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| Je suis le monstre qui se cache dans les ténèbres et toi ? Ft. Leca | |
| Auteur | Message |
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CITATION DU PERSONNAGE : Je perds du temps, frappée par une lassitude où sentiment de solitude est insistant...
MESSAGES : 1495 DATE D'INSCRIPTION : 30/03/2012
Niveau du personnage Point RP: (57/100) Point Membre: (45/100) Niveau: 6 - AffirméeBastila Black | Sujet: Je suis le monstre qui se cache dans les ténèbres et toi ? Ft. Leca Mer 21 Nov 2012 - 14:39 | |
| La mort est une seconde vie, accepte-la...
C'est drôle quand le soir vient, tout tourne au ralentit, on a parfois l'impression que la vie s'arrête avant de reprendre au lever du soleil. Ce qui est normal me direz-vous, tout le monde dort le soir. Si vous faites attention, à une certaine heure on peut voir des choses sortir de l'ombre la nuit, quand tout le monde dort. Les monstres existent, ils sont là tout autour de nous, ils nous guettent cacher dans l'ombre, l'obscurité, les ténèbres. Vous croyez aux monstres ? Non ! Pourtant, vous devriez, car après tout, j'en suis moi-même un. Quoi ? Cela vous étonne, pourquoi ? Je ne vous ai après tout jamais dit quelle forme précise représentait les monstres en général, si ? Cachée dans la noirceur, l'obscurité, les ténèbres, j'attends, encore et encore, j'attends celle que je m'apprête à dévorer ce soir, celle qui assouvira ma faim, celle qui a commis trop de pécher et qui doit être châtiée. Je suis le prédateur attendant sa proie patiemment dans le coin creux du mur froid.
Elle ne va plus tarder à arriver, j'ai pris le temps de prendre mes marques de l'appartement miteux ou elle vit. C'est dans cet appartement qu'elle ose polluer le gentil Isaya de sa présence, elle est sa mère, mais cela ne suffit pas à pardonner les nombreux innocents, qu'elle a tué, lapidé, profané. Le jugement dernier à sonner pour elle et je serai son ange de la mort, venu s'acquit de son âme souillé par la noirceur de ses actes, une âme qui était si pure et blanche auparavant. Je serai le faucheur qui la guidera à présent jusqu'au porte des enfers, des limbes et du purgatoire. Je prierai pour que dieu lui accorde son pardon, je devrais bien cela à Isa. Je regarde ma montre, elle indique 22h. Je sais qu'elle ne va plus tarder, j'ai pris l'avantage en étudiant chacune de ses manies ainsi que ses horaires de travail, de repos et de déjeuner. J'ai pris soin de préparer l'endroit pour elle, pour Isaya, je vais mettre fin à sa vie sans la faire souffrir, sans verser le sang, mais paisiblement.
La porte d'entrer s'ouvre, elle entre les yeux rivés sur son téléphone, elle ne remarque pas ma présence magique, elle ne le peut pas de toutes les manière... J'ai incrusté la maison de rune qui brouille les sens, les dons de localisation, détection. Je l'observe dans l'ombre, me délectant déjà de sa mort future, à ses pieds j'ai installé d'autre rune qui rendra sa magie impossible à utiliser temporairement. Tant mieux si elle ne me remarque pas, je n'aurai pas me téléporter pour la surprendre. Une fois qu'elle passe devant moi, une fois qu'elle est dos-à moi... C'est à pas de chat que je m'approche d'elle, c'est alors avec agilité et précision que je lui pénètre l'aiguille de la seringue dans sa jugulaire. Seringue contenant du Pancuronium qui provoque dès l'injection la paralysie de chaque muscle de son corps et avant qu'elle s'écroule raide, je l'attrape et la tire vers le salon, avant de la poser à terre. Elle me regarde, elle tente de me dire quelques mots, mais elle ne peut pas à cause de la drogue, que je lui ai injecté. Je mets mon dois contre ma bouche, pour lui signifier que le silence était la meilleure solution à l'heure actuelle.
« Il est inutile d'essayer de parler, mademoiselle Lytel Grace Humptington. »
Ai-je dit d'un ton de la voix tout à fait naturel, comme si je conversais avec un partenaire de thé et de petits gâteaux anglais. Je sors à la suite plusieurs clichés de photo et montre chacune d'elle à mademoiselle Humptington, il s'agit de toutes ses victimes innocentes, qui ne méritait pas de mourir, mais qu'elle a quand même tué par plaisir.
« Jérémy Stuarte, père de deux enfants aujourd'hui orphelins grâce à votre exploit. Marilyne Jayfrey, elle venait d'accoucher d'une petite fille nommée Anna, orpheline désormais. Et je pourrais vous montrer encore jusqu'au matin, toutes les photos de vos victimes, que vous avez eu grand plaisir à séparer de leurs familles, mais je n'ai guère le temps. »
Je sors de ma sacoche où j'entrepose mes produits médicales, je sors ma seringue avec déjà à l'intérieur du chlorure de potassium qui va se charger de provoquer un arrêt cardiaque. Je rajoute, avant de lui mettre le coup de grâce...
« Vous avez séparé des parents de leurs enfants, à votre tour d'être séparé du vôtre ! »
Je pénètre l'aiguille dans un de ses grains de beauté pour ne pas, que les autorités trouvent la cause de la mort facilement. Puis, je la regarde mourir avant de me lever, avec mon équipement en main... Elle est morte les yeux rivés le plafond, que regardait-elle ? Sa vie, défiler ? Ou regrettait-elle ses actes, de mourir sans avoir revu une dernière fois son fils ? Peu importe, mon coeur ne ressent rien, seul sa mort me satisfaite en cette heure et en ces lieux. Adieu, Lytel Grace Humptington...
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: Je suis le monstre qui se cache dans les ténèbres et toi ? Ft. Leca Lun 14 Jan 2013 - 22:25 | |
| For better or for worse, in sickness and in health. Forever together. Cette nuit, j'ai fait un rêve. Ou peut-être hier, je ne sais pas. Ça ne m'arrive pas souvent de rêver : on ne m'a pas vraiment donné cette chance.
C'était ce que je croyais, du moins. Cela ne veut rien dire. C'était sûrement hier.
Mon rêve donc. Un des tous premiers. Je me revois debout, immobile et glacée, devant une fenêtre encadrée de lourds rideaux d'un vermeil éclatant. Il n'y a pas un souffle de vent. L'air est chaud. Et lourd. Nous sommes donc en été, en début de soirée, et je ne suis pas encore au lit. Tout le monde est occupé ailleurs, personne ne fait attention à moi. Mes yeux vagabondent sur l'ombre osseuse des arbres qui se mouvent sur la pelouse, puis sur les roses tardives brodées d'or. A travers les branches sinueuses d'un saule pleureur, je vois scintiller une pièce d'eau argentée.
Un lac.
C'est là que le paysage percute mes iris. C'est là, précisément, que je reconnais cet endroit même si ça fait longtemps que je n'y ai pas mis les pieds. Parce que rien a changé : je suis dans la Maison des Saules à Whichita, là où Isa a passé une partie de son enfance.
Je suis alors envahie d'une curieuse sensation qui me pousse, me force presque à sortir, à m'échapper de cette chambre. Je traverse un tapis exigu pour la pièce, passe la porte entrouverte et me retrouve dans le couloir où il fait toujours sombre, même quand le soleil brille dehors. Un calme opaque règne sur tout l'espace et se prélasse jusqu'aux escaliers : pour ne pas le troubler, je descends les marches sur la pointe des pieds sous le regard vide et fixe des portraits sur les murs. Une fois arrivée dans le hall, mes pupilles se figent sur le sol de marbre du hall, semblable à un damier et, sans vraiment avoir conscience de ce que je fais, je m'applique à éviter les carreaux noirs.
Peut-être persuadée qu'il se produira quelque chose de mauvais, qui sait ?
Me voilà finalement dehors, à dévaler les marches de la terrasse et à traverser l'herbe sèche pour poursuivre ma course entre les grandes haies modelées en cônes, boules et autres spirales étranges, rejoignant ainsi le lac aux cygnes.
Et c'est là que, debout sur la rive, à fixer un point invisible, quelque chose m'attire l’œil. Quelque chose dans les roseaux, comme une tâche sombre dans l'eau. Avec toute la douceur du monde je me penche à peine et vois que ça ressemble à une sorte de drap ou d'un morceau de tissu. Difficile à dire quand c'est en partie caché par des plantes aquatiques et des branches de saule gris-vert aux feuilles en forme de longs doigts fins. Je me décide ensuite à m'approcher de l'endroit où l'eau rejoint la rive pour mettre le bras dans l'eau, tirer et voir enfin ce que ça pourrait bien être. En me penchant encore, avec une curiosité sans limites, j'aperçois mon reflet dans l'eau : nos pupilles s'entrecroisent et se scrutent pour finalement glisser sur nos visages.
Non. Ce n'est pas moi. Je ne renvois pas ma propre image. Je me mouve sous les traits d'un Isaya d'une dizaine d'années ou plutôt, je ne fais qu'un avec lui, avec son âme.
J'ai un mouvement de recul, puis me décide finalement à tendre la main. Une chair de poule se déploie sur mes bras à la seconde où ma peau entre en contact avec l'eau glacée. C'est là que, dépassant du tissu, j'aperçois quelque chose qui ressemble à un pied.
Serait-ce quelqu'un qui nage ? Mais personne ne sait nager sans bouger, pourtant...
Soudain le froid s'abat lourdement sur mes épaules. Ce que je ne sais pas ne peut pas me faire de mal, mais je sais que ce n'est pas normal. Que c'est grave. Que je devrais me précipiter pour chercher de l'aide. Sauf qu'au lieu de ça... … au lieu de ça, je ne peux pas empêcher ma main de saisir le tissu sombre qui flotte à la surface. Je le tire et quelque chose de lourd vient vers moi ; le temps s'allonge tellement que le moment semble durer, durer, durer...
Il y a un visage. Un visage aux yeux ouverts et vitreux, une peau pâle et verdâtre, des cheveux épars qui glissent et se gonflent, qui flottent dans l'eau argentée, vont et viennent dans la bouche figée en un cri muet. Je sens que je vais me mettre à crier. Non. Je sens qu'Isa va se mettre à hurler mais rien ne sort.
Il faut que quelqu'un vienne. Il faut du secours.
Je sens mes jambes me relever avec difficulté pour me porter jusqu'à la maison. La voix d'Isa, paniquée et emplit de sanglots, s'échappe de ma gorge mais personne ne m'entend. La sensation de cette peau contre la nôtre nous hantera jusqu'à la fin, tout comme chaque pli du tissu trempé, tout comme ces yeux aveugles d'où ruisselle l'eau et les cheveux défaits.
Puis je me réveille en sursaut quand ma main se porte à mon front pour effacer chaque perle salée échouée sur ma peau.
Cette nuit, j'ai fait un rêve. Ou peut-être hier, je ne sais pas. Ça ne m'arrive pas souvent de rêver : je croyais dur comme fer qu'on ne m'avait jamais donné cette chance.
C'était ce que je croyais, du moins.
Mon rêve donc. Un de mes tous premiers.
C'était certainement hier.
J'ai rêvé qu'Isaya découvrait le cadavre sans vie de sa mère. Cela ne voulait rien dire. Cela ne pouvait rien dire.
Sauf que c'est quand je plonge mes pupilles dans son regard vitreux et terne, que mes iris dessinent le contour de son visage pâle avant de serpenter dans ses cheveux épars qui semblent glisser sur le parquet comme des algues terribles, que je saisis toute la valeur de l'instant.
Maintenant je sais, et je ne pourrais jamais cesser de savoir.
La mort n’a pas d’odeur. Elle n’a pas de saveur non plus. Elle n’a rien pour elle au final : c’est juste une saloperie qui te chope d’un coup d’un seul, alors que rien, plus rien, ne peut l’arrêter. Elle n’a pas de couleur non plus. Ce serait trop con et bien trop facile, sinon.
Lytel faisait partie de ces gens persuadés qu'on ne vit avant tout que pour soi avant de vivre pour les autres. Elle pensait aussi qu'elle avait toute la vie devant elle, simplement parce qu'elle était magique et que rien ni personne ne lui arrivait à la cheville. Quelle ironie quand on sait qu'elle est morte aussi connement ! Aussi facilement ! Même pas eu le temps de se débattre ! J'ai sentis son dernier battement de cœur et le film de tous ses regrets.
Une seringue a mis un point d'honneur à sa vie.
Moi ? Moi je suis de ceux qui pensent que la mort peut bien cueillir comme une fleur à l'angle d'une rue et qu'elle peut même narguer trop longtemps comme un venin qui se plaît à ronger caustique, je resterais gagnante et elle ne pourra rien y changer.
Je garde au creux de mon bras un honneur pour la lyncher. Mon orgueil et mes petits bonheurs lui susurrent ma victoire et ma solitude et mes douleurs l’acculent au ridicule.
Le jour où elle viendra me rendre visite et qu'elle attendra de moi comptes trop infimes, suppliques sourdes, regrets amers et goût d'inachevé, elle n'obtiendra de moi qu'un sourire tranquille et un superbe et ironique « tu peux crever ».
« Vous avez séparé des parents de leurs enfants, à votre tour d'être séparée du vôtre ! » Dans un silence imperceptible, nonchalamment appuyée contre la porte d'entrée, regard ancré sur le dos de notre visiteur impromptu qui se trouve au dessus de celle qui prétend être notre génitrice, j'attends le dernier soupir pour commencer à applaudir. Un regard sombre et dur glisse sur ma peau avec la douceur d'une plume, analysant ainsi mon visage et la teneur de mon statut (allié ou ennemi ?). Puis je stoppe mon cirque et fais craquer mes phalanges avant de m'étirer dans toute ma longueur.
« J'dérange, peut-être ? Désolée si c'est le cas. » Bien sûr, je ne l'étais pas le moins du monde, mais je présume que je suis censée adopter une certaine... attitude envers ma "boss", même si je n'ai aucune confiance en elle.
Je m'avance ensuite avec toute la lenteur du monde dans la cuisine pour me servir un verre de whisky. Indifférente.
« Je dois dire que vous avez un goût pour la mise en scène assez ordinaire, moi qui m'attendais à quelque chose de plus théâtral, de plus poignant venant de votre part : je suis un peu déçue, ça change de la fois où vous m'avez recrutée ''boss''... Vous m'avez habituée à mieux, je pense. Enfin... un verre, ça vous tente ? Histoire de trinquer à la nouvelle année... » Je commence à rigoler toute seule avant de servir deux shots. J'en avale un cul-sec et ravale un frisson. Un feu délicat embrase ma gorge tandis qu'un sourire mauvais s'esquisse sur mes lèvres. |
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Niveau du personnage Point RP: (57/100) Point Membre: (45/100) Niveau: 6 - AffirméeBastila Black | Sujet: Re: Je suis le monstre qui se cache dans les ténèbres et toi ? Ft. Leca Sam 23 Mar 2013 - 19:13 | |
| La mort est une seconde vie, accepte-la...
La mort, le fardeau que porte l'espèce humaine depuis la nuit des temps, la mort, l'incarnation même de notre tourment. Elle est la seule chose contre qui nous ne pouvons rien, la seule chose dont la venue est étrangère à nos équations, d'hypothèse de prédiction, imprévisible elle est. On sait que la mort peut nous frapper, rien qu'en regardant une série du dimanche sur son canapé et même pour nous croyants, il est toujours préférable de repousser le repentir, comme si nous savions que la mort ne se montrera pas pour l'instant, continuons nos bêtises. Lytel pensait-elle que la mort ne sera pas pour l'instant ? Pensait-elle se faire abattre par une femme enceinte de huit mois ? Prédire l'avenir, elle l'aurait pu peut-être, Einstein disait que grâce à sa théorie de la relativité, il était impossible de voyager dans le temps... Cependant, il avait développé la théorie qu'il était possible de l'apercevoir. Combien même, voir son avenir est déjà un moyen de se condamner à mort.
« J'dérange, peut-être ? Désolée si c'est le cas. »
Je replace la seringue dans la trousse sans accorder un regard à la nouvelle venue. Dissimuler sa présence qui consiste à se fondre dans le décore, est une chose qui d'un, on l'apprend en formation d'assassinat, ou de deux est un don naturel. Pour moi, j'ai eu une formation, apprendre à dissimuler mon aura magique et mon aura spirituel pour passer inaperçue à ceux qui en sont sensibles... J'ai appris à faire de l'obscurité mon meilleur allié, j'ai appris à me déplace silencieusement, ce sont les bases de la dissimulation. Voyez-vous, même si Leca est une pro dans dissimulation de soit, je ne dis pas qu'elle l'est, elle n'arrivera pas à tromper mes sens. Quand une personne se déplace, elle fait bouger de l'air et fait vibrer le sol à chaque pas... Ma mère m'a fait passer un entraîner dans un milieu où j'étais aveugle, d'où mes sens développés. C'est donc pour cela que je ne fus point surpris par celle-ci à son arrivée.
« Je dois dire que vous avez un goût pour la mise en scène assez ordinaire, moi qui m'attendais à quelque chose de plus théâtral, de plus poignant venant de votre part : je suis un peu déçue, ça change de la fois où vous m'avez recrutée ''boss''... Vous m'avez habituée à mieux, je pense. Enfin... un verre, ça vous tente ? Histoire de trinquer à la nouvelle année... »
Je ne la savais pas si agaçante, mais il faut avouer que c'est un peu la première fois que je suis en sa présence aussi longtemps. En effet, en temps normal, quand je souhaite envoyer en mission mes phénix noirs, j'envoie une lettre avec toutes les informations dont ils ont besoin de savoir. Je me demande si je dois, lui répondre où l'ignorer ? L'ignorer, c'est ce que ferait ma mère, donc je vais lui répondre ! Je me retourne enfin vers elle...
« Dis-moi Leca, pourquoi avant de me rencontrer tu ne connaissais pas l'existence de Black Phoenix ? Dis-moi, pourquoi nos ennemies les sorciers noirs et leurs organisations telles que Croix et Rosenrot ignorent notre existence ? Dis-moi pourquoi Orphéo lui-même qui prétend avoir le contrôle sur l'autorité du monde magique, ignore notre existence ? Alors que nous sommes la plus puissante organisation d'humains noirs au monde et que nous avons sous notre contrôle la moitié du continent américain... As-tu une réponse ? »
Lui dis-je avec un ton calme, avec l'esprit presque ailleurs... En fait, aurais-je dû lui répondre froidement, non ? Non ! Pourquoi faire ? Paraître dangereuse, ou une autre idiotie de ce genre ? Je crois que c'est bête de paraître dangereux, car on risque juste d'être sur la ligne de mire d'une personne. C'est d'ailleurs pour ça que Black Phoenix n'existe pas aux yeux du monde, car elle n'essaye pas de paraître dangereuse... C'est le principe d'une dissimulation parfaite à grande échelle ! Je rajoute...
« La base de Black Phoenix est l'ombre, d'où le fait que même le Phénix qui à l'origine est une créature magique d'un feu éclatant, est désormais d'un feu noir. Mes méthodes sont peu théâtrale, mais au moins pour Orphéo il s'agit d'un meurtre banal et quand ce n'est pas magique il ne s'en mêle pas. Notre organisation opère dans l'ombre, tout comme des Shinobi (= Assassin de l'ombre, où Ninja), c'est pour cela que nous sommes puissants. Tu as le droit de choisir la façon théâtrale de tes meurtre, mais n'oublie pas que tu peux toujours mettre Orphéo sur ta voie et la nôtre désormais. »
D'ailleurs c'est pour ça que j'ai révélé à aucun de mes phénix, où se trouve les véritables QG de Black Phoenix... C'est le règlement de ma mère, les nouveaux ne doivent rien savoir sur Phoenix temps que ma mère n'approuvera pas l'authenticité de leur fidélité pour l'organisme et temps qu'ils ne seront pas de bon tueur. C'est-à-dire des tueurs discret ! Les Runes autour de nous disparaissent enfin, pas de preuve qu'elles étaient présentes. Je rejoins Leca...
« Oh fait, je vais refuser ton verre... Comme tu peux le voir, je viens de commettre un meurtre et la règle de Black Phoenix stipule que je ne dois pas laisser de trace de mon passage, donc éviter les empreintes ADN. D'où le fait que je porte des gants... Néanmoins, il est temps de mieux nous connaître, toi et moi ? Qui es-tu pour Isaya et pourquoi c'est toi qui a répondu à l'invitation à sa place ? »
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: Je suis le monstre qui se cache dans les ténèbres et toi ? Ft. Leca Mar 23 Avr 2013 - 15:29 | |
| « Dis-moi Leca, pourquoi avant de me rencontrer tu ne connaissais pas l'existence de Black Phoenix ? Dis-moi, pourquoi nos ennemis les sorciers noirs et leurs organisations telles que Croix et Rosenrot ignorent notre existence ? Dis-moi pourquoi Orphéo lui-même qui prétend avoir le contrôle sur l'autorité du monde magique, ignore notre existence ? Alors que nous sommes la plus puissante organisation d'humains noirs au monde et que nous avons sous notre contrôle la moitié du continent américain... As-tu une réponse ? » Je me retiens in extremis de hausser les épaules (puisqu'à dire vrai, je me fous du monde magique, d'Orphéo jusqu'à Croix en passant par Rosenrot, comme de ma première culotte) et la laisse poursuivre son petit monologue à moitié attentive à ses paroles, pendant que je me sers un autre shot que j'avale aussi sec. « La base de Black Phoenix est l'ombre, d'où le fait que même le Phénix qui à l'origine est une créature magique d'un feu éclatant, est désormais d'un feu noir. Mes méthodes sont peu théâtrales, mais au moins pour Orphéo il s'agit d'un meurtre banal et quand ce n'est pas magique il ne s'en mêle pas. Notre organisation opère dans l'ombre, tout comme des Shinobi, c'est pour cela que nous sommes puissants. Tu as le droit de choisir la façon théâtrale de tes meurtres, mais n'oublie pas que tu peux toujours mettre Orphéo sur ta voie et la nôtre désormais. » Je lève les yeux au ciel -parce qu'elle m'associe pleinement à eux, maintenant- et tourne les talons pour lui faire face. Je sens qu'elle est sur le point de finir son charmant petit discours, ce qui fait que je me contente d'écouter et de ne dire aucun mot. Parce que va bientôt venir mon tour et que cette gamine va en prendre pour son grade, ça, je peux vous l'assurer. « Oh fait, je vais refuser ton verre... Comme tu peux le voir, je viens de commettre un meurtre et la règle de Black Phoenix stipule que je ne dois pas laisser de trace de mon passage, donc éviter les empreintes ADN. D'où le fait que je porte des gants... Néanmoins, il est temps de mieux nous connaître, toi et moi ? Qui es-tu pour Isaya et pourquoi c'est toi qui a répondu à l'invitation à sa place ? » Son assurance et sa confiance en elle m'arrache un rire féroce et vicieux. « Aaah ! Ça fait longtemps que je l'attendais celle-là ! ''Qui es-tu, Leca'' ? ''D'où tu viens, Leca'' ? ''Quel est ton rapport avec Isaya, Leca'' ? Mais, vois-tu, avant de répondre à ta dernière question, j'aimerais mettre les points sur les ''i'' avec toi, Claire. Après tout, les ''amis'' d'Isaya sont mes amis. » J'ai mis tellement d'ironie dans la fin de ma phrase que j'en grince des dents. J'engloutis le shot qui lui était destiné – c'est que j'ai l'esprit économe-, enjambe le cadavre puis me dirige tranquillement vers le canapé. Assise, je la regarde droit dans les yeux et, avec tout le cynisme et l'insolence que j'ai au plus plus plus profond de mes entrailles, je lui lance : « Tu sais, Claire, j'ai toujours été fascinée par les gens stupides, et en particulier par ceux qui croient tout savoir en plus d'être au dessus de tout. J'avoue que la vieille était un beau spécimen de connerie, mais alors toi, j'avoue que tu dépasses mes espérances, et je vais te dire pourquoi. » Je garde le silence le temps de croiser les jambes, histoire de rassembler mes pensées pour les lui exprimer clairement, même si je suis pas du genre embrouillée quand je suis énervée. Énervée, oui, c'est le mot. Et dieu seul sait qu'il faut pas me chercher. La seconde s'écoule et je me veux bien cinglante, bien tranchante, pour que son petit sourire satisfait se casse vite fait de son visage. Quant à sa naïveté -feinte, je l'espère pour elle- et son pseudo détachement, ils ont le don de me saouler prodigieusement. Je commence donc, faussement désinvolte : « D'abord, et comme tu l'as si bien souligné, c'est à Isaya que t'as envoyé ta lettre de recrutement, et pas à moi. Et dès le départ j'ai joué franc jeu avec toi : j'étais pas venue à la demande d'Isaya, ni même pour prendre sa place. J'étais venue à ton rendez-vous par simple curiosité. Et je te crois suffisamment intelligente pour avoir pris tes petits renseignements sur chacun des participants bien avant la soirée d'embauche. Ce que j'ai pas compris -et que je comprends toujours pas, d'ailleurs-, c'est comment une fille comme toi, qui est censée être un minimum raisonnable, a pu envoyé une lettre signée Black Phoenix à quelqu'un comme Isaya, qui est pourtant proche de Santiago et qui est -était, pardon- voué corps et âme à sa mère, elle-même entièrement loyale à son organisation ? Je me demande ce que t'aurais fait s'il avait pris ta petite lettre au sérieux et qu'il l'avait donné à sa maman chérie ? Tu crois qu'en alertant Santiago t'aurais pas exposé aux yeux du monde magique ta petite organisation d'humains noirs dont tu sembles si fière ? Parce qu'il suffit d'une étincelle pour mettre le feu aux poudres, Claire, tu comprends ? » J'entortille une de mes mèches au bout de mon doigt et j'affiche fièrement un sourire scabreux sur la truffe. Parce qu'une fausse note et ça se termine façon Fleurs de Glace et ça, la mère d'Isa l'a suffisamment répété. De là, je me redresse sur le canapé, me fige dans mes mouvements, mon visage se ferme et je lui susurre, vipérine : « ''La base de Black Phoenix est l'ombre'' ? Tu te fous de ma gueule ou tu crois juste que je suis plus con que la moyenne ? » Je me relève et commence à arpenter la pièce nonchalamment, parce que je sais ce que je dis et sais ce que je fais. J'aime me considérer comme une ombre à part entière, après tout. « L'ombre, Claire, ça aurait été de me tuer au moment même où tu m'as vu en possession de ta charmante petite lettre. J'aurais pu être... quoi ? Une sorte d'agent de Santiago chargé d'infiltrer ta charmante entreprise ? Ouais ! Et au lieu de ça, tu m'as accueillie les bras ouverts et m'a nommée membre officiel de Black Phoenix ! J'ai même eu droit au petit nom de code, si c'est pas beau ! » J'aurais pu les dénoncer. J'aurais pu les dénoncer parce que j'en ai rien à foutre de Black Phoenix et parce que les gens qui se servent d'Isa ne méritent que de crever comme de vulgaires cafards. Mais Isa n'aurait pas voulu que ça se termine comme ça. Amitié. Famille.Ce sont des mots si importants pour lui, si considérables et ce, parce qu'il en a toujours manqué dans sa vie. Et qu'est-ce que cette sale gamine trouve à faire ? Rien d'autre que de cracher dessus comme si ça n'était qu'un sac en plastique dans le vent. Et la garce qui lui servait de mère faisait pareil. Se servir de lui pour en faire ce qu'on veut, comme une satanée marionnette, lui qui est si malléable, si seul et par conséquent si vulnérable face au mot « amitié ». « Tu es stupide, Claire, simplement parce que tu m'as fait un tant soit peu confiance. Tu es stupide, Claire, parce que tu ne m'as certainement jamais assez considérée comme une menace. Tu es stupide, Claire, parce que cette soi-disant ombre dont tu te pares n'est à mes yeux qu'un ramassis de conneries. Et je vais te poser une question à ce sujet : es-tu capable de me confirmer à cent pour cent que personne -ni Santiago, ni Croix, ni Orphéo, ni Rosenrot- n'est au courant pour Black Phoenix ? » Au final, elle vaut pas mieux que le cadavre qui gît sur ce sol crasseux. « Parce que c'est ça, être une ombre, Claire : n'exister aux yeux de rien, ni de personne, au point que même toi, qui semble si intelligente et si omnisciente, ne sache rien de moi. Tu veux en savoir plus sur moi ? Tu veux faire connaissance avec la mystérieuse et insaisissable Leca ? » Je m'avance tranquillement et me plante devant elle. Ma bouche roule jusqu'au lobe de son oreille et je lui murmure, agressive : « Alors donne-moi une seule bonne raison pour que je partage ça avec toi, Boss, toi qui te fait passer pour une fidèle amie du pauvre, du malheureux, du stupide et naïf Isaya. Donne-moi une seule bonne raison de te faire confiance, Claire. Une seule. »
- Spoiler:
Je suis désolée que Leca soit aussi méchante, vraiment Clarinette, mais je t'aime quand même xD
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Niveau du personnage Point RP: (57/100) Point Membre: (45/100) Niveau: 6 - AffirméeBastila Black | Sujet: Re: Je suis le monstre qui se cache dans les ténèbres et toi ? Ft. Leca Mar 23 Avr 2013 - 17:25 | |
| La mort est une seconde vie, accepte-la...
On pense connaître les gens, mais au final c'est le contraire et de loin... Je ne connais pas Leca et voyez-vous, je n'ai pas cherché à connaître quel genre de personne elle est, je m'en fiche un peu beaucoup, pour ne pas dire de connerie. Mais, par contre, elle vient de me faire passer pour une crétine de seconde zone, alors qu'au final, c'est elle qui s'enfonce dans sa sombre stupidité. Tandis que je l'écoute chanter ses louanges, je retire mes gangs avec lenteur presque intéressé parce qu'elle me dit... Presque. En fait, non, je ne suis pas du tout, intéressée par ses histoires, à faire crier mémé Gertrude dans son canapé. Bien que mémé, n'est pas vraiment d'existence. Je prends une expression faussement intrigué, par son intellectualité assez proche de celui de "Golum".
« D'abord, et comme tu l'as si bien souligné, c'est à Isaya que t'as envoyé ta lettre de recrutement, et pas à moi. Et dès le départ j'ai joué franc jeu avec toi : j'étais pas venue à la demande d'Isaya, ni même pour prendre sa place. J'étais venue à ton rendez-vous par simple curiosité. Et je te crois suffisamment intelligente pour avoir pris tes petits renseignements sur chacun des participants bien avant la soirée d'embauche. Ce que j'ai pas compris -et que je comprends toujours pas, d'ailleurs-, c'est comment une fille comme toi, qui est censée être un minimum raisonnable, a pu envoyé une lettre signée Black Phoenix à quelqu'un comme Isaya, qui est pourtant proche de Santiago et qui est -était, pardon- voué corps et âme à sa mère, elle-même entièrement loyale à son organisation ? Je me demande ce que t'aurais fait s'il avait pris ta petite lettre au sérieux et qu'il l'avait donné à sa maman chérie ? Tu crois qu'en alertant Santiago t'aurais pas exposé aux yeux du monde magique ta petite organisation d'humains noirs dont tu sembles si fière ? Parce qu'il suffit d'une étincelle pour mettre le feu aux poudres, Claire, tu comprends ?
- Oh vraiment, c'est bizarre... Non, parce que je me souviens que les lettres qui ont été envoyées aux personnes "concernés"... Ne précisaient rien d'autre, qu'un "lieu", une "invitation" et un "prix" de gratitude pour ceux s'étant déplacé. Donc, dis-moi dans quel univers imaginaire, que tu t'es surement créée apparemment, tu as vu sur la lettre signée, Black Phoenix ? »
Non parce que peut-être, je suis Alzheimer, qui sait ?! J'ai timbrée les lettres, d'un Phoenix rien de plus. Enfin, bon comme je le dis, soit je suis malade ce qui explique le fait que je ne comprenne rien à ce qui sort de la bouche de Leca, soit elle essaye de me raconter des conneries, auxquelles je fais à peine attention.
« ''La base de Black Phoenix est l'ombre'' ? Tu te fous de ma gueule ou tu crois juste que je suis plus con que la moyenne ?
- Qui sait ?
- L'ombre, Claire, ça aurait été de me tuer au moment même où tu m'as vu en possession de ta charmante petite lettre. J'aurais pu être... quoi ? Une sorte d'agent de Santiago chargé d'infiltrer ta charmante entreprise ? Ouais ! Et au lieu de ça, tu m'as accueillie les bras ouverts et m'a nommée membre officiel de Black Phoenix ! J'ai même eu droit au petit nom de code, si c'est pas beau ! »
Je me mets à rire, subitement.. Non parce que, c'est trop marrant.
« "Tu m'as accueilli les bras ouverts et m'a nommée membre officiel de Black Phoenix", Excuse-moi... Mais dans quel autre monde de ton imagination, tu crois avoir intégré Black Phoenix ? As-tu réellement rencontré d'autres membres officiels, comme tu dis, de Black Phoenix à par moi ? Sais-tu peut-être où se trouve, pas un, mes "les" QG de Black Phoenix ? La seule personne qui recrute les membres de Black Phoenix, n'est autre que le Chef lui-même, qui de loin, n'est pas moi. Notre petit groupe, ne fait pas partie de Black Phoenix, nous sommes une filière indépendante. La preuve, vous êtes libres de vous barrer, je ne vous retiens pas... J'irai recruter d'autre merde comme vous, qui feront le même boulot que vous. Et puis, autre chose... Tu n'as rien compris à mon Job et aux tiens, apparemment... Car je tue, que les tueurs en séries, c'est la seule raison pour laquelle, je ne t'ai rien fait ce soir-là. »
Lui ai-je dit d'un ton amusé, en appuyant sur la dernière phrase. Je crois qu'elle a cru, que je lui faisais une quelconque confiance ou un truc dans le genre... Pour moi Leca est une tueuse, tout comme ces détritus que j'élimine. Dois-je lui dire que je n'attends qu'une erreur de sa part, pour l'éliminer et la remplacer ? Je ne ressens pas l'amour, je ne ressens ni l'amitié, ni le sentiment de camaraderie. Si Santiago veut infiltrer Black Phoenix, ce n'est pas avec moi qu'elle y arrivera, comme je lui ai dit, nous sommes indépendant de Black Phoenix, même si nous la représentant d'une certaine manière.
« Tu es stupide, Claire, simplement parce que tu m'as fait un tant soit peu confiance. Tu es stupide, Claire, parce que tu ne m'as certainement jamais assez considérée comme une menace. Tu es stupide, Claire, parce que cette soi-disant ombre dont tu te pares n'est à mes yeux qu'un ramassis de conneries. Et je vais te poser une question à ce sujet : es-tu capable de me confirmer à cent pour cent que personne -ni Santiago, ni Croix, ni Orphéo, ni Rosenrot- n'est au courant pour Black Phoenix ?
- C'est cool si je suis stupide, on est deux comme ça... »
Non parce qu'elle est stupide de croire que parce que je ne lui reproche rien, cela veut dire pour autant, que je lui fais confiance... D'ailleurs pourquoi je lui ferai confiance, comme elle le dit, elle aurait pu être une ennemie, bien, qu'elle ne serait pas vraiment une menace pour quiconque à Black Phoenix.
« J'en suis persuadée, que ni Croix, ni Rosenrot, ni aucune autre organisation connaît Black Phoenix. Si tu veux tu peux aller vérifier toi-même ou, tu peux aller balancer l'existence de Phoenix à Santiago si cela te chante. Mais sans preuve, car tu n'en as aucun, comment vas-tu prouver à ces grandes puissances l'existence de Phoenix ?»
Vas-y, dis-le-moi ? Tu t'es tellement bien enfoncer dans ta stupidité, que j'ignore si un jour ta dépouille sera retrouvée dans ce sable mouvant de débilité, mais là je n'ai pas grand espoir.
« Parce que c'est ça, être une ombre, Claire : n'exister aux yeux de rien, ni de personne, au point que même toi, qui semble si intelligente et si omnisciente, ne sache rien de moi. Tu veux en savoir plus sur moi ? Tu veux faire connaissance avec la mystérieuse et insaisissable Leca ? Alors donne-moi une seule bonne raison pour que je partage ça avec toi, Boss, toi qui te fait passer pour une fidèle amie du pauvre, du malheureux, du stupide et naïf Isaya. Donne-moi une seule bonne raison de te faire confiance, Claire. Une seule. »
Personnellement, je n'en veux pas de sa confiance, c'est elle qui travaille pour moi et c'est moi qui lui refile le fric qu'elle utilise pour je ne sais quoi. Mais je vais essayer de jouer le jeu, être une personne courtoise comme les personnes normales... Je vais essayer de paraître humain sur cette phrase, essayer d'être moins impassible que le visage d'un cadavre. Je la regarde et je lui dis, alors ceci en découvrant ma veste et lui révélant mon ventre.
« Parce que, je suis enceinte... »
Ca me fait chier qu'elle sache ça, mais cette femme est vraiment un problème que je préfère régler...
« Je ne sais pas ce que tu crois, ou croyais que j'envisageais de Faire à Isaya... Mais ma vieille tu te goures et je n'ai même pas besoin de savoir, la raison. Je voulais que Isaya soit à mes côtés pour garder un oeil sur ce bébé, la raison, je n'ai pas envie de te la dire... parce que à la différence de tes arguments de tout à l'heure, je n'ai en aucun cas, confiance en toi. Je te repose la question, qui es-tu pour Isaya ? Et pourquoi c'est toi qui a répondu à l'invitation ? »
Je lui demande cela avec un calme olympien...
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