EMPLOIS/LOISIRS : Police Magique
LOCALISATION : Entouré de fleurs sans pot, parce qu'au moins ça ne parle pas
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DATE D'INSCRIPTION : 09/01/2012
Niveau du personnage
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Niveau: 6 - Affirmé Edwin A. Al Hattal
Modérateur | Chef de la Police Magique ~ Canard en Plastique |  Sujet: Edwin Axel Al Hattal - If you're gonna be dumb you're gotta be tough {OK} Lun 16 Jan 2012 - 23:02 | |
| Welcome to Mystery...Edwin Axel
Al Hattal "When you are courting a nice girl, an hour seems like a second.When you sit on a red-hot cinder, a second seems like an hour. That's relativity." Albert Einstein
 feat Justin Timberlake | Âge : 30 ans
Date & Lieu de naissance : 10 Avril 1980 a Chicago
Race : Mêlé
Statut : Célibataire
Groupe : Orpheo
Don premier : Télépathe avec les objets (le nom veut tout dire)
Pouvoir premier : Cogiste
Métier : Police Magique o/
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« RACONTE-MOI-UNE-HISTOIRE... »● ● 15 lignes minimum de votre histoire sont demandées.
17 ans. C'est l'âge auquel Nawal Al Hattal tomba enceinte. La honte de se retrouver pleine à cet âge la fit fuir loin de sa famille. Et à 9 mois elle accoucha, d'un joli petit garçon. Qu'elle éleva bravement toute seule pendant 8 ans, avant de décéder d'une maladie plus forte que les autres. Son fils fut placé en famille d'accueil.
Et son histoire ne commence réellement qu'à partir de là.
8 ans
Edwin vole. Vole. Vole. Vole. Vole toujours.
En fait il vole mais vers le bas. Autrement dit, il est en train de tomber. Et il tombe. Tombe. Tombe. Et ses parents adoptifs -surtout la maman- crient crient crient.
Et puis il s'écrase après sa chute de deux étages. Mais pas de marre de sang et de bouillie de gamin de 8 ans non. L'espace d'un instant il ne bouge plus, les yeux fermés fort fort fort pour ne pas voir le monde, ou l'absence de monde comme il le craint. Mais il ne ressent qu'une vive douleur dans le bras droit, ainsi qu'au niveau des côtes. Et si il ressent la douleur, c'est qu'il est en vie.
Surprenamment, il ne lui faudra alors que trois semaines pour se remettre entièrement de cette aventure.
11 ans
"Voici James et son frère jumeau Mike. Ils vont faire partie de la classe à partir d'aujourd'hui, soyez gentils avec eux."
James semble visiblement le dominant des deux, si on peut se référer au regard qu'il jette sur la classe.
"Oui madame."
Son regard accroche celui de Edwin au fin fond de la classe dans un coin sombre parce qu'il a -encore- été collé. Et un sourire en coin nait sur les lèvres de James, tandis que Edwin détourne la tête pour cacher le sien.
Cette classe est une classe de 4èmes [NDA: je ne connais pas les équivalence entre les classes françaises et américaines ^^"], Edwin lui même est en 4ème. A 11 ans seulement, il a déjà sauté plusieurs classes du fait de ses capacités mentales assez surprenantes. Il apprend, comprend et retient vite, bien et efficacement. Il excelle aussi en sport. Tous, surtout ceux qui demandent de bouger.
Un de ces enfants dits sur-doués qui existent un peu partout sur Terre et qui sont souvent destinés à devenir les grands de la planète, mais dont les parents ne savent pas toujours que faire.
12 ans
Trois gosses se battent dans la boue. Il a plu récemment, et quoi de mieux que d'aller se rouler dehors comme des cochons ? A priori pour ces trois là, actuellement pas grand chose. Edwin, James et Mike. Ils font les quatre-cent coups ensemble. James a une langue d'acier, toujours prompt à renvoyer des piques acides, et à jouer des tours à son entourage. Surtout à Edwin, parce que c'est si drôle. Edwin lui ne traîne qu'avec ces deux là. Il trouve les autres chiants et inintéressants. Il s'en fiche de toute façon. Il aime bien ses frangins aussi. Enfin, deux des trois, et sa sœur et lui sont presque deux inconnus vivant sous le même toi. Mais il s'en fout, il est content là dans la boue, avec ses deux copains.
Maman va tellement râler quand elle va voir leur vêtements. C'est presque aussi jouissif que de se battre dans la glaise.
15 ans
Il a le bac. A 15 ans tous neufs. Normal, il a sauté pas mal de classes, et avec sa carrure, il fait plus âgé qu'il ne l'est réellement, alors ça ne lui importe que peu. Ce qui le fait un peu plus chier quand même, c'est qu'il veut entrer dans l'armée, et qu'il n'est pas majeur. On lui a promis une place à 18 ans, parce que James et Mike sont déjà engagés et ont quelques relations. James est promis à un bel avenir, sans être aussi surprenamment doué qu'Edwin, il possède un certain talent. Ça et son esprit aiguisé. Très aiguisé.
Edi passe 3 ans à s'entrainer, notamment à l'art de courir partout et surtout de grimper partout, entre divers job pour tenter de devenir un peu plus indépendant. Pas qu'il n'aime pas ses parents adoptifs qui sont très gentils avec lui bien qu'un peu étranges sur les bords, mais l'indépendance, c'est chouette ! Entre temps, il rencontre une fille sympathique du nom de Nawel. Copains comme cochons qu'ils sont devenus. Oh que oui, aussi copains qu'avec James et Mike, c'est pas peu dire.
Finalement, à 18 ans, il est engagé. Sympa non ? Sauf que ça n'a pas duré.
21 ans
Les cibles. Désobéissance. Mauvaise approche. Repéré. Piégés.
Une explosion. Un trou énorme dans le torse de Mike. Des cris. La peur et la mort. La panique. L'incompréhension. La colère. Le rejet. Une déchirure profonde.
Le noir.
25 ans
Il aurait bien voulu crever, y'a 3 ans.
Sauf que c'est pas lui qui est passé de l'autre côté de la barrière. Non non non. Carrément pas même, pourtant il aurait préféré. Oh en fait, il aurait même pris son pied. Quoi que sur le coup il faisait pas le malin du tout. Sur le coup, il n'a vu qu'une chose. Mike par terre, un trou dans le torse, en train de hurler, après qu'une voiture piégée ait explosé. Comment ils en étaient arrivés là ? Edwin avait désobéit. Il avait vu les trafiquants d'armes filer en vitesse dans une voiture, et les avait suivi sans autorisation, en embarquant Mike. Au lieu de prévenir ses supérieurs. Supérieurs dont faisait partie James qui est aussitôt parti à leur poursuite.
Mais la voiture était piégée, et ça n'a pas loupé. James ne pourra plus jamais marcher comme avant. Ed s'en est tiré avec des os brisés, un éclat dans le bras qui a laissé une cicatrice à vie, d'autres coupures un peu partout. Mais comme d'habitude, il s'en est surprenamment bien tiré.
Et Mike est mort. Mike qui était son amant depuis quelques mois. Mike dont il a réalisé à cet instant, celui de sa mort, celui où il savait qu'il ne le reverrait plus, qu'il en était amoureux.
Il a dû quitter la marine et a été renié par ses parents qui soudainement -surtout son père- ne voulaient plus entendre parler de lui. Il n'a gardé de bon contacts qu'avec deux de ses frères. Quant à James... James le tient encore responsable de tout ça. Oh que oui. Et Ed lui, à 26 ans, se sent misérable comme jamais. Il vit dans un taudis dont il sera sûrement bientôt explusé faute de moyen qu'il refuse de se donner même si il les possède.
Il regarde un objet. Aussi vide de vie que lui. Un pauvre pot posé là, sans même une fleur dedans.
Avec une fleur, je serais plus joli.
Il aurait fallu prendre en photo la tête du mêlé à ce moment là. A fixer le pot comme si c'était un ovni. Puis il s'est tapé la tête contre le poing fermé bien fort, s'est dit qu'il virait dingue, et est parti se pieuter.
Le lendemain, il aurait juré que son oreiller lui avait dit bonjour. Il a repoussé le fait.
Le truc, c'est que ce bordel a continué tout la semaine. Puis la suivante. Une voiture lui a même dit qu'il avait un "cul d'enfer viens t'assoir sur mes sièges, cuir véritable certifié allez, c'est grave confort elles seront bien traitées." Il s'est mis à courir pour se planquer dans une ruelle sombre, où un chat noir lui a donné la seconde plus grande peur de sa vie, après celle de l'accident.
Et puis ça a continué comme ça pendant le reste du mois. Et il a pété un câble quand son caleçon lui a annoncé que non "aujourd'hui RTT, tu cherche un autre lieu pour accueillir ton matos. Tu connais les caleçons qui grattent ?". La réaction immédiate d'Edi a été de jeter le dit caleçon à travers la pièce -sous un sifflement admiratif du lit- avant de jurer à voix haute qu'il allait se rendre illico dans un asile.
De toute façon il y ferait plus chaud que là où il était.
Mais il ne l'a pas fait. Il s'est assis sur son lit, et a eu la plus longue conversation de toute sa vie avec une armoire, pour en venir à la conclusion qu'il était complètement barge et qu'il faudrait faire avec. De toute façon, trop intelligent, c'est toujours à la limite de la folie.
Deux mois plus tard, il apprenait qu'en fait, la magie ça existe, que son intelligence et sa force y sont dues, et que oui, il a l'immense honneur de pouvoir entendre les objets parler. Parce que le monde, il est encore plus malade que lui.
26 ans
Il n'est pas humain, il est mêlé. Il n'est pas tout à fait normal, il a des pouvoirs. Ce qui au passage avait foutu un coup magistral entre les deux jambes de son égo -qui est lui aussi un homme- quand il a appris que ses capacités étaient dues à un pouvoir. Mais grâces aux dites capacités, il lui avait aussi suffit de deux minutes pour s'en remettre et balancer à la figure de son interlocuteur que ce n'est pas les capacités qui déterminent la valeur d'un homme, mais l'usage qu'il en fait, avant de se détourner en ruminant vers un coin sombre.
Oh, a 26 ans, il s'est aussi fait jarter de son taudis. Ah bah oui, quand même. A force de ne pas payer le loyer et de faire chier les voisins en rentrant à pas d'heure. Les voisins, c'étaient surtout des familles nombreuses avec des gosses par poignées, et alors bonjour le boxon quand ils se réveillaient tous en pleine nuit en même temps parce qu'Eddie avait claqué la porte en rentrant.
Précisons que ceci n'était arrivé "que" cinq fois, et que trois de ces cinq fois n'avaient pas été volontaires. Les deux dernières, c'était parce qu'il avait envie de faire chier le monde.
Et donc, il a passé plusieurs mois dans la rue. De toute façon, comme il disait, c'était bien fait pour lui et il l'avait mérité. Non pas qu'Edwin soit une grosse victime -en fait si, mais il est en déni-, mais depuis l'accident de toute façon il n'avait fait que trainer sa carcasse à droite à gauche, en se demandant quand est-ce qu'il ferait une chute assez violente pour le tuer sur le coup.
Et puis, un soir qu'il pleuvait, faisait froid, et qu'il se disait qu'il allait peut être y passer par hypothermie, James est arrivé devant lui, petite chose recroquevillée dans une ruelle. Comme il l'avait trouvé, il n'a jamais voulu l'avouer. Mais il l'avait attrapé par le haut de sa veste, et l'a trainé sans un mot jusqu'au grand appartement qu'il habitait -et habite toujours-.
Eddie s'était d'ailleurs fait saluer très joyeusement par la porte d'entrée et depuis, ils sont copains.
Trois jours. Trois jours sans qu'il ne s'échangent un seul mot, vivant juste sous le même toit. Et puis James avait craqué, l'avait copieusement engueulé en le traitant de tous les noms possibles et imaginables -Ed avait même appris de nouveaux mots-, et ils avaient fini sur le sol, à se battre comme des chiffonniers. Les deux en étaient sortis avec des yeux au beurre noir, le nez cassé et la lèvre fendue.
Et forcément, Eddie avait guéri plus vite. Mais il avait soigneusement évité de s'en vanter.
Deux semaines plus tard Edwin a eu droit à un appartement à lui dans l'immeuble de James -Oui parce que James est friqué, l'immeuble petit, et en fait tout le truc lui appartient, dans la mesure où, au rdc, y'a sa boutique d'imprimerie-, où il crèche aujourd'hui encore quand il rentre au bercail à Chicago. La première nuit, le lit n'avait pas arrêté de parler comme un illuminé de "ceux qui vont bientôt arriver, et bientôt tous nous tuer, ne dors que sur une oreille, de toute façon je vais t'occuper l'autre. T'aimes les quiches ?". Et Ed l'avait fait passer par la fenêtre le lendemain matin sous le regard horrifié de James.
La seule chose qu'il avait trouvé à dire, c'était "Oups. C'est pas moi".
Ce qui, dans sa tête, sonnait de toute façon mille fois mieux que "il me saoulait à trop causer ton bordel. En plus il gratte et il rêve de bouffer des quiches au porc".
C'était même pas pour cacher l'existence de la magie. Juste pour pas que James en profite pour le vanner comme il ne l'aurait jamais vanné.
Peu après ça, il a débuté une formation d'exorciste. Et en juillet de la même année, on l'a recruté dans la police magique.
C'était pas l'armée, mais c'était déjà pas mal. Puis merde hein, il pouvait recommencer à faire les super-héros, il allait pas s'en plaindre non plus. Ça faisait longtemps qu'il ne s'était pas levé le matin en se disant qu'il avait un but pour la journée.
Et puis, heh, son supérieur était beau.
Il avait aussi retrouvé Nawel. Oui, sa meilleure copine dont il s'était éloigné après l'accident, et ils sont devenus partenaires. Voilà un truc qu'était bien.
Bon, entendre les objets parler le rendait à moitié fou. Forcément, y'a que lui qui les entend, alors les gens autour se demandent ce qu'il peut bien foutre avec un rouleau de PQ dans la main, à traverser les couloirs comme une furie, tout ça pour se rendre devant une fenêtre, et balancer le rouleau aussi loin que possible dans la Tamise.
Ce que les gens n'entendirent pas ce jour là, ce qu'ils ignoraient et ignoreront toujours, c'est le "WIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII" de joie d'un petit rouleau rose qui avait appris à voler.
30 ans
4 ans ont passé ainsi, Edwin gravissant les échelons au sein de la Police, grâce à ses missions toujours réussies -il fait gaffe maintenant-. Et récemment, il a été promu chef d'une des sections de la Police magique.
Il a même le salaire qui va avec, si c'est pas magique tout ça.
Enfin, un salaire de flic quand même hein, faut pas pousser.
Il apprend aussi à maîtriser de mieux en mieux ses pouvoirs, et surtout, SURTOUT son don. Parce qu'il y a des choses qu'il aurait souhaité ne jamais Jamais JAMAIS entendre. Est-ce que quelqu'un a la moindre idée de ce que peut raconter les dessous des grands mères de 95 ans dans la rue ? Alors personne ne peut savoir le traumatisme vécu par Edwin.
La phrase "tu ne veux pas savoir" n'aura jamais été aussi bien sortie.
Oh que oui. Y'a des choses qu'il ne vaut mieux pas savoir dans la vie.
« QUI-ES-TU ...? »● ● 10 lignes minimum de votre psyche sont demandées.
Edwin est Edwin. En fait cette partie pourrait tenir en trois mot.
Il se planque sous sa capuche dès qu'il est contrarié et ne sait plus quoi répondre, pour pouvoir gromeler dans sa barbe. Et puis il est à moitié chtarbé. Non seulement il a une intelligence supérieure à la normale qui des fois réussi à prendre le dessus sur lui -autrement dit, il par dans des délires que lui seul comprend, ce qui ne veut pas dire que ça aboutit forcément à quelque chose de vraiment intelligent-, mais en plus, il entend les objets parler.
Alors ça. Non franchement, un mois et il était déjà à moitié toqué. Forcément, déjà personne d'autre ne les entend -dans son entourage tout du moins-, alors ça surprend. Des fois il les engueule à voix haute.
Devant tout le monde.
Des fois il se bat avec eux.
Devant tout le monde.
Une fois il a fait une scène de ménage avec son ancien portable. Qui a mené à la rupture.
Devant un subordonné. Oh, la tête du mec était impayable. D'ailleurs Ed en a une photo. Oui parce que depuis quelques années, son grand délire est de prendre en photo tout et n'importe quoi. Ainsi, c'est lui qui a pris en photo jour après jour le bourgeonnement puis l'éclosion d'un bulbe de jacinthe qui a troné sur son bureau jusqu'à sa mort -et personne n'a osé demander pourquoi-. Ou c'est encore lui qui a en sa possession -souvent à l'insu des concernés- plusieurs clichés compromettant des membres de la Police. La plupart sont juste des photos où la cible est dans une situation ridicule. Il en même une de son supérieur sortant de la salle d'eau, braguette ouverte sans s'en être rendu compte.
Il l'aime celui là. Le cliché. Un jour peut être il le lui montrera. Peut être. Si il est sage.
Sinon Edwin peut se montrer assez lunatique. Mais en général, il est surtout très affirmé. Il aime bien faire des blagues stupides aussi. Du genre prendre le téléphone, appeler le numéro d'une personne qu'il connait -de préférence quand elle travaille- et faire une blague téléphonique. Ça le fait marrer, et ça l'empêche de s'ennuyer, parce qu'il n'aime pas s'ennuyer. Ni être stressé.
Et puis des fois, il faudrait qu'il surveille sa langue. Parce qu'il parle mal des fois, le vilain.
Oh et puis, un truc qu'il n'avouera jamais à personne: il a-do-re les petits animaux mignons, notamment les chatons et les chiots.
Tellement adorables. Pourquoi il n'est pas télépathe avec eux, hein ? Ce serait mieux que de causer avec des pantoufles le dimanche soir. ● ● 5 lignes minimum de votre physique sont demandées.
Il aime bien porter, en civil, des sweat à capuche, et des jeans. Parce que quand même, pour se planquer c'est bien. Surtout quand James lui balance à la figure une réplique à faire rougir de honte le parrain de la mafia. Au boulot aussi ça lui arrive, rien que pour voir râler son supérieur -qui est drôlement mignon avouons le!-, il lui arrive de traîner jean t-shirt gilet -à capuche- basket. Sinon en général il tente de faire un effort. Il tente.
Il porte ses cheveux courts parce que c'est une habitude qu'il a gardé de l'armée, tout comme celle de parfois scruter les gens avec ses yeux bleus sans rien dire. Des fois, c'est juste parce qu'il écoute un objet parler, parce que ces machins sont très très bavards. Trop bavards. MORE?
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Dernière édition par Edwin A. Al Hattal le Sam 21 Jan 2012 - 20:06, édité 7 fois |
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