Invité Invité | Sujet: Jaden London ▬ I'll protect you {OK} Ven 30 Aoû 2013 - 12:12 | |
| Welcome to Mystery...Jaden Ameris London Be Stronger to your lovers
feat Max irons | Âge : 18 ans Date & Lieu de naissance : 14 Décembre▬USA ▬ Le Bronx Race : Humain Doué Statut : Trop naïf vis à vis de ce sentiment, tu n'arrives jamais à le comprendre, qu'il vienne de toi ou d'une autre personne. C'est pour ça que tu es un grand célibataire qui a fait tomber bien des coeurs /PAN/ Groupe : Innocent Don premier : Empathe Pouvoir premier : Lumière Divine
( Cours facultatif suivis : pour les élèves)
( Matière(s) enseignée : pour les professeur) ( métier : pour les humains innocents)
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« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... » Ton histoire ? Tu veux vraiment que je la raconte Jaden ? Tu en es sûr ? Parce qu’une fois commencé je n’arrêterai pas. Je continuerais, je raconterais tous tes malheurs et tous tes bonheurs. Je te cracherais dessus et j’aurais pitié de toi. Je serai ton amie et ton ennemie en même temps. Alors tu veux vraiment que je raconte Jaden ? Tu es sûr de vouloir montrer au monde entier qui est ce garçon du Bronx qui a parcouru le monde avec sa sœur ? Bien, alors… alea jacta est comme dirait César.
Chapitre I-I
Tu es né dans le Bronx. Tu es né dans un hôpital, pas dans un taxi, pas dans le vieil appartement pourri de tes parents, non dans un hôpital. Ton père a beaucoup dépensé pour cette naissance mais il dira toujours : « Tu en valais la peine ». Sûrement. Je ne pourrais jamais donner mon avis là-dessus, je préfère rester neutre. Enfin bref, quoiqu’il en soit tu es né. Des petits yeux que tu n’ouvrais pas encore, quelques cheveux sur le crâne et nus comme un verre tu as poussé ton premier cri le quatorze décembre 1995 à une heure du matin. On a annoncé que tu étais un garçon et on t’a déposé sur la poitrine de ta mère. Elle pleurait et ton père aussi. Tu ne t’en rappels pas Jaden, mais moi si. C’était le tableau le plus touchant au monde. Une lumière venait de s’allumer dans le monde, un nouveau fil venait se rajouter aux autres. Bref, tu étais né.
Pendant deux ans tu étais resté enfermé dans le minable appartement du Bronx. Ta mère souffrait chaque fois qu’elle devait aller travailler et tu étais gardé par une nourrisse à la peau de chocolat que tu aimais beaucoup. Vous riiez beaucoup ensemble. Et un jour ta mère t’a dit que tu aurais une petite sœur. Tu étais content. Même si ton cerveau n’était que celui d’un bébé de deux ans, tu avais réussi à sentir la joie de ta mère et celle-ci t’avait contaminé. Tu voulais voir cette petite sœur. Tu voulais la serrer dans tes bras et lui parler dans le langage codé des enfants. Et les neufs mois ont passé. Un jour la mère avait crié qu’elle arrivait. On t’avait déposé chez la nourrisse et tu avais regardé tes parents partir pour aller te chercher une petite sœur. Mais quelques heures après, ton père était revenu seul. Les yeux rouges de fatigues et de larmes. Il avait parlé avec la nourrisse et les mots « hémorragie » et « ils n’ont rien pu faire » avait plané dans l’air pour annoncé le départ de ta mère. Le bébé était né mais tu lui en voulais de t’avoir volé ta seule maman.
Ton enfance au Bronx était comme celle de tous les enfants. Tu recevais des coups mais ça t’endurcissait. Tu n’avais jamais réussi à pardonner à Bliss-ta sœur- le décès de ta mère. Tu savais qu’elle n’avait jamais voulu ça mais tu remettais ça sur son dos car il fallait bien un coupable. Ton père était tombé dans l’alcool et son nouveau statut de chômeur lui empêchait de subvenir à vos besoins. Heureusement, Chocolat, ta nourrisse, avait un cœur tendre et vous donnait un peu d’argent pour vous aider. Toi, tu étais devenu un petit garçon froid et renfermé sur toi-même. Tu détestais ton père et tu détestais ta sœur. Tu ne lui avais jamais grandement parlé. Sûrement qu’elle souffrait mais tu t’en moquais. Dans le Bronx, c’était chacun pour sa gueule.
C’était quand tu avais quatorze ans. Tu rentrais de l’école et sur le chemin tu avais vu une fille se faire agresser par des garçons. Tu avais regardé un long moment le groupe avant de t’en détourner. Moins tu t’en mêleras et mieux tu te porteras. Tes bleus de la veille te faisaient encore mal alors tu ne voulais pas te risquer pour une inconnue. Mais lorsqu’elle avait crié, lorsque tu avais entendu sa voix ton sang n’avait fait qu’un tour. Bliss. Certes tu la détestais mais elle restait ta sœur. Ni une ni deux tu as couru vers le groupe. Tu as ressenti leur colère et ça n’a fait qu’amplifier l’adrénaline dans tes veines. Tu te moquais du sang qui coulait sur ton visage, du coquart que tu auras, du bras cassé que tu porteras. Tu ne pouvais pas laisser Bliss seule. Mais c’était peine perdue. Deux contre six. Alors tu as finalement pris sa main et tu l’as attirée loin d’ici. Vous avez couru longtemps pour vous cacher dans une vieille bâtisse abandonnée. Après quelques heures d’attente, les garçons avaient cessé de vous suivre. Tu avais pris le visage de ta sœur dans tes mains et lui avait demandé d’une voix apeuré si ça allait. Tu as été rassuré quand elle t’a répondu par la positive. Tu l’avais ensuite prise dans tes bras en t’excusant d’avoir été un salaud et en lui promettant que jamais plus tu ne la laisserais dans ce genre de situation.
Ainsi tu l’adorais. Tu la consolais et tu la faisais rire. Tu restais toujours renfermé mais tu l’aidais. Tu n’étais plus froid avec elle. Et un soir, deux ans après, alors que vous rentriez à l’appartement, vous avez découvert votre père sur le sol dans une marre de sang. Une balle dans le cœur, une dans la tête. Tu n’as pas pleuré. Tu savais qu’il jouait au poker pour subvenir à vos besoins et sûrement qu’il n’avait pas payé ses dettes. Sans réfléchir tu étais parti dans la cuisine et avais soulevé un carrelage. Dessous tu avais trouvé tous les « trésors » de la famille. Tu avais attrapé un sac plein d’argent, mille dollars en liquide et deux photos avec et sans ta mère. Tu avais crié à Bliss d’aller chercher le strict minimum et tu l’as imité. Il n’aurait servi à rien de gaspiller l’argent après pour acheter des choses que vous avez déjà. Tu avais pris ta brosse à dents et quelques habits de rechange que tu avais mis dans un sac… ainsi que le flingue de secours que ton père cachait dans la commode de sa chambre. Et vous êtes sortis. Vous êtes partis. Vous n’avez pas appelez les flics car ça aurait été inutile. Les gens qui avaient tué ton père devaient être trop puissants pour que la police puisse faire quoique ce soit. Aussi vous ne deviez pas trainer car vous saviez qu’une dette se transmet de père en fils et qu’ils pourraient très bien aller vous demander quelque chose. Vous avez d’abord marché pendant longtemps, rapidement. Où alliez-vous ? Tu ne savais pas. Mais il fallait s’éloigner du Bronx. Vous avez alors pris une chambre dans un motel. Le réceptionniste vous aviez sûrement pris pour deux amants mais tu t’en moquais. Et puis ça pouvait être un avantage, si on lui demandait un frère et une sœur il aurait répondu par la négative. Tu avais laissé Bliss dormir dans la chambre et tu avais appelé un bon ami à toi. Il était venu rapidement à un point de rencontre non loin et il t’avait donné des conseils. Quitter la ville et se refaire. Mais tu étais déboussolé. Tu te sentais si seul maintenant que c’en devenait impossible. Et c’est ce jour-là qu’il t’a donné un sachet de coke. Tu en as sniffé une petite raille et tu allais mieux. Tu étais même reboosté pour partir. Deux heures après tu as réveillé Bliss et tu as volé une voiture. Vous deviez quitter l’Etat.
Pendant deux ans vous étiez des vagabonds. Tu n’avais jamais fini tes études mais tu laissais Bliss finir les siennes. Tu voulais qu’elle les termine, tu ne lui avais pas donné le choix. Vous restiez donc un trimestre dans une ville et vous repartiez. Comment gagnez-vous de l’argent ? Tu travaillais au début mais tes embaucheurs avaient remarqué ton statut de camé. Ils t’ont viré et tu n’avais rien dit à Bliss. La seule chose que vous aviez changé c’était que vous braquiez de petites épiceries pour gagner l’argent. Ce n’était jamais grand-chose mais c’était assez pour la semaine. Mais ça ne pouvait pas durer. Les autorités vous recherchez. Les études de Bliss devaient attendre. Vous aviez tenu deux ans ainsi et ça devait s’arrêter. Vous aviez pris deux billets allés simples pour l’Ecosse. Loin des Etats-Unis. Et quand vous y êtes arrivés, vous avez pris un appartement en ville. Et plus le temps passait et plus vous preniez conscience de vos … bizarreries. En un claquement de doigts tu arrivais à éteindre la lumière et la rallumer. Tu comprenais que toutes les fois où les gens te contaminaient de leurs sentiments étaient une autre étrangeté. Aussi vous aviez entendu parler du Mystery. Mais la situation de ces sorciers noirs ne te plaisait pas beaucoup. Certes ça t’importait peu, mais si ça dérapait vous ne seriez plus en sécurité ici. Fauchés et désespérés, vous êtes quand même restés ici.
« QUI-ES-TU ...? » Jaden. Jaden, c’est un homme fort déjà pour commencer. Il a toujours bien aimé le sport et surtout la course. Il court vite, oui, très vite. Mais il ne se vente pas trop de sa force. Il s’en moque un peu. Si les filles veulent baver sur son torse musclé lorsqu’il est torse nu c’est leur problème. Par contre, il déteste se regarder dans le miroir. Le physique pour lui est très peu important. Voir qu’il a des yeux bleus, des cheveux d’or toujours en batailles ou bien une barbe naissante, il s’en moque. Mais bon, comme tout homme qui respecte les autres, il tient à se raser une fois par semaine. Oui, la pilosité des London n’étant pas très forte il n’a pas à s’en préoccuper. Ainsi donc il ne regarde même pas ses habits avant de sortir. On pourrait dire qu’il est maladroit sauf que ce serait un tort. Jaden est tout sauf maladroit. Intelligent et calculateur il sait toujours ce qu’il fait sauf… Bon, c’est vrai, il y avait eu cette fille au lycée. Elle était belle. Magnifique. Etait-il amoureux ? Il ne saurait le dire. Comment sait-on qu’on est amoureux de quelqu’un ? Le jour où on se sent fondre quand les regards se croisent ou bien quand le cœur se détruit en la voyant embrasser un autre ? Les deux sûrement. Certes il avouera qu’il avait été amoureux à cette époque là mais il prend ça comme une leçon qui lui commande de ne plus jamais retomber dans ce trou sans fond. Et peut-être est-ce aussi pour se venger qu’il aime bien manipuler les filles, les séduisants, jouant l’homme faible et touchant, couchant avec elles pour après s’enfuir le lendemain aux aurores. Mais étaient-ce vraiment les points importants pour qualifier Jaden ? Non. Il y en a un. Un que je vais vous révéler et qu’il ne faudra répéter à personne. Sa sœur elle-même n’est pas au courant de cette tare. Laquelle est-ce me demandez-vous impatients ? La coke. Une raille un snif et tout va mieux. Il y a gouté il y a deux ans après la mort de son père sous les conseils d’un ami qui le voyait déprimer et quand on entre là-dedans on n’en sort jamais. Les doses sont légères, non pas pour faire une overdose, mais parce qu’il ne veut pas qu’elle le sache. Sa sœur… Bliss. Il y tient tellement qu’il pourrait arrêter pour elle, mais c’est si difficile. Pendant un moment il avait essayé mais Dieu que c’est compliqué ! Alors il a fini par se dire qu’il allait réduire les doses, cacher les sachets pour que jamais elle ne les trouve.
MORE?
Surnom-Surnom Âge : 16.5 Poste Vacants ? : []oui [X]non Comment avez-vous connu le forum? : Top site Fréquence de venue : 1/7 >< Codes : Ok by Mymy Autre : Oui, je ne sais pas si vous en avez un mais j'aurais grandement besoin d'un parrain ou marraine pour m'aider à commencer dans le forum s'il vous plait ><
Dernière édition par Jaden London le Mar 3 Sep 2013 - 12:31, édité 3 fois |
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MESSAGES : 621 DATE D'INSCRIPTION : 03/12/2010
Niveau du personnage Point RP: (142/200) Point Membre: (124/200) Niveau: 7 - ConfirméeAnja L. von Duisbourg Admin | Cheffe de Rosenrot ♛ | Sujet: Re: Jaden London ▬ I'll protect you {OK} Mer 4 Sep 2013 - 0:14 | |
| Alors, à part quelques fautes de français (par exemple quand tu dis "Les autorités vous recherchez.", il faut accorder avec les autorités et du coup c'est "recherchaient"), mais on en fait tous et moi la première, ça me semble assez correct. T'as pas séparé la description physique et mentale, mais comme il y a largement assez de lignes pour les deux... On va dire que c'est tout bon =) Je te valide donc sur le champ et tu peux commencer à rp ! _________________« Oiseau moribond, elle est plus proche de l'envol que je ne l'ai jamais été et j'ai mal. Déchirure. » « Pis donner à bouffer à des pigeons idiots Leur filer des coups d’ pieds pour de faux Et entendre ton rire qui lézarde les murs Qui sait surtout guérir mes blessures » - Do you know how to fight ? - And you, do you know how to die ? |
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