Invité Invité | Sujet: Elisabeth Von Wettin "Torikago no Douwa" {OK} Lun 23 Juil 2012 - 12:23 | |
| Welcome to Mystery...Elisabeth Von Wettin Torikago no Douwa
feat bell | Cosplay d'Elisabeth (Sound Horizon) | Âge : 24 années Date & Lieu de naissance : Née en Allemagne le 11 Février Race : Humaine Statut : Petite Sainte Groupe : Innocent Don premier : / Pouvoir premier : / ( métier : pour les humains innocents) Princesse d'une contrée éloignée en Allemagne
|
« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées.
Elisabeth Von Wettin
Pureté immaculée. Jeune oisillon étincelant appraissant à travers les barreaux sombres de sa cage. Née pour être gouvernée et pour subir la vie ténébreuse et morne de princesse.
J'étais juste une ombre. Juste un rejet, juste une existence ombrageuse. Mais, la lumière me sauva, et je te rencontra. März.
Que devrais je raconter ? Tu es ma vie, celui qui me donna le pouvoir de vivre. Toi, qui me faisais découvrir, la forêt, les fleurs, l'obscurité apaisante des arbres, je n'ai jamais été aussi heureuse de ma vie. Le sais tu ? Tu es le premier, à être apparu à travers le barreau de ma cage, le premier, a avoir outrepassé tous les interdits pour me rencontrer. März... Quand tu es partie, je n'ai rien pu faire de mieux que de t’offrir cette poupée. Des heures et des heures de coutures, pour essayer de t'arracher de nouveau ce sourire que tu m'offrais si souvent. Tu es mes ailes, celle qui m'ont permise de m'envoler au delà de l'hostilité de ma vie de princesse.
« Mär, tu reviendras pour moi n'es ce pas ? - Je te le promet. »
Ma vie a bien mal commencée. A peine sortie du berceau que je me retrouvais sous terre. A essayer vainement de supporter, l'odeur de la boue humide, le poids de la terre sur mon petit corps blanc. Je suffoquais, j'étouffais, j'appelais, en vain. Rien n'apparaissait devant moi. Aucune lumière, aucun visage familier, juste l'obscurité, juste les ténèbres. Puis, quand tout espoir semblait envolé, quand je sentais la mort s’infiltrer dans les tréfonds de mon âme, la lumière est apparu. Blanche, aveuglante puis plus rien. Quand j'ai rouverts mes petits yeux verts, j'étais dans ma chambre, dans ma cage à oiseau. Ma mère sanglotait près de moi, de joie ou de tristesse ? Je n'ai jamais su... ou bien plus tard.
Même tout au long de ma vie, je n'ai jamais pu éprouver de haine. Même contre elle, jamais. Pourtant, elle était partout. Elle nous suivait, ne voulait en aucun cas que März ne me voit ou vice versa, si bien que, au fil des jours, au fil des années, nous commençâmes à nous voir en cachette. Jamais ta belle-mère ne réussit à nous trouver, si bien que, nous finîmes par oublier son existence. Même moi, moi, Elisabeth, celle qui commença sa vie comme morte, cachée du soleil, sous la terre. Comment aurais je pu l'oublier ? Oublier celle qui m'avait infligé toutes ces souffrances ? Mais c'est ce que je fit. Je l'oublia, pendant quelques temps. Afin de savourer pleinement, ma nouvelle liberté, mon nouvel amour. Car le monde est si grand !
Bien trop grand... Je m'en réjouissais mais lorsque que ta non-présence se fit sentir au point d'en devenir inssuportable, je me rendis compte que le vide de ton sourire me pesais d'une telle force sur mon coeur que je ne pus attendre une minute de plus. Pas une de plus sans toi.
Je fus terrifiée, quand on te retrouva au fond de ce puits sombre. Tu avais tellement changé, ton regard était vide, tes cheveux noirs, et tu ne te souvenais de rien même pas de moi. Je me maudissais, me croyant respondable du malheur qui t'étais arrivé, malgrès mes mots maladroits pour t'expliquer on ne peut mieux la sitution, rien ne te revint, même pas nos moments de bonheur commun. Ton regard vitreux me faisait me sentir mal. Puis, une nouvelle fois, je suis allée à ta rencontre, j'ai traversé le ruisseau et j'ai contourné le sapin fantôme, puis je suis arrivée à ta pauvre maisonnette. Trois petits coups frappés à ta porte, un sourire se dessina sur mon visage quand j'entendis des pas approcher, puis la porte s'ouvrit mais ce n'était pas toi. Tu étais partie...
J'ai couru, couru le plus loin de cette sorcière qui t'avais une nouvelle fois emporté loin de moi. Puis, la robe sale, les yeux remplis de larmes, je pris une décision. Une décision qui me guiderait toute ma vie. Je te retrouverais. Avec ma cape miteuse, et mon petit sac, je te retrouverais.
Alors je suis partie. Lasse d'attendre, lasse de supporter, menaces, mariages, envieux et famille. Je ne souhaite qu'une chose Mär, te retrouver, mais ma route ne sera pas sûre. Et de nombreuses rencontres se profilent devant moi. Mais je ne n'ai rien à perdre. Alors je te retrouverais.
Même si je dois y laisser ma vie...
« QUI-ES-TU ...? »● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées.
Un petit oiseau blanc dans une cage à oiseau.
Un oiseau tellement doux, tellement docile, que cela en devient presque irréel. Une existence basé sur la confiance, sur la patience. Plus rien ne compte à part la longue et difficile attente, le retour d'un März aimé, un März adoré... Car oui, si l'on devait décrire notre Elisabeth en un seul mot ce serait : amoureuse. Elle brûle d'un amour puissant, indescriptible. Un amour renforcé par une attente, l'attente d'un être cher. Sans limite, sans attache, elle s'envole quand il le faut, ne cédant à aucune menaces, elle continuera à avancer, jusqu'à son dernier souffle.
Malgrès toutes les horreurs que Thérèse a pu lui infliger, malgrès la pire de toute: la mort, Elisabeth l'a toujours considéré d'une regard neutre, sans haine, avec un petit sourire sur le coin des lèvres, comme si elle avait décidé de rayer cette partie de son existence et de l'enterrer au plus profond d'elle même. Elle est la pureté incarnée, une sainte blanche qui ferra tout pour retrouver celui qui lui vola son coeur il y a bien longtemps. ● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées.
Elisabeth n'est pas très grande. Frêle, et mince, si bien qu'on a l'impression qu'on pourrait la briser en deux d'un simple effleurement. Toujours vêtue de blanc, on croirait l'incarnation d'une sainte sur terre. Avec ses grands yeux verts, elle considère les gens qu'elle rencontre avec beaucoup de gentillesse.
Malheureusement, depuis l’effroyable incident avec la belle-mère de Mär, la pauvre jeune fille garda un teint plus blanc que la mort. Elle est tellement pâle, semblable à un fantôme. Accentué par le blond très clair de ses cheveux, elle est d'une telle blancheur qu'on pourrait croire à la pureté incarné.
Quand elle partit, avec sa cape troué, la petite princesse abandonna ses préceptes et, avec sa robe plus grise que blanche, avec son visage noirci par les chutes, elle se dirigea vers la ville prochaine. MORE?
Elisabeth Âge : 17 ans Poste Vacants ? : []oui [X]non Comment avez-vous connu le forum? : On m'a demandé de le rejoindre pour faire évoluer un post. Merci à July ~ Fréquence de venue : 2~3/7 Codes :Ok by Mymy ☃
- Citation :
- Note aux admins: Comme vous aurez pu le remarquer, c'est un personnage prédéfini, donc il avait déjà été classé en "Innocent", es ce possible de rester dans ce groupe ? Merci d'avance, je modifierais ma fiche en cas de problèmes !
|
|