EMPLOIS/LOISIRS : Faire caca LOCALISATION : A coté de Cormag. Ou du moins pas très très loin. CITATION DU PERSONNAGE : Seul les poissons morts vont dans le sens du courant.
MESSAGES : 283 DATE D'INSCRIPTION : 17/05/2017
Niveau du personnage Point RP: (68/100) Point Membre: (49/100) Niveau: 9 - MageElizabeth M. Porter Vice présidente des QG Allemagne et Danemark | Femme dévouée de Cormag | Sujet: Elizabeth qui se la pète {OK} Mer 17 Mai 2017 - 22:41 | |
| Welcome to Mystery...Elizabeth Mary Porter Seuls les poissons morts vont dans le sens du courant.
feat Lara Pulver | Âge :54 Date & Lieu de naissance :15 Septembre 1962 à Londres Race :Sorcière Statut :Mariée Groupe :Orphéo Don premier :Localisateur Pouvoir premier :Métamorphe Humain ( Cours facultatif suivis : pour les élèves) ( Matière(s) enseignée : pour les professeur) ( métier : pour les humains innocents)
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« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées. Elizabeth Mary Porter. Née de Adelaïde Antoinette Johns et d’Arthur Mickael Porter le matin froid du 15 septembre 1962. Un jour où l’été avait disparut derrière les nuages. Sûrement pour cela que les gens pensent qu’elle est aussi froide qu’eux. Enfant, elle aimait tirer les cheveux de ses amies filles et voler les jouets des autres enfants. Elle aimait les voir pleurer et implorer de leur rendre. Ca n’a pas duré, ses parents l’ont envoyée dans un pensionnat au plus profond de l’Angleterre ou elle appris à être une élève parfaite, un pantin. Elle fut donc modelée à l’image de la petite fille idéale. Elle n’aimait pas cette vie mais elle se prit facilement au jeu. Ils pensaient l’avoir appris à être comme ils désiraient qu’elle soit. Cela ne fit que renforcer son envie de partir.
Elle apprit que ses parents étaient morts un jour de printemps. Elle se souvient bien de ce jour. Ils étaient en train de manger un de ces ragoûts au goût acre de terre et de suie, quand un grand homme vêtu de noir entra. Il demanda à parler à la directrice, et quelques minutes plus tard, Elizabeth était appelée à son bureau. « -Tes parents sont morts, je suis désolée. » Sur le moment elle n’eut pas conscience de ces mots. Elle ne pu répondre qu’un « D’accord. ». Un sale réflexe. Elle le disait souvent, pour faire croire aux grandes personnes qu’elle avait compris tout en pensant à autre chose. La directrice sortie du bureau et retournât dans la salle à manger. Le grand monsieur prit la parole. Il lui expliqua alors que sa maison avait brûlé, attaquée par des sorciers noirs et que ses parents avaient périt tous les deux. Ils n’avaient malheureusement pas retrouvé les corps. Qu’importe ? De toute façon, ils étaient morts. Ce ne fut que le soir, dans les dortoirs, qu’elle réalisa ce qu’il venait de se passer. Elle pleura toute la nuit. Elle n’avait que 17 ans. Et ce soir là, elle prit sa première grande décision : tuer tous ces salauds.
Quelques années après elle poursuivit ses études à Londres et après avoir passé un diplôme, vers ses 25 ans, elle entra à Orphéo. Ses capacités magiques n’étaient pas extraordinaires mais elle savait qu’elles lui seraient utiles un jour. Elle se mit alors à la conquête des plus hauts postes de l’institution en sachant qu’elle ne s’arrêtera que lorsque son bras serait assez long pour pouvoir faire ce dont elle avait envie. Elle eut vent assez vite d’un mouvement particulier au sein même d’Orphéo. On les nommait les Conservateurs, et leurs idéaux l’envoûtèrent aussitôt qu’elle eut entendu le premier de leurs discours. Ils pensaient comme elle! Elle entra dans le parti le lendemain. Sa vie à ce moment là, était comme elle l’avait imaginée. La nature l’avait dotée d’une beauté particulière, et plusieurs hommes du parti (et même d’autres hommes) lui firent la cour. Elle sortit avec plusieurs d’entre eux. Pour elle ce n’était que de l’amusement, elle ne cherchait pas de relation sérieuse ni d’amant permanent. Cela lui donnait un sentiment de satisfaction immense quand un homme tombait à ses genoux, et quand il devenait trop fade elle lui faisait comprendre qu’elle n’était pas prête pour une relation comme celle qu’il attendait, et elle partait. Le blabla habituel, un discours simple mais efficace. Un jour, elle fut appelée pour travailler en Allemagne. C’est là bas qu’elle le rencontra pour la première fois. Jusqu'à présent, tous les hommes détournaient le regard pour la fixer ; pas lui. Il était si droit, si dur, si froid, si… inaccessible. Il ne lui adressait la parole que pour lui dire deux trois mots maximum. Lui était la montagne, elle la fourmi. C’est sûrement pour cela qu’il lui donnait envie plus que les autres. Qu’importe la hauteur de la montagne, la fourmi qu’elle était parviendrait un jour à en gravir le sommet. Et ça, c’était la deuxième décision qu’elle prit dans sa vie. Il s’appelle Cormag Duncan Scrimgeour, et était l’un des hommes les plus influent de l'époque. Chef du parti des Conservateurs et dirigeant du pôle Orphéo Allemagne, il avait une prestance glaciale et une capacité de nous envoûter lors de ses discours. Sans aucun doute c’était le meilleur orateur qu’Elizabeth n’avait jamais entendu. Ce n’est que lors d’un gala que ce géant de pierre lui parla pour la première fois. Une fois la musique lancée par le petit orchestre, elle se glissa parmi les invités et parti à sa recherche. Il se trouvait près de la piste de danse, sur son 31, tel un astre de métal incandescent à des milliers de kilomètres de la Terre. Il n’avait pas son égal. Il parlait avec un homme en smoking fade qui semblait être une personne importante. En tout cas Elizabeth ne l’avait encore jamais vu. Celui-ci semblait en vouloir à Cormag et donnait l’impression de lui crier dessus, et la dame qui accompagnait l’homme au smoking le prit par le bras et l’emmena danser, sans doute agacée du comportement de son époux (si ça l’était). Elizabeth s’approcha de Cormag et une fois à côté lui dit : -Il avait l’air contrarié. Cormag ne répondit rien. -]Vous ne dansez pas ? Demanda Elizabeth. -Non. -Et pourquoi ? Si je puis me permettre. -Généralement on évite de danser avec moi. -Je vois. Elizabeth posa son verre. -Vous venez ? Elle lui prit le bras et l’emmena sur la piste de danse. Il ne laissa paraître aucune émotion, il dansa avec elle et c’est tout. A la fin de la musique, elle se détacha de lui et affirma : -Vous n’êtes pas si mauvais que cela finalement ! Il faudrait juste améliorer l’approche, qu’elle soit disons… un peu moins glaciale. Et je pense que toutes les femmes ici seraient charmées de danser avec vous ! Sur ce, je vous souhaite une bonne soirée il faut que j’y aille. Elle se tourna et quand elle s’apprêta à partir, Cormag demanda : -Quel est votre nom ? -Elizabeth Porter. »
Ils mirent quelques temps à se revoir, encore une fois lors d’une autre fête. Cette fois-ci, elle réussit à le faire sourire. Elizabeth avait engagé une discussion sans grand intérêt qui visait surtout les grands sujets que traitaient Orphéo en ce moment. « -Vous êtes dans ma section au QG ? Demanda Cormag. -Je vous rappelle que je travaille avec vous depuis bientôt un an. - Un an ? -Oui, je suis celle qui vous remplis les dossiers sur les activités économiques et magiques et que vous prenez sans même me remercier pour signer d’un air indiffèrent. Vous ne vous êtes jamais demandé comment ces papiers arrivaient entre vos mains ? Non en fait vous ne vous le demandez jamais… Elizabeth se mit à sourire en coin. Au fond ça l’amusait. Elle aimait jouer. Et ce jeu lui plaisait particulièrement. Après un silence elle dit : -Nous devrions fêter ça. -Fêter quoi ? -Ma première année au QG Allemand voyons ! J’adore le café, et vous ?» Le lendemain, ils allèrent dans un petit bistro près du QG. La semaine qui suivit, elle l’invita pour déjeuner. Le jeu dura un certain temps. Jusqu'à ce qu’ils fussent proches. Elle remarqua qu’ils avaient plus en commun qu’elle ne le pensait, ils partageaient la même vision du monde idéal. Au final, serait-ce le destin qui lui plaça cet homme sur son chemin ? Qu’importe, elle commençait à croire qu’ils étaient faits pour être l’un près de l’autre. Même si il ne l’aimerait sûrement jamais, elle désirait rester auprès de lui pour toujours. Son rêve était devenu le sien, elle le soutenait de tout son être, et Cormag comprit qu’elle était une alliée de choix. Rien ne lui faisait peur. Elle l’aida alors dans son travail, remplissant des taches plus ou moins faciles, utilisant son pouvoir de Métamorphe Humain pour dénicher les informations. Elle réussit à rentrer grâce à lui dans le conseil d’Orphéo. Jusqu'à devenir son adjointe personnelle. Mais Elizabeth remarqua très vite qu’elle l’aimait. Or, lui ne l’aimait pas. Un soir d’hiver, il l’invita dans un restaurant réputé, très charmant et beaucoup plus intime que ceux où ils se retrouvaient en temps normal. Ce soir là, elle ne fut pas aussi joviale qu’à son habitude. A la fin du dîner, il l’a raccompagna jusqu'à chez elle. « -Qu’avez vous ? Elizabeth fut surprise, Cormag venait de parler avec une douceur à laquelle elle n’était pas habituée. A ce moment là elle hésitait à tout lui dire. -Je… Elle inspira. -Écoutez… Vous savez que j’ai un énorme respect pour vous et que je ferais n’importe quoi pour vous aider. Vous êtes quelqu’un de bien, je le pense sincèrement, pour moi vous méritez d’être notre leader. Mais… pendant un temps j’avais espéré que vous soyiez plus que tout cela pour moi. Cormag ne dit rien. Elizabeth se sentit étrangement mal, mais elle continua : -Et je me rends compte que vous ne partagez pas cet avis. Mais je ne vous en veux pas ! Quoi qu’il en soit je vous soutiendrai toujours, ça je le sais. Cormag restait silencieux et continuait de la regarder dans les yeux. Son regard devint plus insistant. Elizabeth détourna ses yeux, elle ne pouvait supporter d’avantage son regard. -Je ne vous l’ai jamais dit mais, je préfère vos cheveux détachés. Elle n’en cru pas ses oreilles. En relevant la tête elle le vit sourire. Il soupira. -Je n’ai jamais vraiment été doué pour dire ce que je ressentais, mais je n’en pense pas moins pour vous que vous à mon égard. Prenez ceci comme une promesse, que peut-être un jour, votre souhait sera le mien. » Il lui déposa un baiser sur la joue, et s’en alla, remettant son couvre chef en place, la laissant sur le pas de la porte sous la neige qui tombait timidement. Elle s’était demandée plus tard si il aurait fallut qu’elle le rattrape. Mais si elle avait eu l’idée à ce moment précis, elle n’aurait jamais eu la force.
Il l’a demanda en mariage comme on demande à une amie si elle préfère son café sucré ou non. Elle était assise près de la fenêtre et ils étaient restés silencieux pendant une heure. Son explication résumait d’un temps de réflexion intense. -Je sais que ce n’est sûrement pas la demande dont vous rêviez mais, j’y ai réfléchis et je pense que c’est une bonne chose. Elle ne dit rien. Elle semblait réfléchir. Oui, ce mariage lui apporterai beaucoup. -Je n’éprouve pas encore tout ce que vous éprouvez pour moi, mais à nous deux nous pouvons y arriver. Vous êtes mon alliée ; même plus, mon amie et sans vous, ce sera plus difficile. Il marqua une pause. C’était à elle de rester silencieuse et froide. -Elizabeth, j’ai besoin de vous. Elle sourit. De son sourire en coin, fier, déterminé. Il était à elle. Elle se détacha de la fenêtre et répondit : -J’accepte.
Ils se marièrent dans l’année. Formant un couple presque indestructible, elle vivait pour voir un jour le rêve de son époux devenir réalité, car il représentait tous ses espoirs, toutes ses prières. Il était devenu son tout, et elle espérait un jour qu’il puisse ressentir ce qu’elle éprouvait pour lui.
« QUI-ES-TU ...? »● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées. Elizabeth Mary Porter est une femme qui aspire à une vie simple mais néanmoins parfaite. Elle ne veut en aucun cas se compliquer la vie et ses décisions sont généralement vite prises. Elle aime son époux, mais n’est en aucun cas dépendante de lui. Elle le soutient dans tout ce qu’il fait, et remplit des taches parfois difficiles et salissantes. Elle reste libre arbitre et seule cheffe de son jugement. Elle est en toutes circonstances souriante, même si son visage reflète une beauté froide, dure. Elle est ambitieuse et ne s’arrête jamais avant d’avoir obtenu ce qu’elle voulait et généralement, elle l'obtient toujours, ce qui fait d’elle une redoutable prédatrice. Même si elle n’a pas de capacités extraordinaires en magie, elle reste néanmoins sure d’elle et sait utiliser son savoir, son expérience et ses intuitions pour trouver des solutions. Ce qu'elle adore le plus ? Manger une glace à la vanille sur la table d'un café tout en savourant le soleil d'été sur ses épaules.
● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées. Elizabeth mesure environ 1m 60 et a un physique avantageux. Sa peau est pâle, presque blanche. Ses lèvres sont fines et rouges, ses yeux bleus clairs, ses cheveux bruns, long jusqu'à la poitrine. Elle s’habille de manière très propre, en règle générale tailleurs et autres habits de bureau, relevant constamment ses cheveux pour libérer sa nuque.Elle ne se maquille pas forcement, ou reste dans la tendance ‘nude’ (sauf cas où elle sort le grand jeu style œil de biche), mais par contre, elle adore les rouges à lèvres.
MORE?
Le Yack Âge :19 Poste Vacants ? : []oui [x]non Comment avez-vous connu le forum? : Remercier Mike Fréquence de venue : 7/7 Codes : Ok by Mickey
Dernière édition par Elizabeth M. Porter le Jeu 18 Mai 2017 - 16:54, édité 11 fois |
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EMPLOIS/LOISIRS : Baiser June ♥ LOCALISATION : DTC CITATION DU PERSONNAGE : Trash ta life, ce soir je meurs et pas toi
MESSAGES : 2695 DATE D'INSCRIPTION : 18/03/2012
Niveau du personnage Point RP: (256/200) Point Membre: (320/200) Niveau: 7 - ConfirméMikeal O'Callaghan Admin | Roi du monde | Espion et sorcier noir pour Rosenrot | Sujet: Re: Elizabeth qui se la pète {OK} Jeu 18 Mai 2017 - 17:20 | |
| VALIDEE _________________My life for Anja My love for June I'm just a kid
With fuckin' demons inside- June:
Color: indianred - Surprise:
Mike roule une pelle à Invité |
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