EMPLOIS/LOISIRS : Propriétaire d'un ranch LOCALISATION : Oklahoma CITATION DU PERSONNAGE : Oh, regarde ! Un Ornitho-piccolo-elatybus à gorge dorée ! Ça, ça fait un malheur aux mots croisés. Qu'est-ce que je m’amuse !
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Sujet: Lions VS Jets Lun 9 Oct 2017 - 22:52
Billie était restée enfermée toute la journée. Elle avait peu dormis et avait à peine mangé. Elle réfléchissait à sa rencontre future avec John, comment ça pourrait se passer, où est ce que ça pourrait se faire, quand, et surtout qu'est ce qu'elle pourrait bien lui dire. On était mercredi, c'était son soir de congé, elle n'avait rien prévu ni rien organisé, sa seule activité était de lire ou de dormir lorsqu'elle ne travaillait pas. Que faisait les gens ordinaires quand ça n'allait pas bien dans leur vie ? Quand il n'avait rien à faire ? Elle se posa devant sa fenêtre. Elle était côté cours, et avait le droit à l'escalier de secours ce qui lui permettait d'avoir un petit balcon personnel, elle avait déposé des plants de potirons, et espérait qu'avec le peu de terre qu'elle avait dans le pot, la plante survirerai et donnera des fruits.... mais à part la vision de ses feuilles verte frétillant aux courants d'air, elle n'avait rien à faire d'autre. Son regard se perdit sur la façade de l'immeuble voisin. Une de ses voisines était en train de faire son lit dans sa chambre aux couleurs rosées, un autre devait certainement préparer un excellent repas vu le nombre de plat qu'il mettait au fur et à mesure sur sa table, un jeune couple lui buvait un peu de vin rouge dans de grand verre de vin... du vin rouge... était-ce bon ? Billie eu la salive qui envahit sa bouche. Ca lui donnait envie. Elle se souvint que son oncle buvait une bière quand ça n'allait pas bien, et fumait une cigarette. Billie n'avait jamais fumée de cigarette, elle avait tenté un jour, quand son oncle avait laissé traîné la sienne mais celui-ci était arrivé juste à temps pour la lui retirer du bec et la regarder d'un œil noir un disant : c'est de la merde, n'en prend jamais. Mais pourquoi lui aurait le droit d'en prendre et pas Billie ? Certes elle était malade facilement mais... cela ne lui fera rien juste une fois ? Et puis Ca se trouve, la cigarette ne lui fera rien de plus, après tout elle était déjà mal en point alors... Nan, elle retira cette idée de la tête. Par contre... l'alcool, était-ce si bon que Ca ? Et cela faisait-il autant de bien que ce qu'on disait dessus ? Billie n'en savait rien, elle n'avais bu que quelques bières dans sa vie. Autant vous dire que c'était totalement insignifiant et que Ca ne lui avait pas servir à grand chose, Ca ne pouvait même pas répondre à sa question. Billie n'avait pas remarquée qu'elle fixait l'étage de ses voisins depuis plusieurs minutes, et que ceux-ci étaient partis sans qu'elle s'en rende compte. Il fallait qu'elle sorte elle aussi, qu'elle se change les idées, qu'elle oubli Monsieur Charles, comme lui m'avait oublié. Apres tout, qu'allait elle s'imaginer ? Un homme aussi... parfait ne pourrait jamais être... enfin.. Elle souffla, cD qui forma une zone de bide sur sa fenêtre de salon. Il fallait qu'elle oublie et qu'elle vive. Elle se leva et pris son manteau, ainsi qu'une écharpe et un bonnet. Elle ne s'était pas lavée ni brossée les cheveux, elle n'avait pas changé ses affaires pour enfiler une tenue adéquat, elle prit juste son sac à main, ses clés, son téléphone et deux trois tickets de bus, au cas où. Elle sortie de l'immeuble et pris directement le chemin du travail, elle savait qu'il y avait des bars dans ce quartier la du Queens, mais elle n'avait pas encore décidé lequel elle irai visiter. Plus loin, elle passa devant un premier bar où zonaient plusieurs hommes d'âges déjà avancé qui fixaient Billie avec une comme une envie de se jeter sur elle pour la dévorer. Elle n'avait jamais encore été confrontée à ce genre de regards auparavant. Elle décida de partir de cet endroit au au plus vite et tenter sa chance ailleurs. Elle entendit de la musique au loin et se dirigea vers elle tout en oubliant le chemin qu'elle venait de prendre. Elle arriva au carrefour d'une rue déjà beaucoup plus animée et éclairée de plusieurs néons de couleurs différente. Celle la ne ressemblait pas à sa rue à elle, ou ne se trouvaient que magasin de meubles ou épicerie qui fermaient à partir de 18h30. Et qui n'était ouverts qu'un jour sur deux. Non, Billie fut attirée par cette rue vivante et qui sentait la joie de vivre à plein nez, cela changeait de tout ce qu'elle avait connu auparavant et elle appréciait ces nouvelles choses. Elle entra dans l'un des bars dansant et commanda une bière, puis, une fois la boisson servie, elle s'installa sur une banquette et admira la foule de personne qui dansait sur des musiques assez enivrantes. Billie prit une gorgée, c'était pas trop mal, elle avait prit quoi ? Une blonde ? Qu'importe, elle la trouvait bonne. Elle resta un instant seule à admirer tout autour d'elle, jusqu'à ce qu'un groupe de jeune l'incite à laisser sa place afin qu'ils puissent être tous réunis. Billie accepta volontiers, et essaya de se dénicher une autre place, un peu plus loin, mais elle ne trouva qu'un tabouret vide au niveau du bar, entre un couple qui s'embrassait un peu trop passionnément et un homme qui semblait beaucoup trop seul. Elle s'installa, sourit négligemment à l'homme seul puis commanda une autre bière. Apres plusieurs gorgées elle remarqua que la télé était allumée et qu'il y avait un match de football américain en replay, les Lions contre les Jets. Elle préférait les Jets, ils avaient eu une meilleure saison que les Lions et eux au moins n'avaient pas perdu de joueur, ce qui leur laissait un avantage, mais après, les connaissant, et surtout depuis leur défaite contre les Buffalo alors qu'ils avaient toutes les chances de leur côtés, tout pouvait arriver avec cette équipe. Billie posa sa tête sur sa main et regarda le match. Décidément, elle s'adaptait très bien à sa nouvelle vie, elle buvait une bière dans le Queens et regardait un match de football dans un bar. Elle ne s'en rendait pas compte mais l'alcool lui montait à la tête un peu trop rapidement. Ainsi, elle commença à avoir la sensation que tout allait super bien. Elle jeta un coup d'œil à l'homme tout seul, qui lui semblait s'ennuyer à mourir. Fallait-il qu'elle lance la conversation ? Elle savait pas trop en fait, mais elle en avait envie. Il était plutôt mignon et quand on s'intéresse à quelqu'un, c'est ce qu'on fait non ? On va parler à la personne concernée. Enfin, elle pensait que.. nan mais à cette heure là et avec ce qu'elle a bu, il aurait mieux fallut qu'elle arrête de penser.... elle finit cul sec sa deuxième peinte et se tourna vers l'homme.
-Hi !
Sa voix s'était à moitié cassée. Elle perdait son assurance aussi vite qu'elle l'avait gagné.... L'homme se tourna et la fixa avec un regard noir. Billie ferma la bouche et sourit, gênée.
-Pardon je ne voulais pas... vous déranger....
Elle se retourna et fit mine de rien, en espérant que l'homme n'allait pas lui sauter dessus ou... nan, là, son imagination partait trop loin. Beaucoup, beaucoup trop loin. Mais par contre, il était vraiment beau...
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Sujet: Re: Lions VS Jets Mar 10 Oct 2017 - 1:14
Fuir. Je voulais fuir. Absolument.
Inlassablement, tel un gros putain de masochiste, je retournais à Hambourg. J'espérais quoi ? J'en savais rien. Qu'elle revienne, comme ça ? Comme une jolie fleur en disant « ah en fait, c'était une blague ! » quoique se serait bien son genre.
Salope.
L'appartement avait déjà été reloué. Ca ne m'empêchait pas de m'infiltrer. Forcer une serrure, c'était si facile. Sans laisser de trace. Et je regardais cet appartement. Qui ne ressemblait à plus rien que j'avais connu. Une autre vie s'était emparée des lieux.
Partie. Elle était partie. Fallait bien que je me fasse une raison, non ?
Evidemment, à Rosenrot personne n'était au courant de ma situation. J'étais juste plus … Ronchon qu'à l'ordinaire. Mettant un masque de conneries uniquement quand j'étais en compagnie. Mais je préférais m'isoler. Rester seul. Avec mes mauvaises pensées.
Avec les souvenirs de ses rires, de son souffle contre ma peau, de ses caresses, de ses regards, de ses piques, DE SON VAGIN. (Sorry, old habits)
Et le plus fatal. Evidemment. Cette rue vide.
Alors je fuyais. Les chats étaient dans les bonnes mains de Savannah, assurément. Et mes vieux en avaient tellement rien à foutre de moi qu'ils n'accordaient aucun intérêt au chat.
J'crois que je ressemble à Green. Genre un corps vide qui se déplace, m'voyez ? Après j'sais pas trop comment il est à l'intérieur, mais moi j'me sens … Cassé. Brisé. Anéanti. Mort. Vide.
Même plus le cœur à dire des conneries, à en faire. Sauf pour préserver les apparences. Hey O'Callaghan ça va bien ? Bah ouais, ta mère était bien bonne hier soir ma foi. Une esquisse de sourire, une étincelle factice dans les yeux.
J'avais un jour dit que c'était ma famille Rosenrot ? J'crois que je retire. On se connaît pas au fond. Mais qui aurait le mérite de connaître un sorcier noir ? Les âmes sœurs ? Je crois pas à ce principe de femelette. Le prince charmant ? Ouais il veut juste te baiser parce qu'il t'a sauvé, c'est la moindre des choses que tu peux lui accorder.
Je sais même plus ce à quoi je pense, je connais même plus mes convictions, j'en sais plus rien de tout ça. Alors on fuit.
Pourquoi faire ? Pour oublier. Pour changer d'air. Mais ça changera rien. Parce que tout ça, c'est dans la tête les gars. Et on change pas de cerveau comme on monte dans un avion en direction de New York.
Putain pourquoi New York, j'aurais pas pu prendre New Delhi non. Non évidemment. Ya des drogues en Inde putain, facile d'accès et tout. En plus j'en ai tellement plus rien à foutre d'aller dans des endroits glauques et risquer de perdre ma vie.
Déjà parce que je suis un vilain méchant sorcier, hein, donc les petits humains de merde, un coup de main et ils ont la nuque brisé, boum, no problem. Et ensuite bah ya toujours les guérisseurs. Genre Savannah. Aha. Voilà voilà. Et comme si j'en avais eu quelque chose à foutre avant. Non, pas du tout. Tellement pas.
Mais là c'est pire. J'me dis que j'ai plus rien à perdre.
Ouais donc j'ai pris New York. Parce que mes douces petites oreilles (non elles m'ont trahi ces connasses) ont entendu au QG qu'on aurait probablement aperçu la dame de mes pensées en Amérique du nord.
Comme si je lui courrais après. J'ferais quoi si je lui tombais dessus en plus ? Tièpe. Putain. Je cherche pas à la reconquérir, que dalle. Je suis pas un chien chien qui se traîne aux pieds de son maître. Tellement pas. J'ai mon honneur, faut pas déconner quand même.
Sauf que, si je la vois, en vrai, je fais quoi ?
J'en sais rien.
J'en sais foutre rien.
J'ai perdu l'envie de chanter. Je supporte même pas écouter de la musique. Ouais. De la musique. Le truc qui me faisait vibrer encore plus que le sexe et tuer des vermines. Le truc qui me faisait tout oublier. Ca me retourne le bide. J'ai un nœud dans le ventre, une boule dans la gorge, et tout plein de trucs qui veulent sortir.
J'écoute plus de musique.
Je chante plus.
Anéanti. Brisé.
Mort.
Mort.
Mort.
La grande pomme. You-hou. De la balle. Quite à changer d'air aussi, j'aurais pas pu prendre un coin reculer dans la campagne et faire mon ermite ? Non. Evidemment que non. J'ai pris un truc qui bouge. Un truc où ya plein de monde.
Un truc qui te fait te sentir encore plus seul.
Seul, seul, seul.
D't'façons faut pas déconner. On est toujours seul. Toute notre vie. At every fucking moment of our fucking life. You're fucing alone. Forever fucking alone.
Agitation, bruit. Bar. Je rentre. Ya de la musique mais tellement de bruit de conversation par dessus que ça va. De toutes façons, dans tous les bars ou quoi y aura toujours de la musique. Partout. Les gens savent plus apprécier le silence. Ca existe plus du tout. Ils connaissent pas.
C'est grâce aux silences que la musique existe.
Me voilà citant du Mozart maintenant. Putain. Quel homme cultivé je suis.
Bullshit. Vous commencez à me connaître maintenant, non ? Vous savez que je suis full of crap.
Liar. Lies. Life.
J'm'assoie au bar, je demande une pinte. Que je descends beaucoup trop vite. Si j'veux me souler autant prendre des shots non ? Putain. Merde. Dans quel état j'vais encore être.
Et j'suis même pas allé réserver un hôtel. De toutes façons j'ai même pas de valise. J'ai que dalle. Rien. Mon portefeuille, mon téléphone, qui restera désespérément inactif et les fringues que j'ai sur moi. J'ai même pas de calbut de rechange.
Mais on en a rien à branler.
Je sais pas quelle heure il est. J'en ai rien à foutre. Le tabouret à côté de moi est tiré. Balekouille.
Je porte mes yeux sur la télé. Parce qu'avant je fixais mon verre. En faisant tourner le liquide dedans. Une de mes activités favorites ces temps-ci dans les bars.
Ya du football. Américain. Je pige pas grand chose au sport. A part le sport de chambre moi, je sais pas grand chose. En vrai c'est pas les trucs qui m'intéressent le plus. Ils font des gros plans sur les spectateurs. Qui ont l'air passionnés. Heureux.
Heureux.
C'est quoi être heureux ?
Certains diront qu'ils en faut peu pour être heureux.
I used to be happy, I think. And then, she left.
Et d'un coup, je m'imagine à la place de ces gens. A gueuler pour soutenir mon équipe, ou les deux, parce que bon, on s'en fiche. Et j'imagine Malcolm à mes côtés. C'est vrai que ça pourrait être … Fun. Faudrait qu'on se fasse ça tiens. Faudrait que je lui demande.
Mais pas maintenant. Maintenant je bois.
Mais y aurait moyen de s'éclater, non ? Essayer d'oublier ses soucis. Et puis baiser quelqu'un d'autre qu'elle.
Peut être que quand je serais complètement bourré je l'appellerai. Malcolm. Pas elle. J'ai supprimé son numéro. QUE JE NE CONNAIS PAS PAR COEUR. C'est vrai d'ailleurs, j'le connais pas. Mais avec mes capacités, se serait tellement pas compliqué de le retrouver...
Stop. Même bourré t'as un honneur. Ouais. A peu près.
Assez d'honneur pour pas appeler cette salope. Pas assez pour ne pas me ridiculiser devant Malcolm, ou Savannah, ou Bleuann, ou d'autres personnes avec qui j'ai pu garder contact. « Contact ». J'ai quand même parlé de me ridiculiser devant mon esclave. Putain. Esclave que j'ai violé à son premier soir au manoir. Esclave à qui j'ai pris sa virginité.
C'est qui les déchets, au fond ?
-Hi !
Elle parle à qui ? Elle parle à moi ? J'ai déjà la tête qui cogne, sérieux. Et j'veux dire, vu la tronche que je tire, tu crois vraiment que j'ai envie de parler à qui que se soit ? Putain.
J'aurais du aller me droguer tout seul dans mon coin.
Je tourne la tête, doucement, la fixant, du même regard que je fixais tout le reste. Du même regard dont je fixe mes victimes.
Un regard noir.
-Pardon je ne voulais pas... vous déranger....
Je grognais, retournant à ma boisson tandis qu'elle se détournait également, l'air gêné.
Mike, tu fous quoi putain. T'essaies d'oublier non ? Ouais, so what ? Putain, j'ai envie d'être seul, ok ? Seul. Alors pourquoi t'es dans un bar blindé ? Parce que c'est toujours dans les endroits bondés comme ça qu'on se sent le plus seul. Mais se sentir seul et être seul, c'est pas tout à fait la même chose, si ? J'en sais rien. J'en sais foutre rien.
Je commande deux bières. J'en glisse une à la demoiselle à côté de moi.
Le masque. On met le masque.
-Désolé si je vous ai fait peur, j'étais pris dans mes pensées.
Un sourire. Si faux. Tellement faux. Mais tout le monde y croit. Tout le monde. J'ai des années d'expérience les gars. J'ai été élevé pour mentir. C'est si facile.
Le masque, c'est une seconde nature.
Je bois une longue gorgée de ma bière. Je fais rouler mes épaules, pour me détendre un peu. J'ai envie de fumer, mais je vais me faire recaler véner si je commence à cloper ici. Et j'ai trop pas envie de me battre contre tout le bar. Qui est si plein. Même dans un état normal se serait un peu suicidaire. Ya combien de personnes qui rentrent dans un bar comme ça ? Ya des gens debout en plus. Une cinquantaine ? Une centaine ?
Mission suicide.
Sourire colgate à la demoiselle.
-Que faites vous à New York, my dear ?
Lies. Lies. Lies.
J'en ai tellement rien à foutre. Activité. S'occuper le cerveau. Aller. Et peut être au loin, peut être, une récompense finale. De la dopamine.
De l'héroïne, ça aurait été plus simple quand même.
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Sujet: Re: Lions VS Jets Mar 10 Oct 2017 - 18:58
Billie était plus très bien. Son assurance était envolée. Elle ne savait plus trop ce qu'elle devait faire, et se posait des questions : comment faire quand on est face à quelqu'un de malheureux ou d'énervé ? Fuir en hurlant ? C'était pas trop la meilleure des solution... Alors rester un bloc près à tout épreuves et parée avec de belles phrases ce moment d'errance ? Billie n'était pas faite pour Ca, elle avait vécu sans rien à raconter d'autre que son expérience avec les chevaux -autrement dit tout le monde s'en fou- et comment elle savait faire accoucher une jument en pleine nuit -mais Ca c'est pas utile quand quelqu'un veut en finir avec sa vie...-. Le tour était fait, Billie ne savait rien, et en plus elle ne savait pas mentir. Elle aurait sûrement pu inventer un blabla rapide mais nan, on sait quand Billie ment. C'est comme ça. Ainsi donc la voila fort dépourvue, de toute chance et de toute panache, devant un verre vide seule à un comptoir de bar. Retour case départ. Un verre apparut devant elle. Une autre peinte ? Elle leva les yeux et eu envie de dire au patron qu'elle n'avait jamais commandé d'autre verre.
-Désolée si je vous ai fait peur, j'étais perdu dans mes pensée.
Billie se retourna vers lui et leva un sourcil. Elles devaient être violentes et morbides ses pensées... vu ce regard, a par vouloir tuer quelqu'un.... elle ne savait pas trop quoi penser de ses "pensées". L'homme arbora un sourire angélique, ce qui contrastait avec son attitude d'avant. Le jour, et la nuit. Billie fut surprise, elle ne s'attendait pas à ce que cette personne puisse éprouver deux sentiment radicalement différent en aussi peu de temps. Bon, encore un mystère à résoudre. Bien ! Billie sourit plus timidement.
-Non, non ! Enfin, si vous m'avez fait peur mais... c'est pas grave.. Merci pour le verre !
Bien, maintenant elle n'arrivait plus trop à mettre deux idées l'une à côté de l'autre sans avoir besoins de beaucoup trop réfléchir. Elle bu lentement une gorgée de son nouveau verre pour ne pas vexer son... voisin d'à côté pour le moment. Ce n'est qu'un voisin d'à côté.
-Que faites vos à New York, my dear ?
Qu'est ce que Billie faisait la ? Hm... elle réfléchis. Nan mais c'est dingue, elle eut du mal à se remémorer son arrivée... bon, pour faire simple... elle était la pour pouvoir redevenir libre, vivre sa vie comme elle le désire et surtout pour s'échapper un peu -beaucoup- de son passé, et le rechercher en même temps, et aussi car elle veut voir John et que John elle croit que bah... qu'est ce qu'elle pense, il est pas la en fait, mais elle sait pas où il est, elle sait juste qu'il l'a oublié, et que ça, ça la rendu très malheureuse, mais sinon elle travail la nuit dans une sorte de bistro magasin ouvert h24 qui craint avec un ado qui travail et fait ses études car lui au moins fait des études. Ouais nan, pas top comme résumée, beaucoup trop livre d'adolescente en pleine crise existentielle. En y réfléchissant bien, c'est ce qu'elle était. Mais ça aurait pu aussi être un livre qui parle de l'aventure personnel intérieure d'une femme en recherche de son passé. Oui, nan. Ni l'un ni l'autre. Ou sinon elle peut aussi dire : je suis la pour quelque temps, je repars en Europe pour retrouver l'homme que... "[i]Rien ! Tu n'as rien pensée Billie"[i]. Enfin, essayer d'avoir une vie trépidante -ce qu'elle n'a pas- mais Billie ne sait pas mentir. Encore une fois, c'est un problème. Un énorme problème.
-C'est compliqué mais, on va dire que j'habite ici désormais. Et vous ? Vous habitez la également ?
Ah, c'est mieux déjà comme résumé. Court, rapide, efficace, sans trop de détails ni pas assez, de quoi tenir une conversation. Bien joué. Billie eu un sourire intérieur, et pour une fois elle n'avait plus trop peur de ce qu'elle pouvait faire. ELLES réagissaient bizarrement à son état, l'alcool n'était pas très bon pour leur relation... Billie s'excusa en pensée et espéra qu'elle ne panique pas et n'envahisse pas le bar, sinon là elle aurait été encore plus gênée. Billie regardait l'homme, il était assez sec, et avait l'air beaucoup plus petit que Jack -en même temps c'était un géant- et beaucoup moins solide. Par contre, elle aimait bien son sourire, elle n'en avait jamais vu d'aussi... grand ?
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Sujet: Re: Lions VS Jets Ven 3 Nov 2017 - 21:30
Je souris. Un magnifique sourire d'ange. Un sourire si innocent. C'est tellement facile de modifier son visage après tant d'années d'expérience, sans que les gens sachent qu'on ment. Sans que les gens sachent réellement ce qu'on pense, tout au fond de nous.
Du coup ma petite dame. T'es au courant que même si je te pose des questions, j'en ai juste rien à foutre ? Même que si tu pouvais juste partir maintenant bah limite ... ça m'arrangerai. Je me recoulerai dans ma dépression.
Mike, pourquoi t'es venu ici ? Pourquoi tu viens dans Des endroits bondés pour au final vouloir être seul ? T'es complètement paradoxal. Ouais. Tu essaies d'échapper à la solitude, à toutes ces pensées néfastes, tristes, qui tournent et tournent Et tournent dans ta tête. C'est pas comme ça qu'elles t'échapperont. Elles s'évanouiront pas tu sais. Elles sont là. Au fond de toi. Parce que tu vas mal. Si mal. Tant que tu iras mal, elles seront là.
T'as déjà été bien ? J'crois pas. Parce que là c'est elle. Mais avant, c'était quoi ? C'était ton frère. Encore avant c'était ton enfance. Tout ça parce que t'as jamais été vraiment heureux dans le fond. On t'a privé de tout ce que tu voulais vraiment. Réellement.
Toi tu voulais juste être heureux, insouciant, gamin sur Les bords, épanoui. T'as même une petite image dans la tête quand tu penses à ça. Tu le sais. Je le sais. On pense à la même. Parce qu'on est là même personne. Tu penses à Un petit garçon qui court sur La plage, le temps est pas trop moche mais c'est pas un soleil éclatant. Le petit garçon a quand même besoin de son manteau. Mais tu vois son sourire ? Il irradie. Tellement. Tu sens qu'il est vrai. Plus vrai que ce que tu auras jamais. Tu le sens u plus profond de son être, qu'il est si heureux. Il court sur La plage, le vent salin bat son visage, il écarte les bras, tu le vois s'envoler tellement il est heureux.
Jamais tu n'atteindras Un tel niveau de bonheur. Jamais. Parce qu'au fond de toi ça n'a jamais existé. Cette image que tu as toujours rêvé de vivre, elle n'arrivera jamais. Et il est trop tard maintenant. Tu es brisé, vide et impuissant devant ton reflet. Regarde toi. Tu vois quoi ? Tu vois rien. Vas y. Souris.
T'y crois pas. Tu sais que c'est faux. Tu sais mentir. Tu sais si bien mentir. Aux autres Et à toi même.
Alors vas y. C'est l'heure de se mentir à soi même. S'oublier encore davantage, creuser dans sa propre intimité.
Qui je suis ?
Je pense donc je suis. Mais qui je suis ? Suis-je vraiment quelqu'un ?
Est-ce qu'il y a quelque chose qui t'animes au fond de toi ? Vraiment ?
Ou est-ce encore plus de mensonges ?
On en reparle des mensonges que tu t'es dit pour oublier ton enfance ? Pour oublier que ton frère t'a abandonné ?
Ça t'a fait si mal quand t'as tout déterré. Tu ne sais que fuir.
Mais je fuis si bien.
Tu parles. Si tu fuyais si bien, tu serais pas en train de ronchonner sur ton verre, tu serais pas en train d'envoyer cette fille bouler.
Non tu te dirais qu'elle est "OH PUTAIN BAISABLE ON BAISE LÀ MAINTENANT DE SUITE GOGOGO" là on s'approcherait éventuellement de ce que t'es.
Mais encore une fois, c'est un masque, une image, ou c'est vraiment ce que tu es ?
Ou alors c'est le masque qui t'a adopté ?
J'essaye de chasser toutes ses pensées qui me noient, sans cesse. Comme un tourbillon qui m'assaille, sans cesse, sans jamais perdre son souffle, Et c'est Moi qui perd pieds, je coule et m'étouffe.
Je bois une grande, énorme (comme ma bite) gorgée de la bière. J'allais La descendre entièrement quand une voix fluette me sortie de ma litanie solitaire.
-C'est compliqué mais, on va dire que j'habite ici désormais. Et vous ? Vous habitez là également ?
Vous voyez le singe qui fait des cymbales dans la tête de Homer Simpson ? J'ai la même chose dans la tête.
Pourquoi entamer une conversation si tu t'en fiches ? Pourquoi tu essaies de faire semblant ? Pourquoi tant d'effort si tu veux pas Les faire ? Pourquoi tu t'infliges tout ça ?
-Je suis juste de passage pour quelques jours.
Ouais en vrai j'écoute Un peu. Un minimum. Parce que je rappelle que j'aimerais bien Un afflux de dopamine.
De l'héroïne putain. De l'héroïne.
Ma bière était déjà presque finie. La sienne était à peine entamée. Je décalait le verre Un peu plus vers elle, mis mon coude sur le comptoir et cala ma tête sur ma main, toujours tout sourire, minaudant pour la séduire un tant soit peu.
Vraiment ? Là c'est ce que tu veux ? T'as vraiment le cœur à ça ?
Ta gueule. Ta gueule cerveau ta gueule !
TA GUEULE.
-T'aimes pas ?
J'ai donné un coup de tête en direction de la bière. Parce que sinon on peut aller ailleurs. On peut aller fumer, boire ailleurs, Un endroit plus calme, juste nous deux, si elle veut, se balader, oublier ce qu'on a dans la tête.
Surtout oublier.
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Sujet: Re: Lions VS Jets Mer 20 Déc 2017 - 21:30
Billie avait les doigts qui vibraient.... était-ce le début de la fin ? Nan, en fait c'était le début d'une soirée qui au final sera incompréhensible pour elle demain matin... L'alcool, ce doux breuvage au son amical est en fait un sacré piège, et la jeune fille encore naïve s'était jetée dedans. Elle aimait bien et avait déjà bu deux pintes, alors quand elle vit la troisième offerte par le monsieur au grand sourire, elle fut contente et en bu un peu avant de se remémorer rapidement qu'elle avait déjà assez de bière dans le sang. Mais c'était pas grave, elle aimait ça. Elle en avait envie. Beaucoup trop envie ! La porte du bar s'ouvrit et un courant d'air courut sur ses jambes, ce qui l'a fit frissonner. Elles avait enlevé son manteau, car dans le bar il faisait chaud, mais elle n'appréciait pas ces courant de fraîcheur qui s'invitait de temps à autre et qu'elle remarquait de plus en plus, même si elle avait de plus en plus chaud. C'était étrange d'ailleurs... pourquoi avait-elle chaud ? Il n'y avait pas plus de monde qu'avant et elle avait même enlevé son par dessus... étrange.... Elle se mit à réfléchir sur la chaleur soudaine de son corps quand monsieur au sourire d'ange répondît a son tour.
-Je suis juste de passage pour quelques jours.
Ouais, bon, finalement ça n'avait même pas tenu le début de conversation. Billie réfléchis comment enchaîner... elle ne savait pas. Elle avait perdu toutes les idées d'avant, et n'en avait plus de nouvelle. Et puis son cerveau était lent. Comme dans un nuage. Elle regarda sa bière et se mordit l'intérieur de sa lèvre, vieux réflexe. Monsieur au visage d'ange installa son coude sur le bar, et se rapprocha. Billie regarda dans le coin.
-T'aimes pas ?
Il donna un coup de tête vers la bière a peine entamée. Si elle aimait, mais elle réfléchissait en même temps et la elle avait du mal à faire les deux. Peut être que au final, lui faire prendre l'air serai bénéfique.... Elle sourit à l'homme, assez timidement, mais un sourire quand même.
-Si si ! Juste que.... j'en ai déjà bu deux avant !
Billie ne savait plus si il fallait tutoyer ou vouvoyer. On se pose ce souvent genre de question ? Ça elle ne le savait pas. En vrai elle s'en fichait un peu mais elle ne voulais pas le vexer, le gêner ou autre... mais bon, il l'avait tutoyé le premier, alors soit.
-Je vais la boire !
"Change de sujet... change de sujet ! Interagit ! Développe ! PARLE ! Billie pris une gorgée, en souriant timidement.
-Et sinon, comment tu t'appelles ?
Bien... on progresse. Billie regarda autour d'elle, il y avait du monde et plein de couples notamment, qui s'embrassaient passionnément. Elle eu une pensée pour john. "Nan mais ne pense pas à lui..... il est partie, il t'a oublié et il ne se souviendra jamais de toi." Billie reçu une vague de compassion, même ELLES étaient d'accord, pour dire... Elle devait oublier ! Oui, faire la fête, trouver des amis, parler, et.... Oh, une nouvelle sensation lui parcouru ses membres. Elle eu envie de raconter sa vie à cet inconnu, lui dire qu'elle savait des choses maintenant, parler des sorciers tout ça tout ça... mais le visage de john apparut dans sa tête et lui rappela que c'était un secret et qu'il ne fallait rien dévoiler, se serai bien trop dangereux. Moment nostalgique : pourquoi john apparaissait comme ça juste quand elle veut pas ? Elle reprit une grosse gorgée de bière, et cette dernière, une fois arrivée à son gosier, la fit faire un rot qu'elle garda dans sa bouche de manière discrète et retenu en mettant sa main devant. Elle sentit son allène et remarqua quand même qu'elle ne sentait pas la rose.
Tant pis. Dans le pire des cas ça ne se range personne nan ?
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Sujet: Re: Lions VS Jets Mar 16 Jan 2018 - 0:05
En vrai, je faisais même pas attention à elle. Je m'en fichais, royalement, je me demandais même pourquoi j'avais pris la peine de lui répondre. Qu'est-ce que je veux au fond ? Être seul ? Être accompagné ? Déprimer ? Fuir ?
Elle.
Evidemment, elle. Sauf que c'est pas possible, elle est partie, partie. Sans se retourner, envolée, volatilisée. Pouf, au revoir. Faut passer à autre chose. Déjà que je fais pitié d'avoir traversé l'Atlantique (wouah, Mike connaît le nom de l'océan, wouhouuuuu) (je me fous de ma propre gueule mais ça me fait même pas rire) pour essayer un tant soit peu de l'apercevoir, de la retrouver... De lui demander, la supplier de revenir ?
Non. Même pas en rêve je m'abaisse à ça, ça va pas la tête.
Mais putain, ça faisait combien de temps qu'on vivait ensemble ? Juste ça. Trois ans ? Et pouf. Apu. Comment on s'en remet après ? Comment on se relève, comment on fait le matin quand on a personne à qui parler ? Comment on fait quand on a personne à prendre dans ses bras la nuit au détour d'un cauchemar ?
Comment on survit quand on est seul ?
Aller, Mike, t'as survécu toute ta vie sans elle. Pourquoi t'aurais besoin d'une pauvre meuf de Croix pour continuer ?
Parce que Alexander. Et maintenant elle.
J'en ai marre d'être seul. De faire semblant d'aller bien.
J'étais bien quand j'étais dans le déni.
On fait comment pour retourner dans le déni ? Ya pas des runes d'oubli ? Ouais, j'aimerais bien oublier, redevenir insouciant et tout. J'vais aller demander à Redwan ça. Sauf que je devrais lui expliquer ? Pas question. Et puis le gars peut pas me piffrer, pourquoi il m'aiderait ? Je sais juste que c'est un putain d'expert en runes. Je sais depuis longtemps qu'il peut pas me blairer, depuis le début en vrai. Depuis qu'on est ado quoi, depuis qu'on a pris réellement conscience de ce que ça voulait dire d'être dans l'organisation. Et puis moi je continue à faire chier, comme si de rien n'était, comme si tout le monde m'aimait et comme si on était tous amis.
Bullshit.
J'ai plus le cœur à ça. J'ai plus le cœur à rien du tout. Juste rester allonger sur mon lit, à regarder le plafond, immensément vide. Immensément rempli de rien. Rien. Vide. Comme moi.
Comment on fait pour avancer ? Faut se trouver un but dans la vie ? C'est quoi mon but dans la vie ? Avant j'mettais Rosenrot au dessus de tout. Mais j'ai même plus la force. A quoi bon, limite. Même torturer des ados me fait plus tant de bien que ça.
Si ya mes chats qui me réconfortent un tant soi peu. Quand ils daignent être gentils et pas juste faire leur bagarre à trois. Même si ils me rappellent son absence.
J'essayais de me secouer la tête, de boire ma pinte, immobile dans ma main, comme si le temps s'était figé, et que j'étais seul dans mes réflexions. Sauf que non, elle va commencer à me regarder chelou si je freeze trop longtemps.
Sauf que, on s'en fiche, non ?
Bah … Ouais.
Pourquoi on est là ? Dis Mike, on fait quoi là ? On essaie de faire quoi ? On essaie de se prouver quoi ?
J'en sais toujours rien, je suis même pas sûr de trouver un jour une réponse. Et puis vous me connaissez, je vais pas trop essayer de réfléchir sur moi même ou quoi. Faut pas déconner non plus. J'essaye juste de me trouver une occupation, que j'aimerais plus ou moins permanente, je devrais dire des occupations alors, qui repoussent tout ça dans un coin au fond de mon cerveau. Un coin enseveli de poussière tellement on y va jamais. Et dans ce coin ya un coffre, on a oublié la combinaison du coffre tellement ça fait longtemps. Et même là dedans ya plein de petite boîtes ya des crochets qu'on a la flemme d'ouvrir. Bah ces souvenirs devraient être là. Dans une petite boîte reloue, dans un coffre oublié, dans un coin poussiéreux.
Oublier. Avancer. Ne pas se retourner.
J'n'ai pas remarqué que la métisse à mes côtés frissonnaient dès que la porte du bar s'ouvrait. Parce que je suis complètemet perdu. Elle est là, mais je pourrais très bien être tout seul au final. Ca changerait quoi ?
Et si je faisais un effort ? Pour essayer d'oublier.
Est-ce que j'ai envie d'oublier ? Est-ce que j'ai envie de passer à autre chose ? Est-ce que j'ai pas juste envie de continuer à me morfondre sur moi même ?
Mike, fais un effort. Aller. Elle est plutôt pas mal en plus.
Je sais que dans cinq minutes j'vais oublier tout ce que je suis en train de me dire pour me motiver, que je serais retombé dans ma dépression. Et que je devrais tout recommencer.
Mike, pourquoi tu chantes plus ?
Mon cœur se serre. Ca me faisait tellement du bien de chanter. J'devrais m'y remettre. Essayer.
Sauf que …
Sauf que quoi ?
J'ai pas le cœur à ça. J'ai le cœur à rien du tout.
-Si si ! Juste que.... j'en ai déjà bu deux avant !
Quoi, t'as du mal à parler poulette ? Whatever. C'est pas comme si çe me tenait vraiment à cœur. Si tu m'insultais ça me ferait la même chose. Peut être que je suis content, enfin « content », c'est un grand mot, quand on s'adresse à moi. Quand on fais attention à moi. J'en sais rien. Je sais plus rien.
J'essaye de me reprendre. On va essayer de pas décevoir la demoiselle.
Tu parles, tu t'en fiches.
Pourquoi tu ruines mes efforts.
-Petite joueuse.
Je rigole, avec des yeux morts et sans aucun éclat. Où est ma joie de vivre ? Envolée, avec elle. Elle, j'ai que ce mot là à la bouche. J'en peux plus. J'en peux plus. Je porte ma pinte à la bouche en même temps.
-Je vais la boire !
Elle me lance un petit sourire en portant son verre à ses lèvres. Je réponds à ce sourire. Timidement, également, presque, innocemment.
-Et sinon, comment tu t'appelles ?
-Mike, et toi ?
Ce qui a de pratique avec mon prénom, c'est que même quand on veut en donner un faux, je peux dire le vrai. Parce que ya tellement de Mike dans ce monde que … On me retrouvera jamais.
Le bar commence à se taire d'un coup, les lumières ont baissées et un projecteur s'est allumé... Sur la scène. Evidemment, je tombe le bon jour. Le groupe se présente rapidement et le guitariste commence à jouer. Dès les premiers accords, je reconnais la chanson. La batterie accompagne rapidement, suivi de la basse. Quelques accord se font et le chanteur ouvre la bouche.
Sans me vanter, je la chante beaucoup mieux. Je ne peux pas m'empêcher de taper le rythme en l'air avec mon talon, la pointe de ma chaussure posée sur une barre de tabouret.
J'ai l'impression que mon cœur s'effrite à l'intérieur. Je pensais qu'il était déjà en purée. Apparemment ça peut continuer à faire mal alors qu'on est déjà tout détruit à l'intérieur. Pourquoi ça fait si mal d'ailleurs ? Sérieusement. Je pige pas. On était rien l'un pour l'autre. Rien, juste une habitude de coucher ensemble, de se voir quand on était tous les deux à l'appartement. Souvent on allait en mission, ça faisait pas mal. Alors que l'habitude était plus là. Alors pourquoi ? Pourquoi ?
Pourquoi j'ai l'impression qu'un bras a traversé ma poitrine de part en part et arracher un organe vital en même temps ? Pourquoi j'ai l'impression de tout ça mais en même temps ya aucune douleur physique ? Pourquoi c'est une douleur hyper sourde et qui se ressent pas ?
Arrachez moi les entrailles, pitié, ça ferait moins mal.
Je m'empêche de chanter. Je sais pas si j'en ai envie ou si je ferais ça parce que j'en ai l'habitude. Habitude perdue mais habitude quand même. Je serre les dents, je ferme les yeux. J'ai envie de me laisser aller, vraiment. Mais …
Je décide d'allonger un bras sur le bars, effleurant le dos de ma voisine au passage. D'un mouvement du pouce, je commence à lui caresser le bras. Au pire j'me prends une claque. Au pire elle verra ce que c'est de mettre une claque à un gars de chez Rosenrot.
Ils enchaînent sur une autre chanson, toujours aussi triste. Sérieux, vous foutez quoi les gars ? C'est soirée dépression pour tout le monde ou bien ? Je me retourne donc, face au bar, face à ma bière. Je la descends d'un trait, je lève légèrement et attrape mon manteau d'une main. Je me penche vers celle qui m'accompagne et vais au creux de son oreille pour lui chuchoter à l'oreille. C'est pas parce que c'est des chansons sur la dépression que ils ont pas mis les amplis à fond et du coup on peut pas parler par dessus.
-Je vais dehors, si tu veux m'accompagner...
Je fendis alors la foule, veste à la main, pour sortir prendre un bain d'air frais, et loin de cette pression émotionnelle que décidément, je ne sais pas du tout gérer. La porte se ferme vite derrière moi et assourdit enfin le bruit de ces chansons. Que je chante mieux, évidemment. Evidemment. Je sors une clope de mon paquet et l'allume d'un coup de briquet. J'inhale la fumée à fond et me colle à la vitre derrière moi. Je ferme les yeux en espérant entendre la porte s'ouvrir pour voir la petite jeune me rejoindre.
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Sujet: Re: Lions VS Jets Ven 19 Jan 2018 - 19:36
Réponse Billie pour Mike :
Billie avait toujours détesté les hommes étant plus jeune. D'abord, à cause de la sensation qu'elle avait, la sensation qu'ils l'abandonnaient toujours. Mais depuis john, c'était différent et elle pouvait se permettre d'aller leur parler, elle s'en fichait désormais. Surtout quand elle avait bu. Avant elle pensait que c'était des brutes stupides et insensibles. Et puis il y a eu john. En fait, la plupart des changements ont commencé à la rencontre de Monsieur Charles, alias John.. cet homme qui lui avait permis d'apprendre et d'aller vers l'inconnu. Après il y eu Monsieur Simje. Quelqu'un qui l'avait aidé à sa manière. Et puis son ami Karl, qui gérait le restau avec elle. Elle avait appris à faire confiance aux hommes et maintenant, elle pouvait être fière de dire qu'elle avait évolué. Enfin... la elle n'était pas fière d'avouer qu'elle avait déjà assez bu. Deux pintes, c'est énorme pour elle ! Et puis, comme l'autre homme au sourire écarlate était la, elle avait perdu les pédales. Triste sort pour la gentille Billie. Bourrée et séduite ! Elle aura de quoi raconter à ses enfants plus tard, si elle en a un jour... L'homme à côté regarda Billie regarda, puis dit d'un ton assez neutre :
-Petite joueuse.
Il rigola, et cela fit rougir la jeune femme. "Mon dieu... c'est si peu que ça 2 pintes ? ". Elle lui dit qu'elle allait la finir, plus pour s'en convaincre elle même que pour impressionner le garçon. Elle bu une gorgée, puis demanda son nom. C'est vrai, elle était curieuse de savoir quel nom se cachait derrière ce joli jeune homme au grand sourire. Et puis c'est plus sympa d'appeler quelqu'un par son prénom que par : Hé ! Le Monsieur ! ... ou : Truc, Bidule ? .... La chose ? Enfin vous voyez quoi. C'est plus sympas.
-Mike, et toi ?
Mike... diminutif de Michael ? Ou simplement mike ? Excellente question. Mais trop rébarbative pour être posée la maintenant, surtout que la salle se préparait à présenter un concert.
-Moi c'est Billie !
"Wouaaaaah... premier concert de ma vie..". Billie se tourna, sa pinte à la main, et regarda le groupe s'installer. Leur place était parfaite... à elle et à Monsieur Mike. "Rooooh ça fait beaucoup Monsieur Mike.... et puis j'appelle déjà Monsieur Charles.... oh la la, ça toune.."[i]. Elle secoua rapidement la tête puis écouta le groupe chanter sa première chanson. [i]"Pense plus à lui., Elle connaissait pas -pas étonnant, Billie ne connaît presque rien-, mais elle aimait le rythme, elle appréciait la mélodie. C'est un bon début nan ? "Ne pense plus à lui." Elle remarqua que l'homme Mike, enfin... monsieur Heu... Nan. Mike. Mike tout court. Elle remarqua donc que Mike, certainement diminutif de Michael -Où Mikael ?-, battait le sytème avec rythme avec ses pieds. Enfin son pied. Billie elle, se balançait légèrement de gauche a droite, en regardant le groupe interpréter la musique. C'était une musique plutôt triste... comment ne pas penser a Monsieur Charles la ? Comment résister a l'envie de pleurer ? Billie ne savait pas. Elle les regardait, écoutant les paroles... elles étaient tristes, trop triste.
" You think you broke my heart, oh girl for goodness sake "
Nan mais il fallait que ça cesse. Billie finir sa pinte en quelque gorgée.
"The only problem was with you and not them"
Elle remarqua que Mike caressait son bras, de manière plutôt... sensible ? Billie regarda la main de l'homme faire, sans trop avoir d'idée sur le sujet. Ça lui donnait des frissons, d'ailleurs elle en eu un, ce qui la fit se décaler sans le vouloir de la main.
" I fell in love, now I feel nothin' at all "
La chanson était finie... ils s'apprêtaient à jouer la deuxième, et dès la première note, Mike certainement diminutif de Michael réagit en fronçant les sourcils. Ah ? Il y a un problème avec la musique ? Billie ne la connaissait pas non plus mais encore une fois ce n'était pas une surprise. Elle semblait tout aussi déprimante que la première, soit dit en passant. Le jeune homme Mike au grand sourire pris son manteau et se glissa près de l'oreille de Billie.
-Je vais dehors, si tu veux m'accompagner...
Un nouveau frisson traversa la jeune fille. Dehors, c'était une excellente idée, ici, il faisait trop chaud et les chansons qui passaient lui faisaient beaucoup trop penser à John. C'est dingue ça ! Plus elle y pensais et plus elle avait mal. Mal au ventre. Dans le même principe que pour les règles mais la c'était.... plus intense. Le cerveau de Billie ne réfléchis pas, elle pris à son tour son manteau et se glissa entre les gens pour sortir du bar. La première vague de fraîcheur fut accueillit avec plaisir, elle avait sûrement une odeur de transpiration insupportable après avoir mariné la dedans. L'air frais lui fera du bien. Elle inspira profondément et secoua la tête. [i]"Ça va pas t'empêcher de penser à lui...[i]" Elle tourna la tête et remarqua monsieur Mike au grand sourire qui fumait une clope. Billie voulu en fumer une soudainement. Elle ne fumait pas normalement, elle avait déjà essayé deux trois fois mais la elle en avait envie. Ce n'était pas son genre, mais la, il lui avait donné envie. Elle s'approcha de lui et lui sourit.
-Je peux en prendre un peu ?
La première fois, ça lui avait déchiré la gorge. La deuxième fois, ça lui avait fait du bien au bou de quelque minutes, enfin c'est ce qu'elle pensait. Ann lui avait expliquer que c'était normalement interdit pour elle mais que elle ne comprenait pas que Billie ne puisse pas au moins goûter. Maintenant qu'elle n'avait plus ni mère ni père et qu'elle s'était enfuit de chez son oncle, bah... elle était libre. Et puis c'est pas comme si elle fumait tout les jours. Mike tira une longue taf puis lui tendit la cigarette. Billie inspira et avala la fumée. Sans savoir pourquoi, elle aimait ça. Elle aimait le geste. Elle redonna la cigarette à Mike et ferma son manteau. Elle avait la gorge sèche maintenant, mais ça allait déjà mieux et les images e john partirent au loin. Très très loin.
-Ca te dis de marcher ? Faut que j'm'aère la tête..
Elle se dirigea vers la partie du quartier qui était joli à voir la nuit, et où l'activité qui s'y trouvait était une bonne manière de penser à autre chose.
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Sujet: Re: Lions VS Jets Dim 21 Jan 2018 - 20:28
La jeune femme rougit avant de reboire un peu dans sa bière. On aurait dit qu'elle était pas trop convaincue par la finir. Enfin, j'm'en fiche, elle fait ce qu'elle veut en soit. Mais ça fait bizarre de voir une femme de son âge qui … Bah, à comme pas l'habitude m'voyez. C'est chelou. T'es jamais sortie de chez toi ou bien ? Comment ça se passe ?
Normalement, à partir de l'adolescence tu commences à te mettre des mines, à connaître tes limites – ou pas. Bien souvent même quand tu les connais bah … Tu les dépasses.
Comme moi. Ouais. Tous les soirs.
Sauf que je dégueule pas moi. C'est pour la vermine de vomir. La vermine humaine, s'entend. Est-ce que ya des sorciers assez faibles pour dégueuler ? J'veux pas trainer avec eux. J'suis sûr que c'est des Orpheo qui dégobillent leur trippes. Aha. Le jour où ils arriveront à nous battre ceux là. Ils sont pas encore nés.
Hey, l'alcool ça m'a fait du bien. Je pense plus à elle.
Oopsy.
-Moi c'est Billie !
Merci bonnasse, de me servir de distraction émotionnelle pour ce soir. T'es bien urbaine. Et t'es bien bonne aussi. L'alcool parle un peu, j'dois avouer.
La dépression revient. A cause de la putain de musique que le groupe joue. Pourquoi de la dépression les gars ? Sérieusement ? On n'est pas venu ici pour se pendre putain. Sérieux les gens qui veulent se suicider, laissez nous tranquille. Aller faire ça dans votre coin sans en parler à personne et tout. Vous êtes des lâches alors soyez lâches jusqu'au bout et faites pas chier le monde ok. Ou alors demandez nous, tortureurs de l'enfer, de vous tuer doucement. Ou vite. Ou je sais pas, on serait ravis de vous rendre ce service. Misérables cloportes.
Billie commence à se balancer sur sa chaise au rythme lent de la musique. En attendant j'ai l'impression d'avoir une énorme boule dans la gorge qui grossit de plus en plus. La deuxième musique tout aussi dépressive que la première commence, dès les premiers accords je la reconnaît. Je sais pertinemment que je vais pas survivre, alors je sors. Disant à Billie de me rejoindre si elle le souhaitait. Je traverse le bar en quelques enjambées pour me retrouver dehors où je m'allume bien vite une cigarette. J'essaye de faire retomber cette énorme boule dans la gorge, cette énorme pression sur ma poitrine.
J'ai mal aux yeux aussi.
La distraction arrive bien vite. A peine sortie elle me demande ma cigarette, que je lui tends avec plaisir. Après une petite taff, elle me la rendit. Je la coince alors dans mes dents et mets mes mains dans mes poches.
PARCE QU'IL CAILLE SA MERE PUTAIN.
C'est quoi ce pays ?
J'crois que je vois flou, c'est normal ? Bah, ça doit être l'alcool. Je sais pas combien de verres j'ai bu ce soir. Trop, comme toujours.
-Ca te dis de marcher ? Faut que j'm'aère la tête..
Elle commence alors à marcher, en deux enjambées je suis alors à ses côtés et je passe mon bras sur ses épaules.
Belle erreur, j'ai déjà froid à mes tout jolis petits mignons doigts. J'ai pas de gants, évidemment. J'ai jamais de gants. C'est relou pour allumer les clopes. Faut l'enlever pour allumer le briquet, le remettre, la clope s'est éteinte le temps de remettre le gant, alors tu dois le réenlever pour rallumer ta clope...
Pas de gants.
C'est presque comme pas d'cape.
Les chansons continuent de raisonner dans ma tête. J'aimerais bien m'en débarasser. Beaucoup vraiment. Sauf que... J'ai toujours pas le cœur à chanter. Et à part chanter de la dépression, mais j'vois pas le but, sinon on serait juste rester dans le bar à se morfondre sur soi même. J'dis ça, mais je m'en fiche de sa vie et de son passé. Elle était ptet heureuse d'être là bas. Ou alors elle est autant brisée que moi. J'en sais rien, et c'est pas trop le but d'une distraction de soirée d'avoir des conversations sur nos moi même profond.
Et je partage pas ce genre de chose, ça va pas la tête.
Jamais. On va croire que je suis juste qu'un putain de faible sinon. Et j'le suis pas. Le suis-je ? Laisser moi. Vous m'emmerdez.
J'essaie de chasser tous ces démons que j'ai dans la tête. Ma clope se finit bien vite, j'en rattrape vite fait une autre et en propose une à Billie. Le paquet est plein so, ya aucun soucis je peux en filer.
On arrive dans une sorte de petit parc, avec des bancs qui bordent le chemin. Les arbres ont quasiment déjà perdu toutes leurs feuilles. C'est hyper mignon en vrai. J'aimerais bien avoir été là avec …
Avec personne.
J'influe alors sur la direction de Billie pour la faire aller vers un tronc d'arbre. Je la cale contre celui ci, sort ma main de ma poche, prends ma cigarette dans l'autre, me colle presque à elle, je l'effleure juste, place mes bras de parts et d'autres d'elle, au dessus de son corps frêle, prenant appui sur le tronc d'arbre.
L'alcool parlant, la dépression, le fait de pas vouloir affronter la nuit seul parle plus que la raison, je la fixe un moment avant de coller mes lèvres contre les siennes.
Spoiler:
C'est court, pas très bon, je suis sorry T.T J'ferais mieux next time
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Sujet: Re: Lions VS Jets Dim 21 Jan 2018 - 22:19
Le fond de l'air est frais.
Billie inspira encore et encore cet air pour en imbiber ses poumons. Elle sentait qu'il faisait froid mais cela ne la dérangeait pas étonnement... Le froid lui remettait les idées en place. D'abord, elle se sentait bien avec cet homme mike au visage d'ange qui était plutôt gentil avec elle. Enfin gentil.... il était absolument pas bavard. Mais il avait pas été méchant. Elle avança quelques mètres avant que Mike grand sourire soit à son niveau. Il mit son bras autour des épaules de la jeune femme. Billie ne réagit pas, elle était à moitié dans ses pensées. Ses pensées remplies de John... Elle se dit qu'il fallait lui trouver un surnom ridicule pour tourner ses pensées en dérisions. Ou alors, un truc impossible à prononcer pour ne plus avoir à le dire. Ni même à y penser. Facile à dire... Pas facile à faire. Finalement Billie décida de ne pas réagir. C'était plutôt agréable en fait. Le chemin que parcourait les deux jeunes gens était silencieux. Billie s'arrêta juste un instant devant une vitrine pour voir une robe sur un mannequin blanc. Sa tête tournait moins mais elle était quand même pas mal dans les nuages. Elle réfléchissait, des fois pensais à peine puis planait limite quelque par entre terre et ciel. Les lumières des guirlandes colorées sur les arbres à côtés des bars hypnotisait son esprit, le vent emportait ses pensées, sa respiration les ramènerait au galop. A quoi bon résister quand les réflexions sont collée à soi comme a un chewing gum. Ils tournèrent dans une ruelle qui mena à un parc. L'air était désormais humides sous les arbres. Marinant il n'y avait plus de guirlandes, mais l'esprit de Billie imagina des lucioles ici et la, ça rendait la balade un peu plus magique. Mike au sourire plein de... dents -pas très originale-, la poussa légèrement vers l'herbe, vers les arbres. Il cala Billie contre un arbre et se ponta devant elle. Elle se rappela les histoires de sa sœur, quand elles étaient ado. Ann lui avait raconté son aventure avec un de ses petits copains de l'époque. Il l'avait emmené dans une partie du domaine Mills ou il y avait énormément arbres et assez éloignée de la grange principale. C'est à ce moment là qu'ils ont fait l'amour. L'amour ? Ça, Ann lui avait aussi raconter. C'était quelque chose de puissant et de bon, mais la première fois ça pouvait faire mal. Billie avait déjà ressentit le désir d'un autre corps, et c'était sûrement lié. Ça commence comme ça, puis ça enchaîne avec...
Il était proche d'elle, et la regardait intensément droit dans les yeux. La son cœur cessa un instant de battre, et ses entrailles se nouèrent. C'était puissant en effet... Elle rigola, un peu gênée par sa proximité et aussi à cause de l'alcool. Comment elle devait réagir la ? Elle détailla mentalement chacun des détails du visage de mike. Ses cheveux était fin, assez clair, ses yeux particulièrement expressifs, et ses lèvres étaient fines... et ses... oh... Billie se dressa sur la pointe des pieds et posa ses lèvres sur celle de mike. Elle ne se rendait plus compte de ce qu'elle faisait. Ses mouvements étaient réglés en mode automatique, dirigé non plus par son cerveau embuée mais par ses tripes prises au dépourvu et contrôlé par le haut commandement désir. Le désir. Billie avait déjà désiré un homme oui, mais elle ne savait pas comment l'appeler cette sensation. Le baiser. Elle avait déjà embrassé Jack une fois, mais c'était un simple pari et puis elle s'en fichait de cet être immature et sans intelligence appelé jack. Donc la, son baiser était pour Billie son premier véritable. Il s'en sortait bien. Et elle espérait s'en sortir tout aussi bien. ELLES envoyaient un sentiment mitigé entre le questionnement et l'admiration. Sans doute par ce que dès sa première fois, une gyne devient une reine et doit s'arracher ses ailes afin de fonder une nouvelle colonie.
Billie respirait fort désormais. Mike commença à placer ses mains conte elle, et les glissa sous son pull. Elle était gelée, et Billie sursauta. Il faisait beaucoup trop froid... Si ça devait tourner autrement, elle aurait préféré faire ça au chaud. Elle plaça sa main sur le torse de mike et le poussa légèrement.
-Fais froid ici...
Sous entendu : si tu veux continuer, faut bouger car on risque de mourir gelés avant de pouvoir se réchauffer.
Continuer. Enlever ses vêtement ? Billie avait déjà vu un corps d'homme nu... celui de john. Elle avait déjà eu envie de ce corps...
Et maintenant elle s'apprêtait à en découvrir un autre. Enfin, si ce mike savait où ils allaient passer le restant de la soirée... Billie savait plus où elle était la, et se repérer ici était impossible. L'alcool laissa sa place à l'envie. Quelque chose qui lui laissa encore moins de place à la réflexion.
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Sujet: Re: Lions VS Jets Mar 23 Jan 2018 - 13:37
Du coup, on marche. J'aurais bien aimé qu'il y ai de la neige. J'aime bien la neige. Ca veut dire retomber en enfance et pouvoir faire tout plein de bêtises dedans.
Genre mettre de la neige sur le velux de la vieille pour qu'elle se prenne tout dans la gueule quand elle l'ouvre.
Ce genre de bêtises.
Je sais pas pourquoi j'ai comme le son de pas qui crisseraient dans la neige quand on marche. Tout serait … Plus beau. Sauf que j'en ai rien à branler de la beauté des paysages. Surtout quand on a personne avec qui partager tout ça.
Et on était pas le genre de personne avec qui partager ça. Si ? J'sais pas.
D'un coup elle s'arrête et se tourne vers la vitrine pour regarder une robe.
Ca m'emmerde, mais je fais mine de rien. Mais j'suis pas là pour faire su hopping ok. Mon shopping se situe sur Internet. Comme ça j'ai pas à parler et à côtoyer des humains tout caca tout dégueus tout puants et répugnants.
Vous m'imaginez, moi, faire les soldes à H&M ? NON MERCI.
Mais on se remet vite en route. Ouf. Après j'aurais pu lui voler le … Truc qu'elle regardait. Mais on va encore croire que je suis une mauvaise personne – ce que je suis, j'le nie pas, hein – et on va encore s'enfuir et je vais encore devoir violer. Tu veux pas ça Billie, pas vrai ?
Je veux ce parc sous la neige. Aller la neige, là, maintenant, tout de suite. Evidemment, le temps n'obéit pas à mes lubies. Je pouvais pas contrôler la météo, non. Non il fallait que je contrôle la technologie. Ce qui en soit … En plutôt cool. Moi j'aime bien.
Et puis je triche aux jeux vidéos comme ça. Et les noob ils ragent mais ils y peuvent rien. Et même les modo ils peuvent pas me virer parce que ya aucune preuve physique que je triche. Aha.
Qui est le boss sur LoL ? C'est moi. Exactement.
Elle se mit à rire. MAIS WHY. POURQUOI TU RIS. C'EST GENANT. POURQUOI TU FAIS CA. J'AI RIEN FAIT. Pas encore du moins.
Et puis je m'approche. Billie m'embrasse en retour. Elle s'est même mise sur la pointe des pieds pour avoir une meilleure accroche. C'est t'y pas mignon tout ça.
J'crois que j'ai réussi mon coup. Ce soir je pécho. Ce soir j'vais pouvoir noyer ma peine dans la baise. Ce soir, je serais pas complètement tout seul.
Mais tout seul avec moi même.
Faisant mon petit bonhomme de chemin, j'commence à glisser mes mains contre elle, et également sous ses habits. Sa peau me réchauffe et … Haaaaaan, ça fait du bieeeeeeeen. J'aime bien les bouillottes humaines. Surtout quand on a les pieds tout froids et qu'on les mets sur les jambes... Ou le ventre, aha, c'est mieux, de l'autre. Sous la couette. J'adore faire ça.
Enfin, j'adorais.
Elle sursaute à ce contact. Tu m'étonnes, j'me serais déjà enfui en courant, parce que je suis un putai d'égoïste, aha. Elle me repousse alors.
MAIS NON, POURQUOI ?!
-Fais froid ici...
Ok, donc t'es quand même opé pour baiser, juste pas là. Ca marche. Je lui décoche un sourire colgate, retire mes mains, la ramène contre moi, lui fait un bisous sur le haut du crâne (je sais pas pourquoi me demander pas pitié), et remets mon bras où il était précédemment.
J'vais pour finir la promenade du parc qui, oh mon dieu merci, est court. On retourne bien vite dans la rue. Je cherche alors un hôtel où passé la nuit. De toutes façons j'en ai pas encore réservé un. De toutes façons j'ai pas de valises.
J'ai même pas de caleçon de rechange.
Quelques minutes plus tard, je vois une devanture qui a l'air pas mal (j'ai rarement l'habitude d'amener mes conquêtes dans des bouibouis miteux). Je rentre donc, Billie toujours calée sous moi, et demande une chambre à l'accueil. Pas de question à se poser pour l'hôtesse qui nous voit, une chambre avec un lit double. Elle me temps les clefs et je me dirige directement vers l'ascenseur.
Une fois dedans, on est seul et je lui resaute dessus en la plaquant un peu plus violemment contre la paroi et l'embrasse avidement, mes mains ne tardent pas à faire le tour de sa chute de rein pour arriver à ses fesses.
L'ascenseur s'ouvre bien vite, je lui tire la main, et m'empresse d'ouvrir la porte pour arriver dans la chambre.
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Sujet: Re: Lions VS Jets Dim 28 Jan 2018 - 16:13
Billie avait froid, chaud, envie de sauter partout, envie de dormir, envie de fumer, envie de boire, envie de l'autre au sourire d'ange, envie de chaleur... Au final, Billie ne savait pas ce qu'elle voulait vraiment. Là, son corps entier lui disait : vas y. Fonce. Mais son esprit était quand même un peu vague et nuageux. Aucun chemin à l'horizon, aucun john l'attendait quelque part, rien. Juste mike, qui la plaqua contre l'arbre et l'embrassait. C'était si bon... si vous saviez. Billie ne comprenait pas mais elle appréciait, elle profitait, elle savourait. Jusqu'à ce qu'il lui glisse sa main gelée sous le t shirt. Ça la fit sortir de son envie en lui envoyant un signal d'alerte : FROID. Du coup, Billie avait fait comprendre que la, dehors, c'était pas le meilleur moment, ni là contre l'arbre le meilleur endroit. En plus il neigeait... Il l'a serra contre lui et lui déposa un baiser sur le front. Vu comment cet homme agissait avant avec elle, c'était assez... étrange ? En plus, ils ne se connaissaient pas ! Enfin, seul son père l'embrassait sur le front. Mais lui était mort. Et John était partie. Emportant sa mémoire avec. Billie se laissa donc conduire dans le parc, elle savait pas où ils allaient aller, maintenant. Elle espérait qu'ils trouvent un endroit chaud, hein... par ce que même si tout à l'heure elle avait chaud et était contente de sortir, le froid piquait un peu. Son visage avait deux sensations : la brûlures des joues, et le tiraillement du froid sur son menton. Quelqu'un peut il expliquer ça ? Billie s'en fichait. Billie ne réfléchissait plus, elle avait qu'une envie : continuer. L'homme savait ce qu'il faisait, et Billie aimait ça, elle aimait savoir que cet homme avait vécu des choses, qu'il était la avec elle et qu'il lui faisait partager. Certe, elle ne l'avait jamais fait mais bon, mettez vous à sa place. Elle en a jamais parler et le sujet n'était absolument pas tabou pour elle. L'idée même de la 'première fois' était inconnue. Son père lui avait toujours dit que si elle voulait un truc, elle le faisait. Sans se poser de question, et c'est ce qu'elle faisait, la plupart du temps... et puis elle était naïve. Si naïve... sans complexe ni préjugé. Rien. Une coquille vide de tout stéréotypes actuels qui bouffaient la vie des jeunes de son âges. Mais elle le savait pas, vivre seule au milieu des chevaux, voyant des penis d'étalons et mettant au monde des poulains sans censure, c'était ça sa vie. La publicité ne l'avait pas atteinte, c'était encore une enfant. Une enfant de plus de vingt ans, avec des envies, de besoins, des moments d'égarement et de bêtises qu'ont tous les jeunes de sont âge. Il faut pas lui en vouloir. Son don avait sûrement un lien avec ça. La curiosité animal et les instinct bestiaux, ça devait jouer. Qui sait. Elle le savait pas elle même. En l'occurrence, elle ignorait presque tout.
Mike la conduit dans la rue, puis la fit se déplacer d'un point à un autre, jusqu'à ce qu'il s'arrête devant la devanture d'un hôtel. Il demande une chambre, et la dame leur tend une clés avec un air qui voulait dire : oh les jeunes... ils sont incorrigibles. Bon, Billie ne lisait pas dans les pensées, mais l'alcool lui donnait des idées. Elle avait l'impression de connaître plus de choses... elle se rappela une phrase...
I drink and I know things
Qui avait dit ça ? Aucune idée. Mais ça résumait la situation. Le sourire d'ange l'a plaqua contre la paroi de l'ascenseur, et l'embrassa. Billie eu de nouveau cette sensation de braise en Elle. Elle cru que son ventre allait exploser sous la pression. L'ascenseur s'ouvrit, et mike lui prit la main, la tira et ouvrit rapidement la porte. Les pupilles de Billie étaient dilatées au possible, sa respiration était forte. Billie entra et aussitôt, enleva son manteau. La chaleur dans la pièce était insupportable... à moins que ce n'était pas la pièce qui était chaude... Elle embrassa Mike, il lui rendit en la plaquant contre le mur. Il avait toujours les mains froides et Billie rigola légèrement. C'était comique. Elle se pinça les lèvres et retira le t shirt de sourire d'ange. Woh. Son torse était musclé, sa peau couverte de tatouage... elle s'arrêta un instant, juste pour admirer ce chef d'œuvre... qu'elle caressa avec le bout de ses doigts. Elle ne voulait pas qu'il s'impatiente alors elle joua avec la pression et glissa sa main au plus près de son entre jambe. Puis elle l'embrassa. Encore et encore. La suite des événements ? Elle ne comprit pas tout. Ils se retrouvèrent sur le lit, à moitié nus, enlacé de partout, après être passé un peu partout dans la chambre. Billie appréciait le contact qu'elle avait avec l'homme... c'était aussi rassurant que bon, aussi intime qu'explosif. Elle oublia tout, son travail, son appart pourrit, John... Son ventre explosait, son cœur sortait de son torse, ses bras étaient automatisés, ses mains naturellement, cherchait le sexe de Mike. Elle ne savait pas y faire et pourtant elle le faisait. Jusqu'à ce qu'il l'a pénètre. La c'était lui qui gérait. Sur le coup, elle eu mal, et après quelques secondes de va et vient, la douleur avait laissé place à une nouvelle sensations agréable.... Son corps agissait, elle profitait. ELLES étaient entrée dans la chambre et s'étaient cachées dans l'armoire, en passant par les prise électriques. A croire qu'elle n'attendaient que ça... Billie ne les contrôlait pas la, elle avait déjà trop de choses à 'faire'. Tant pis. Au pire il les verrait. Au pire il fuira. Mais là, mike ne pouvait pas les voir, c'est sur, beaucoup trop occupé....
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Sujet: Re: Lions VS Jets Dim 15 Avr 2018 - 23:55
Billie me rend mon baiser puissance 1000. C'est qu'elle a envie la petite coquine. Ca tombe bien, moi aussi. Et savoir tout ça, beh ça m'excite encore plus, vous comprenez n'est-ce pas. Savoir qu'on excite une personne, forcément, ça donne des hormones en folie.
Une fois entrés dans la chambre, Billie me laisse même pas le temps de souffler, elle prend les choses en main, et c'est peu dire, elle a juste enlever son manteau que voilà ses lèvres pendues aux miennes, littéralement. J'la plaque donc contre le mur, et un besoin se fait de plus en plus urgent. J'me débats avec mon manteau qui finit par s'échouer par terre.
Mes mains passe sous son tee shirt, ce qui la fit rire. J'pige pas, mais tant pis, elle commence à m'enlever mon tee shirt et s'aperçoit de mes nombreux tatouages. J'ai tendance à les oublier tellement ils font partie de moi. Quand je revois des photos où j'en ai presque pas, ça a plutôt tendance à me faire bizarre, genre c'est pas normal. Mike il est tatoué quoi, c'est comme ça et c'est tout. C'est la vieille qui approuve pas, mais qu'est-ce que j'en ai à foutre franchement. Aucun de ses petits enfants n'est assez digne pour elle pour reprendre la famille. Sauf peut être Shae. J'sais pas, j'm'en fiche.
Elle fait glisser ses doigts et ses mains sur mes tatouages, je la laisse faire tranquillement, surtout que je vois qu'elle se dirige tranquillement vers mon jean. Et dessus, pile entre mes deux jambes. Et évidemment, ça réagit en bas. Et elle me réembrasse.
Je noue alors ses deux mains autour de mon cou, prend ses jambes pour les nouer autour de ma taille pour que nos bouches continuent de valser ensemble. Je la pose alors tranquillement sur le lit, fait glisser ma bouche dans son cou, pour la faire frissonner de désir. Je passe encore mes mains sous son tee shirt et l'enlève définitivement cette fois. Je joue avec ses tétons qui sont déjà à l'air libre, je descends pour aller les mordiller, continue d'embrasser son ventre jusqu'à arriver à son pantalon. J'enlève la braguette d'un coup dur mais précis, nerveux, pressé. Je prends sa culotte en même temps que je descends le tout à ses chevilles. Le reste finit par terre, je me remets vite debout pour enlever également le reste de fringues qu'il me reste sur le dos. Chaussettes comprises pour nous deux, faut pas déconner. J'baise pas en chaussettes. J'ai trop chaud après. J'ai déjà trop chaud. Et à voir comment elle respire, elle aussi. Je reviens alors à la charge, me mets à califourchon sur elle, l'embrasse fougueusement et fait glisser mes doigts sur elle, sur son entrejambe qui ne demande déjà que ça.
Billie attrape alors mon sexe déjà prêt et cela me tue de plaisir. Mais vous savez ce qui serait encore mieux ? Être en elle, exactement. Ses doigts savent ce qu'ils font et me font le plus grand bien, j'applique le même rythme qu'elle me fait sur elle. Et n'y tenant plus, je relève ses cuisses et la pénètre. J'oublie tout le reste. Parce que qu'est-ce que c'est bon. Je vais doucement au début, voyant sa légère grimace. Elle a mal ? Mais euh... J'peux pas arrêter là, hin, donc je vais doucement, jusqu'à ce que son expression change de la douleur au plaisir, ce qui me permet d'accélérer la cadence.
Qu'est-ce que c'est bon putain.
J'agrippe ses seins en même temps, joue avec ses tétons, malaxe ses fesses, joue avec son clitoris gorgé de sang.
Elle est si réceptive que forcément, c'en est bandant. J'me perds dans tout ce plaisir, je ne réfléchis plus, ce n'est que l'instinct qui parle, l'instinct bestial. Et à force de la toucher de partout, je la sens se contracter. Contraction qui me font OH PUTAIN du bien. Alors forcément, je jouis à mon tour. Je mets mes bras de part et d'autre de sa tête, attends un petit moment pour que le sang arrête de pulser et me retire d'elle. Je me penche pour l'embrasser une nouvelle fois avant de m'effondrer à ses côtés, haletant, pantelant.
C'est fou que ça fait du bien, putain.
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Sujet: Re: Lions VS Jets Lun 23 Avr 2018 - 12:51
A tout les coups, ELLES ne sont que des voyeuses. Celles-là plus que celles de la campagne. ELLES ont tendance à être la ou on ne les attend jamais, comme dans la baignoire ou sous le lit. C'est des fois très gênant, c'est au final comme si un véritable humain observait Billie, car oui, d'innombrables petites paires de yeux font le même effet qu'un visage placé a moins de quatre centimètre de ta tête. Ça fait à moitié flipper. Mais il fallait s'accommoder de sa nouvelle vie, elle n'allait pas prendre avec elle ses fourmis de l'Oklahoma ! Ça le fait pas trop dans la valise, d'une ça mange tout et de deux ça reste jamais en place.
Celles de New York avaient un comportement bien différents. ELLES avaient l'air plus éduquées et beaucoup plus adaptées à la présence humaine. Du coup ELLES devaient vouloir en profiter de temps en temps. Et Billie leur offrait un ravissant spectacle !
Dans le lit, il l'a toucha de partout, ses seins et ses fesses bien évidement mais aussi des lèvres et son clitoris. Elle avait étudié le corps humain mais jamais elle n'avait compris l'intérêt de cet organe qui agissait comme un phallus. Petit à l'extérieur mais plus grand à l'intérieur du corps... Mais bon, les actes valent beaucoup mieux que des mots. Désormais elle comprenait. Il l'a pénétra. Sur le coup elle eu mal, elle ne savait pas que son hymen venait de se déchirer et que son col, serré, subissait des frottements encore inconnus. Il n'y eu néanmoins aucun saignement.. Ça lui faisait énormément de bien... Plus il l'a touchais, mieux elle se sentait et plus elle en voulais. Un cercle vicieux s'était instauré.
Billie se tortillait, se cambrait, cherchant au maximum le contact avec le corps du visage d'ange. Son esprit était totalement envolé dans une dimension nouvelle, au dessus des nuages et de la misère du monde. Le lit était son espace et Mike la clé. Elle gémissait, embrassait, elle le griffa même sans s'en rendre compte. Puis elle jouit. Comme si une vague de lumière envahissait son être, comme si soudainement tout était beau et chaud et comme si un ouragan ravageait son corps. Quelque chose de bon et de sourd qui pour autant la fit gémir, bien plus fort cette fois. Mike la suivit quelque seconde plus tard, et il s'immobilisa sur elle un petit temps avant de s'étaler à côté. Billie Elle, restait allongée à sa place, elle baissa les jambes et ferma un instant les yeux. Maintenant elle était fatiguée...
Elle se tourna et s'étala sur le ventre, en virant l'oreiller, beaucoup trop gros pour elle par terre, ses cheveux étalés au dessus de sa tête et son visage tourné vers le sourire d'ange.
Elle ferma les yeux et en quelques minutes à peine elle s'endormi.
ELLES s'en allèrent et retournèrent dans les ténèbres sous l'hôtel, là où personne ne pourrait les voir, célébrant en silence le naissance d'une nouvelle reine.
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