Et pour ta question tout à l’heure, la réponse est non... J’t’aime pas, j’t’ai jamais aimé... Regarde moi... J’ai une tête à t’aimer ?



Rapide coup d'oeil dans la glace pour se rendre compte qu'aujourd'hui est encore un jour fatiguant. Des cernes menacent de retomber sous les yeux glacés de Josh qui lissait vainement un quelconque t-shirt. Les enfants s'étaient encore mit à pleurer et c'était pire que des dominos. L'un chiale, et les vingt prochain se frottent déjà les yeux. Et le pauvre Infirmier qui trottine de l'un à l'autre en faisant passer des vagues d'amour, de sérénité et de calme, ce qui, au bout d'une petite heure l'avait envoyé sur un des lits moelleux de Londres.

Il soupire d'un air totalement désintéressé et descend d'un étage pour avalé le premier café d'une longue série. C'était au tour de Mike, Josh et une fille répondant au nom d'Ulrick de les distraire et de continuer à leur faire apprendre des méthodes pour contrôler leurs dons. Aujourd'hui était par ailleurs le dernier jour, et l'homme n'était franchement pas contre. Même plutôt soulagé, à vrai dire.

Sans faire attention à qui était dans la salle, il en profita d'ailleurs pour coller un doigt de whisky dans son café en mode " Irish coffee " pour se détendre un peu du poids dont on chargeait ses épaules. Il était lassé de ces pleurs incessant et aurait aimé un peu plus d'enthousiasme pour un quelconque entraînement. Il aurait même adoré que la haine soit leur seule motivation. Tout mieux que l'état de larvitude dans laquelle étaient plongés les enfants. Une peur compacte à peine diluée dans une tristesse.

Il s'avança finalement vers la salle où il y avait des canapés, des lits et une immense télé sur laquelle passait sans doute pour la cinquantième fois Le Roi Lion. Tim, un des plus jeunes ayant malheureusement tout vu, s'empressa de demander si les Méchants Sorciers allaient revenir, et Josh ne pu que laisser tomber une vague énorme de sérénité pour rassurer le garçonnet qui retourna finalement s'asseoir.

L'infirmier se mit alors à compter les enfants, tranquillement et machinalement, simplement pour se rassurer. Mais..

- Il est où Alex ? Il dort pas encore, si ?

Les plus grands haussèrent les épaules. Tim fondit encore en larmes mais Josh avait le regard rivé sur le menton de la petite soeur du concerné. Il tremblait furieusement, jusqu'à ce qu'elle se mette totalement à pleurer.

- Il est paaartiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit ! brailla-t-elle subitement.

Et merde. Branle-bas de combat les gars.
Comment retrouver un enfant de dix ans, surdoué car cogiste, terrorisé par la foule et les avions, mais passionné par les trains, les voitures et les vélos. Comment retrouver un gosse qui aurait pu partir en tout début de nuit et prendre n'importe quel moyen de transport en sachant que certains ont gardé des économies ?
Josh se tourna pour regarder les billets posés la vieille sur une étagère.
Plus rien.
Il aurait même pu se payer un taxi pour arriver à des kilomètres de là.

- MIIIIIKE ! ALEX S'EST ENFUIT !

Pourquoi, où que j'aille en ce moment, je dois m'occuper de gosse ? Honnêtement ? Je commence à en avoir plus que marre là ! Je n'en peux plus ! En Ecosse, des gosses. A Londres, des gosses. Mais c'est quoi le problème avec vous ?!

En plus ils sont tous en train de pleurer. Solidarité entre les gamins. C'est horrible, mes oreilles, je n'en peux plus. Je veux exploser. Je ne suis vraiment pas patient. Surtout avec des gosses. Surtout quand je sais que les premiers à s'être échappés sont les mêlés. Beurk, ça me dégoûte rien que de penser que je m'occupe de cette sous race, de ce déchet de la nature.

Mais nous sommes tous à bouts de nerfs. Josh, l'infirmier est avec moi aujourd'hui. Il envoie des vagues de sérénité partout. Il vaut mieux d'ailleurs, sinon j'en aurais déjà buté plus d'un. Même avec ça j'ai quand même envie de prendre un gosse pour taper sur l'autre. Arrêter de pleurer ! Sale raclure de l'humanité ! J'en ai marre ! J'en peux plus ! Je veux me reposer ! Vous entendez ?! JE VOUS HAIS ! Je veux votre mort, merde.

Enfin, j'essaie d'afficher une mine ... Pas trop blasée ni énervée. Un visage neutre disons, c'est mon métier de tromper les gens avec des gestes, donc je continue, n'est-ce pas ? Alors faisons. Et je suis en train de bercer un gros gamin. Il est en train de foutre en l'air mon tee shirt avec ses larmes ets a morve, j'en suis sûr. Je l'entends renifler, ça me dégoute. Je le renifle. Humain, pouah. J'aimerais rien le détacher de moi et l’expulser du cinquième étage avec un coup de pied dans le cul. Sauf que ... Je peux pas. C'est bien dommage. Du coup j'essaie de le bercer, de lui caresser les cheveux et ce genre de choses. Disons que j'essaie d'imaginer que c'est une fille... Ou un mec, que j'aime bien. Vous vous souvenez de Clara ? Non, pas grave.

Disons juste que parfois avec mes conquêtes ça m'arrive d'avoir des gestes tendres. Donc j'essaie juste de les reproduire, ce qui est assez compliqué en fait. Mais bon, le truc se calme, petit à petit, tandis que je continue de faire des "shhhh" qui se veulent rassurant au creux de son oreille.

Je sens les derniers tremblements qui s'estompent. Enfin ! Je le repose donc à terre et m'accroupit, pour être à la même taille que lui pour lui parler. J'ai lu dans un livre que c'était mieux quand on se mettais à leur hauteur. Quoi ? J'essaie de conserver ma couverture, rien de plus.

Il va mieux, me fait n dernier câlin, je ne vous raconte pas l'immense joie que cela me procure et s'en va voir ses copains. Enfin tranquille. Enfin, je regarde l'épaule de mon tee shirt. Trempée. Je n'ose imagine ce qui l'a touchée. Bref, ça ira au sale. Directement.

Je me dirige dans la salle télé où pleins de gamins regardent tranquillement Le Roi Lion. Ils vont le connaître par coeur à force. Josh est là. Je juge donc ma présence inutile et vais ailleurs.

Un pouf sauvage par là et je l'écrase donc de tout mon poids. Et quand je pense que j'ai enfin un petit moment de libre ...

- MIIIIIKE ! ALEX S'EST ENFUIT !

NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON ! SALETÉ DE GAMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN ! SI JE TE RETROUVE JE TE FAIS LA PEAU ! Connard, stupide, écervelé, égoïste, petit con, idiot... RHAAAAAAAAAAAA. Je veux le buter. Voilà. Il aura une punition en rentrant. IL IRA AU TROU ! IL SERA FOUETTE ! Et avec des orties, c'est mieux.

Je me relève donc, soupirant, d'énervement, de frustration et de fatigue. Je prends mon manteau et lance le sien à Josh. J'ai noté qu'il avait eu un coup d'oeil vers des billets. Billets qui appartenaient à ce petit être ... GRMBL. Donc, on devra sortir. Et en plus il pleut. Et la nuit commence déjà à tomber. Saleté de gamin.

- Ulrick, continue de les surveiller.

Je dévale donc les escaliers quatre à quatre, Josh devrait me suivre. Sinon, il ne m'aurait pas appelé. Pourquoi il n'a pas demandé l'aide d'Ulrick, hin ? Pourquoi la mienne ?! JE SUIS UN SORCIER NOIR ! JE SUIS UN ETRE ÉGOÏSTE ! Alors foutez moi la paix ! Ah mais oui, vous ne le savez pas.

- Une idée d'où il a pu aller ? Et ses billets, ils allaient où ?

Mes dons et pouvoirs vont être inutiles ici. Et ... Je ne cherche même pas à utiliser une rune, je suis une vraie merde avec. A part les utilitaires, et encore, je n'ai jamais cherché à les retenir. C'est pas bien. Pas bien du tout. Vilain vilain Mike.

Nous voilà donc, sous la pluie. Je suis ravi, mais tellement ! J'espère qu'il y aura de l'orage et que l'autre con aura peur. Qu'il sera terrifié ! Comme ça il reviendra se nicher dans les jupes de ceux qu'il connait ... Au moins un peu. Oui, j'ai déjà oublié son prénom. Parce que je m'en fiche éperdument.

Je remonte le col de mon manteau, histoire d'éviter que la pluie s'infiltre sous l'épais tissu qui m'enveloppe. Il fait froid en plus. Et dire qu'on est mi-mai. C'est n'importe quoi. Il a y même de la vapeur qui sort de ma bouche ! Non, j'exagère un peu, c'est vrai. Je baisse un peu la tête, même si je ne comprendrais jamais pourquoi on fait ça. Protection du visage, ça doit être ça. Bref, je commence à avancer dans la rue, en direction de l'arrêt de bus. Je sais pas pourquoi, ça me parait un bon point de départ. Je regrette de ne pas avoir de parapluie.

J'aime bien soigner les gens et leur sauver la vie, réparer des fractures ouvertes ou des trucs moches comme ça. Mais je suis pas un baby sitter qui sèche les larmes et change des couches mouillées. Je trouve ça chiant et humiliant, j'en ai marre, je suis fatigué. Et puis il pleut, il fait froid, c'est le retour de l'hivers les gars.
Génialissime.
Je grogne d'avance. Il faut bien le faire, parce qu'il faut le faire, et que j'ai pas envie de dire que j'aime pas les gosses, parce qu'à la base, c'est faux ! J'aime bien les gosses.. les gentils qui veulent faire de la balançoire avec vous ! Pas.. qui vous pleurnichent dessus, mais surtout pas qui se barrent, sous la flotte. Même pour lui sa doit le faire chier, il pouvait pas attendre de .. j'sais pas, qu'il fasse un grand soleil ? On serait tous partis à vélo, ça aurait été super classe tellement Orpheo à pas de moyens !
Bon, allez. Du courage Josh. Sois brave.

- Ulrick, continue de les surveiller.

Remplaces Ulrick par mon nom. Steuplaît. J'suis un gros gamin aussi, non ?
J'aimerai être encore un jeune, pour pouvoir reléguer le travail aux autres, ou être une fille pour faire un grand sourire. La femme emporte sur la jeunesse. Vivement que je sois à la retraite. Elle tardera pas. Une centaine d'année tout au plus.
Super.

- Une idée d'où il a pu aller ? Et ses billets, ils allaient où ?

J'ai envie de l'envoyer boulet parce que je suis à bout de nerfs mais me régule et passe une main dans mes cheveux ras. Et par la même occasion, envoie une vague de sérénité à Mike, sans le vouloir. Trop l'habitude, avec tous ses mioches criards. J'écarquille les yeux en soufflant.

- Oups. Pardon. Non, j'sais pas. Mais c'était des billets pour une animation en train, ou en grande roue. Un truc du genre.

On marche donc sous la pluie. J'ai froid. Et j'en ai marre. J'aimerai bien l'insulter, cet Alex, mais au fond, c'est le seul qui a eut le cran de se tirer. Soit, il finira noir, parce qu'il a pu laisser tous ses potes et sa soeur sans un regard, soit c'est un attardé qui voulait faire de la grande roue, ou un attardé qui croit que le billet du petit train qui fait le tour de la ville l'emmènera très loin, soit, enfin, dernière option, il veut faire le héros pour aller sauver ses camarades. En plus, c'est un sorcier pur sang je crois bien et il est donc certain de pas mourir.
Je le préfèrerai débile, à grimper sur la grande roue en fait.

- On va voir au London Eye ?

J'ai le vertige en plus. Mike a l'air encore plus claqué que moi. Le bus passe dans vingt minutes. Ca veut dire que même à pied on serait plus rapide, mais il pleut, et j'ai pas spécialement envie de me mouiller. Je suis un flemmard de première, et fatigué comme un est on risque juste de se chopper une vieille crève. Je regarde quelques secondes le gars censé m'aider avant de lâcher.

- Par un hasard purement magique, tu pourrais pas nous téléporter là bas ?

Tous les dérivés nous permettant d'arriver très rapidement là bas sont forcément les bienvenus, mais je crois pas que guérir quelque chose puisse nous faire avancer plus vite. Et encore moi influencer les gens. Je pourrais peut être effrayer tous les gens sur mon passage jusqu'à voler une voiture, ahahah.
Les pauvres.
Quand je suis fatigué, je pense à traumatiser les gens, c'est hyper traumatisant. En plus, Faith me manque. Elle aimait bien la pluie, et ça aurait été chouette de faire le trajet avec son enthousiasme. Au moins, elle aurait pas râlé. Et peut être bien même qu'elle aurait pu nous téléporter ou faire le beau temps. Un truc quoi, alors que je reste là, totalement impuissant face à une situation qui m'échappe.
Ces derniers jours, décidément, on cumule.
J'devrais écrire une VDM.

Une vague de sérénité arrive à moi. Non mais je t'en prie, garde tes émotions pour les gamins, j'en veux pas moi. Je m'en fiche de ce gamin, il faut juste que je le retrouve pour me faire bien voir de tout le monde espèce de trou du gland. Et puis, j'étais déjà serein. Je m'en fiche moi, de ces gamins. Je sais même pas qui il est. En fait, je compte sur toi pour savoir quand on le verra. Ou alors son visage me dira vaguement quelque chose et se sera lui. Enfin voilà quoi. Mais il me fait chier. Si on était qu'avec des sorciers noirs, il se serait pris une bonne torgnolle le gamin de s'être enfui comme ça. Il a de la chance qu'on soit à Orpheo. Beaucoup, beaucoup de chance. Beaucoup trop d'ailleurs.

- Oups. Pardon. Non, j'sais pas. Mais c'était des billets pour une animation en train, ou en grande roue. Un truc du genre.

Mais bordel, ya plein d'animations à Londres ! Genre, Londres quoi. On est en plein dans la capitale. Je hais les gosses. Je les hais. Encore plus les têtus qui pensent qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent ou quoi. Comme lui en fait. J'ai envie de lui cracher dessus. Je peux lui cracher dessus ? Non, je peux pas, évidemment. En fait, relance de la sérénité, sinon j'vais casser la gueule du marmot quand on le reverra juste parce que toute cette mascarade m'aura énervé. Enfin, si il veut pas rentrer avec nous, je le tape. Une bonne grosse claque. Quoi ? Il a pas de parents de toutes manières alors qui va venir m'engueuler ? Qui ? Pandora est coincée au Mystery. La sous directrice est je ne sais où. Ici, il n'y a que des profs, du personnel de Mystery qui a réussi à s'enfuir et des exorcistes. Et si on le retrouve il n'y aura que Josh et moi. Et puis Josh, il t'a fait aussi courir sous la pluie cet idiot. Tu ne verras pas de contraintes à ce que je le frappe, n'est-ce pas ?

- On va voir au London Eye ?

JE hoche la tête et regarde dans combien de temps arrive le bus. Vingt minutes. Vingt putains de minutes. Et sous l'abri c’est déjà bondé. A croire qu'il y avait quelque chose de fou aujourd'hui pour qu'il y ai autant de monde. Non mais oh les gens ! C'est pas la foire à la farfouille hin ! Dégagez ! On essaie de retrouver un putain de gamin, bordel. On est loin ou pas du London Eye en plus ? J'en sais rien. Il fait nuit, j'arrive même plus à me repérer. C'est pas comme si j'avais pas l'habitude en plus. Je veux dire, je viens souvent ici maintenant. Mais vu ce que je fais, j'ai pas forcément l'habitude de me balader dans Londres. J'ai pas le temps. Je peux pas. Parce qu'il y a ces putains de gosses à garder. Ces déchets là. Saloperies.

- Par un hasard purement magique, tu pourrais pas nous téléporter là bas ?
- J'suis pas téléporteur

Juste télékinésiste. Mais en plein Londres c'est trop bizarre, je peux pas faire ça. Je pourrais en pleine campagne nous faire voler jusqu'à notre destination. Mais là, je peux pas. Par contre, il y a des taxi ! Je suis riche, alors on va prendre un satané taxi. Avant que les autres glandus de moldu nous les prenne. Je tire la manche de Josh pour l'attirer vers la route.

- Par là.

J'hèle un taxi, monte en vitesse alors qu'il s'arrête à mon niveau et attend que Josh prenne place avant de donner notre destination au chauffeur. Si c'est à deux pâtés de maison, je pète une durite.

Par contre, si c'est plus loin... J'ai rien pour meubler la conversation. Je veux dire, je le connais pas moi Josh. J'lui ai jamais parlé. Juste croisé dans les couloirs de l'orphelinat avant l'attaque. Et croiser ensuite à Orpheo. C'est tout. Je sais juste que c'est un infirmier, voilà. Donc la question bateau "Tu fais quoi dans la vie ?" Aheum... Ça ne fonctionne pas. Mais alors, pas du tout. Hey Josh, t'as pas un truc à dire ?

- Chiant ce gosse.

Je ronchonne, exactement. Il pleut, il fait nuit, je préférerais dormir dans ma chambre d'hôtel plutôt que d'être là, à la recherche d'un putain de gamin. J'ai envie qu'il s'en prenne une quand je le verrais, vraiment. Et puis au moins, si je l'assomme, on pourra tranquillement le ramener à Orpheo et je pourrais aller pioncer. Ou alors, je fais la fête avant parce que j'en ai besoin. A voir. Je verrais. Ça dépendra de mon état de fatigue. Ou la fête c'est je peux juste aller dans un bar, chopper une meuf et remonter dans ma chambre d'hôtel avec elle. C'est bien ça, au moins toutes les tensions iront dans son vagin. Voilà.

Le taxi s'arrête devant le London Eye. Je vois plein d'autre taxi qui passent. Mais tous ont l'air plein. Je demande alors, gentiment, au chauffeur s'il peut nous attendre. Il me regarde, méfiant et j'allonge quelques billets sur ses jambes. D'un coup, il me sourit et le voyant Taxi s'éteint.

- Je vous attends.

J'hoche la tête, ferme la portière pour me retrouver encore sous la pluie. On double la file, marchant vite. Parce qu'honnêtement, j'en ai plus que marre. Des personnes râlent, comme quoi on doit faire la queue, je les emmerde, je ne les écoute pas, et j'en ai rien à foutre. Surtout ça. De toutes manières, pourquoi vous êtes là ? Il pleut, vous allez rien y voir. Sérieusement, London Eye faut le faire la journée quand il fait beau, non ? Là vous allez juste voir du noir. Ha, les trucs sont éclairés. Ouais, super. Bande de cons.

Je vais voir le gars qui s'occupe de faire rentrer les gens dans les énormes bulles tout en contrôlant les tickets.

- Bonjour, vous avez pas vu un petit enfant, seul ?

Euhh... Josh, tu continues la description ? Parce que je sais pas à quoi il ressemble ton bambin, en fait.