Welcome to Mystery...

Citation-Citation

feat Inconnu

Âge : 20 ans Date & Lieu de naissance : Viennes le 15 décembre 1989 Race : mélé(e) Statut :Célibataire Groupe :Solitaire Don premier : Illusion. Puis qu'il faut le décrire je décrirais mon don, bien que je ne voit pas l'intérêt de décrire un don don le nom est la fonction. Mon don consiste donc à créer, en manipulant vos petits esprits de mammifères (=D), des illusions. Ainsi je peux vous faire croire que vous avez une tarte devant vous et, si vous décidez de la manger, je peux, avec énormément de concentration, tenter de vous en donner le goût. Néanmoins mon pouvoirs à une limite simple, la concentration, il suffit que je perde ma concentration première pour que mon illusions s'amoindrisse. C'est pour ça, par ailleurs, que je passe de longue heures, par jours, à m'entrainer à la concentration. Pouvoir premier : Télékinésie. Mon "poids" maximal est celui d'une maison. Au mieux je peux la faire trembler, mais je ne pourrais pas la déplacer. Je ne crois pas qu'il est utile de décrire la télékinésie, auquel cas je dis simplement que c'est le pouvoir de déplacer les corps matériaux et immatériaux (c'est dernier avec une plus grande difficulté,sérieux tenter de déplacer du vent ou de la vapeur c'est très difficile )

«
Linz _ Haute-Autriche. Janvier 1989
Une place parmi tans d’autre. Elle n’a rien de spécial avec sa rue dallée, ses quelques bars, les terrasses de ses restaurants, sa fontaine de pierre beige, au milieu. Pourtant c’est sur cette place que tout commence. Dans l’un de ses bars, se trouvait une femme, à la chevelure platine, aux lêvres charnues, coloré d’un rouge prononcé. La tête posée sur le menton, elle regardait par la fenêtre du bar de ses yeux vert. Ce jour là il pleuvait. Elle attendait un homme. Elle l’avait rencontré un mois au paravent. Il n’était pas d’Autriche, mais elle avait besoin de lui. Et qu’il croit qu’il existait quelque chose entre eux était la meilleurs manière d’obtenir cette chose. Ainsi il obtiendrait une chose dont il avait envie, et, sans qu’il le sache, elle aurait ce qu’elle voulait. Le voila, d’ailleurs, qui arrivai.
L’homme. Il était Ecossait, avait la jeune trentaine, il était de neuf ans son ainé. IL avait un visage vrai, parcourue de quelques tâches de rousseurs. Ses yeux, gris à en devenir blanc, se posèrent immédiatement sur la belle jeune femme qui était, depuis trois mois maintenant, sa moitié. Pour Edouard, Anastasie était parfaite. Ah si seulement il ne devait pas quitter l’Autriche le lendemain, ou s’il pouvait l’emporter avec lui, loin d’ici et l’emmener, avec lui, en Ecosse.
Il prit place devant elle, sur la chaise qui lui faisait face, et, devant l’adorable et tendre sourire qu’elle lui offrait, il lui prit la main avec la délicatesse du parfait amant. Ce qu’il était, enfin pour lui. Mais pour elle il n’était qu’un outil dans ce dont elle avait besoin pour vivre.
-Je fais le plus vite que j’ai put, dit-il en guise de bonjour, caressant le dos de la main de sa douce.
Cette dernière leva vers lui les yeux et, levant les mains pour les lui embrasser, puis dit, de son accent roucoulant, roulant avec un doux accent sur le « r ».
-Ce n’est pas grrrrave, mon amourr. Maintenant que tu es là tout est parrrfait. Nous pouvons y aller, ce barr me répugne.
Obéissant, Edouard se leva, et, portant son bras autours de la taille d’Anastasie, ils quittèrent le bar. Ils marchèrent longtemps, quittèrent la ville puis, à un moment, arrivèrent sur une route bordée de champs. Lâchant la main d’Edouard, Anastasie courue dans l’un d’eux, poursuivit de prêt par Edouard. Pénétrant le champ, elle lâchait, bonne joueuse, de petits éclats de rire, ses petits pieds foulant le sol dans sa course. Puis elle sentit les imposantes mains d’Edouard se poser sur elle, à la suite de quoi, ils tombèrent sur le sol, y roulèrent, leurs lèvres ne tardant pas à se mêlées les une aux autres. Puis se furent les doigts qui furetèrent sur les corps, les dévêtissent petit à petit jusqu’à ce que deux corps nus ne dansent l’un contre l’autre. Ainsi l’Autrichienne approchait de ce qu’elle désirait, et c’est dans ses cris mêlés aux râles de son amant qu’elle obtint ce qu’elle voulait.
Le lendemain Edouard partait, et Anastasie, satisfaite, reprenait sa vie en sachant, ce que, dans quelques mois, elle aurait. Elle l’attendait avec impatience. Maintenant elle avait une vie accomplie. Aucun homme ne la commentait, elle était une femme d’affaire indépendante, vivant dans le parfait habitat, et bientôt, elle serait mère.

Viennes_15 décembre 1989
Anastasie n’avait pas dormit depuis maintenant douze heure. Les douleurs l’avaient lacérée et c’était sa meilleure amie, Veronica, qui vivait avec elle, qui l’avait emmener à l’hôpital, avait tenu sa main lors des douloureux heures qu’elle avait passer, les jambes écartée, à pousser à la vie l’enfant qu’elle avait neuf mois durant porté. Un bouffé de joie l’envahie lorsqu’elle entendit les cris de son enfant, et dans un souffle elle lui donna le nom de Eli.

L’enfant, à la naissance, ont le retire toujours à sa mère. Et en soi, Anastasie préfère perdre quelque heure avec son enfant et savoir ses problèmes, plutôt que vouloirs le garder contre elle et devoir apprendre, plus tard, qu’il a des problèmes. Ainsi elle découvrit que son enfant avait bien un « problème ». Son bébé devait être un hermaphrodite. Avec les années, plus Eli grandit, plus en on venait à ne pas savoir s’il était une fille ou un garçon.

Aujourd’hui, c’est à moi de raconter...
Ma mère ne me cacha jamais mon hermaphrodisme. J’en fus vite conscient. Mon visage étant fort féminin, je revétissait souvent des accoutrements de filles. Jusqu’à mes dix ans, Maman, Tante Veronica et moi vivions avec perfection. Mais Tati s’absentait souvent, puis un jour...un jour elle ramena un homme à la maison ? Alphonse. Je ne l’aimais guère avec ses grands yeux bleus nous regardant avec un air de bienheureux. JE n’aimais pas non lus ses cheveux épais et châtain. Je n’aimais rien chez lui, mais ça n’empêcha pas qu’il s’installe, avec nous, au domaine. Tati et lui habitait l’aile ouest. EN soit c’était un grand appartement au première étage du manoir, avec, si je me souviens bien, deux ou trois chambre. Ils avaient leur salon, leur cuisine, leur terrasse... C’était pareil dans notre aile, à maman et moi.

La vie au manoir devint dure avec Alphonse. Il critiquait tout le temps, voulait tout le temps avoir raison. Bien qu’il ne soit même pas mon oncle il se permettait de critiquait la manière dont ma mère m’éduquait. Pour lui je devais aller à l’école. Et pour lui j’étais un garçon, alors je devais cesser de mettre de frusque de fille. Ce genre de remarques devint tel que je finis par entrer à l’école, pour la première fois, à onze ans. Je n’avais, jusqu’alors, qui suivit des cours à domicile. J’en détestais Alphonse. Par sa faute j’entrais dans un système qui m’excluait. D’abords on me prit pour un garçon, alors, je fus forcé de m’habiller comme un garçon, sans mes touches féminines. On voulut bien me forcé à coupé mes long cheveux blond mais je refusais. Parce que je ressemblais à une fille les garçons me méprisaient, et parce que j’étais considéré, administrativement, comme un garçon, les filles ne m’adressaient la parole. Je n’eus guère d’amis. Et tout s’envenima lorsque ma poitrine grossit.
Je venais d’entrer au collège, ma poitrine avait rapidement grandit pendant les vacances d’été. Ma mère avait fait attention à me mettre dans un collège, privé et hors de prix, où il n’y aurait pas d’enfant de mon ancien établissement. Au début tout ce passait bien...Mais la dernière année fut une catastrophe. En janvier, toute la prudence que j’avais déployée tomba.
J’avais pour coutume de toujours trainer après le sport, afin de pouvoir, par la suite, me laver sans me soucier d’être vue ou non.
Ce jour là, l’eau chaude des vestiaires coulait sur mon corps pâle. Mes cheveux me collaient à la peau, tel qu’on aurait dit qu’il ne faisait qu’un. tout blanc était t-ils tous deux. Avec insouciante je pris ma serviette, sortant de la douche, les yeux fermés, chantonnant quelques cantiques. Et lorsque j’ouvris les yeux je fus aussi effrayé que lui. Il se nommait Dric. Cela faisait deux ans qu’il me courrait après, cela faisait deux ans que je repoussais ses avance. Je voyais dans ses yeux, qui ne lâchait pas mon entre jambe du regard, qu’il allait crier. En tout cas c’est ce que moi je fis, tombant à genoux et m’entourant de ma serviette alors que lui sortait en courant du vestiaire. Je savais que, par la suite, mon secret serait révélé, préférant remettre mes souffrance au lendemain je retournai chez moi et m’enfermait dans ma chambre. Ce soir là je ne mangeais pas et maudissait Alphonse de tout mon être...
Comme je l’avais prévue, au matin, tous mes amis n’étaient plus et je finis l’année « seul »...

Ma vie se déroula dans l’exclusion longtemps. Je ne faisais plus attention à mon secret. J’étais restait dans le même établissement pour mes années de lycée. Ce ne fut que la dernière qui changea.

En effet pour ma dernière année de lycée je demandais à ma mère de m’inscrire dans le lycée public. Je n’en pouvais plus de l’école privée, strict et étouffante. Le changement d’établissement marqua une libération. Ainsi je me teins les cheveux en rouge écarlate et me perçai la lèvre inférieure.
Je n’avais pas plus d’ami là bas qu’en privé, mais là, je n’en cherchai plus. Les années m’avaient endurci. Je repoussais les gents de mon silence et de mes yeux clairs et ne m’occupait de rien. Mon hermaphrodisme, que je ne cachais pas, s’annonça comme étant une rumeur.

-Tu es souvent seule.

Cette voix...elle restera à jamais gravée dans ma tête. Elle ne nommait Hannah. Nous avions le même cours d’Anglais, de Math et d’Art. Je la trouvais belle avec ses longues boucles ténébreuses qui glissaient le long de son dos, avec son air malicieux.
C’est en levant les yeux du livre que je lisais que je lui répondis, plongeant mon regard dans ses yeux émeraude qui, tout de suite, m’envoutèrent.

-Je ne vois pas l’intérrrêt d’avoir des amis. Ceux que j’avais on tous fuis. Autant, donc, rrrrester seule...

Et je me levai, la contournant en attrapant mon sac.

-Tu vas où ?
-En courrrs...
-Euh...J’aime beaucoup ta jupe
-Merrrci...

Et je la quittai sans d’autre mot.
Avec le temps Hannah se rapprocha de plus en plus de moi. Et je la laissais entrer dans mon cœur. J’aimais sa présence, son rire, son humour. Je l’aimais...mais je ne le lui disais pas. J’avais bien trop peur de l’effrayer.

-Et si tu venais avec moi ce soirrr ?

Nous étions en juin, nous venions d’arrêter l’école, nous avions, nous en étions certaines, notre examen de fin d’étude.

-Où ?
-Et bien avec des amis...

Je grognai avant qu’elle ne finisse sa phrase. Je n’aimais pas me balader avec ses amis, J’avais de mauvais pressentiments. Mais Hannah me regarda avec ces yeux....ces yeux adorables auxquels je ne pouvais dire non. Alors le soir je me retrouvais dans une voiture, avec Hannah et deux de ses amis. Tous des hommes, plein de vie, jeunes et plutôt mignons. Nous roulions, les musiques aux plus hauts, hilares.
Je bus trop. Je m’endormis.
Lorsque je me réveillais mes membres me tiraient, autant que ma tête bourdonnait comme si j’avais été l’enclume sur laquelle on avait frappée le marteau du forgeron. Le vent soufflait sur mon corps et caressait ma peau. Au début je ne m’en étonnais pas, jusqu’à entendre Hannah. Elle gémissait. Et de plaisir. Petit à petit j’entendais d’autres gémissements et soupire, ceux d’hommes. Quand j’ouvris les yeux je ne vis, d’abords, que des taches pâle dans les ténèbres, avant de comprendre où j’étais et ce qui se passait. Nous étions dans un entrepôt désinfecté, et, devant moi, Hannah était appuyée à une caisse, bouche occupée, la tête encerclé des mains d’un de ses amis qui lui faisait gouter à des délices qu’offrait les hommes. Derrière elle, sous les claquements de leur peau, la tenant par les hanches, je devinait son second ami.
Mon cœur se serra à cette vision et, en voulant boucher, je compris être attaché. C’est parce que je me débattis pour me défaire de mes liens qu’ils se rendirent compte que j’étais sortit de mon sommeil.

-Et rrregard Hannah, Eli c’est rrréveillé, dit celui qui l’empêchait, par on appendice externe, de parler. Mon dieu que c’est dommage des nichons parrreille gaspillé parrr ça, ajouta t-il en empoignant mon sexe, me faisant tant gémir et que sursauter.

-Ne sois pas méchant Merrick, se contenta de dire Hannah en se désolidarisant de son autre partenaire pour s’approcher de moi. Ne t’inquiète pas Eli, je vais bien m’occuper de toi.

Je n’eus pas le temps de rétorquer que sa bouche se refermait déjà sur..je pense que vous avez deviné.

-Rrregarde Ulrick ! C’est qu’il aime ça l’herrrma !

En effet, malgré moi, je ne pouvais pas réfuter le plaisir que je prenais. Et que ce soit Hannah qui me l’offre ne faisait qu’accroitre mon plaisir.
Ils m’avaient attaché de t’elle sorte que mes bras soit au dessus de moi, écarté, comme mes jambes qu’une barre de faire maintenait à hauteur convenable. Je ne touchais le sol. Et, jambes écartées, dans cette étrange position d’assise aérienne, attaché, je gémissais et soupirait du sort qu’Hannah me faisait endurer.
Je vit Ulrick monter sur quelque chose et l’instant qui suivait, la bouche occupée, je ne pouvais plus qu’avoir des gémissement étouffés. Hannah m’offrit alors un nouvel endroit humide que sa bouche et ses gémissements se mêlèrent aux miens.
Mais je n’aimais plus ce moment. Je ne voulais que Hannah, hors Ulrick et Merrick me possédaient aussi.

J’avais finit par retirer Ulrick de moi mais je compris vite que je n’aurais pas dut. Il me frappa, si fort que ma lèvre en saigna.


-T’es qu’une chose. Tu subis. Alors rrreste tranquille saleté.

Avant que je ne riposte il reprenait place. Et Merrick ne tarda pas à prendre place lui aussi. Ailleurs, dans un endroit qui n’est pas de cet usage, sauf dans les ébats dérivant. La bouche que j’avais gardé fermement serrées pour empêcher Ulrick d’y pénétrait s’ouvrit alors, lâchant un cri. Il en profita... Tout trois en profitèrent De temps en temps Hannah me jetait des jurons. Elle m’avait fait croire à une amitié, pour m’amener à ça... Pour elle je n’étais rien qu’une chose...une chose....

Quand ils en eurent finit de moi ils détachèrent mes liens. Je tombai lourdement et douloureusement sur le sol. Mon bras, mon dos, tout mon corps était endolori. Je haletais, la bouche pleine d’un liquide que je ne voulais pas, le corps parcourut de cette même substance. Merrick et Ulrick me retournèrent, sur le dos, pour qu’Hannah s’amuse encore. Puis...ils me frappèrent, tous trois. De leurs pieds, d’abords, puis avec des barres de fer.

Je perdis connaissance.

Je repris connaissance, plusieurs semaines plus tard. Tante Veronica et Maman étaient à mon chevet. Alphonse regardait un match de foot à la Télé. On était, je le voyais bien, dans uns chambre d’hôpital.

-Connarrrd...

Ce fut mon premier mot, adressé à Alphonse que je fusillais du regard. Tout était sa faute. Mes années de mal-être, mon viole. Tout ça parce que j’avais dût aller à l’école...par sa faute...J’aurais bien put suivre les cours à domicile mais non....
IL me regardait de ses yeux de merlans frit. Ma mère et tante Victoria, pour leur part, le fusillait du regard. Elles avaient longtemps pensés comme moi. Depuis la primaire...Et là c’était le coup de grâce.

Alphonse ne faisait plus partit de la famille...

Je retournais à la maison deux jours après mon réveil. Depuis que j’avais insulté Alphonse je n’avais plus dit d’autre mot.
Maman et Tante Veronica était inquiète. Je ne disais pas un mot. Je ne m’inscrivis pas non plus à l’université. Je suivrais des cours par correspondance... Je passais mes journées dans le parc du manoir, au bord du bassin, sous un parasol, à lire pour oublier Hannah et cette nuit.

...

-Quoi ?! Comment que...

Je me souvient des larmes dans les yeux de tante Veronica, le regard affolée et perdue qu’elle avait avant de me prendre dans ses bras et pleurer toute les larmes de son corps. Mon viole remontait à un an. Maman était en retard ce soir là. Elle avait eut une réunion avec des collaborateurs potentiels japonais. Mais il se faisait très tard...Alors je compris ce qui ce passait avant que tante Veronica ne me le dise.

Je n’assistais pas à son enterrement. Je ne voulais pas, et je sais qu’elle n’aurait pas voulut. Maman était ainsi. Elle ne voulait pas que l’on l’honore, et je savais qu’elle aurait préféré pourrir dans la nature, que ce faire enterrer. Alors je restais assis, sur le fauteuil du salon de l’appartement où j’habiterais seul, regardant le vide silencieusement.

-Rrréjouis toi, elle a rrrejoint un monde meilleurs...

Cette voix, elle était à glacer le sang. Légère, venteuse...Je me retournais pour regarder la femme qui l’avait dit. Elle était blafarde et semblait d’une irréalité poignante. J’avais l’impression qu’au moindre courant d’air, elle s’envolerait. Mais le plus étrange c’était que, bien que la salle soit entièrement fermée, ses long cheveux d’un roux terne, voletaient. Je me levais, poussant un cri.

Tante Veronica ouvrit, d’un mouvement ample, la porte, entrant dans la pièce pour voir ce qui m’arrivait. Elle était suivit de prêt par un homme, dont je connaissais les yeux gris. C’étaient les miens... Tante Veronica m’enlaça dans ses bras, me demandant ce qui m’arrivait, l’homme restait en retrait, le regard posé sur cette femme que ma tante ne voyais pas. Je ne compris pas ce qu’il fit mais elle disparut. Puis il posa ses yeux gris sur moi, les plongeant dans les miens.

Plusieurs mois plus tard j’allais, avec lui, en Ecosse. Mon père, Edouard McLif, n’avait sût que trop tard qu’il était père. Je ne lui en voulais pas, maman m’avait toujours dit que j’étais son secret. Elle m’avait gardé pour elle jusqu’à la mort. Je devais ma rencontre avec mon père à ma Tante. Elle avait, avec justesse, pensait qu’il me serait bon de le connaître. Je l’approuvais. Les premiers mois j’appris à le connaître. Il ne s’imposait pas, contrairement à Alphonse, il était bien plus facile à vivre, ne se conduisait pas comme un père. Nous savions communiquer par le silence. Les apparitions, comme la dame, furent de plus en plus fréquente. Papa me dit de quoi il s’agissait...Et je me découvris de nouvelle étrangeté...

C’est pour ça que je partis avec lui en Ecosse, pour me connaître entièrement. Je retournerais en Autriche quand je le voudrais. De toute manière, de moitié, le domaine m’appartiens.

Mon père, dans toute sa grandeur, m'a appris à manier quelque arme. Mon arme de prédilection est, en tout cas, le poignard. Mes années de pom-pom "girl" me serve aussi au combat, tant par l'agilité que par la rapidité de mes mouvement et par ma souplesse.



»

● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées.

« QUI-ES-TU ...? »

● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées.

Je suis une grande personne, et j’ai parfaitement conscience de mes atouts.
Alors je m’en sers C’est peut-être pour ça que je suis véritablement manipulatrice ou -teur. Non...c’est surement et surtout pour ça. Parce qu’un joli minois ne fait pas tout et qu’il faut être mali pour parvenir à ses fins. Et mon charme, et ma manipulation ne suffit pas. Il faut aussi savoir jouer. Déjà jouer avec les gents, savoir n’avoir aucun scrupule, ne regarder que son objectif et pas ce qu’il y a autours, parce que la seule chose qui compte c’est moi, moi et mon bien. ON ne m’a, après tout, jamais donné de raison de m’intéresser à autre chose.
Mais il faut aussi savoir jouer avec soit même, arrivé à un état où, sachant ce que l’on est et ressent, on peut faire croire totalement l’inverse à la personne face à soit. Par exemple, simuler lorsque son partenaire, trop sûre de lui, est en réalité un parfait looser et est parfaitement nul.Ca ne m'est jamais arrivé, mais je sais que un jour ça arrivera. Il faut avoir une parfaite maitrise de chaque parcelle de son corps, il faut savoir pleurer s’il faut pleurer, rougir s’il faut rougir, transpirer s’il faut transpirer et jouir s’il faut jouir (mais ce n’est pas encore arrivé...). C’est ça savoir jouer et c’est exactement ce que je sais faire.
Je ne mentirais pas, je sais être surpris par l’imprévue, parce que, même calculateur comme je suis, je ne prévois pas tout, je ne suis pas omniscient. Je sais être surprise quand il faut l’être, et ceux même si je ne le cache pas. Et je sais aussi être le pire menteur et le meilleur, de sorte à te faire croire à la chose la plus improbable, de manière qu’elle te paraitra si vrai que ta réalité se substituera à l’irréalité que j’ai inventé, dans ta tête. Résumons donc. Je suis un manipulateur, doublement joueur, menteur et calculateur. Que manque t-il ? On n’a pas parlé du sadisme ? Oui je suis sadique mais je sais être douce aussi. J’aime qu’on me fasse mal parfois. Sado-maso ? Oui j’avoue je le suis. Et j’aime ça.
. Je sais être tout ce qu’il y a de plus humain. Je aurais de l’amour pour la personne que j’aimerais, si un jour j’en ai un. Je sais que aimerait mes enfant, tant est que j’en ai. Il sera l’une des choses les plus importantes qu’il m’est donné d’avoir. Pour rien au monde je ne le donnerais ou le sacrifierait, je préférerais plutôt mourir et toutes personnes osant lui faire le moindre mal mourra de mes mains, sans que je ne m’applique à me faire douce où leurs faire penser que mes intentions sont autre.
Mais toutes ses choses qui peuvent me faire être plus douces et plus ouverte n'existe pas encore dans se monde, et n'existeront peut-être jamais, alors pour l'instant seule moi m'intéresse.
J’ai bien trop souffert pour être indulgents. Je préfère la solitude à toute chose, car c’est le mieux pour moi . Je n’ai besoin de personne et la réciproque est vrai.

● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées.[/size]

Rouge, quelle belle couleur. Gris, lui aussi est admirable. L’albatros s’élève dans les airs, après s’être posé que une mer de sang et avoir regardé les environ de ses prunelle argenté.


Je me comparerais bien à l’albatros sur son océan de sang.Car, après tout, l’albatros a mon teint, pâle. J’ai toujours aimé mon teint. Si blanc, si parfait. Pareil à la lune, si bien que j’eusse longtemps pensé quelque un des cratères ce cet astre était le fruit d’extraction que l’on avait fait afin de sculpter ma silhouette. Oui, mais je me suis résolue à abandonner cette hypothèse. Après tout, qu’elle homme m’aurait sculpté, et dans quel but ?Qui aurait sculpté un être aux traits si trompeurs, de telles manières que l’on ne sait s’il est un homme ou une femme. Car avec mon visage aux traits fin, je passe biens souvent pour une femme, bien que j’eusse un nez de moindre douceur,surplombant à des lèvres aux courbes si parfaitement dessinés que j’en vins,plusieurs fois, à vouloir m’embrasser. Naturellement je rigole. Mais mes lèvres n’arrangent rien. Elles sont charnues, douces tel le satin. En général, j’orne la lippe d’un anneau en argent, offrant ainsi à mes lèvres, que je colore de rouge, un petit éclat.
Mon visage d’albâtre est encadré d’une longue chevelure écarlate, qui vient à cascader les long de mon dos, jusqu’à en caresser le bas.Loin d’être de couleurs sang, mes cheveux ont, en réalité, une couleur blond platine,presque argenté. Mais je n’ai jamais aimé ma couleur blonde, je l’exécrais à un tel point. Elle donnait l’impression que j’étais un être grêle et fragile.
Ma tête est portée par un corps svelte, fort en courbe. Mes épaules, par exemple, sont d’une apparence fragile,annonçant des bras aux muscles secs, qui serait digne d’une femme, tout comme le corps auquel ils sont rattachés. J’ai un corps, en effet, élancé, aux hanches prononcé, mais je bande toujours mon opulente poitrine, l’aplatissant par ce fait. Elle me fait honte. Car je ne sais pas qui je suis. Je ne sais pas si je suis un homme ou une femme. Car entre mes jambes, il se dresse, ce membre. Je pourrais le couper, mais je le cache bien assez sous mes vêtements.Je pourrais avoir quelque chose qui me porte un indice, mais rien ne m’indique ce que je puis être. Je suis androgyne jusqu’à la voix. Une voix placide,posée, ni femme ni homme, bien que douce mais aussi quelque peu rauque. Je ne même en rien. Ni ma peau immaculée, ni mes cheveux sang, ni mes yeux d’un cri presque sombre, dont la pupille est colorée de vert. Rien, je ne m’aime point.Car comment s’aimer quand on ne se connaît pas ?

MORE?

[right]Surnom-Surnom
[list]
Âge :17ans
Poste Vacants ? : []oui []non
Comment avez-vous connu le forum? : Par Saseko
Fréquence de venue : 4.5/7
Codes :
OK BY ANGE

Bienvenuuuue! =)

Bonne chance et bienvenue!

Bienvenue esclave 8D

/BAF/

Toi chut! ><
S'pèce de saleté va
*Va se faire punir à souhait huhu*

Sinon merci à vous tous =3

Bienv'nue miss !

Bienvenue à toi ^^

Ooooh, l'esclave de Kasu !

Bienvenuuuuuuuuuuuuue =)

Welcome !!!!

Ren j'adore ton nouvel avatar !

Vrai? Moi aussi je l'aime XD

Bienvenue^^

Non >< je ne suis pas son esclave

Pas encore 8D

Bienvenue ^^

Mais grande question, t'es une fille ou un garçon ?

Le nombre d'androgyne sur ce forum c'est flippant mdr

Ni l'un ni l'autre, je suis hermaphrodite =D

Bienvenue =P

Ren : Moi aussi je loooooove ton avatar!

Et voila!! J'ai finit ma présentation =D

Etant donné qu'Hayley est en vacances, je prend ta fiche en charge.

Tout d'abord sache que la description aussi aprofondie des pouvoirs n'était pas nécéssaire mais tant pis, elle renseigne pas mal sur ce que ton personnage peut faire, ce n'est pas plus mal.
J'ai été très surprise car ton style d'écriture narratif contraste beaucoup avec la description des pouvoirs : l'histoire est très bien écrite, la description des pouvoirs est médiocre. En tout cas j'ai beaucoup aimé, c'est dommage que le fait que tu écrives si bien soit quelque fois gachée par des grosses fautes d'orthographes, mais je ne doute pas que tu puisses t'améliorer
Le fait que la mère d'Eli ait séduit un homme uniquement pour avoir un enfant m'a beaucoup plu, par contre le nom de la tante change tout le temps O.O Alors si tu pouvais modifier s'il te plait
Ensuite il est vrai qu'une grosse partie de l'histoire est axée sur ce viol, et qu'il soit explicitement décrit, cela ne me dérange pas, on comprend bien ce qui se passe, c'est vulgaire (normal, c'est un viol) sans en faire, trop. La seule chose que je demande c'est que tous tes RP ne soeint pas comme ça. Je rappelle que dans le règlement nous vous demandons de ne pas confondre pornographie et érotisme dans vos RP. Encore une fois, ceci n'est qu'un avertissement, la partie viol de ta fiche est OK, quand on comprend le contexte de ton histoire.
Le caractère et le physique sont OK, je te demanderai simplement d'uniformiser les polices et la taille des caractères , car le physique est écrit dix fois trop gros.

Voila quand tu aura arrangé ces 2 trois petits détails, tu seras validé =)


EDIT = VALIDE !