Une nuit, ou le soleil venait de se coucher, le jeune homme se mit en route d'aller conquérir Orphéo. Non pas tout à fait, il espérait y trouver des âmes errantes. Pas du style fantôme mais des femmes qui sont tourmentées par les péchés de leur entourage. Là bas, il l'espérait y trouver ce genre de personne. Bien qu'il est horreur des enfants, pour avoir vécu dans un puits pendant quelques jours. Il se força à franchir la limite de cette peur, infondée pour pouvoir faire une vengeance ou une rencontre. Cependant le temps était parfait pour ne pas se faire remarquer, et de pouvoir ainsi s'approcher des femmes de l'orphelinat. Enfin vue le pourcentage de personne vivant dans cet endroit, il aurait dit que les femmes qui vivait ici, devait être à la majorité des enfants, donc des petites filles.. Cela lui fit penser justement à son amie d'enfance Elisabeth, qu'il avait dû laisser pour pouvoir accomplir sa propre vengeance. On pourrait croire de lui, quelqu'un d'égoïsme mais loin de là. Il ne se souvenait tout simplement pas de sa vie. Un drame dramatique, qui s'était produit à cause de sa belle-mère, mais ça Märchen ne le savait pas encore. Il le saurait tôt ou tard, et ce jour là, il arrêtera ces vengeances et détruira cette femme qui jugea à ses yeux comme une sorcière.

Au détour d'une rue, il entendait du bruit. Bien sur, ce bruit provenait de l'intérieur de la maison, mais qui savez vraiment qui cela pouvait être, surtout à une heure aussi tardive. Donc il se fait plus que discret et très attentif. Il ne fallait surtout pas se faire voir, ou se faire prendre pour un des sorciers noirs de Croix. Car loin de là, leur idée déplacée.. Il était de Santiago et ne s'en prend qu'aux personnes qui jugent bon d'exécuter. Même si la sentence est la mort, il n'y a pas autre moyen de punir ce genre de personne. Les gens le trouvait mauvais, sur ce point là.. Ils ne voyaient pas comment on pouvait juger une personne comme ça et lui ôter la vie. C'est de là que lui vient cette image de l'homme. Il ne supportait pas leur ignorance et leur insouciance. Certes, cela n'était pas de leur faute, mais pour lui c'était l'une des raisons principales qui détestait les humains. Vivre leur vie sans ce soucier des gens qui souffrent ou qui sont en guerre.. C'était pour lui déplacer de leur part. Alors il préférait haïr son espèce qu'être l'un des leurs.

Qui cela peut être à une heure aussi tardive.. Un surveillant, peut être ! Mais je n'ai pas envie de le savoir.

A ces mots, il se cache derrière une des maisons qui était tout proche de lui et observa la personne discrètement. L'humain noir pouvait sentir que ce n'était pas une humaine, non elle avait une odeur bien plus forte que de simples humains. Alors il déposa son regard sur l'endroit ou il s'était caché et remarqua qu'en faite, c'était Orpheo. L'endroit ou il espérait aller. Le trajet fut plus court que ceux qu'il cru ce qui était un avantage pour lui pour pénétrer à l'intérieur du bâtiment. Oui car une fois dedans, le jeu de « La marionnette » allait commencer. La règle est simple, au simple contact ou vision d'une personne qui oserait lui faire faux bons, il prend son corps en possession pour en faire une marionnette. Avant il avait même essayé de faire de simple jouet des humains, mais là n'est qu'un test de ses pouvoirs, plus tard pour le moment, il était impossible de faire ça, mais ce n'était pas grave, aux moins dans son enfance, il avait appris à contrôler ces pouvoirs sur les autres victimes des vengeances. Ce qui était pratique pour lui.

Orpheo te voilà enfin à moi. J'attendais cet instant depuis longtemps. Pouvoir trouver des femmes en détresses dans un orphelinat bombé de personnes féminines. Mais bon, à présent, il faut que je rentre à l'intérieur.. Oh le gardien ! Si on commençait le Jeu..