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EMPLOIS/LOISIRS : Baiser June ♥ LOCALISATION : DTC CITATION DU PERSONNAGE : Trash ta life, ce soir je meurs et pas toi
MESSAGES : 2695 DATE D'INSCRIPTION : 18/03/2012
Niveau du personnage Point RP: (256/200) Point Membre: (320/200) Niveau: 7 - ConfirméMikeal O'Callaghan Admin | Roi du monde | Espion et sorcier noir pour Rosenrot | Sujet: Je m'appelle Stitch ! Mer 12 Juin 2013 - 23:14 | |
| Je m'appelle Stitch !
Mikeal & June Je suis ... Crevé. Vraiment crevé. Après la journée qu'on a passé. Laissez moi vous racontez, plus ou moins... Rapidement. J'explose. Réellement, j'explose. Alors, je me prends des congés, voilà. Sans demander rien à personne, j'en ai rien à faire. Si Orpheo m'appelle, j'irais. Peut être. Si l'Ecosse m'appelle, ils ont d'autres personnes. Ils devraient comprendre que les gamins, je ne supporte pas ça et que je dois en surveiller partout. PARTOUT. Alors, ça ne vas plus du tout. J'ai donc demandé à June où elle était. Je lui ai dit de prendre quelques affaires, pour quelques jours. Pour une surprise. Surprise que j'ai déjà réservé. A l'instant en fait. Direction, Paris.
J'appelle donc June une fois arrivé à Londres. Et vu que je suis dans le taxi, je lui dis de se dépêcher. C'est une femme, certes. Une femme, ça prend toujours trois plombes. Mais j'ai pas envie de payer le taxi super cher juste parce que madame est pas prête. Je l'amène en vacances, merde, elle devrait ... Être à mes pieds rien que pour ça.
Bref, quand je la vois, je descends du taxi, prend sa valise et la mets dans le coffre. Le taxi roule ensuite jusqu'à la gare. Je sais même plus comment elle s'appelle. Et je m'en fiche. Ah si, son nom me revient. La gare Waterloo. Je crois. Je suis même pas sûre fait. Juste parce que je m'en fiche. Je descends alors les deux valises du coffre et paye le taxi. Direction, le train. Je prends la main de June et nous allons ensemble dans le train où nous nous installons pour deux heures et quelques de trajet. Du moins, jusqu'à Paris.
Arrivé, nous prenons le RER A en direction de Marne la Vallée. Nous n'avons pas demandé à un quelconque humain notre chemin. Nous comme bien plus supérieur à eux pour faire de genre de choses, voyons. Se serait vraiment... Dégradant de faire ça. Alors, nous avons juste tracé. Suivent les panneaux, les indications et les informations sur leurs écrans. J'aime toujours pas les transports, surtout quand on a des valises. Tous les cons te regardent, méchamment. Tout ça parce que tu prends un peu de place dans la rame. Sérieusement. Bande de connards. C'est vous qui prenez de la place parce que vous me collez, misérables.
Du coup, dès qu'il y a avait des places de libre, on se ruait dessus. Rien à foutre des grands mère avec des cannes. Je suis un vilain. Oh, je suis aveugle, c'est ça. Aveugle. Ou je dors, c'est bien ça aussi. Je ne vois pas la grand mère qui veut une place. Et si elle est si mal à l'aise que ça, qu'elle aille virer les gens de son espèce. Et que les gens inférieurs comme elle lui laisse leur place, si elle en veut une tant que ça. Moi, je bougerais pas mon cul. C'est pas parce que j'ai été assis pendant plus de deux heures que je veux être debout maintenant. Ma place. Ma place.
Nous arrivons enfin à notre arrêt et nous débarquons directement en plein dans Disney Village. Je souris donc face à cet univers. Ahaha. Mike la gamin est là. C'est bon, je n'ai même pas besoin de rentrer dans le parc que je suis déjà heureux.
Je prends donc la main de June et tire ma valise derrière moi. Faut qu'on trouve notre hôtel maintenant, avant d'aller s'amuser. Parce qu'en fait, il est encore tôt. Même si on a plusieurs jours ici, autant en profiter un maximum. Quoi l'argent ? C'est pas l'argent qui me pose problème. C'est moi qui paye, et alors ? Je fais ce que je veux après tout. Je décide, c'est tout.
Nous déposons les bagages et j'embarque directement June, accompagné d'un baiser, bien évidemment, à l'entrée du premier parc. Allons s'éclater.Autant vous dire qu'on a déjà fait pas mal de choses du coup. Bon, je connais pas le nom des manèges, je m'en fiche un peu à vrai dire. Mais c'était cool. Vraiment cool. Voilà pourquoi je suis absolument crevé. On a couru partout. Enfin, j'ai couru partout surtout. Grand gamin que je suis, je voulais tout faire, évidemment. Mais on n'a pas tout fait. Pas encore. Héhé. Nous voilà donc à une table de restaurant, dans Disney Village. Nous avons donc d'abord un joli cocktail, histoire de nous mettre dans l'ambiance. - Elle t'a plu cette journée ?
Un sourire s'étire sur mes lèvres. Je suis sûr que je suis tout rouge. Rouge de l'excitation de la journée. Le truc horrible ? On n'est même pas repassé par la case chambre d'hôtel pour prendre une douche. Honnêtement, j'avais trop faim pour ça. Du coup je dois être un peu en sueur. Mais maintenant que je suis assis, ça va passer, petit à petit. Et non, je ne pue pas. Je mets du déodorant, moi. Et j'ai aussi tendance à exagérer. Tout en sueur était exagéré. Oui, je transpire. Je veux dire, après la journée que j'ai eu, c'est pas comme si j'avais trop le choix. Mais je ne pue pas. C'est faux. Et je n'ai pas non plus d'affreuses auréoles de transpiration. Se serait vraiment dégueulasse. Ni sous les aisselles, ni dans le dos. Mais en même temps, vous savez quoi ? Ce n'est pas un tee shirt que je porte. Je n'ai pas de manches ! Ahah ! Vous ne vous y attendiez vraiment pas à celle la. Avouez. AVOUEZ TOUT. Non, l'alcool ne me monte pas à la tête. J'ai mangé un peu de tout et n'importe quoi durant cette journée. Avant les sensations fortes aussi. Mais ça ne me rend absolument pas malade. D'autres oui, moi non. En même temps, dégueuler après Space Moutain, juste parce que t'as trop mangé, faut le faire. Du coup, j'ai l'estomac bien rempli de pop corn, hot dog, barbapapa et j'en passe. Bref, j'ai faim. Mais en attendant, je déguste mon cocktail. Parce que ça fait beaucoup de bien de se reposer, j'ai les pieds en compote à avoir piétiner toute la journée, à rester debout. Bref, se ne seront pas des vacances reposantes. Pas du tout. Surtout quand on sait qu'on a qu'une chambre. Avec un grand lit. Une une grande douche. Sachant que le première chose qu'on va faire sera de se doucher. Bah oui. Se ne sera pas non plus une nuit de tout repos. Et comme l'avenir appartient aux gens qui se lèvent tôt... Enfin, nous verrons ça demain je crois. Demain matin, quand le réveil sonnera. Mais ça devrait aller. Après tout, nous sommes juste à l'entrée du parc. Et il ouvre à quoi ? Neuf ou dix heures ? Oui, on dormira tout de même. Et puis, on prendra notre petit déjeuner à emporter. Ahaha. _________________My life for Anja My love for June I'm just a kid
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Niveau du personnage Point RP: (61/100) Point Membre: (21/100) Niveau: 6 - AffirméeJune H. Williams Sorcière Noire | Membre de Croix | Sujet: Re: Je m'appelle Stitch ! Jeu 20 Juin 2013 - 11:47 | |
| C'était pas facile de trouver des excuses pour partir. Partir avec Mikeal, en plus. Je n'avais aucune raison pour demander les moindres vacances, mais que voulez vous ? Je sais me montrer un peu plus persuasive que la moyenne, sans passer sous le bureau pour autant. Je me respecte un minimum, puis Dorian s'est marié avec Louyse après tout. Il faudrait qu'il arrête de violer les gens, franchement c'est puéril. Il n'y a rien de très adulte là dedans. Il veut ? Il prend. Moi aussi je pourrais le faire ! C'est du grand n'importe quoi, je reprends. J'ai le coeur qui bat beaucoup trop vite pour ce qu'on fait. On va à Disney les gars ! Ca aussi, c'est pour les enfants. Les gamins, les mômes, c'est pour les machins qu'on garde au Mystery. Mais c'est nous, et c'est bien mieux ainsi. je dois avouer que j'étais presque autant motivée que les enfants dans la file d'attente. Et ça a un autre avantage, d'aller à Disney. Disney land Paris. Paris. Je n'y étais pas retournée depuis presque six ans.. Et c'était pas facile au début de reparler français. Mon accent est assez pourri, et Mikeal pourrait facilement se foutre de ma gueule. Mais il ne parle pas Français aux dernières nouvelles, ou alors c'est un talent caché très loin, qu'il refuse de me montrer. Après tout, on est pas en quête de vérité. On est en quête de divertissement, ce qui s'avère plus facile quand je suis aux côtés de ce gars là. Mikeal est un amour, faut que je le reconnaisse. Mais comme ça reste dans ma tête, et que personne ne le saura jamais, je peux le dire autant que je veux. Merci, Mike, de m'emmener prendre l'air. J'en ai marre de m'asphyxier dans le sang que je fais couler. - Elle t'a plu cette journée ?
Je suis tentée de dire non, et encore, le mot est faible. Mais de toute façon mon sarcasme serait complètement bousillé par le sourire qui reste collé sur mon visage. J'ai les yeux qui aimeraient tout voir, les oreilles tout entendre, j'aimerai tout retenir ce voyage, alors que je sais qu'une fois entre les quatre murs du bureau de Dorian, ce qu'il restera c'est le silence et l'abstraction d'une quelconque partie du bonheur. Quel qu'il soit. J'ai des tas d'idées de répliques dans la tête, mais elles sont soit débiles, soit déplacées soit ambiguës, alors j'opte pour un regard qui se veut sincère - on fuit les vrais sentiments, voyons. On laisse ça pour la basse populace - et un simplement. - Absolument. J'attrape mon coktail et le porte à mes lèvres. Faut pas mettre Mikeal en présence d'alcool, il devient fou après, et me fou de la glace dans les cheveux. J'en ai un souvenir encore assez salissant. Mais bon, après on est allé se doucher, vous voyez, et du coup, j'ai pas pu lui en vouloir, parce qu'on s'est bien amusés. Bien, bien amusés. Bref, le cocktail est bon, j'ai un glaçon Mickey à l'intérieur, oui oui, normal. Je pense à tous les manèges qu'on a fait. C'était trooop coooool. Space Moutain, c'est bien, puis le train de la mine aussi, et Indiana Jones c'était marrant aussi. On a pas encore fait la tour de la terreur, ou un nom du style. Je prends mon sac sur les genoux, et pose une photo que je glisse sous son nez. Elle est sublime, parfaite. - Rien que pour ça, franchement ça valait le coup. C'est peut être le plus beau jour de ma vie, probablement même. Je pourrais affirmer qu'on jour dans sa vie, alors que le manège faisait le décompte face à une pente aussi affreuse qu'interminable. Le petit flash a prit le pauvre petit Mike en photo. Bon, c'est peut être sur joué, mais les gens, ça, ils ne le sauront jamais ! Je pourrais totalement faire pression sur l'homme assis en face de moi pour absolument tout ce que je veux ! Bon, sinon je peux aussi donner des ordres mais honnêtement, ce serait pas beaucoup plus drôle grâce à une photo ? En plus je suis pas dessus, je suis cachée. C'est parfait. Non, je rigole, à mon avis il s'en tape, mais c'est drôle quand même. Moyen de preesssiiooon. Ou pas. Eh, j'ai faim. Sinon, pendant ce temps, on est théoriquement en guerre contre Orpheo, enfin ils peuvent débarquer à tout moment et attaquer. Et nous, on est là, à Disneyland. En plus, Paris est toujours gérer par Orpheo, on pourrait se faire exterminer. Dis comme ça, bon. Tout de suite, ça fait moins rêver. Je finis mon cocktail comme une dame bien élevée, en patientant. il fait super bon à Paris, même pas trop chaud, juste bien. Dans la journée il faisait pire, surtout avec tous les gens, ouais, tous les humains autour, mais ça valait le coup, croyez-moi. Comme on est en terrasse, on a le droit de fumer. Enfin, on viendra pas nous faire chier au moins, et c'est ce qui compte. Je sors mon paquet, des blondes. EH OUI ! J'ai enfin acheté des industrielle, c'était pour fêter disney, c'était LA dépense du mois. Non, j'rigole. Aussi, comme je paye rien, vous voyez, j'ai largement de quoi m'acheter des vrais cigarettes. Je pourrais dire qu'elles sont fades mais du coup j'ai pris des trucs forts, des biens. Je lance mon paquet à Mikeal, comme si c'était un truc de malade de que je lui offrais. - Ma foi, on fête avec ce qu'on peut n'est-ce pas ? Je l'allume et tire cinq lattes rapidement parce que c'est chouette au début, ça déteeeeeend. Bon, c'est pas comme si on était stressés après tout. Mais ça fait un bien fou. C'est assez chiant de se dire qu'on est accro à des barrettes de nicotine. Tant que Mikeal fume avec moi, ça me va finalement, parce qu'il me regarde pas trop bizarrement. Du style " Sale droguée accro. " Ou pas très loin. J'ai faim. [ Je suis double désolée. Pour le temps de réponse puis pour la réponse. J'ai ramé. J'ai même traversé l'atlantique à la rame. ♥ ] _________________Six heures du matin, quelque part dans le XVIIIe, des poubelles et des gens. Le jour fait semblant de se lever. Mais c’est la nuit pour toujours.
Et je suis la seule à le savoir. |
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Niveau du personnage Point RP: (256/200) Point Membre: (320/200) Niveau: 7 - ConfirméMikeal O'Callaghan Admin | Roi du monde | Espion et sorcier noir pour Rosenrot | Sujet: Re: Je m'appelle Stitch ! Jeu 18 Juil 2013 - 0:08 | |
| June a un ENORME, que dis-je ? GIGANTESQUE sourire sur les lèvres. Ahahaha, même si elle me dit que cette journée ne lui a pas plus, je ne pourrais jamais la croire, vous m'entendez ? Jamais. Juste parce que j'ai été avec elle depuis ce matin vous voyez ? Et ce matin, ça remonte déjà à loin. Certes, le réveil lui a peut être pas plu, mais ça valait le coup quand même, pas vrai ? Je veux dire, je suis un gars vraiment trop gentil, j'offre un week end, ou une semaine ... Je sais même plus, à Disney. Je l'offre. Je fais même pas mon radin quoi. En même temps, je sais bien qu'elle aurait pas pu se payer un quart de ça. Je veux dire, pourquoi se payer des roulées alors qu'on a le fric pour les indus ? Parce que les roulées bah ... Faut les rouler quoi, et c'est chiant, souvent la flemme te prend. Alors quand on peut avoir des indus, on prend des indus, c'est tout. Alors voilà, je suis trop gentil. Bon, elle a vraiment intérêt à me remercier ce soir comme il faut parce que sinon, ça va vraiment pas le faire. Je veux une gâterie. Mouahaha. Je suis trop crade des fois. Mais je me supporte bien tel que je suis, je continuerais d'être vulgaire, voilà, personne pourra rien y faire, c'est triste pas vrai ? Triste pour vous surtout, pauvres petites choses qui doivent me supporter. Ahaha. Je m'aime, voilà.
Je porte le verre à mes lèvres (remarquez que ça rime presque, et j'insiste sur le presque. Disons que ça fait presque le même son. Vous me tapez sur les nerfs) et ... Bah ... Je bois quoi, j'vais pas le sentir, c'est un cocktail. Et je suis con, moi le vin je l'apprécie pas, je le descends. Moi quand on me dit "alcool" je pense "bourrer". C'est tout. Oui je pense d'une manière de gamin mais j'en suis un, et surtout, je suis très con. Et ce qui est bien, c'est que June ne se prend pas au sérieux, comme moi, même si parfois il lui arrive de se donner des airs. Oui, madame se donne des airs. Mais je ne la crois pas un seul instant quand elle fait ça. Parce que je commence à bien comprendre son caractère de gamin. Gamin effrayé. En fait, on est pareil, non ?
STOP. On ne pensera pas à ça. Parce que j'ai décidé. Et je décide de tout. Parce que je paye le voyage donc voilà. Rien que ça bah voilà. Ca fait beaucoup de voilà tout ça.
D'alleurs, je vous ai dit que June parlait français ? Je pige rien à ce qu'elle dit quand elle parle c'est juste affreux. Je suis même pas capable de savoir si elle un accent ou pas. Alors moi je regarde juste dans ces moments là vous voyez. Je regarde d'un air con... Absent... C'est assez... Comment on dit déjà ? Ah oui, pathétique. Je me suis traité de pathétique, mon dieu, qu'on me pende. Heureusement qu'elle n'est aps lectrice de pensée. Je bénis le monde pour ça. Parce que sinon j'en verrais vraiment des vertes et des pas mûres, vu le nombre de conneries que je peux penser à la seconde. Mais en fait je bénis pas le monde. Parce qu'il est remplis d'humains puants et de mêlés répugnants. Du coup on va juste dire que je me comprends quand je dis ce genre de choses. Je suppose que vous me comprenez aussi, n'est-ce aps ? Mais oui, vous me comprenez. Parfaitement.
- Absolument.
Héhéhé, j'ai gagnéééééééé. J'aime bien voir June sourire. Mais en plus c'est un sourire sincère là vous voyez, ons ait qu'elle s'est amusée, elle rayonne, vraiment. C'en est presque éblouissant, mais n'allez surtout pas lui répéter, elle péterait plus haut que son cul sinon, déjà que c'est parfois le cas, se serait vraiment ennuyeux si elle le faisait davantage. Surtout très chiant. Si chaint que je serais obligé de la plaquer vous voyez ? Et vous ne voulez pas de ça, non.
Je raconte vraiment de la merde moi. Et j'ai presque rien bu. Ah mais non, c'est juste parce que je suis aussi excité qu'un gamin là. Parce que j'en suis un aussi, ça explique bien des choses, oui oui oui.
Je vois alors June s'agiter sur son siège et je me focalise sur elle, elle sort quelque chose de son sac. Oula, je la vois arriver avec son air mauvais là. Elle me tend alors, une photo. Que J'AI payé. Pour les beaux yeux de cette pauvre fille. Vous vous rendez compte ? On n'est même pas tous les deux dessus ! Enfin, si, mais elle est caché par moi. C'est triste quand même. Et j'ai du payer ça juste pour qu'elle puisse se foutre de ma gueule sans relâche. C'est vrai qu'il y a de quoi, mais je ne céderais pas au chantage, JAMAIS. Demain, je prends une photo où on est tous les deux dessus, voilà. Je la mettrais dans mon portefeuille. ... Ou pas. Ca fait vraiment trop histoire d'amour ça, ça va pas du tout !
- Rien que pour ça, franchement ça valait le coup.
Je la fusille du regard pendant qu'elle boit dans son verre. C'est ça, fous toi de ma gueule vilaine fille. Je me vengerais pour ça, est-ce qu'elle le sait au moins ? Enfin, je m'assume totalement. Elle peut montrer ça à qui elle veut, je m'en fiche. J'aime beaucoup surjouer, alors c'est juste ce que j'ai fait, je veux dire ... Ca se voit quoi ! Merde !
- Cette photo est juste parfaite, voilà, on voit toute ma beauté dessus.
Prends ça dans tes dents June June, voilà. En fait, j'ai pas trop trop envie qu'on la voit. Modérément disons. Les gens savent que je surjoue dessus, mais ils peuvent aussi me faire chier avec. Et si ils me font chier bah ... Ca va pas le faire en fait. Je vais m'énerver et ça va partir en cacahuètes. Depuis quand je dis ça moi ? C'est n'importe quoi ! Ca va partir en couilles. Voilà qui est mieux, beaucoup mieux.
J'ai faim sinon. On a mangé de la merde tout au long de la journée mais j'ai quand même faim. Je veux de la bouffe. MANGER MANGER MANGER. Je sais pas quoi par contre parce qu'à dire vrai ... On nous a même pas encore donné la carte. Enfin, la "carte" on est quand même à Disney. Mais je veux dire, je sais même pas ce qu'on peut bouffer là dedans. Je veux un steak frites bien saignant, voilà. UNE PIECE DE BOEUF. Meuh qu'ils font les boeufs.
June sort un paquet ... D'INDUSTRIELLE. Jour de fête. Attends, je commande du champagne, t'as des indus, faut vraiment fêter ça tu vois. Et elle me lance le paquet. Genre je peux me servir. Tu es en train de m'offrir une cigarette ? Toi ? La fauchée de service ? Vous voyez, quand je vous dis que si elle lisait dans les pensées je me ferais défoncé. Je n'ai pas envie de finir avec des coquards toutes les trente secondes. C'est mieux qu'elle donne des ordres, surtout que c'est pas comme si elle en donnait trop souvent non plus.
- Ma foi, on fête avec ce qu'on peut n'est-ce pas ?
Je me sers donc dans son paquet, jour de fête, eh oui et l'allume avec un briquet que je devrais trouver quelque part dans mes poches. Hey, June, t'as fait comment pour allumer ta clope ?
J'approche alors ma main de la sienne, tu caches le briquet là dedans, j'en suis sûre, mais quand je l'ouvre ... Bah ... Ya rien. JE VEUX UN BRIQUET SALOPER... Idée. Héhéhé. Je m'en fiche qu'on soit en public mais genre, vraiment, je me lève, rapproche ma tête de celle de June, imaginez un Mike plié à demi sur une table, c'est très joli à voir. Et surtout si je tombe j'étale nos deux cockatils par terre. Et ça, se sera beaucoup moins cool.
Je chope la cigarette de la bouche de June, pose mes lèvres sur les siennes, reste debout le temps d'utiliser la technique du "clope contre clope" pour allumer la mienne (oui je viens de baptiser cette technique, tout au feeling !), j'aspire une grande bouffée, attrape sa nuque et l'attire vers moi avant de souffler ma fumée dans sa bouche, je l'embrasse en même temps, bien évidemment, parce que je peux pas être si proche de ses lèvres et ne rien faire, je veux dire, se serait vraiment trop nul.
Je la quitte avec un sourire en coin, j'aime bien les sourires en coin. Je lui tends alors sa cigarette pendant que je retire sur la mienne, en m'asseyant d'un air nonchalant.
Et puis, un serveur passait par là. Et ça, c'est cool. Je l'attrape alors par la manche et ... Lui lance un regard noir. Parce que j'ai juste envie en fait.
- On a faim.
J'aimerais bien rajouter un "humain" après mais ça risquerait de faire bizarre alors je m'en abstiens. Il s'en va presque en courant et en nous disant qu'il nous apporte le menu de suite. C'est pas trop tôt tout de même. Faut encore dormir après ... Entre autre. _________________My life for Anja My love for June I'm just a kid
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Niveau du personnage Point RP: (61/100) Point Membre: (21/100) Niveau: 6 - AffirméeJune H. Williams Sorcière Noire | Membre de Croix | Sujet: Re: Je m'appelle Stitch ! Mer 5 Mar 2014 - 21:26 | |
| Pardon pardon pardon pour le temps. J'sais que tu m'aimes quand même. Love ♥J'étire nonchalamment mes jambes hâlées sous la table, un soupire d'aise et de lassitude coincée entre les lèvres. Nous avons bien plus de place autour de cette table, et nous ne sommes plus obligés de nous coller aux humains. J'ai du tout au long de la journée, dans les files d'attente - le truc le plus chiant au monde avouez - juguler mes instincts naturels - et meurtriers - pour pas arracher une tête par ci, un bras par là, ou au moins coller des gifles. Déjà qu'un humain c'est chiant, ça devrait au moins être éduqué ! Mais non. Absolument pas. Désolant, horripilant, désobligeant, dégoûtant.. humain quoi. - Cette photo est juste parfaite, voilà, on voit toute ma beauté dessus.Pfpf. Qu'il est marrant. Je lâche un micro rire ironique en haussant un sourcil pour bien lui montrer que non, même avec son super-ego a toute épreuve, il ne peut décidément pas dire ça de cette photo. C'est un crime, grand crime. Mais je l'aime bien quand même. La photo hein, pas Mikeal. Il se sert dans mon paquet, tranquillement, alors que je tire une latte en me disant que c'est quand même un confort absolu, les blondes. Même les blondes allumées en douce avec des allumettes, oui monsieur. Heureusement que personne ne m'a vue, j'ai honte. Enfin, pas tant que ça, parce que même avec du vent maintenant j'y arrive très bien, admirez mon talent ! La flemme et la pauvreté, créateurs inouïs de talents inutiles. Mike tente alors de se saisir de ma main, main vide bien sûr, et ça me fait marrer parce qu'actuellement, il ressemble pas mal à un cachalot. Ou un phoque. Quelle importance ? Il est étalé comme un abruti sur la table, et j'attrape mon cocktail parce que j'ai pas confiance. C'est pas quelqu'un de très très délicat quand il veut quelque chose, vous voyez le genre ? Il semble outré que je n'ai pas de briquet - gosse de riche putain - et se résigne finalement a utiliser ma cigarette. Au tout début que j'ai eu mes pouvoirs, je pouvais faire du feu, c'était bien ! Après, j'ai foutu le feu à ma chambre. Puis plus rien. C'était drôle. Il attrape donc ma clope, l'allume comme un handicapé - pardon pour la comparaison, mais c'est encore pire que les allumettes piiiiiiiiiiiiiiire. Puis il m'embrasse, doucement, et souffle sa fumée dans ma bouche. Ca pourrait être drôle avec disons, de l'herbe. Parce que là, c'est moins drôle, mais un peu drôle quand même, mais moins, mais un pe| Bref. J'suis obligée de m'auto censurer, ça devient effrayant. Je récupère mon bien, le graal de ma pauvre personne esclave de la nicotine et de l'occupation qui consiste à fumer. En plus, nous les magiques, on s'en fou, les guérisseurs guérissent aussi du cancer non ? J'en ai aucune idée, tiens. Mikeal hèle alors un serveur à sa façon - je vous laisse imaginer comment - et lui lâche d'un air totalement supérieur. - On a faim. C'est drôle, parce qu'au lieu de se rebiffer, il part en courant nous chercher des menus. C'est pathétique, totalement humain, mais pratique pour le coup. presque un bon petit esclave comme il faut. J'devrais peut être le ramener à Croix, avec un peu de chance, il serait pas trop chiant. Je vois d'ici les troupeaux d'Orphéo lâcher des « mais il a sans doute une famiiiille et des amiiiis et une petite copiiiine ». Vous savez quoi ? J'm'en fou. De toute façon, une petite copine, ça ne sert, à rien. L'amour décrit dans les films n'est bon qu'à faire rêver. Je n'y crois pas parce que ma vie craint - ma vie ne craint pas - ou parce que bouh, j'suis une fille trop sombre et pessimiste. Je n'y crois juste pas. Je n'ai jamais pu observer ça de mes propres yeux. Les gens divorcent de plus en plus, et ce n'est pas pour rien. Même la race humaine, aussi dits les niais et les cul cul par excellente n'y arrivent pas ! Ils n'y arrivent pas ! N'essayons même pas, nous vivrons plus vieux. Et en meilleur santé, et tout ça. BREF. Nous commandons, et ils nous apportent à manger. Je regarde le plat que j'ai commandé en me marrant de l'intérieur. De un : je crois toujours que bouffer gras me donnera du gras et donc peut être des seins. Ca ne donne que des cuisses, malheureusement. De deux : si j'avais été amoureuse de Mike, j'aurais jamais pu commander ça parce que j'aurais peut être voulu être glamour en mangeant ça. De trois : je suis en France pour bouffer un hamburger, voilà, c'est dit. J'me trouve marrante. Enfin bon, me voilà donc, Princesse de rien du tout avec une grâce absente qui mord dans ce machin-truc qui vaut ceux de n'importe où. Le fromage est chouette mais pas la viande. C'est pas tip tiop la viande de toute façon. Ils sont assez radins en sauce pour que j'évite de m'en mettre de partout et que j'évite toute blague salace venant du gamin face à moi, et je suis fière de moi. Genre.. super fière ! Je m'aime. En plus de me trouver marrante. Et j'ai mangé plus vite que ce brave garçon en face de moi. J'évite à me traiter de grosse où à gonfler mon ego.. J'suis sacrément douée, en plus de m'aimer, et d'être marrante. Trop tentant, désolée. - Si tu m'obliges à aller voir la parade, j'te jure, tu dors par terre ce soir. Ouais, même si c'est lui qui paye, j'ai encore du pouvoir - que ferais-je sans la magie ? Oh, je serais sûrement comme Mavis. Enfin non, pas morte, et lui non plus et WOW on arrête de parler de ça, un point, c'est tout. Fuis, June, fuis ! Changeons de sujet. La parade et moi, on se déteste, je suis toujours LA fille qu'on choisit pour de multiples trucs carrément humiliants, gamins et tout ça, j'ai la poisse - c'est parce que j'suis bonne ça ahahaha - et forcément, ça me saoûle. Puis ça me gêne. Je sais même pas pourquoi ça me gêne en fait mais c'est le cas. Puis pour moi, Mickey c'est cette photo de Logan Lerman avec une chemise rouge aux imprimés mickey un peu partout. Industrielle coincée au bout des lèvres, tout juste entamée fumant devant l'objectif. Le front plissé, soucieux, l'air perdu dans un océan trop grand avec ses grands yeux clairs paumés. J'adore cette photo, profondément. Cette photo tout particulièrement. Eeeeeenfin. June. - J't'aime bien, Mike. Je le regarde avec un sourire plat. Tout plat. Comme quand tu balances quelque chose et que l'autre ne doit pas répondre. Ne, doit, pas, répondre. Mais comme c'est Mikeal, et qu'il est imprévisible, et que même si j'aime ça, ça me fait peur les gens imprévisibles, je lâche sur un ton totalement inverse. - Ne réponds rien à ça. ET PUIS C'EST TOUT. Ouais, j'suis chiante - j'suis une femelle, j'ai l'droit - et ouais, j'ai mis tout mon don chéri dans ces mots. Si il lutte contre cette volonté je lui réduis sa langue en bouillie. Han, j'suis même pas sûre que j'puisse parce que j'suis agacée de moi même. Ouh. Calm down honey. Je sirote donc mon verre d'eau à deux à l'heure avant de lâcher tout naturellement comme si j'avais fermé ma gueule - mais je regrette pas d'avoir parlé, mais j'aurais pas du tout donner un ordre, mais si je l'avais pas fais j'aurais flippé, et il aurait peut être parlé, et serait peut être devenu mielleux et je l'aurais peut être claqué parce que je supporte pas les gens chiants. Ouh. - Tu veux faire quelque chose de particulier ce soir ? Ouonvaàlachambreparcequej'suisfatiguéed'êtreentouréedepleindemonde. Etpeutêtrebienquelàtoutdesuitej'aienviedetoi. PEUT ETRE. _________________Six heures du matin, quelque part dans le XVIIIe, des poubelles et des gens. Le jour fait semblant de se lever. Mais c’est la nuit pour toujours.
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Niveau du personnage Point RP: (256/200) Point Membre: (320/200) Niveau: 7 - ConfirméMikeal O'Callaghan Admin | Roi du monde | Espion et sorcier noir pour Rosenrot | Sujet: Re: Je m'appelle Stitch ! Mer 5 Mar 2014 - 23:16 | |
| Nan mais c'est quoi ce sourire ironique ? POUFFIASSE. Genre elle doute de moi. Comment ose-t-elle ? Moi quand elle veut, j'la bouffe. Ouais, j'lui bouffe le minou aussi. Bah quoi ? Nous avons une vie sexuelle extrêmement épanouie, voilà tout. Disons juste qu'on s'éclate au lit. Entre autre. Bah oui, le sexe, c'est pas qu'au lit. BOOM. Faut varier un peu, sinon où est le plaisir moi je vous le demande !
Qu'elle continue de se marrer la petite June. Oui, parce qu'elle est petite. Je fais un milliard de tête plus qu'elle. Ouais, du coup ça se dit plus. Vous savez juste l'expression "une tête de plus" bah c'est juste que j'ai voulu faire plus, beaucoup trop plus. ET J'AI FAIL. Lamentablement. J'avoue. Mais ne le dites à personne, ça pourrait nuire à ma réputation. Quelle réputation ? Bon, c'est vrai que j'ai plutôt une réputation de gamin con. Mais ... N'allons pas creuser ma tombe plus qu'elle n'a besoin de l'être. Six pieds sous terre juste ça me suffit. Pas la peine d'en mettre au moins dix. Vous m'suivez ? Non, rien à foutre, allez vous faire enfourner par un macaque précoce. Et oui, précoce dans ce terme. Quoi, vous voulez que je vous explique en plus ? Vous ne me connaissez toujours pas ? Vous me décevez profondément, vous baissez dans mon estime, c'est vous que je devrais enterrer. CA VEUT DIRE QU'IL EJACULE VITE. Bordel. Bande de cons.
Je sais même plus ce que je disais avec toutes vos conneries ! Ha si, donc ouauis, June se marre en me voyant affalé à moitié ... Plus qu'à moitié actually (ouais j'ai des tendances bilingues, CA T'POSE UN PROBLEME CONNARD ?!), donc elle se fout de ma gueule parce que j'ai l'air con, qu'on fait aussi trois tonnes de bruit ou presque, en même temps on va pas se gêner pour de misérables humains accompagnés de leur marmot de merde qui EUX ne s'empêchent pas de brailler. Alors si moi aussi je veux gueuler, je gueule. Ca s'arrête là. LA BONNE HUMEUR EST EN MOI, YAY YAY YAY (chantez ça sur votre air de musique préféré, ça passera)
BOUFFEEEEEEEEEEEEEEEEEEER. J'ai pris la même chose que June. Hashtag j'ai aucune personnalité. FAUX. En fait cette pauvre fille a pris un minuscule burger tout simple. ALORS QUE MOI... J'ai pris la maxi size. Parce que j'ai un estomac à nourrir, ok ? Et rien à foutre qu'elle me traite de gros, j'ai que la peau sur les os, chose que je sais parfaitement bien, qu'ils vont m'apporter un ridicule petit burger appéritif, et que j'éliminerais facilement toutes les calories en trop. Déjà ce soir, et la magie aussi, ça dépense de l'énergie, kékevoucroyé ?
Bref, le truc brun en face de moi engloutit son burger, radin en sauce. J'suis trop déçu qu'elle s'en soit pas foutu partout, et elle est allée tellement vite que j'ai pas pu faire de connerie genre enfoncer le machin pendant qu'elle bouffe, voyez ? Cinq ans, oui c'est exact.
- Grosse.
Bah ouais, le machin a déjà disparu. Pour manger à cette vitesse je suis désolé mais ... Je me DEVAIS de faire une réflexion. Sinon ça n'aurait pas été moi, et depuis quand je suis sympa ? Je paye le séjour, elle me doit bien ça. J'ai le droit de me foutre de sa gueule. Et elle me le rend aussi extrêmement bien, avouez le. Vous êtes témoins.
- Si tu m'obliges à aller voir la parade, j'te jure, tu dors par terre ce soir.
Elle me cherche là, pas vrai ? Elle aurait rien dit, j'aurais presque oublié l'existence de cette chose. Là j'ai juste envie de la prendre sur mon dos comme un magnifique sac à patate et de l'emmener jusqu'au lieu de la parade, de la mettre sur les épaules quand on passe, et bien sûr, bien sûr, de pousser tous les gamins pour qu'on soit au premier rang et boucher la vue de toutes les choses braillantes. Ca serait droooooole.
- Chiche.
On va se faire un remix de Jeux d'enfants à nous deux. J'en suis sûr. On est bien le genre à faire ce genre de truc. De connerie et tout ça. Un jour ça va partir, vraiment. Enfin, c'est sûrement ce qu'on fait déjà. M'enfin. Elle m'a quand même provoqué. J'aime pas quand on me provoque, j'ai toujours envie de foncer dans le tas, normal.
- J't'aime bien, Mike.
... Whaaaaaaaaat ? C'est quoi en plus ce sourire et tout ça là ? Elle veut dire quoi cette tête ? Je suis genre complètement perdu. Mais genre, grave. OUAIS GENRE KESSTA FACE DE GLAND BITE ? Oui, j'arrivais pas à me décider. Je suis supposé faire quoi moi là dans ce genre de situation ? Répondre quoi ? Merci ? C'est gentil ? Moi aussi ? MOI AUSSI JE M'AIME BIEN, AHAHA. Se serait génial comme réponse ça tiens, sauf que j'ai aps le temps d'ouvrir la bouche.
- Ne réponds rien à ça.
Pute. Ses ordres à la con, j'peux même pas dire ma connerie. Et on peut pas dire que j'essaie pas. On dirait que j'vais chier dans mon futal tellement j'me concentre pour ouvrir la bouche pour dire que je m'aime. Je peux pas le dire... Je peux paaaaas. HA JE SUIS ANEANTI. Vie cruelle. Tout ça à cause de June. June, tu pues, tu baisses dans mon estime. Bref, j'abandonne, je dirais pas ma connerie. ET DU COUP TOUTE LA PRESSION S'EN VA, C'EST QUOI CE BORDEL PUTAIN ?! Je déteste son pouvoir bordel, JE LE HAIS. Ou don, I don't give a shit. Son truc magique, on se fiche complètement de ce que c'est. On en a rien à foutre, on en à rien à branler (Et qu'est-ce qu'on branle surtout ? LES PENIS !). C'est juste en elle, c'est juste magique, et je préfère dire le mot pouvoir que le mot don. Vous comprenez ça fait beaucoup plus ... Imposant et magique d'un coup. Et aussi parce que les dons c'est surtout les ... Beurk. Humains.
- Tu veux faire quelque chose de particulier ce soir ?
Alors là... ALORS LA... Elle l'a cherchée, vous êtes TOUS témoins. Alors je me lève subitement de ma chaise, la renversant au passage, elle tombe par terre avec grand fracas (comme quoi de temps en temps je sais parler !) mais j'en ai rien à foutre, je renverse aussi un peu la table parce que je suis un homme tout à fait délicat, et avec des étincelles dans les yeux, je balance mon poing sur la table et lui balance en pleine figure :
- On va voir la parade !
Ni une, ni deux, je ne lui laisse même pas le temps de réfléchir ou de finir son verre d'eau. D'ailleurs lui, j'le prends et j'le jette par terre, vidant son contenu sur le sol, parce que rien à foutre, j'suis un rebelle et c'est tous de misérables humains. Je laisse quelques billets sur la table et balance June sur mon épaule avant qu'elle ne puisse répliquer, même si à mon avis ça ne devrait pas trop tarder. Je sens que je vais souffrir, et pas qu'un peu. Mais qu'importe, elle va aussi rebondir sur mon épaule, parce que je me mets à courir ! Ca freinera peut être son envie de me ruer de coup. EN ROUTE VERS LA PARAAAAAAAAAAAAAAAAAAAADE. _________________My life for Anja My love for June I'm just a kid
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| ..
- Grosse.
Gnnnnnnnnn. Voilà. Il mange plus que moi, et il ose me traiter non mais il se prend pour qui ? Je tire une tête de gamine, gamine que je suis tout en gardant mon verre entre les mains. Le verre froid est agréable. J'aime bien le froid.
- Chiche.
Je secoue doucement la tête en le fixant en essayant de me convaincre qu'il ne le fera pas parce qu'il ne doit pas le faire. Je le prendrais peut être mal. Sûrement mal. J'suis jamais allée à Disney, okay, c'est la première fois, mais tout ça m'effraie et quand j'ai peur, réellement peur, je deviens chiante agressive. Putain, j'aime pas la foule, j'aime pas les gens, j'aime personne ok?! Il me fait flipper l'enfoiré. Pourtant je ne lui sers en guise de réponse qu'un petit sourire parce que si je ne compte pas aller à cette parade j'aimerai bien le voir essayer. Parce que n'importe qui à sa place m'aurait lâché d'un air abruti « J'comptais pas l'faire. » Est-ce que tu te rappelles, Mike, quand tu m'as demandé de jouer à être un couple ? Bah voilà, on est mieux que ça. Mais si tu m'emmènes à la parade, je t'enfonce les yeux dans les orbites super fort.
Bref, je lui dis que je l'aime bien, et il résiste comme il peut à ce que je lui ai ordonné. Ca ne marche pas comme ça honey. Je lui ais balancé ça droit dans les yeux avec rien d'autre que cette envie. L'amour ne fera jamais fonctionner mon don comme il le faut. Jamais. Mais la peur d'être humiliée ou gênée par les mots du garçons en face de moi suffiront toujours face à n'importe qui. Je suppose que Dorian pourrait se libérer de ce qu'il veut, c'est une furie, une turie, un monstre aux yeux clairs et aiguisés. Voilà ce que je suis. Une survivante. Et je sais qu'à chaque fois que ma vie a été en jeu ou ma fierté, mon don l'a emporté. C'est pour ça que je me bats concrètement si mal. Je lance très bien et contrôle pas trop mal mes dons et pouvoirs, mais j'me bats pas très bien. Mais j'suis toujours là ahah. Bande d'abrutis.
Enfin bref. Je bois donc mon eau a deux à l'heure parce que je joue toujours avec quand je bois. Parce qu'au fond j'suis une enfaaaaaaaaaaaaaaaaaaant. J'aimais bien les batailles d'eau, petite, même si la Tante faisait sacrément la gueule après. Mais elle nous aidait quand même a nettoyer. A vrai dire, c'est pas qu'elle m'aimait pas, la Tante, c'est qu'elle avait peur de moi en plus de ne pas pouvoir me comprendre. Alors on s'évitait, et moi, j'étais toute seule. Depuis, j'aime bien boire comme une attardée qui s'ennuie et être seule. Je regarde Mike. Okay, être seule souvent, et être avec lui parfois. Mais pas tout l'temps.
Il se lève brusquement et je sursaute alors que son poing s'éclate sur la table. Les gens se retournent et moi j'hausse un sourcil en le fixant d'un air « TU T'ASSOIS ET TU BAISSES LES YEUX PUTAIN J'AI HONTE » mais au final ça me fait marrer alors qu'il glapit.
- On va voir la parade !
Euh.. non. Je vois alors mon verre se suicider contre le sol. J'ai encore soif, connard. Puis, je me transforme en sac à patates - du moins c'est ce qu'il semble croire - alors qu'il me jette de façon totalement enfantine sur son épaule. C'est pas le genre de trucs que les pères font avec leurs enfants, ça ? Je sais pas, en fait. Pas les parents noirs. M'en fou, les miens étaient gris. Gris, et morts ahah.
Mon estomac se retrouve alors compressé contre l'épaule angulaire de ce brave et stupide Mikeal. J'vais lui vomir dessus putain. Oh mon dieu, POURQUOI TU COURS ? J'vais l'tuer, et lui arracher la tête et les yeux. Ca ne m'amuse pas. Je tourne la tête et vois des vieux qui nous regardent genre « Oh le beau couple qu'ils sont mignons ! » On est pas mignons, on est pas un couple, ça ne M'AMUSE PAS, je REVERRAIS JAMAIS CE MEC DE MA VIE, Putain Mike, je..
- Mikeal !
Je grogne, et il s'en fou. Voilà, c'est dans ces instants là que je pourrais avec toute la volonté du monde, quitte à en tomber inconsciente, lui hurler " arrête de bouger ! " et là, il finirait par mourir d'un arrêt cardiaque parce qu'il m'aurait obéit jusqu'à son pauvre petit coeur, palpitant fragile et ineff| wow. June. C'est comme ça que tu tues des gens et qu'après tu te sens pas très très bien. Je respire les yeux écarquillés, couinant à chaque foulée et battant des jambes, me rendant compte de l'état dans lequel je pouvais me mettre pour si peu. Un monstre. Un putain d'gros monstre.
Ca me calme subitement et je vois les enfants, les oreilles de Dumbo quelque part et des robes de Princesses, des sourires et au dessus de nous des étoiles. Non j'rigole, j'suis pas aussi sentimentale.
Je me tortille donc comme je peux, mais ballottée j'ai déjà du mal à respirer.
- Lâche moi !
Je hurle. Sale gosse, voilà.
- Mike putain !
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah j'le déteste. Sans vouloir lui arracher la tête, mais quand même un peu. Beaucoup. Mike de merde, va. J'devrais lui faire bouillir le sang. Dans les mains. Mais oui, c'est une idée ça ! Non, à vrai dire ce n'est rien du tout, je suis capable de le tuer sans faire exprès parce que je me suis ratée. " Ben ouais, j'suis désolée Rosenrot, j'étais de mauvais poil et j'ai voulu qu'il me lâche mais il est mort. Allez, à la prochaine ! " Donc du coup, j'me suspens à ses cheveux parce que tout le monde craint des cheveux, surtout les mecs - parce que les meufs aux cheveux longs, à force de les démêler brutalement, tu sens plus rien - et je tire. Fort.
J'entends déjà que la parade à commencé, les gosses crient, et les chars et tout ça ça fait du bruit, les lumières clignotent et me filent la gerbe. On a déjà dépassé des gosses qui m'ont regardé méchamment et je me dis, à nouveau que putain, je déteste la parade et que Mikeal n'est pas drôle à tenter de m'y emmener - même si ça m'a fait marrer pendant un moment - et que ce soir, ce n'est pas un mythe si le lit m'appartiendra tout entier.
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Niveau du personnage Point RP: (256/200) Point Membre: (320/200) Niveau: 7 - ConfirméMikeal O'Callaghan Admin | Roi du monde | Espion et sorcier noir pour Rosenrot | Sujet: Re: Je m'appelle Stitch ! Lun 1 Mai 2017 - 21:34 | |
| Elle m'a regardé TELLEMENT mal quand je me suis levé d'un seul coup. Vous auriez vu ça, vous auriez flippé vos mamies et vous vous seriez pissé dessus. Mais pas moi. Parce que je suis un BONHOMME. Et que j'ai des CORONES. Nan en vrai c'est surtout que mon cerveau avait déjà programmé l'action et qu'il s'est dit « agis vite sinon tu le feras jamais et tu REGRETTERAS parce que tu aimes faire chier et tout et tout » bref, vous connaissez la suite parce que je pense que vous commencez à me cerner quand même. Non ? TOO BAD FOR YOU.
Bref, le sac à patate ne réagit pas très bien, surtout quand je cours. En même temps, vous vous êtes déjà pris l'épaule de quelqu'un dans les côtes/le sternum à-chaque-pu-tain-de-fois-que-le-pi-ed-de-l'autre-im-bé-cile-touche-le-sol ? Non ? Bah je vous conseille pas d'être à la place de June, parce que ça doit faire un mal de chien. J'ai déjà testé. Mais le truc sous moi marchait. Mais il me tenait d'une main de fer. Et ça fait pas du bien. Et toi t'es effrayé. Comme une sombre merde. Parce qu'en plus tu sais ce qu'il va t'arriver. Et tu sais que ça va faire encore plus mal. Alors t'essaie de t'enfuir tant bien que mal mais tu n'y arrives pas, l'étreinte se resserre, de plus en plus. Tu te débats pour rien et la sentence sera alors encore pire... Mais, on a dit qu'on parlait pas de ça ! PUTAIN DE CERVEAU DE MERDE. C'EST QUAND TU ES SEUL QUE TU AS LE DROIT DE PENSER A CA, et encore. C'est plutôt boire pour oublier chez moi. Non c'est faux, je ne suis pas un alcoolique.
- Mikeal !
Et ça grogne. Logique. Je dois lui faire mal. Et en plus on va à la parade. Alors qu'elle me l'a défendue. Ahaha. C'est drôle. Je ris. Je suis diabolique ahaha ! JE SUIS LE MAL EN PERSONNE.
On arrive à proximité des enfants qui braillent déjà, qui sont sur les épaules de leur très cher pôpa -beurk-. Ils sont tous déguisés, des robes de princesses, des oreilles de Mickey, de Pluto de … d'autres trucs. C'est répugnant de niaiserie. Hey les gars, c'est pas ça la vraie vie, vous voulez voir ce que c'est, c'est que moi je vous soulève dans les airs et que June fasse bouillonner votre sang, comme ça vous êtes torturés hors d'atteinte de vos parents qui ne peuvent donc pas vous sauvez. Ahaha. Se serait drôle. Un sourire m'échappe. Un sourire mauvais, obviously. La musique de la parade commence à se faire entendre, alors j'essaie de regarder d'où ça vient en ralentissant un poil, et me rapprochant de la foule d'enfants répugnants (d'abord parce que se sont des gosses, ensuite parce que se sont des humains. Ca devrait être des esclaves … pfff, tout ça gâcher à ne rien faire. On devrait faire une rafle d'enfants, se serait amusant, et on aurait plein de jouets!)
- Lâche moi !
Hurlement
- Mike putain !
Je ralentis encore un peu, parce qu'il va falloir se frayer un chemin dans la foule, pour bien voir tous les chars les danses et tout. Ok c'est le pays de Disney donc se sera forcément miévreux, niaisereux et tout ce qui s'en suit de répugnant dégoulinant de paillettes et de licornes multicolores. Mais bon, c'est marrant aussi. Faut pas oublier que j'ai cinq ans aussi. Tous les gosses et leur parents nous regardent mal, déjà parce que je porte un sac à patate, quelle drôle de façons de transporter une femme, bah quoi ? Et en plus June donne des coups partout. Ah, un gamin pleure derrière nous ! Peut être que June en a touché un, ahaha.
J'utilise un peu mon pouvoir de télékinésie pour me dégager facilement un passage jusqu'au premier rang. Parce que j'ai décidé tout à l'heure que c'est là où je voulais être. Je descends alors prudemment June de mon épaule, je lui agrippe les fesses au passage et l'embrasse avant que ses pieds ne touchent le sol. Je sais que je vais pas tarder à me prendre un coup. C'est obligé, vu la manière dont je l'ai traité, et vu ses hurlements de truie. Encore une fois, béni soit … soit qui ? Pas le seigneur, ya pas de seigneur. Je décide que Dieu est un plat de spaghettis. Donc euh … Béni soit moi même, voilà, que June ne soit pas télépathe. Vraiment. Toujours. Si un jour je tombe sur un télépathe, je vais m'en prendre PLEIN LA GUEULE.
Je retourne alors June vers la parade qui avance doucement vers nous, les premiers danseurs entamant leur chorégraphie colorée.
- Alors, ça en valait pas la peine ?
Je reposerai cette question sûrement à la fin de la parade. Je l'embrasse alors sur la joue et m'assoie sur le trottoir, parce que j'aime pas rester debout. Je tapote les fesses de June pour qu'elle me rejoigne par terre. (parce que FESSES). Je m'allume alors une indus et en propose une à June.
- Pour me faire pardonner.
Je repense à ce qu'elle a dit tout à l'heure, vous savez son « si tu m'y emmènes, tu dors par terre ce soir » je lui chuchote alors à l'oreille.
- D'ailleurs, ce soir, tu comptais dormir ? _________________My life for Anja My love for June I'm just a kid
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Niveau du personnage Point RP: (61/100) Point Membre: (21/100) Niveau: 6 - AffirméeJune H. Williams Sorcière Noire | Membre de Croix | Sujet: Re: Je m'appelle Stitch ! Mar 2 Mai 2017 - 14:49 | |
| « I guess it's all alright »
Mickey pas beau me repose enfin sur le sol, après m'avait embrassé comme pour tenter de m'amadouer - ce qui n'est évidemment pas possible - mais surtout avoir touché mes fesses, tranquillement. Ce gosse est irrécupérable c'est insupportable. J'époussète un peu mes vêtements pour que ça passe mieux, genre pour me donner une contenance autre que celle d'un sac à patates trimballé sur un épaule en grommelant.
- Profite en pour me peloter surtout, Y'A PAS DE SOUCIS.
Mais j'ai un petit sourire en coin, parce qu'on est à Disney et puis parce que c'est chouette quand même. Nous sommes posés au premier rang parce que bien sûr rester derrière ce n'était pas assez bien pour le grand monsieur qui me sert de.. Pour le grand monsieur qui me sert. Voilà. A vrai dire, je ne sais pas si j'aime bien être là ou si sérieusement c'est de l'abus, c'est quoi tous ces déguisements tous plus pourris les uns que les autres et ces enfants qui se morvent dessus ? C'est à la limite du supportable.. les.. enfants là. Ew.
- Alors, ça en valait pas la peine ?
Il me dit ça en m'embrassant sur la joue avant de s'asseoir par terre et de très calmement me patpater les fesses. C'est une obsession de tous les jours les fesses chez Mikeal, mais les boobies et le sexe aussi, mais l| Bref, pas mal de choses. Je lui soulève le bras avant de me coller à lui pour qu'il le pose sur mes hanches, parce que j'aime bien avant de lever les yeux vers la parade qui commence. C'est un peu bizarre, les gens sourient à pleines dents alors qu'ils font sûrement ça tous les jours et qu'à force ça ne doit plus être bien marrant, mais bon, on fait un peu la même chose, je veux dire, on égorge des gens à tour de bras alors que ça ne nous fait plus trop rigoler. Enfin, des fois oui, des fois un peu moins.
- Moui, dis-je avec une légère moue boudeuse, c'est pas mal.
Les lumières éblouissantes prennent des teintes plus flashy les unes que les autres alors que les enfants lâchent des "oh" d'admiration. Quels parents sont assez motivés pour se taper tout le trajet pour leurs enfants, pour qu'au final eux-même ne puissent pas s'amuser parce que des chiars ça ne se trimballe pas sur les meilleurs attractions, hein ? Mike me lâche une clope que j'attrape et allume, tirant dessus.
- Pour me faire pardonner. - Comme si ça allait suffire. -D'ailleurs, ce soir, tu comptais dormir ?
Je l'embrasse du bout des lèvres, lui soufflant la fumée sur son - joli - visage pour l'embêter avant d'afficher un large sourire.
- Bien sûr. Pourquoi, tu pensais à autre chose ?
Je fais mine de réfléchir.
- Mmm.. non, vraiment, je ne vois pas ce que tu voulais faire.
Je colle mon nez - gelé - contre sa joue en ricanant de ma SUPER blague qui est très marrante, vraiment hilarante. Ma clope se consume au coin de mes lèvres alors que je reprends, les yeux rivés sur la parade.
- Après m'avoir trimballé sur ton dos de.. de malotru là, tu crois quoi ? Tu vas d o r m i r, par terre, seul. Dans ta solitude, esseulé.
Les gens applaudissent à tout rompre, j'ai envie de hurler "vos gueules !" en projetant mon pouvoir dans leurs faces d'humains inutiles et au moins on serait que deux à pouvoir encore parler et s'amuser. Enfin je serais sûrement surtout toute fatiguée, incapable de faire autre chose que dormir et vomir. Du coup je m'abstiens, forcément, parce que j'ai pas le choix. Un énième char passe au travers de l'étrange route, jetant des bonbons, des petits peluches toutes douces et des objets. J'attrape au vol un truc, qui allait arriver tranquillement dans mon visage - si parfait - et je regarde les ficelles, un peu surprise. C'est quoi ce truc ? Oh, un attrape rêve.
- C'est tellement niais, dis-je platement en démêlant l'objet.
Des petits lanières de cuir soutiennent des plumes grises et ambrées qui s'agitent immédiatement dans l'air frais de la nuit.
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| June passe sa main sur sa robe. C'est ça. Fais genre tu te rhabilles bien. Fais genre t'es propre sur toi. Personne n'est dupe tu sais. Surtout pas moi.
- Profite en pour me peloter surtout, Y'A PAS DE SOUCIS.
Bah oui, c'est là pour ça non ? J'veux dire, des fesses, juste devant moi, juste à portée, forcément que je vais en profiter ! Et puis genre elle aime pas ça. Je sais qu'elle aime bien que je la pelote (de laine). On me l'a fait pas à moi. Je sais qu'elle aime que je la caresse, que je la touche, et je pense commencer à bien connaître les endroits sensibles. J'aimerais bien la titiller maintenant d'ailleurs mais … Je suis pas fan de faire ça avec un public. Traumatiser des pauvres gosses j'en ai rien à faire, le faire dehors, dans un endroit un peu caché même si on nous surprend c'est pas grave, mais toute cette foule qui nous épie... Nop.
AHAH ! J'ai vu ton sourire June, tu ne peux pas me résister. Quoi que je fasse comme conneries, je sais que tu seras ébloui par tant de suprématie de ma part. Moi, un ego surdimensionné ? Non. Pas du tout.
Madame s'assoit à mes côtés. Mais attention, madame insiste pour que mon bras lui prenne les hanches. Mon bras aimerait bien prendre autre chose .. Excusez moi, c'est le soir, et on fait quoi le soir ?! On b|
On regarde la parade. Voilà. Mais j'ai quand même mon bras autour d'elle. Excusez moi si j'appelle ça une petite victoire. J'en frétille.
- Alors comme ça tu réclames des câlins maintenant ? Toi ? Tu veux de l'affection ?
J'espère qu'elle ne chassera pas mon bras. Parce qu'en vrai, moi aussi je suis bien comme ça … Non vous n'avez rien lu ! De toutes façons, si elle me chassait, je remettrai mon bras où il est et je la serrerai encore plus fort contre moi. Avec un bisous dans le cou. Sûrement … Oui, sûrement. Je raille, mais je suis content qu'elle fait fait.
Mike tout content.
- Moui, c'est pas mal.
Je ne tiens plus et SMACK. Le bisous dans le cou. Vous savez, le baiser légèrement déposé. Celui qui vous fait des frissons dans tout le corps et qui n'en veut plus mais qui en même temps en veut encore tellement c'est agréable. Le baiser qui donne envie. Envie de quoi vous me direz. Ne faites pas les innocents, vous savez de quoi je parle.
- Comme si ça allait suffire.
Ah mais genre. Tu crois vraiment que c'est tout ce que tu auras ? Je lâche un sourire aguicheur dragueur tentateur chicheur. Le sourire en quoi de « il est où le poulet ? » m'voyez. Enfin, elle allume sa clope tandis que la fumée de la mienne part droit vers les gosses autour de moi, certains enfants toussent, râlent et les parents s'y mettent aussi. J'en entends certains « tousser » le rmh rmh qui signifie « vous êtes sérieux là ? » oui, parfaitement et j'en ai rien à branleeeeeeeeeeeeeeeer. Parce que pourquoi je me soucierais de vulgaires humains tels que vous ? J'devrais vous marcher dessus. Vous devriez reconnaître ma toute puissance et être un tapis d'esclave. Sur lequel je marcherais, tout beau, tout puissant.
June me souffle sa fumée au visage après un bref baiser sur le bout des lèvres. Je fronce un peu le nez. Et souffle. Ca pique. Gnnnn, ça pique le nez. Et les yeux aussi un peu. Je ne laisse rien transparaitre. Ouais, c'est déjà trop tard, vous m'en direz tant. J'espère surtout que son regard s'est très vite retourné à la parade, comme ça elle n'aurait pas eu le temps de voir ma petite grimace de « bouh j'ai mal la fumée ça pique » sinon elle va se foutre de ma gueule, une fois de plus. Je suis vraiment une victime. Pourquoi je continue de trainer avec cette femme ? Non mais vraiment, pourquoi ?
- Bien sûr. Pourquoi, tu pensais à autre chose ?
Silence, sourire en coin de mon côté.
- Mmm.. non, vraiment, je ne vois pas ce que tu voulais faire.
Elle se colle à moi et m'hurle au tympan. Là encore, ça pique. Alors je recule un peu pour garder un tant soit peu d'audition. Elle rigole cette grosse vache. Parce que c'est drôle peut être ? Je ne crois pas non.
- Après m'avoir trimballé sur ton dos de.. de malotru là, tu crois quoi ? Tu vas d o r m i r, par terre, seul. Dans ta solitude, esseulé.
- Tu sais pas ce que tu rates
Je reprends ma cigarette, comme si de rien n'était. Prenant une grande et longue bouffée, et recrachant tout doucement, laissant la fumée faire ses propres motifs et ondulations. Plus la fumée est épaisse, plus c'est choli. Oui, c'est choli.
Et puis elle croit vraiment que je ne vais pas la tenter plus que ça ? Bien sûr que si. Je pourrais exhiber tout mon corps devant elle, faisant mine d'aller me doucher, elle pourrait être libre de me rejoindre si elle le souhaite évidemment. Je reviendrais ensuite dans la chambre, une petite serviette autour de mes hanches qui … oups, tomberait pas inadvertance. Je pourrais ensuite uniquement lui grimper dessus tranquillement pour juste l'embrasser, sur le cou, près des oreilles, lui murmurer ce que je pourrais lui faire, toucher les zones plus ou moins sensibles, voire même extra sensibles … Je pourrais même être tenté de la déshabiller si elle n'est pas déjà nue et glisser ma tête entre ses jambes. Je pourrais la fatiguer, encore et encore, jusqu'à ce qu'elle soit exténué, épuisé, au bord de l'évanouissement, je pourrais également la tenter avec de l'affection, du style « tu ne veux pas que je te serve d'oreiller ? Pour bien dormir ... » ou juste me lover dans les draps, près d'elle, et mettre mon bras autour de ses hanches, à nouveau. The place where it belongs to be. Wait what ? Ca sort d'où ça ? Sinon on s'endormirait, tous les deux. Dans un lit.
Ou alors la manière forte serait que je la force à dormir par terre avec moi. Se serait drôle ça aussi. La choper par un pied et la faire tomber. L'emprisonner dans mes bras et qu'on se batte, j'aime bien me battre, ch'est rigolo, que je gagne, et qu'on finisse par dormir tous les deux.
Dans tous les cas, je ne dormirais pas seul ce soir.
Est-ce que la carte de la jalouserie marcherait ? Je pourrais tenter … Juste une expérience, comme ça, mine de rien...
Les gens applaudissent à tout rompre, sifflent, braillent. Je sens que ça exaspère June. Et moi aussi d'ailleurs. J'aimerais juste qu'on soit tous les deux, là. Qu'on profite de ce moment, juste nous deux. Le char qui arrive balance des trucs. June arrive à en attraper un. Ajouter à cela un commentaire sarcastique pendant que de mon côté je découvre l'objet dans ces mains.
- C'est tellement niais
Mais j'y pense. Certaines tribus pensent vraiment que ces objets ont du pouvoir. Celui là ? Non. Aucun sûrement. C'est juste un … Bidule. Mais en avoir un vrai, qu'un vrai sorcier aurait fabriqué ? Ou alors, mettre des runes ou l'ensorceler, ça pourrait marcher ? Je suis hypnotisé par l'objet et lui prend doucement des mains, essayant de faire mine de l'examiner. Oh, des runes j'en ai testé. Je suis pas du tout doué avec ça. J'en utilise jamais. Mais disons que parfois, quand tu en as VRAIMENT besoin, tu fais les recherches nécessaires. Bref, le sommier de mon lit est rempli de runes. Mais du côté où ya le mur. Personne ne les verra. Jamais. Jamais. Du coup quand je dors pas dans mon lit je fais comment ? J'ai une femme pour me distraire. Ou je me bourre la gueule. Enfin, avec mon lit aussi je me bourre la gueule. Parce que ces putains de runes ne marchent pas. Je fais des insomnies, j'erre dans la bibliothèque à la recherche de solution qui pourraient me soulager. Mais ça ne marche jamais. Alors je continue de faire des cauchemars, où je m'éveille en hurlant. Seule Savannah sait que je hurle. Elle seule vient me voir après avec une serviette froide humide qui m'apaise. Elle me recouche alors en l'appliquant sur mon front. Parfois je la viole (encore), parfois je lui envoie le premier objet qui me passe sous la main à la figure. Mais elle revient, toujours, une fois que je suis calmée. Avec tout le mal que je lui fais et que je lui ai fait, elle revient, toujours. C'est un merveilleux cadeau que père m'avait fait ce jour là. Elle doit être empathe. Sûrement. J'en sais rien. Sinon ya les femmes avec qui j'ai eu une relation d'un soir. Je ne me réveille pas tout le temps en hurlant, tout de même. J'espère juste que June ne me verra jamais dans cet état. Elle penserait quoi ? Elle se moquerait sûrement. Elle ne doit pas savoir tout ça, tout ce que j'ai enfoui au plus profond de moi, pour ne faire paraître que ce gamin con, débile et rigoleur.
Je garde l'attrape rêve et le fourre dans la poche arrière de mon jean avec un léger sourire.
- C'est pour faire de beaux rêves.
Je mets alors ma tête sur l'épaule de June. La parade continue, la musique avec. Je n'aurais pas du penser à tout ça. Parce que maintenant, je ne me sens plus de regarder la parade jusqu'au bout. Je ne me sens plus d'être avec tous ses humains. Même June, surtout June, j'ai peur qu'elle me voit dans cet état. Et je ne peux pas partir, se serait encore plus suspect. Et après faut se retrouver. Vous imaginez, parmi tout ce monde ? Faudrait que je sorte une blague. Vite.
- Tire sur mon doigt.
J'AI PANIQUE, ok, la panique. Mon dieu. La blague la plus vieille et la plus nulle du monde. Je vais être tellement juger. Mon dieu. Nan mais même moi j'ai honte. June, pitié, lève juste les yeux au ciel et ne répond pas, pitié ! Pitié ! Ignore moi juste, se sera pour le mieux.
La musique commence à baisser petit à petit, on s'en approcher le dernier char. Et moi, je sens approcher ma nuit torride avec June. Mouahaha. En espérant surtout ne pas avoir de cauchemars et là … C'est plutôt mal parti. _________________My life for Anja My love for June I'm just a kid
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Niveau du personnage Point RP: (61/100) Point Membre: (21/100) Niveau: 6 - AffirméeJune H. Williams Sorcière Noire | Membre de Croix | Sujet: Re: Je m'appelle Stitch ! Sam 6 Mai 2017 - 17:33 | |
| Mike semble tout content, il croit avoir gagné alors que non. Et puis vraiment pas. On parle de moi et de Mike, (moi d'abord bien entendu) et quand il s'agit de bataille ou de guerre il faut se rendre à l'évidence : je gagne toujours.
- Alors comme ça tu réclames des câlins maintenant ? Toi ? Tu veux de l'affection ?
- Non, j'te dresse.
Je lui lâche un petit sourire en coin, néanmoins assez satisfaite qu'il ait obtempéré. Genre je veux de l'affection, bien sûr que non, j'éduque juste ce brave Mike à agir en public en étant décent, c'est à dire, principalement, avoir l'air normal, pas trop obsédé sexuel et.. ..quelques autres détails. Mais ce sont des détails, juste des détails.
- Tu sais pas ce que tu rates.
Il sourit, ça reste bon enfant. J'sais pas pourquoi je pense pas mais j'ai l'impression qu'on continuera de traîner ensemble encore un long moment, que c'est pas acquis mais en péril non plus et que ça peut marcher. Dans marcher, j'entends qu'on peut passer du temps et que ce temps soit chouette. Du coup, je pense rarement au fait que ça puisse être finis, parce que je nous vois pas nous engueuler pour toujours.. enfin j'veux dire.. au pire.. on peut toujours se réconcilier sur l'oreiller, le sexe c'est différent des mots, c'est dans le ventre que ça se passe et c'est physique, c'est un besoin. Du coup, quand on joue là dessus, c'est dur de dire non en général, surtout quand on est brouillé par ego, par fierté, par nous quoi.
Vous savez, Mike, je commence à le connaître. Je ne prétends pas savoir d'où il vient ni où il penser aller, je ne sais pas ce qu'il a fait, ce qu'il a vécu ni même ce qu'il regrette. Je ne sais pas ce qui l'empêche de dormir la nuit. Ce que je sais c'est ce qu'il est là, maintenant. Ce que je sais c'est toute ces fois où il se réveille dans mes bras, sans bruit, sans bouger pour ne pas me réveiller mais je ne suis pas stupide. J'entends sa respiration différente et son cerveau qui tourne à mille à l'heure, comme si à force j'avais fini par reconnaître le bruit de ses pensées qui s'entrechoquent sans s'ordonner. Exactement comme quand il se saisit de l'attrape-rêve. Il le voit, ses yeux sont portés vers l'objet mais sans le regarder, comme s'il maintenant l'illusion qu'il était là mais il n'était plus là. Il n'est plus là du tout. Je me pince les lèvres, un sourire coincé sous ma langue. Où vas-tu, Mike, quand t'es comme ça ?
- C'est pour faire de beaux rêves.
Je secoue la tête mais il est toujours ailleurs. De beaux rêves. Quel âge a-t-il pour dire ça ? Mike, reviens.. J'me sens un peu désolée pour lui, il n'a pas l'air désorienté mais sans être empathe je sais ben que quelque chose ne tourne pas rond, qu'il a parlé pour cacher les choses et... et ça me fait chier d'en avoir quelque chose à faire. Je l'aime vraiment beaucoup Mike mais il est hors de question de me laisser atteindre par la situation de quelqu'un d'autre, de me laisser atteindre par des sentiments de quelqu'un d'autre, quelque chose que je ne peux pas contrôler, enfin j'veux dire là, je sais bien que ça ne vient pas de moi mais de son passé. Je ne suis pas prête à creuser, encore moi à voir ses problèmes, à les trouver.
- Tire sur mon doigt.
Oh boy. What the hell ? J'hausse un sourcil du genre "à quoi tu joues ?". J'aimerai pouvoir tout entendre et lui dire que son cœur s'emballe et qu'il est cramé. Je sais plus si j'ai envie de le serrer dans mes bras où de le gifler de m'emmener là où il va. La musique commence à baisser, les enfants à bailler. J'ai pas envie de rentrer maintenant, j'ai pas envie de faire face à un Mike désemparé parce que je n'ai pas voulu rentrer dans son jeu en disant "okay, cachons tout, pas de problème." Je me lève doucement.
- Tu devrais avoir le courage de me laisser en dehors de tout ça.
Petit soupir alors que je fais un pas en arrière.
- Ou au moins avoir celui de te tirer quand tu ne peux pas.
Je le dévisage un moment, me demandant ce que ça ferait si je lui demandais en l'ordonnant de me laisser en dehors de tout ça. Comment laisse quelqu'un en dehors de son passé en sachant qu'il nous définit ? En ne revenant plus jamais. Bien sûr que non je ne souhaite pas ça, je ne demande pas à Mike d'être celui qu'il n'est pas, je ne lui demande pas d'être apaisé. Juste de me mentir et de dire que ça va aller. _________________Six heures du matin, quelque part dans le XVIIIe, des poubelles et des gens. Le jour fait semblant de se lever. Mais c’est la nuit pour toujours.
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| Non j'te dresse
Nan mais, genre. GENRE. Même pas j'y crois. D'où elle me dresse ? En plus pourquoi me dresser, je suis déjà parfait non ? Je lâche donc un petit « pfff » en levant les yeux au ciel. Cette meuf raconte n'importe quoi. Vraiment.
De toutes façons elle aime mes câlins. Ahaha. Voilà. C'est moi qui gagne. Balek. JE SUIS LE ROI DU MOOOOOONDE AHAHA. Et le roi de June. Voilà, c'est elle ma soumise, d'où elle me dresse, tssss. N'importe quoi c't'enfant, faut les éduquer mieux que ça moi j'vous l'dit.
J'ai vu son air sur son visage. Elle a tilté que quelque chose allait pas, là, chez moi, pendant que j'étais dans mes pensées. Ca ne va pas du tout. Il ne faut pas qu'elle sache. Pourquoi j'ai été si débile. J'essaie toujours de ne jamais penser à tout ça, alors pourquoi, là, j'y pense ? Worst moment ever. The way she looks at me … It's bad, it's really, very very bad. Je ne veux pas qu'elle sache, je ne veux pas qu'elle sache à quel point je suis brisé tout au fond, à votre avis, pourquoi je fais tellement le débile, pourquoi je bois autant ? Pourquoi je fais autant n'importe quoi de ma vie … Je ne veux pas qu'elle sache, elle s'enfuirait, tellement. Je ne veux même pas qu'elle sache que je pourrais aller mal. Alors pourquoi j'ai eu ses pensées si sombres. Ce regard... Inquiet, mais pas inquiet pour moi, c'est une inquiétude qui veut s'enfuir. Qui ne veut pas savoir. Non June, je ne veux pas que tu saches. Mais je ne veux pas que tu partes, avec toi, c'est facile de s'amuser. On s'amuse bien tous les deux, non ? C'est plus facile de ne pas y penser que quand t'es là. Quand t'es seul … Tu rumines dans tes pensées, alors forcément, ça vient … Et t'es encore plus desespéré. June, reste. Ca m'aide, en quelques sortes, que tu sois là. Quel con j'ai été, j'ai envie de me foutre des claques, j'ai envie de remonter dans le temps, de balancer cet attrape rêve, et de faire avec un ton de badaud « une connerie pour les humains qui pensent qu'ils font des cauchemars » et balancer ça derrière moi en riant. On aurait regardé tranquillement la fin de la parade, on aurait essayé de grapiller des minutes en plus dans le parc, on serait remonté dans notre chambre d'hôtel … Mais non, j'ai tout gaché … Ce regard … J'ai tout gaché. June, arrête de me regarder comme ça, s'il te plait … Arrête, c'est encore plus dur …
Elle se lève. Je prie pour qu'elle ne part pas. Mais elle me fixe, d'un regard dur. Je ne sais pas lequel est le pire.
- Tu devrais avoir le courage de me laisser en dehors de tout ça. Ou au moins avoir celui de te tirer quand tu ne peux pas.
Elle recule en prononçant ses mots. Je me lève à mon tour. J'essaie de prendre un air désinvolte.
- Te laisser en dehors de quoi ? Je n'ai rien dit.
Tu fais la fille est forte, tu te crois supérieure à tout le monde, c'est ça ? Bien sûr.
- Tout le monde a ses démons June. Je ne t'ai jamais demandé de partager les tiens, et encore moins les miens. Tu penses vraiment que je veux te partager tout ça ? Non. Alors je fais quoi ? Je panique et je fais des actions complètement inutiles, désespérés, en espérant que tu le remarques pas. C'est pas ce que tu viens de me demander de faire ? C'est quoi cette hypocrisie dont tu fais preuve là?
Ca ne me fait pas plaisir qu'elle me voit dans cet état. Personne ne le devrait. Personne. J'ai été vulnérable, je n'ai pas fait attention. Et voilà, maintenant je paie les pots cassés.
Je me tiens, immobile devant June alors que les humains autour de nous commencent à déserter les lieux. On va rester comme ça longtemps June ? A se fixer comme deux chiens de faïence ? Tu veux que se soit les videurs qui nous disent de dégager, et qu'on marche, dans un silence pesant, jusqu'à l'hôtel ? C'est vraiment ça que tu veux ? Et une fois là bas, il va arriver quoi, hin ? Dis moi June, dis moi, tu veux quoi exactement, dans ta vie, de moi, tu veux quoi ? _________________My life for Anja My love for June I'm just a kid
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Niveau du personnage Point RP: (61/100) Point Membre: (21/100) Niveau: 6 - AffirméeJune H. Williams Sorcière Noire | Membre de Croix | Sujet: Re: Je m'appelle Stitch ! Lun 8 Mai 2017 - 18:32 | |
| Je vois bien qu'il y a un problème. Que nous sommes un problème. Je vois bien surtout que Mike est froissé et moi aussi et qu'avec nos egos de baleines, on risque pas de s'en sortir facilement. J'ai envie de rattraper les mots que j'ai dis et coller mon nez dans sa joue pour sentir son odeur, j'ai envie de lui dire que c'est pas grave, qu'on a tous nos maux. Mais ce serait prendre trop de risques. Je ne veux pas m'impliquer et je ne m'impliquerai pas. Il est hors de question que je laisse tout ça m'envahir, je ne suis pas comme ça. Les sentiments sont des tueurs d'indépendance, je le sais depuis bien longtemps. Il faut que je sorte de là. Il faut, vraiment, que je sorte de là.
- Te laisser en dehors de quoi ? Je n'ai rien dit.
Son visage prend un air un peu différent, il reprend le masque qu'il avait dans les débuts et qu'on trainait ensemble pour passer le temps et au fond de moi, j'me sens un peu triste de revoir ce masque là. C'est pas Mikeal, ce visage là, c'est pas vrai.
- Tout le monde a ses démons June. Je ne t'ai jamais demandé de partager les tiens, et encore moins les miens. Tu penses vraiment que je veux te partager tout ça ? Non. Alors je fais quoi ? Je panique et je fais des actions complètement inutiles, désespérés, en espérant que tu le remarques pas. C'est pas ce que tu viens de me demander de faire ? C'est quoi cette hypocrisie dont tu fais preuve là?
Je hoche la tête, doucement, reculant d'un pas comme s'il m'avait touchée physiquement. Il me fait un peu de la peine à me parler comme ça mais je sais que j'ai lancé l'histoire et que maintenant il n'y a plus de retour en arrière possible. Sauf que réellement, je n'ai pas du tout envie de vivre ce moment, moi et Mike qui se regardent sans savoir quoi se dire ça ne m'intéresse pas. Argumenter, me battre, déployer une énergie énorme pour faire face à des sentiments... hors de question. Je lâche un petit sourire cynique, méchant, mauvais, parfaitement moi.
- Tu m'saoules.
Je souffle, juste pour être sûre que c'est ce que je veux et j'ajoute.
- J'me casse, on se voit au manoir.
Je le regarde dans les yeux et lâche.
- Merci pour la journée Mikeal, c'était sympa.
Les dernières personnes sont en train de partir, je me faufile entre eux en prenant mon temps. Je suppose que Mike n'aura pas la stupidité de me suivre; où est-ce que ça pourrait nous mener ? Nulle part. Je n'ai pas envie d'argumenter et je ne pense pas qu'il soit dans un état fantastique. Je sais bien qu'il va passer la nuit seul et ça me fait chier que ça me fasse un peu de peine, au fond. Mais bon. Quitte à faire des choix, faire ceux qui nous mènent toujours au même endroit me semblent les meilleurs à faire : l'indifférence c'est la sûreté, c'est l'apaisement, la certitude que tout ira bien. C'est la seule façon pour que je me sente chez moi. Quelques albums, quelques livres et quelques endroits me faisaient me sentir chez moi avant, maintenant il n'y a que ça : la moi que je suis quand je n'en ai plus rien à foutre. Je hèle un taxi en fouillant dans mon sac pour avoir quelques billets. Je pourrais lui ordonner de faire ça gratuitement mais tout le monde trouverait ça louche dans son entourage. Hors de question que quelques humains stupides viennent fouiller là dedans. Je m'enroule dans mon gilet un peu trop grand pour moi et me cale. Mes quelques affaires sont encore dans la chambre d'hôtel; tant pis. Tant pis, les affaires c'est pas quelque chose qui doit nous retenir et Mike en aurait sûrement profité pour se venger de mon comportement si j'étais rentrée de toute façon. Je lâche l'adresse au conducteur, un petit tas de billet me laisse bercer par la route.
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Niveau du personnage Point RP: (256/200) Point Membre: (320/200) Niveau: 7 - ConfirméMikeal O'Callaghan Admin | Roi du monde | Espion et sorcier noir pour Rosenrot | Sujet: Re: Je m'appelle Stitch ! Lun 8 Mai 2017 - 22:29 | |
| Qu'est-ce qui a June ? Je te blesse ? C'est pourtant toi qui a commencé non ? J'étais prêt à pas partir là dedans, je voulais pas. J'ai changé de sujet, mais non, il a fallu que tu me pointes du doigt. Il a fallu que tu dises « hey, t'es mal, ça se voit, dégage » ou sort of. Alors oui, je réponds, t'as cru que j'allais me laisser faire ? Comme ça ? T'as cru que j'allais te laisser m'incendier ? J'suis désolée beauté, c'est pas comme ça que ça se passe. Tu crois que j'ai été ravi d'être dans cet état ? Tu crois que j'ai pas été blessé – non – quand tu t'es levée comme tu l'as fait, de la manière dont tu l'as fait ? Peut être que finalement, oui, j'ai peut être été blessé, parce que dans le fond, je t'aime bien June. Je t'aime vraiment bien. Et on s'éclate bien ensemble. Et je voulais passer à autre chose pour qu'on puisse continuer de s'éclater, normalement.
- Tu m'soules.
Je fronce les sourcils. J'encaisse.
- J'me casse, on se voit au manoir.
Elle relève les yeux et regarde dans les miens.
- Merci pour la journée Mikeal, c'était sympa.
Elle se faufile dans la foule, je la suis du regard, les bras balants. Je la perds vite de vue et me met à regarder mes chaussures. Au moins, elle a dit qu'on se verrait au manoir. Après tout, c'est pas la première dispute que nous avons, et regardez où nous sommes aujourd'hui. Bon, on s'engueule encore, okok, mais on arrive quand même à passer de bons moments, malgré tout ça, malgré nous, malgré qu'on soit cons, qu'on soit trop fiers pour oser s'excuser, malgré tout ce qui nous hante.
- De rien.
Je murmure, seul. Je m'allume une dernière cigarette, un badaud vient me voir pour dire qu'il faut évacuer le parc, je lui fais signe de la main, en grognant légèrement et prends le chemin de ma chambre d'hôtel.
A la prochaine. _________________My life for Anja My love for June I'm just a kid
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