon il y avait toujours ces fichus fils magiques qui me reliaient à lui. Je n'avais aucune envie de devenir son pantin... Il fallait que je trouve un moyen de me libérer. Vite, si possible.

Vite, vite, vite, les souris dansent.
Endiablée, presque comme en transe.
Vite, vite, vite mais pas assez.
Le chat est là près à dévorer.

Vite, mais pas assez. Comme les malheureuses souris de mon poème me voilà pris au piège, prisonnière de bras qui me répulse. Pas de solution pour me libérer. Je suis une poupée de chiffon, incapable de combattre les lèvres répugnantes qui se posent dans mon cou.
Cet homme venait de sceller son arrêt de mort.

- Quel est ton nom, ma jolie ?

Il pouvait toujours crevé pour que je le lui donne. Je n'ai jamais fais un secret de mon nom, tout cela m'est égal. Que les gens sachent que je viens de la Croix, honnêtement je m'en fiche. Ils n'ont que plus peur de moi. Mais je ne donne pas mon nom aux gens qui me manquent de respect.
Et cet homme là c'était bien pire.

- Va crever, vermine.

Il était la vermine, j'étais son maître. Il n'était rien d'autre que misérable, pâle, inintéressant. Rien d'autre que ça. Alors que moi j'étais forte. Ses fils, je les couperai. Ses veines, je les décharnerai. Sa mort, je m'en enchanterai.
Cet inconnu me répugnait.

- Je ne te ferais aucun mal, à moins que tu veuilles m'en faire..

Comme si j'allais le croire... J'ai été élevée dans le mensonge. Par toi maman. Par Diego. Et par mon père. Ce misérable. Y a-t-il eu seulement une seule chose vraie dans ma vie ? J'en doute. Alors ce n'est pas les mots d'un humain noir de surcroît que j'allais commencer à croire.
Et de toute façon, je prévoyais de lui faire du mal. Dès qu'il aurait écarter ses griffes, détourner son attention, lâché ses fils. Il voulait que je sois sa poupée ? J'étais une poupée dangereuse. Surtout pour celui qui pensait pouvoir me contrôler.
Incontrôlablement mortelle.

- Relâche moi et tu verras bien.

Une seule seconde. Il me suffisait d'une seule seconde pour sortir ma lame, la contrôlée et toucher un de ses points sensible. Son coeur. Sa carrotide. Ou sa gorge. Une seule seconde d'inattention et il en aurait été fini de sa vie.
Il faut savoir ne pas trop s'amuser avec ses jouets...

[...]


La lettre avance, comme d'habitude emplie de haine à l'encontre de quelqu'un. C'est fou ce qu'Anja hait les hommes.
C'est fou aussi comme elle s'enfonce de plus en plus dans sa folie.

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MessageSujet: Re: Une Histoire peu commune ~   Une Histoire peu commune ~ EmptyMer 24 Aoû 2011 - 14:00

      Tom et Jerry, c'est toute histoire de fromage. Quand la vermine de souris veut filer entre les griffes du chat, pour se jouer de son handicap à attraper une souris. De la Princesse à la sorcière, il doit bien y avoir des étapes de maquillages, de coiffure, et bien d'autre chose pour pouvoir devenir aussi hautaine et moche qu'un monstre. Le Prince lui reste Prince malgré son calme plat et son comportement de vampire sortit de True Blood. Ah tout ça, quel est le sens de l'histoire ?

      Page 8, Le comparé à une souris, n'est pas très sympathique. Car le chat a plus l'air du chatte, mais rien n'empêche que son caractère est des plus irritables. Malgré qu'il reste calme avec cette insulte envers sa personne. Il soupire longuement, la femme et son comportement stupide a toujours dire des choses mauvaises aux hommes. On en déduit vite, qu'elle n'aime pas les hommes. Pourquoi ? Il ne lui fait aucun mal, pour le moment et donc aucune raison de se comporter comme un monstre. Il est peut être horrible à jouer avec les gens comme ça et leur faire voir leurs pires peurs, mais cela n'est rien.. On s'en sort toujours plus fort après non ? Enfin si la femme est plus forte que l'homme, mentalement. Mais vue Lola de l'autre fois, tout laisser penser le contraire.
      _ Va crever, vermine.
      _ Quel amour que tu me portes, pourquoi hais-tu les hommes ? Que je sache, je ne t'ai encore rien fais..
      S'il pouvait lire ses pensées, il la comprendrait mieux. Il lui promettrait qu'il est honnête et qu'il n'est pas un menteur. Alors aucune raison de se faire des inquiétudes pour sa pauvre existence alors qu'il ne fait que jouer sans tuer la victime. Enfin la ravissante femme. Mais là, rien n'est sur. S'il la détache de son emprise, elle va se servir de sa dague, et il est hors de question de risquer sa vie avec une femme comme ça. Mais comment peux-t-on faire alors si la femme est sorcièrator 2000. Il va falloir qu'il s'amuse encore à manipuler pour pouvoir retirer sa lame d'elle et être en sécurité. Alors il rajoute encore des fils en faisant quelques tours de passe passe avec ses doigts avant de retirer toute son artillerie pour le tuer. Il contrôle ses mains et fait que l'objet se retrouve donc en sa possession ensuite il l'éloigne de lui délicatement pour ne pas abîmer la belle femme.

      Page 9, Non on ne verra pas. A présent, elle ne peut plus rien faire, il libère la majorité des fils sauf ses mains, car il a l'impression que son pouvoir est basé sur ses mains. Puis on va essayée de jouer avec ses peurs peut être que cela la calmera et ainsi qu'elle ne fera rien. Mais il faut relâcher une main pour ça, donc il manie les deux d'une seule main et active son pouvoir. Les visions commencent devant ses yeux ébahit et observe ce qui lui fait peur. Les hommes. Son père. Pourquoi, faut qu'elle lui explique tout ça. Il n'est pas comme tous les autres hommes, il est différent. Il n'est pas du genre à être un salop ou faire du mal à quiconque. Il aime les femmes sauf quand elles sont mauvaise comme Lola ou elle-même. Mais comme vous pouvez voir, il fait des efforts après utiliser ses pouvoirs, même si Lola a souffert, il a arrêter son pouvoir et l'a aider à se relever. Donc il n'est pas mauvais au fond, juste il se protège avec ses pouvoirs, c'est normal non.
      _ Relâche moi et tu verras bien.
      _ Je ne te fais pas confiance, mais je suis un homme de parole.. Donc..
      Vue qu'il y a les visions qui font sa protection et qu'elle a son amerrie, alors elle ne risque rien encore. Il libère la femme avant d'engager de nouveau la conversation. Il faut se présenter pour être galant, mais cela m'étonne qu'elle en fait de même. Il joue avec sa lame en observant la délicieuse personne qui se trouve en face de lui. Mais par contre, cela n'empêche pas que justement son regard montre qu'il est encore sur sa garde de ces gestes. Pour garantir sa protection encore plus, mais d'abord..
      _ Je me présente, Märchen Von Friedhof.. Je ne vous ferais rien à une personne comme vous !
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MessageSujet: Re: Une Histoire peu commune ~   Une Histoire peu commune ~ EmptyDim 18 Sep 2011 - 19:00

Il était une fois, dans un monde absolument sinistre, une jeune femme prénommée Anja. Toute ressemblance à un conte de fée s'arrête après le "fois", car tout le monde sait bien que dans la réalité, la princesse ne trouve jamais son prince. Qui plus est, Anja n'était pas une princesse.
Et personne ne saurait chourrer son coeur.

[...]

Quand j'étais petite, encore à la maternelle, il y avait un gamin qui ne prenait absolument pas soin de ses jouets. Il s'appelait... non, décidemment je n'arrive pas à me rappeler de son nom. Peut-être que toi si maman ? Il était blond avec des yeux vert, presque jaune. Une bouille grassouillette, absolument aucune charme. Et son comportement... tu te souviens maman ? Il prenait ses peluches, ses voitures et les jettait dans la classe. Je me souviens qu'une fois toi tu t'étais adressée à lui pour lui demander pourquoi il faisait ça et il t'avais répondu que, de toute façon, il s'en fichait. Ses parents avaient bien assez d'argent pour lui racheter de nouveaux jouets...
Mais moi maman, tu m'as toujours appris à prendre soin de mes jouets...

Pourquoi je te raconte cette histoire ? Tout simplement parce qu'entre les bras de cet homme, j'avais l'impression d'être une poupée, une marionnette. Et je me demandais quel genre de personne il pouvait bien être... prenait-il soin de ses jouets ?
Ce qui est sûr, c'est que moi, je le haïssais.

- Quel amour que tu me portes, pourquoi hais-tu les hommes ? Que je sache, je ne t'ai encore rien fais..

Je me suis contentée d'un froncement de nez. Je n'avais pas à répondre à ses questions. Je n'avais même pas à lui parler, en fait. Mais cet homme m'avait provoquée et, pour cela, il devrait payer de sa vie... dès le moment où je serai libérée... Son pouvoir ne durerait pas éternellement, si ?
Un petit coup de dague... oui, mais voilà. Ma dague se retrouva soudainement emportée dans les airs, comme empruntée par un fil invisble. Drôle, très drôle. Comique à souhait.

- Si tu crois que j'ai besoin d'un vulgaire couteau pour te tuer...

... il se fourre le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. J'ai subis un entraînement à la Croix. Tuer un homme à mains nues ne me pose aucun problème...
... tuer un homme entraîné à mains nues ? Même si la prudence ne rime pas forcément avec moi, mon instinct de survie me soufflait de ne pas tenter le diable. C'est pour ça que je n'ai pas bougé quand il m'a libérée. Et puis de totue façon, il tenait encore mes mains...
Puis j'ai sentis autre chose, quelque chose qui montait, montait, montait... EXPLOSAIT. Et je l'ai vu. Mon père. Mon géniteur. Ton mari maman. L'homme qui a détruit ma vie. Qui ne m'aimait pas assez pour rester dans le rang. Qui a voulu fuir. Abandonner.
Abrutis.
Que croit-il ? Que j'ai peur de lui ? Peut de mon père ? Ou tout du moins, de l'image de mon père. Ce n'est qu'une illusion et cela fait bien longtemps que je n'ai plus peur de l'homme à qui je dois la vie. Cette fichue vie emplie de haine. D'abord je n'ai éprouvé que de la tristesse pour lui. Mais c'était avant de savoir, de toute savoir... Car à présent je n'ai plus que de la haine et du dégoût pour lui. Il était pathétique. Et comment pourrais-je avoir peur d'un souvenir pathétique ?
Je n'ai pas bronché, observant l'illusion de mon père sans commentaire. S'il croyait pouvoir me déstabilisée, s'était fichu pour lui...

- Je ne te fais pas confiance, mais je suis un homme de parole.. Donc..

J'ai sentit les fils invisibles et impalpable se relâcher et d'un coup je fus libre. Dans un coin de ma tête un sourire s'est tracé ; il ne me faisait pas confiance ? Et bien il avait bien raison... Dans mon esprit je montais déjà une dizaine de plans différent pour le voir étalé dans la rue sans plus ou souffle de vie... Malheureusement il avait ma lame. Et c'était un humain noir... il devait savoir se défendre, il fallait que je sois prudente.

- Je me présente, Märchen Von Friedhof.. Je ne vous ferais rien à une personne comme vous !

Märchen, hein... Et bien la réciproque n'était pas vrai. Je n'aurais pas hésité une seule seconde à faire du mal à quelqu'un comme lui. Au contraire même, au contraire...
J'ai relevé la tête pour le jauger un instant. Mouais. Sans ma lame j'étais vraiment en danger... Il fallait que je trouve un moyen de la récupérer... Mais tant qu'elle restait dans ses mains, mes pouvoirs m'étaient inutiles...

- Anja von Duisbourg. Je ne vous ferais pas la politesse de prétendre être enchantée puisque ce n'est pas mon genre...

[...]


Sa vie n'est pas un conte de fée. Comme le prouve l'encre rouge sur le papier blanc. Comme du sang sur la neige...

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MessageSujet: Re: Une Histoire peu commune ~   Une Histoire peu commune ~ EmptyVen 23 Sep 2011 - 19:33

      Une histoire commence par une Majuscule et finit par un point. Et dans tout ça, il y a « Il était une fois » et « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant » et comme chaque fin y a écrit « The End » mais celle ne vient que de commencer, alors disons.. Il était une fois, un Prince des Ténébres, et une dangereuse Princesse.

      Page 10, Pour le tuer, certainement pas. Il en faut bien plus. Dague magique ou pas.. Cela ne sera qu'une faible blessure comparé à ce qu'il a vécu. Mais malheureusement pour elle, elle ne l'avait plus en sa possession. Märchen avait envie de l'utiliser contre elle, au cas ou celle-ci essayerait de s'en prendre à lui. Mais vue qu'il ne voulait pas abîmer un si beau visage, il préfère aller en souplesse et essayer d'avoir une relation avec elle. Ceci est était un défi à lequel, il n'avait jamais eux à faire, car il n'avait jamais formé un lien avec quiconque, et pour la première fois, il se devait d'avoir des relations amicales ou amoureuse. Juste pour montrer qu'il était vivant. Il doit se forcer, c'était ça ou rien.. Mais bon pour le moment, nous parlons de la dague qu'il a en sa possession.
      _ Si tu crois que j'ai besoin d'un vulgaire couteau pour te tuer...
      _ Je n'en doute pas ! Mais quand comprendras-tu que je ne comptes pas te faire du mal !
      Il était honnête, et attendait que celle-ci ce calme pour qu'il puisse la libérer mais pour le moment c'était peine perdue. La femme avait décidée de persister sur son idée de le détruire, donc impossible de la délivrer de son emprise. Un long soupire sortit de ses lèvres, qu'est-ce que c'est bête, les filles. Comment il pouvait convaincre un caractère de merde comme celui-ci. Surtout qu'il ne voulait pas lui faire du mal, c'est con. Il ne va pas la supplier, ou se mettre à genoux tant qu'on y est. Il a beau l'expliquer en long en large, en résumé, mais rien n'y fait.. Elle ne veut pas le croire, c'est pitoyable alors qu'il fait preuve de gentillesse et ca se voit vue qu'il la retient juste pour sa protection.

      Page 11, Maintenant passons aux présentations. Anja Von Duisbourg. Quel beau nom Anja. Märchen le pensait vraiment. Il n'avait jamais vue quelqu'un porté ce prénom, c'était originale. Mârchen ça l'était aussi, mais c'est Allemand, donc c'était logique qu'il soit étrange. La femme du nom de Anja n'aimait pas les garçons alors que Märchen lui adorait les femmes. Elles étaient tel un chat, mesquine, gracieuse, séduisante, égoïste.. Un portrait qui fit sourire le brun. Qu'allait-il faire d'elle à présent. Il était présenter l'un à l'autre, malgré que ce n'était pas dans une entende merveilleuse, mais ça lui allait, c'était l'essentiel.
      _ Anja von Duisbourg. Je ne vous ferais pas la politesse de prétendre être enchantée puisque ce n'est pas mon genre...
      _ Cependant je le suis.. Anja, originale de quel origine êtes-vous ?
      Papotages dans d'étranges conditions, mais il faut de tout dans ce monde. Il voulait communiquer, et aussi se rapprocher d'elle sans que cette chienne la mord. Il n'est pas vacciner contre ce genre d'animal, enfin il est vacciner contre les maladies mortels mais pas comme les chiens à l'apparence humaine. Pour ne pas avoir de la bave ou une morsure grave, il préfère la garder en laisse, ainsi tout finirait bien dans le meilleur des mondes.
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Anja L. von Duisbourg
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MessageSujet: Re: Une Histoire peu commune ~   Une Histoire peu commune ~ EmptyMer 4 Jan 2012 - 18:44

Pour Anja il n'y aura pas de fin heureuse. Pas de "et ils vécurent heureux avec beaucoup d'enfants". Pas de prince charmant. Pas d'amour.
Anja hait l'amour.
L'amour c'est être faible. C'est s'ouvrir à quelqu'un, lui offrir son coeur qui serait alors trop facile à briser. Ecraser. Eparpiller. En mille morceaux.
Jamais Anja ne tomberait dans le piège de l'amour...

[...]

- Je n'en doute pas ! Mais quand comprendras-tu que je ne comptes pas te faire du mal !

Lui ne comptait pas me faire de mal, mais moi hein ? Je déteste les humains, tout comme les mêlés d'ailleurs. Ils n'ont aucuns droits de vivre. L'inconnu était un humain et ça, ça suffisait comme raison pour que j'aie envie de le tuer. Le fait qu'il soit un homme ne rajoutait qu'un peu plus de plaisir au cocktail. Et puis de toute façon, depuis quand avais-je besoin de raison pour tuer ? Je tue qui je veux, quand je veux. Du moment que cette personne n'appartient pas à la Croix...
Décidément, j'étais de moins en moins enchantée de faire sa connaissance. Désenchantée c'est le mot. Mais lui ne semblait pas comprendre à quel point il m'indisposait et à quel point son visage ne m'inspirait que haine et envie de meurtre... Quelle naïveté... À la première occasion j'aurais pu attraper son cou, le tordre, récupérer mon couteau, finir le travail, observer son sang glisser sur l'asphalte de la route, disparaître.
Une bonne dizaine de façon de l'assassiner me passait à travers la tête.

- Cependant je le suis.. Anja, originale de quel origine êtes-vous ?

Je l'ai regardé. Regardé de haut et j'ai même hésité à lui cracher dessus comme j'avais craché sur Jack peu de temps auparavant. Mais je me suis retenue. Je ne suis pas un lama et les gens tel que ce Märchen ne méritait pas ma considération. Il ne méritait pas que j'use de ma salive pour eux. Ni de mon temps d'ailleurs.

- Töte !

Meurt en allemand. Oui maman, tu as bien lu, de l'allemand. J'étais dans une telle colère que ma langue natale me venait naturellement aux lèvres. Je n'avais pas envie de lui répondre, pas envie de rester plus longtemps auprès d'un déchet tel que lui.

- Je ne suis pas une poupée...

Ni un pantin et Märchen n'avait absolument aucun droit de jouer avec moi. Zéro. Nul. S'il n'arrivait pas à comprendre cela à ses simples mots, j'étais plus que presque à lui l'enfoncer dans le crâne à coups de poing.
Désirait-il vraiment voir la mort en face ?


Quelle fin réservait l'histoire d'Anja ? Oh, mais c'était bien simple. Une fin noire, dans une boîte, comme tous les êtres vivants. À 20 ans ou à 60, encore jeune ou déjà vieille, tout cela n'avait pas d'importance.
L'importance c'est qu'on y arrive tous.
Dans cette boîte.
Dans ces cimetière.
Sur le chemin de la mort...

_________________

Une Histoire peu commune ~ 0a90


« Oiseau moribond, elle est plus proche de l'envol que je ne l'ai jamais été et j'ai mal.
Déchirure.  »



« Pis donner à bouffer à des pigeons idiots
Leur filer des coups d’ pieds pour de faux
Et entendre ton rire qui lézarde les murs
Qui sait surtout guérir mes blessures »


- Do you know how to fight ?
- And you, do you know how to die ?
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AnonymousInvité
Invité
MessageSujet: Re: Une Histoire peu commune ~   Une Histoire peu commune ~ EmptyLun 12 Mar 2012 - 21:44

      Page 11. Allemande. Un arrière goût de déjà vu. Il était né lui-même dans ce pays ou il avait été bannis dans un puits sans fond. Personne n'avait essayé de comprendre.. d'où provenait le son ? Un puits remplit de magnifiques roses rouges qui avaient fanés lors de l'apparition du grand Märchen. Un homme au cœur noir dépourvu de mensonge et de vérité.

      Que pouvait-il faire contre cette chatte en chaleur ? Elle était incontrôlable. Il était impossible de la contrôler avant de se recevoir en pleine face une insulte. D'un caractère extrêmement calme, le brun ne fit pas attention à son comportement enfantin. Insulter son prochain sans que celui-ci lui est vraiment fait du mal. Pourquoi s'acharnait alors que le marionnettiste possédé à lui seul toute la richesse de la manipulation humaine. Peu de personne n'aurait tenté de lui manquer de respect ou de l'insulter de la sorte. Cependant les femmes ici étaient bien différentes qu'en Allemagne. Le pays ou les gens le prenaient pour un damné, un maudit, un être impur, … A présent la question était comme régler ça sans sang et tragédie. « Töte ! » avait-elle osé insulter le maître des ombres. Celui ne lui accorda même pas l'attention, il trouvait cela déplaisant de se mettre à son niveau. Il ne voulait pas se comporter comme un gamin immature et impoli qui plus est. « Quand arrêteras-tu tes jérémiades ? » demandait-il dans un long soupire qui ne présager rien de bon. L'homme commençait à s'impatienter.. mais sérieusement. Si elle continuait à gesticuler dans tous les sens et à en faire qu'à sa tête. Il va finir par vraiment l'abattre à tel point qu'elle n'aura aucun moyen de s'en remettre mentalement. Lola en était la témoigne.

      Cependant la conversation ne s'arrêta pas là. La demoiselle continuait à parler dans le vide, car elle avait beau parler Märchen ne l'écoutait pas. Enfin pas totalement du moins. Il se moquait un peu de ce que pensait la jeune femme. Il savait que ça ne servait à rien de l'écouter, elle ne savait que parler pour ne rien dire.. quelque chose qui ne supportait pas.. « Je ne suis pas une poupée... » prononça-t-elle à haute voix. Il monta les yeux aux ciel comme pour dire dans quelle situation je suis tombé. La situation était plutôt dérangeante et fatiguant. Il ne supportait pas le bruit, le comportement immature, les caprices, et autres bêtises de l'homme. Il n'était certainement pas comme eux. Il était loin de les ressembler. On avait beau dire, mais Märchen reste unique dans son genre.. Le brun ne se considérait pas comme un humain, un homme, mais plutôt comme un esprit vengeur qui sauve les jeunes femme en détresse.. sauf que là ce n'était pas une femme mais une sorcière ou un animal sauvage.. les deux termes convenaient parfaitement ! Seulement ce n'est pas sur que celle-ci le prenne aussi bien.. « En ce moment même vous l'êtes ! Je vous prierez de vous calmez.. Si vous souhaitiez que je vous délivre ! » ordonna-t-il en levant le ton pour être à la même hauteur d'elle et lui bien faire comprendre que ses jérémiades et ses agissements ne servent à rien. Cependant rien n'est garantis qu'elle obéisse..

      Si la vérité devait être un sortilège.. Alors il faudrait que cela soit un sortilège d’envoûtement pour ne plus qu'aucun mensonge ne sorte de la bouche et la délivrance des péchés opère. Seulement par moment il faut mieux éviter d'en savoir plus que ce que l'on sait au risque de se heurter à des problèmes que nous-même nous ne pouvons pas résoudre.. Cela ne ferait que rajouter une interrogation de plus à notre vie.. Mais pourquoi est-elle si compliquée ? Alors que nous ne cherchons juste qu'à jouer les fil de notre vie.. comme si nous contrôlions nous même notre destin.. Le marionnettiste reste silencieux face à cette énigme mais le joueur prête plus d'attention à l'argent qu'au besoin.. En oubliant ce qu'auparavant lui avait posé un problème.. La vie est un sort, l'amour est une règle, dans lequel le jeu opère.. Les dés sont lancés qu'elle sera la prochaine victime..
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