feat Brenda Song

Âge :15 ans Date & Lieu de naissance : 25 décembre à Humei (Chine) Race : Humain doué Statut : Célibataire Groupe : Esclave Don premier : Empathie Pouvoir premier : Elementaliste Terre ( Cours facultatif suivis : pour les élèves) ( Matière(s) enseignée : pour les professeur) ( métier : pour les humains innocents)

● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées.

Noir, le ciel est noir
La lune n'est plus
Les ténèbres sont là

Je me réveille en suffoquant. Cherchant avec le plus petit espoir une lumière. Espoir que je caresse depuis maintenant beaucoup de temps. Trop de temps. J'essaye de m'habituer aux ténèbres encore une fois. Mais c'est impossible. Je n'arrive plus à voir. Tout autour de moi est sombre. Pourtant, je ne suis pas seule. Je le sens. Les sentiments sont fort ici. Sentiment détestable, j'entoure mes jambes de mes bras. C'est concret mes jambes. Tout comme le mur contre mon dos, la terre froide sous mes fesses. Je sais que cela existe. Cela me permet de ne pas devenir folle plongée dans le noir depuis tout ce temps. J'existe. Je ne suis pas morte. Je mange ce qu'on me donne. Je souffre. Je ressent la souffrance. Juste elle. Seulement elle. Celle qui est si forte en ces lieux. La plus difficile à supporter. Celle qui me donne des cauchemars, m'empêche de dormir totalement. Celle qui me réveille en sursaut. Qui me fait chercher la lumière...

Les larmes aussi je les sens. Elles coulent sur mes joues. J'essaye de me souvenir des jours heureux. De faire abstraction à cette souffrance. Mais cela fait encore plus mal. Pourtant, je m'y oblige. C'est une question de survit. Je ne sais même pas comment j'ai fais pour rester encore en vie après autant de temps. Dans ces conditions. Je soupire. J'ai envie de sortir d'ici. Je veux vivre. J'en ai marre de survivre. Je n'en peux plus de rester dans le noir. Pourquoi il n'y a jamais de lumière ici ? Et s'il m'avait enlevé le sens de la vue ? Et si j'étais vraiment aveugle ? Cela me fait peur ; Je ne veux pas vivre dans les ténèbres plus longtemps. Laissez-moi revoir le jour. Revoir le soleil. La lune. N'importe quelle source de lumière. Je vous en supplie. Je ne voulais pas.

Je n'ai jamais voulu être une humaine doué. Je n'ai jamais demandé à être envoyé à Mystery Orphanage. Alors laissez-moi tranquille ! Cela fait fait si longtemps que je suis ici ; enchaînée comme un chien. Parce que elle aussi je la ressent. Comme pour me rappeler que je ne suis pas seulement enfermé dans l’absence de lumière la plus totale. Non. Je suis prisonnière aussi. Prisonnière depuis l'attaque. Cela fait combien de temps maintenant ? Je n'ai aucun repère. Le jours, la nuit... quelle différence lorsqu'on est toujours dans le noir ?

Heureusement que je suis à même la terre. Comment aurais-je survécu sans cette proximité ? Je suis épuisée par les sentiments, par le peu de nourriture. Je ne peux plus faire de la magie depuis quelques temps maintenant. C'est devenu trop difficile en étant dans cet état physique. Trop dur. Cela demande trop d'énergie. Je fais sûrement peine à voir. La terre me permet de ne pas tombé dans la folie. Les souvenirs aussi. Puisque la lumière je ne peux la voir qu'ainsi. En regardant toujours et encore mes souvenirs. Me replonger dans ma vie quand... Quand elle ressemblait à une vraie vie.

Les souvenirs sont beau
Ils poussent avec le temps
Et restent éternellement

Humei. Petite ville sans soucis n'es-ce pas ? Une ville qui n'aime pas les filles. Parce qu'avoir une fille, c'est de l'argent perdu. Une dote à payer. Et puis, une fille quand on ne peux avoir qu'un seul enfant, c'est la disparition du patrimoine paternel. Une fille, et notre nom n'est plus. Il ne fait pas bon vivre en chine quand on est d'une famille pauvre. Alors imaginez quand on est une fille aussi. Je sais parfaitement que c'est pour cela que mes parents m'ont emmenés à l'orphelinat à ma naissance. En fait, on le savait toute. Parce que c'était logique. Parce qu'on était de celle qui sont de trop. Mais, la plupart des filles partent vers leurs vingt ans. Elles partent parce qu'ils veulent des femmes les nouveaux hommes. Voilà ce qu'on est en chine, nous les filles en trop. Nous sommes des objets qu'on donne quand on en veux pas et qu'on achète quand on en a l'utilité... Mais je n'ai pas eu à vivre cela. Parce que très vite, je fût transféré dans un autre orphelinat. En Écosse.

J'ai réussie à vivre bien là-bas. Tout le monde était sympathique. Et puis , après la barrière de langue passée, je me suis fait des amies. J'ai toujours été intuitive, depuis toujours je croie. Toujours à savoir quand une personne est digne de confiance, si elle ment, si elle est heureuse, triste. Si elle à mal... C'est le pire la souffrance. Ressentir tout au plus profond de nous même et ne rien pouvoir faire. Cela m'est insupportable. Avant, en chine, j'étais celle qui consoler tout le monde. J'avais une attitude de maman malgré mon jeune âge. Mais c'est une chose qu'on ne contrôle pas. Alors à l’orphelinat d’Écosse, c'est la même chose. Mais la souffrance est dix fois pire. C'est pour cela, que je restais à l'écart, mine de rien.

Pourtant, je regardais tout. J’immortalisais tout les moments possible et inimaginable. Mon meilleur ami autour du cou, cela n'était pas bizarre de me voir déambuler dans les couloir, mitraillant tout le monde. Tout le temps, toujours. Prendre des photos quand les protagonistes (volontaire ou non) ressentait l'émotion la plus forte. Essayer de transposer ce que je savait, naturellement en une photo. Au début ce n'était pas fameux. Mais au fur et à mesure j'ai pris un peu d'assurance. Et je réussissais la plupart des clicher. Ou du moins capturer l'expression précise que je voulais.

A la longue, les élèves se sont habitués à moi, et ma manie assez particulière. Ils commençaient même à vouloir que je leurs copies certains de mes clichés. Ce que je faisais avec plaisir du reste. Mais, a part cela, je ne me mélangeais pas trop aux autres. Appréciant la lecture seule, dehors, la plupart du temps près d'un arbre. Oh ! Ne croyait pas que j'étais une ermite non plus. J'avais des amis cher à mes yeux. J'aimais rigolé, m’amusai, apprendre à faire de nouvelles choses. Et puis, mes professeurs étaient sympathique aussi.

Bon, cela ne change pas que je n'étais pas la plus douée pour certaine matière. Les sport de combats ? Jamais ! Les sensations, sentiments des autres étaient trop violente pour moi. Je fuyais les dojo comme la peste. Les langues ? Hum... Bah, je n'étais pas la meilleure mais assez doué quand même. Après tout, le chinois est l'une des langues les plus compliqué du monde, donc ce n'est pas de l'anglais qui allais me faire peur. Mais cela ne m’intéressai pas. La cuisine, la couture, la photographie ! Voilà ce que j'adorais. Créer des choses, écouter les aliments cuire, ma faire quelques vêtements. C'était magnifique cette époque. Et puis, mine rien, la cuisine est un enseignement proche de la terre.

Gaïa déesse de la vie
Terre aimante, nourricière
Vert, couleur d'Espoir

[A FINIR ]

● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées.

Avant, tu étais bien dans ta vie Chin. Toujours souriante, un appareil photos autour de ton cou. Une envie de toujours faire bien les choses. Et puis, tu étais toujours à l'écoute des autres. A cause de ton pouvoir certes, mais aussi par conviction. Parce que tout le monde à une part de gentillesse n'est-ce pas ce dont tu étais persuadé avant ? Tu ne supportais pas la souffrance des autres. Enfin, c'est encore la cas aujourd'hui non ?

Chin, tu est devenue si triste maintenant. C'est détestable. Regarde toi ! Avant tu était une vrai tornade. Loyale, heureuse de vivre. Tu avais plusieurs amies. Pas la plus populaire de toutes, pas la plus apprécié des garçon non plus, mais celle qu'on viens voir quand on a un problème. Celle qui est rêveuse, pleine d'imagination. Toujours plongée dans un livre aussi. Des histoires à l'eau de rose souvent. Parce que tu croie en l'amour n'est-ce pas ? Tu adores même l'Amour.

Mais comment es-tu maintenant ? Après tant de temps, juste entouré de souffrence, toi qui ne peux la supporté. Dans les ténèbres. Tu ne souris plus déjà, tu baisses les yeux craintive. Tu ne veux pas retourné dans le noir n'es-ce pas ? C'est pour cela que tu fait tout pour avoir le pouvoir d'apollon ? Pour ne plus connaître les ténèbres ?

Courage Chin, tu as toujours été courageuse avant, ne laisse pas tombé. Tout ira bien je te le promet. Essaie de retrouver la joie de vivre.

● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées.

La photos qu'on leurs avait donnée montrait une asiatique pleine de vie. Pourtant, quand ils l'ont vu pour la première fois, cela n’était plus à l’ordre du jour. Comment pouvait-ils la décrire ? Un sac d'os ? Non quand même pas. Certes elle était maigre, mais pas anorexique non plus. Et puis comme cela, elle paraissait plus âgée, cela n'est pas pour leurs déplaire. Comme ses yeux,par ailleurs, de grand yeux noir qui les enveloppes quand elle ne les gardent pas fermé à cause de la lumière. Oui, son visage est pas mal. Ses lèvres sont fine. Et ses cheveux... Bon, ils sont emmêlés, terne et pas propre, mais cela est pas inchangeable. Ils savent déjà qu'ils lui laisseront ses cheveux long intacte. Une cascade de jais qui lui descends jusqu'au reins.

Que dire sur son corps ? Ils la prennent, la manipule pour l'examiné. La peau blanche comme le talc. Assez petite pour son âge. Maigre, toujours, mais cela s'explique surtout par l'absence de nourriture. Quand ils redemandent son âge ils sont surprit. Quinze ans ? Elle a l'apparence d'une femme de dix-huit ans, et cela malgré son absence totale de forme. Elle leurs plaît. Ils la prennent. Elle est vendue. Elle est maintenant leurs esclave.