Bon voilà, une nouvelle journée venait de faire son apparition et quoi dire de plus à par que j'étais dans le coaltar. Ouais hier soir j'ai participer à une fête d'enfer et je me suis éclater la gueule, avec deux bouteille de Whisky que j'ai pris sans permission temporairement... Temporairement ? Oui en effet toute bourrer je suis revenue déposer le bouteille (Vide) dans la boutique ou je les avaient dérober. Attention je les ai déposer sans me faire voir, évidemment. Mes Parents ? Quoi mes parents ? Eux ils sont partis avec mon petit frère en Week-end, ils m'ont donc laisser le manoir, cependant ce n'est pas dans le manoir ou j'ai fait la fête... Vous êtes fous je n'aurai jamais oser, je tiens à ma vie tout de même. Non je suis plutôt, aller à une fête plus loin en ville dans les coins pas trop fréquentable.

Enfin voilà tout sa pour dire que je me sentais pas en forme se matin, d'ailleurs j'aurai put faire la grâce mate. Cependant le message répondeur du téléphone fixe m'a informent du retourne de mes parents ainsi que Colin de leurs Week-end. Je n'avais pas le temps de me reposer, il fallait vite que j'aille me prendre une douche, brosser mes dent histoire d'enlever les dernière trace d'alcool. Mes parents ne savait pas naturellement que je me faisait des soirées, derrière leurs dos, donc si mon père venait à l'apprendre je serai mal barrer. Mais bon je doute qu'un jour ils découvre cela, que se soit ma mère ou mon père ils sont tout deux derrière Colin et donc ils ne se posent pas de question à mon sujet, enfin j'espère...

Je regardais d'un coup d'oeil par la fenêtre, la voiture de mon père venait d'arriver...

Ysoline me l'avait demandé, m'avait presque supplié de l'emmené en voyage. Je lui avais rétorqué que pour le moment je devais m'occuper des affaires de Croix, je lui avais répliqué qu'Édouard était peut être encore un peu jeune. J'entends par là qu'il sera compliqué de le faire voyager vu ses quelques petits mois. Mais Yso n'a rien voulu entendre. Je savais qu'elle était fatiguée et qu'elle avait grandement besoin de prendre l'air. Ma belle femme n'avait qu'une envie, reprendre du poil de la bête afin de redevenir la puissante sorcière noire qu'elle était. Et je n'étais pas contre du tout. Nous étions donc partis en vacances. A trois. Ca devait être un weekend en amoureux, mais avec Ed, ça irait quand même. Nous avions laisser Mathias derrière nous. Mathias. Un prénom de garçon me direz vous. Pas vraiment. Déjà c'est plutôt mixte. Et puis Ysoline a voulu qu'elle se prénomme ainsi. Pourquoi ? Une lubie, j'en sais rien. Mais ce que je savais à l'époque, c'est qu'il ne faut pas contrarier une femme enceinte. Jamais. sauf si vous ne tenez pas à votre vie.

Nous étions partis avec la SLR Brabus, une voiture que j'affectionnais particulièrement. Étant plutôt friqué (c'est dans la définition d'être un Cross) nous possédions un tas de voiture ultra chère et super sophistiquée avec plein de gadget et tout. Les rêves de gosse. Lorsque j'avais tourné la clé nous étions partis. Et hop un petit tour en Normandie, juste deux jours. C'était plutôt sympa je dois dire. Loin des contraintes et loin de mes doutes. Doutes ? Oui, à propos de Natasha. Elle est enceinte bien qu'elle essaye vainement de le cacher et se tait sur sa grossesse. Mais qui peut bien être le père. Un sorcier je pense. Natasha ne voudrait pas risquer la vie de son gosse. Impossible qu'elle refasse la même erreur deux fois. Et pourtant je me demande... Ysoline et moi avons retrouvé un peu de ce qu'on était quand on s'est rencontré, et nous ne nous en aimons que plus. Puis ce fut le retour. Les pneus ont fait crisser les graviers et nous sommes sortis. Mathias nous attendait. Ysoline l'embrassa sur le front et partie s'occuper d'Édouard qui commençait à avoir faim. Je la pris rapidement dans mes bras avant de la lâché. Pas plus d'une seconde...

-" Tout s'est bien passé ?"

Pas de marque réelle d'affection. J'étais dans le genre un peu froid. Comme beaucoup de personne ici. Il n'était pas rare de voir les enfants porter des bleus ou des coupures. Nous étions durs, sans pitié, car nous voulions le mieux pour eux. Hors de question qu'ils échouent. Ils avaient le sang noble et devaient se montrer à la hauteur. Soudainement quelque chose me frappa. Cette odeur que je connaissais bien. Alcool. Je fronçais les sourcils. Violemment je pris ma fille et la plaquais contre le mur.

-" Tu as bu !"

Je la laissais retomber, un peu suffocante, et soudainement hors de moi. Comment ma fille pouvait-elle boire à seulement 15 ans et me manquer autant de respect au point de me mentir ? Si il y avait quelque chose que je détestais par dessus tout, c'était bien ça. Plus que le fait qu'elle est réellement bu bien que je trouve qu'elle soit encore un peu jeune. Oui je pouvais vraiment être dur et sembler méchant, mais cela n'avait qu'une raison : j'aimais ma fille et je voulais le mieux.

Je venais de sortir de la baignoire, je mis tout de suite mes vêtement de la veille dans le bac à linge sale. Je m'étais brosser les dents et me rincer la bouche plusieurs fois, malheureusement pour moi il n'y avait plus de Mentos. J'entendis le moteur d'une voiture de la salle de bains de ma chambre, je regardais d'un coup d'oeil par la fenêtre, la voiture de mon père venait d'arriver... Ce n'était en effet pas mon jour et c'était pas bon du tout, j'ai du redoubler de vitesse pour finir de me préparé. Je mis un vêtement au hasard pour gagner du temps, mais au finale j'avais bâcler la chose la plus essentiel que j'aurai dû faire... Mettre du parfum pour cacher les derniers reste d'odeur alcoolique, la vie est vraiment mal foutu, sa faut le dire.

Après mettre mis dans une de mes tenues convenable et non celle que je met pour sortir boire, je descendis non rassurer au rez-de-chaussée. Quand mes parents sont rentrés, je les attendaient sur la dernière dalle de l'escalier qui mène à l'étage du haut. Ma mère est venue m'embrasser sur le front avec Colin dans les bras, puis elle partis s'occuper de lui plus loin me laissant seul avec papa. Il me pris un bref moment dans ses bras avant de me demander, si tout s'est bien passé.

-" Heu... Oui comme tu peut le voir"

Je lui dit avec une voix pas rassurer, je sentais ma voix trembler pour vous dire. Si je mettais lever plus tôt je me serai enlever l'odeur avec plus de précision, mais voilà l'erreur est fait. Bon et vue que j'avais oublie de mettre le parfum, mon père ne prie pas longtemps avant de sentir l'odeur sur moi. Il me pris part la gorge en me plaquant contre un mur, puis il me dit d'un ton sec " Tu as bu !". Il relâcha mon cou me laissant tomber, je pris un peu de temps avant de reprendre mon souffle. Je me relevais face à lui n'osant pas le regarder directement dans les yeux, puis d'une voix assez basse et casser je lui dit :

Elle me répond le plus normalement possible. Tout c'est bien passé donc. A part qu'elle a bu. Je la regarde durement. Ma fille, il va falloir que tu montres plus de respect que cela. Ton simple "je suis navré père"... Pfff. Et les excuses elles sont où là-dedans ? Je la regarde, la toise, de haut. Toujours de haut. Car je suis toujours son père. Elle fuyait honteusement mon regard. Tu peux avoir honte ma fille. Mais ne détourne jamais le regard, n'oublie jamais ta fierté ! La rage de la voir si soumise et si pitoyable me prend. C'est humiliant, ma propre fille !

-" Relève le regard ! Tout de suite ! Tu es une Cross, n'oublie jamais ton sang et ton rang ! Ne t'abaisses pas à ce genre de chose. Pas pour de la honte. De l'humilité, du respect, mais jamais de la honte. Jamais tu m'entends ?"

J'espère que je me suis bien fait comprendre. Qu'elle baisse les yeux car elle me respecte ou bien parce qu'elle admet qu'elle est moins puissante que moi, ça passe, et c'est même presque obligatoire, mais jamais pour de la honte. Jamais. Un Cross est droit et fier, toujours. Mon père me frappait quand je le regardais avec insolence, et me frappais quand je baissais les yeux avec honte après. Je suis peut être trop tendre avec ma fille. J'ai du mal à la frapper. Pourtant elle est forte et résisterait très bien. Elle comprendrait. Elle est de mon sang, la chair de ma chair. Et j'en suis fier. Mais il faut également qu'elle le soit aussi.

-" Je suis sans doute trop gentil avec toi. L'alcool, plus jamais ! C'est une question de principe. Se saouler ? Et puis quoi encore ? Nous ne sommes pas des pouilleux qui fréquente les bar, c'est indigne de toi ! Et jamais plus de mensonge. Si jamais je revois ne serais-ce que l'ombre d'une bouteille sans que je l'ai autorisé, je te jure que tu vas passer un sale quart d'heure."

L'alcool... A 15 ans. Et puis quoi encore ? La drogue ? Nous en faisons commerce, car c'est un gros financement pour Croix. Mais nous n'en consommons pas, ou très peu. Nous ne nous abaissons pas à ce genre de chose. Et Mathias n'avais pas bu qu'un peu d'après l'odeur. Je suis sûr que si je regardais plus prêt sa pupille elle serait encore dilaté sous l'effet de l'alcool. Une bière ou un petit verre de temps en temps, je ne dis pas. Mais il faut que ça passe par moi d'abord.

Bon ok je bois à seulement 15 ans mais j'ai mes raisons, que je me garde de vous le dire. Il faut savoir qu'une personne, ne picole jamais jusqu'à ce défoncer la gueule sans une bonne raison. Même si mon père m'ordonnerai par la force ou autre de plus m'en approcher, je ne m'arrêterai pas pour autant. Et c'est pour cela que je n'osait pas le regarder, non pas parce que j'ai honte de moi, non loin de là. Je suis disant la rebelle de la famille je n'en fait cas ma tête, même pour allée dîner il faut parfois quand m'envoie une esclave pour venir me chercher. Oui bien sur je me fait taper sur les doigts, mon père m'éduque à chaque instant.

Honte ? Non... Non jamais j'abaisserai mon regard à cause d'une honte quelconque, je sais qui je suis. Je sais dans quel famille je suis venue au monde. Je sais quel était le rang quand m'attribuait. Je suis une Cross et j'en suis fière... Père je suis celle qui à pris le plus de toi et très peu de mère. Jamais je me sentirai inférieure à un autre, même devant toi père. Je suis bien trop arrogante ou orgueilleuse comme vous voulez, pour abaisser mon regard à cause de la honte. Honte... Pfff, d'ailleurs je n'ai honte de rien, je suis ainsi. Attention ne vous faite pas de film, j'aime énormément mon père. Je crois que mise à par lui, ma mère et mon petit frère, oh pardon et le Whisky, je n'aime rien d'autre.

Néanmoins j'avais intérêt à faire ce qu'il dit, je connais mon père pour savoir qu'il ne faut jamais prendre ses menaces à la légère. Et puis je n'avait pas grand besoins d'alcool en ce moment, je ne suis pas non plus une drogué de Whisky. Il y a aussi l'Absinthe, non je plaisante. Pour le moment je ne compte pas désobéir à mon père que j'aime, je ferais se qu'il m'ordonne de faire sans parler. Je le regardais droit dans les yeux comme il me l'avait ordonné et je lui ai répondu...

Et je ne ment jamais ce n'est pas dans mon éducations, je ne mentais pas n'en plus sur le fais que tous c'est bien passer. Quoi suis je morte ou le manoir à t il brûler, bon c'est vrai que même si mes parents son parti en Week-end, il restait les autre membre de la famille. C'est aussi pour cela que je ne fait pas des fêtes ici, je ne suis pas seul. Il y avait Dorian, Natasha et bien d'autre membre de la famille Cross... Ah oui et j'allais l'oublier cette mêlé dont je ne prononce jamais le noms. D'ailleurs vous allez peut être trouver sa dingue mais, je ne l'ai jamais croiser cette mêlé la fille de Natasha. Pourquoi ? Tout simplement car je l'évitais, bon la vérité était que j'évite tout le monde ici à par mon père et ma mère. Je suis bizarre ? non simplement rebelle, qu'est ce que sa sera lorsque je ferai des missions pour Natasha. Mais encore une fois ceci n'est qu'une image de moi, car je suis tout de même très fidèle à ma famille.

J'hochais la tête, signifiant que la discussion sur ce sujet était désormais close et qu'il n'y avait plus rien à ajouter. Je soupirais avec agacement. Je venais de me souvenir d'un truc particulièrement embêtant : il me restait une tonne de boulot sur les bras vu que j'étais partis deux jours entiers et pour couronné le tout j'avais promis à notre retour à Mathis une petite séance d'entraîner. Du genre... tout de suite. Bah, Natasha comprendra. Et puis je vais trouver quelqu'un pour déléguer. Ca sert parfois d'être l'un des grands patrons. Au moins on peut refiler plein de tâches ingrates à n'importe qui. Même si je préférais faire pas mal de chose seul, par moi même. On n'est jamais mieux servis que par soi après tout. Je lui fis signe d'attendre et appelait successivement quatre personnes. L'une pour une mission que j'avais à lui confier, un autre pour faire passer des messages, à un esclave pour ordonner mes papiers et pour finir à Dorian pour lui annoncer que j'étais rentrer et... s'il pouvait jeter un œil sur le papier que la deuxième personne que j'avais appelé lui enverrait bientôt, ce serait cool. Bon, ça c'est fait. Je me tourne à nouveau vers ma fille.

-" Tu es prête à te battre ? Laisse moi le temps d'aller me changer et on se retrouve dans la salle d'entraînement."

La salle d'entraînement ? En fait il y en a plusieurs dans le deuxième sous sol, mais elle sait très bien de laquelle je veux parler. Celle dans laquelle nous allons pratiquement toujours tout les deux. Je rejoins Ysoline dans notre chambre qui est en train de donner le sein à Édouard. Cette vision m'attendris presque immédiatement. Elle relève ses beaux yeux vert vers moi et je viens l'embrasser doucement sur les lèvres.Je ne lui dis rien à propos de Mathias, je ne voudrais pas l'inquiéter. Elle a déjà beaucoup à faire avec le bébé. Je me change rapidement devant elle, prenant un jogging sombre. C'est alors que je suis seulement vêtu du pantalon de sport qu'elle me regarde, le sourire au lèvre. Je comprend tout de suite son regard et le lui rend. Ses yeux dessinent les formes de mes abdos et moi celles de son visage. Mais Mathias m'attend alors j'enfile rapidement un t-shirt blanc moulant. Je l'embrasse une deuxième fois et caresse la joue de mon fils avant de descendre. Je retrouve ma fille dans la salle dites.

-" Qu'as-tu envie de travailler aujourd'hui ? Je te préviens je ne suis pas de très bonne humeur, ça peut faire mal."

Je suis à vrai dire d'humeur massacrante. A cause de ce qu'il vient de ce passer, et également parce que j'ai envie d'être un peu seul avec Ysoline. Bon et aussi Dorian qui me court sur le haricot depuis un moment. Mais faut pas chercher je m'entend bien avec lui que quand ça m'arrange. On est comme chien et chat et pourtant on s'aime bien. Étonnant non ? En tout cas je préfère prévenir, au cas où elle voudrait qu'on reporte. Mais je pense que ça m'énerverait encore plus. Le fait qu'elle se pense faible au point de craindre ma colère... Je suis plus fort qu'elle , mais qu'elle refuse le combat me dégoûterait. Elle ne le fera pas.

~~~~~~~~~~~~~~~~~Petite Histoire~~~~~~~~~~~~~~~~~

~~~~~~~~~~~~~~~~~Fin~~~~~~~~~~~~~~~~~

-" Tu es prête à te battre ? Laisse moi le temps d'aller me changer et on se retrouve dans la salle d'entraînement."

Oh je pense que je suis bien plus que près, je n'attendais que sa un combat au corps ne me fera pas de mal. Bien entendu parce que justement c'est mon père et je sais qu'il ne sera pas tendre avec moi, je sais qu'il est encore furax contre moi pour l'alcool. Sa va sûrement aussi être son excuse pour pouvoir me mettre la fesser du jour, mais bon cela m'importe peu. Je vais affronter mon père, je vais m'entraîner avec mon père, je suis tout simplement... Heureuse. Mon visage ne le montre pas et puis quoi encore, je devait quand même rester insensible et le montrer.

-" Qu'as-tu envie de travailler aujourd'hui ? Je te préviens je ne suis pas de très bonne humeur, ça peut faire mal."

Excitation... C'était de l'excitation que je ressentais dû aux paroles de mon père à l'instant. Comment vous dire sa, je ne sais pas si c'est dû au fait que le Sang de la ligné Cross coule dans mes veine. Mais j'ai cette envie, ce désir qui me pousse à affronter et à défier des adversaire puissant et plus puissant que moi. Bien que tant de mal, j'essayais de cacher à mon père sur mon visage mon excitation de le combattre. Mais quand mon père libéra sa magie je ne put mon pécher de me léché les lèvres. Attention je savais que ce combat était perdu d'avance, mon père est bien trop fort mais... c'est justement pour sa que j'aime l'affronter.

Eh voilà sa me reprendre, mon dernier entraînement avec avec un autre membre de Croix c'était terminer dans le sang. Oui c'était la première et la dernière fois que je m'entraînais avec un autre sorcier noir que mon père. Je vous l'ai dit à chaque fois que j'ai un adversaire puissant en face de moi, une frénésie s'empare de moi et me pousse à faire des chose que je ne pense pas à l'instant. Comme pour se sorcier noir qui aurai put me tuer, mais qui ne la pas fais car Dorian est intervenue pour tout stopper. Qu'est ce qui c'est passé ? Eh bien j'ai étais posséder par cette frénésie cette soif de sang, ce désir qui me poussais à vouloir à tout pris le vaincre. Même quand l'adversaire avait largement l'avantage sur moi, je me relevais encore et encore jusqu'à ce que l'adversaire commence frapper pour tuer. Ce sorcier noir avec qui je mettais battu m'aurai sûrement tuer, si Dorian ne m'avait pas assommer. Enfin bref mon père n'est pas au courant de cette histoire, mais pas par contre il est au courant pour ce désir noir que j'ai de vouloir gagné. Je pris une fine lame, la caressant du regard et j'attendais le coup de feu du départ...

Elle me regardait avec ce genre de regard qu'elle avait toujours eut face au combat, face au danger. Une sorte d'inconscience et de témérité, une excitation sans bornes et un joyeux mélange de désir. Un regard affamé par le sang et la violence. Un regard de sorcier noir. J'eus un sombre sourire tandis que Mathias choisissait son épée dans toutes celles qui étaient dans leur fourreau, contre un mur. Quant à moi je sortis deux poignards longs avec vingt centimètres de lame des fourreaux croisés accroché par une ceinture sur mon dos. Qui dit que cela parait ridicule face à une épée ? Vous avez tort, il suffit juste d'avoir la bonne technique. Le combat rapprocher est quelque chose que j'adore. Je les tiens pointes vers le bas, et me positionne rapidement en garde. Elle fait de même. Nous n'avons qu'un seul regard.

-" Tout les coups sont permis. Prête ?"

Je n'attend même pas la réponse. Quel adversaire attend vraiment une réponse ? Je me jette sur elle, le regard attentif. Nous faisons quelques passes pour nous échauffer doucement. Rien de bien dangereux. Pourtant les lames sont affutés et belle et bien aussi coupantes qu'un rasoir. Le sang va sûrement couler un peu. Le sien surtout. Elle semble un peu déstabiliser car je me rapproche beaucoup d'elle pour l'atteindre de mes couteaux, et une épée est compliquée à manier dans ce cas là. Je parviens à percer sa garde et lui envoie un coup de pied violent dans le ventre qui l'éjecte plus loin. Pas de pitié, et encore moins vers ma propre fille. L'ennemi n'en aura pas pour elle. Alors je serais de même.

-" Ne regarde pas mes bras, mais mes yeux !"

C'est en se forçant à faire cela qu'on peut voir partout. Le fait de toujours regarder son adversaire dans les yeux aide à avoir une vue globale de ce qu'il fait. Le combat reprend. Pour l'instant pas une seule goutte de sang a été versée. Elle aura du mal à me faire quelque chose avec son épée, mais si elle utilise tout son corps, peut être pourra-t-elle me porter des coups. Car pour le moment, Mathias ne se servait que de sa lame. J'évitais de justesse avec souplesse un coup que je n'avais pas vu venir. Nous avions accéléré le rythme et ça commençais tout juste à devenir intéressant.

L'art du combat rien de mieux pour se défouler, j'avais besoins de retirer tous ce que j'avais en moi. Et le combat m'aider pour cela, c'est aussi pour sa que j'ai appris le Kung-Fu Wu Shu, et je continue encore maintenant d'apprendre différent style d'art martiaux. Je veux être au top pour pouvoir plus tard rivaliser avec n'importe qui. Je me devais de devenir dure, forte et puissante, car mon père n'est pas éternel. Il se peut qu'un jour il disparaisse de ma vie, et quand se jour arrivera je devrai de le remplacer dans tout ce qu'il entre prenait. Je devrai alors arrêter de jouer ma gamine.

Je ne lui répondis rien, de toute façon il ne m'en avait pas laisser le temps. Il se jeta sur moi avec un grand sérieux, dont je fit preuve aussi. Nos échange créa des étincelles dans la pièce dû au frottement des trois arme blanche. Nos échange n'étais qu'un petit échauffement et pourtant mon père avait nettement le dessus sur moi. Je me concentrais particulièrement sur le mouvement de ses bras pour évité ses poignard, à cause de cela je n'ai put voir le coup suivant qui me fit propulser sur le tapis.

Je ne recommence pas deux fois cette erreur, ce coup de pied m'avait bien agacer... Agacer ? Non pardon je crois que sa m'a fait rentrer dans une colère noire plutôt, et que j'avais du mal à lui cacher. La preuve était que ma magie noire, commençais à s'émouvoir dans la pièce sans que je m'en rende compte. Je suis du genre à me laisser submerger par ma colère et ma haine surtout, ma haine. J'attrapais mon épée à deux main, puis je divisa en deux celle ci une épée en chaque mains... Oui effectivement, l'épée que j'avais pris est en réalité une épée à double lames, une épée jumelle. je me relevais sent faire attention à la douleur au abdominaux...

Bon j'avoue que l'épée je ne le maîtrise pas assez bien, pour dire vrai se n'est pas mon style d'arme. Mon style d'arme c'est les armes à feu, pour ma par j'ai choisi mes deux armes pour quand je commencerai à faire des missions pour Croix... Un colt que je nomme "Le Colt" marquer par des anciens Runes magique, dont les balles d'argent sont aussi marquer par des Runes. C'est une bonne arme contre un Poltergeist qui ne sait pas ou est son rang. Puis ma deuxième arme n'est qu'une simple arme ordinnaire, c'est un poignard de chasseur, vous savez ces poignards aux lames noires. Mais aujourd'hui je devais me prouver que je peux m'en sortir avec d'autre style d'arme. Et maintenant je me tiens face à mon père, deux poignard pour deux épée jumelle. Sans perdre de temps, cette fois ci c'est moi qui me jetais sur l'adversaire en premier. Je fit défilé mes lames, que mon père bloqua sans problème. Au finale j'ai dû ruser, je fit un semblent de mouvement, pour me permet de lui jeter en direction de son visage une de mes lames. Il évita avec finesse mon épée mais avant qu'il puisse se redresser, j'étais déjà arriver sur ses jambes de la je lui fit un croche patte. Puis de plusieurs flip arrières je repris mal lames... Je suis près pour le combat à présent !

Son regard se relève, avec rage, avec colère. C'est bien. Elle est en colère contre elle même d'être aussi faible. Et c'est ainsi qu'elle progressera. Jamais la même erreur deux fois. Une goutte de sueur coule le long de mon visage. Je commence à avoir chaud. Comme pour me déconcentrer, elle désolidarise son épée qui devient donc deux épée. Je me concentre plus. La partie commence vraiment à devenir intéressante. Et le combat continue. Elle arrive à me mettre à terre et je faillis l'entraîner à ma suite si elle ne s'était pas dégager. Saut de carpe et retour dans le combat. D'un coup rageur j'enlève mon t-shirt qui me tient beaucoup trop chaud. Ce doit être le seul inconvénient de cette salle, ou un avantage, selon : pas d'aération directe, ça fait transpirer. Et donc perdre du poids, mais je n'en avais pas besoin du tout. J'avance vers elle et me téléporte juste derrière. La téléportation n'est pas mon don premier, il n'empêche que je peux tout de même la maîtriser un minimum. je ne couvre pas les longues distance et manque de précision évidemment, ça me fatigue plus aussi, mais tout de même c'est bien utile dans un combat. Par contre je l'utiliserais pas plus de deux fois si je ne veux pas être hors circuit. Mathias se retourne tout de suite et je trace de ma lame une sanglante estafilade sur sa joue. Le liquide vermillon éclabousse son visage.

-" Tous les coups sont permis."

Dans un vrai combat, les pouvoirs et les dons sont une bénédiction. Je n'utiliserais pas ma maîtrise du feu, je risquerais de nous asphyxier. Nous sommes dans une pièce fermée et le feu consomme énormément d'oxygène. Quant à mon don... C'est dur de l'utiliser en bougeant dans un combat, comme tous les dons et pouvoir, car il faut énormément de concentration et on est en général plus concentré pour éviter les attaques de l'adversaire. Mais bon, ça peu aider. Tandis que nous continuons férocement le combat et qu'elle me porte quelques coup du à mon manque d'attention, je laisse mon don se frayer un chemin jusqu'à son corps. Une douleur pas trop forte mais sûrement grandement déstabilisante l'envahis. Je pars ses coups, envoie voltiger ses épées ailleurs et la fait tomber au sol, une lame contre la gorge.

-" C'est fini, tu as perdu."

Pas de gentillesse. Car après tout elle a progresser. Mais elle est encore plus faible que moi. Il lui faudra des années pour me dépasser. Mais cela n'a pas d'importance. Je ne lui tend pas la main, j'essuie le poignard qui a ouvert sa joue et je remet mon t-shirt.

C'était le passage d'un petit poème noir, que je lit beaucoup en ce moment. Ne me demander pas de qui il est je ne le vous dirai pas, d'une par parce que je ne sais pas de qui il est, et d'autre part parce que je mon tape. Si je dois en revenir à mon entraînement, mon père ma mit la racler de ma vie comme d'habitude. Mais j'emprunte une voie, celle du guerrier qui tiens à acquérir force et puissance quitte à avoir le monde entier comme ennemie. Après avoir remis son haut mon père parti son m'accorder un regard, c'est tout lui sa. Un jour c'est moi qui sortirai de cette pièce sans lui accordez de regard, il verra je le surpasserai un jours c'est ainsi mon ultime voie et tel est ma voie point.

Quoi de mieux que de se détendre un moment ici pendant quelque heure après un tel entraînement. Finalement je suis monter à nouveau dans ma chambre et direction douche sans attendre. Dans la douche je vis mon sans couler du à mes entailles, et je me suis ainsi perdu dans mes penser. Je devais partir quelque temps ailleurs seul sans en parlez personne, je devais trouver par moi même comment surpasser les autre et atteindre le sommet. Et c'est ce que j'allais faire, dans dix jours je part en direction des États-Unis d'Amérique. C'est ce pays que j'ai choisie pour commencer mon nouveau entraînement, qui va peut-être s'avérer sanglante...