La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry]
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Sujet: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Jeu 26 Avr 2012 - 1:54
Dorian & Claire
Nous sommes aujourd'hui le 26 avril 2012, je suis à Paris au lieu d'être à Londres, forcément vous devez-vous dire « Et Malcolm, qu'en est-il ? », n'est-ce pas ? Ma mère m'a ordonnée de rentrer et de laisser tomber la mission concernant Djibrïl. Je n'ai pas cherchée d'excuse pour rester à Londres un peu plus longtemps, de peur que ma mère ce doute de quelque chose. Je vous rappelle que, j'ai plus cherchée à retrouver Malcolm un sorcier noir, que mon petit frère et ça ma mère ne le sait pas. Elle ne sait pas que je suis tombée amoureuse de notre ennemi, elle me tuerait si elle l'apprenait. Donc, j'abandonne, je suis bien obligée de rentrer aux États-Unis... Enfin, malgré tout je tenais à faire un petit détour à Paris, parce que Paris c'est la classe. Je suis arrivée de Londres à Paris hier vers 22h, je me suis trouvée un hôtel bien sécuriser à cause des papazazzis au cas où si j'ai été repérée... Je me suis toujours demandée, comment ils font pour toujours tomber nez-à-nez sur nous.
Bref, je me lève il est 11 h et ouais, c'est la grâce mate aujourd'hui et pour parfaire mon bonheur, des croissants, des pains tartinés et du chocolat chaud au déjeune, vraiment français tout ça... I love France ! J'ai dévore assez vite mon petit-déjeuné, je cours à la douche, je m'habille et je pars visiter Paris. Je suis bien sûr en ce moment, aux Champs Élysées, trop la classe. Je me prends un café dans un petit pub ou bar, je ne sais pas comment ils appellent ça, ici. Je m'achète un croissant et je continue ma visite à Paris, je prends le métro ni vue, ni connue pour me rendre au Mont des Martyrs ou plus connu sous le nom de Montmartre. J'ai envie de visiter la cathédrale, elle renferme pas mal d'histoire intéressante, pas mal d'oeuvre d'art. J'y reste quelques heures avant d'aller reprendre le métro ni vue, ni connue. On peut dire quand pas moins de quatre heures, j'ai fait presque tous les alentours du 93 comme disent les Français.
Après, avoir visitée la fameuse tour Eiffel, je suis repartie vers l'avenue des champs Élysées, il devait être 15h45. Je soupire un moment, car le temps défile trop vite à mes yeux et dire que je repars aux États-Unis demain matin, je soupire à nouveau. Bref, je prends le RER A jusqu'à Chatelet les halles, puis c'est le RER B jusqu'à Livry Gargan. Je voulais visiter pour finir ma journée le parc forestier de la Poudrerie, c'est un très grand parc qui s'étend sur pas mal d'hectare. Aux États-Unis ou plutôt dans mon université, on a beaucoup entendue dans nos études de ce fameux parc forestier... C'est Napoléon III qui, en 1865, décide la construction d'une poudrerie afin de répondre aux besoins militaires, développer les expérimentations et améliorer les techniques. Par mesure de sécurité, la poudrerie impériale est construite à l'écart des habitations, en pleine forêt de Bondy, ancienne forêt royale.
Un embranchement la raccorde au chemin de fer et le canal passe au nord de ses terrains. L'ingénieur poudrier Gustave Maurouard (1822-1910) est chargé d'établir les plans et de diriger la construction de la poudrerie. Comme celle-ci n'est pas, comme le sont habituellement les poudreries, édifiée près d'une rivière ou en contrebas d'un canal d'attitude, situation en principe nécessaire au fonctionnement des moulins à poudre, la poudrerie de Sevran est dotée d'une chaudière expérimentale avec l'installation d'une centrale énergétique à vapeur. C'est le premier site poudrier au monde à utiliser des machines à vapeur. Tout simplement WOW ! Les Français ont la classe. Je suis là, en train de marcher entre ces forêts et ces anciennes bâtisses, il est 17 h, il se fait tard je vois presque personne, mais je m'en fiche c'est bon d'être seul parfois. Je suis en train de repenser à un de mes Fan sur Twitter, un certain Antoine qui vit à Enghien les bains, je crois.
Il est 18h, il fait jour cependant le soleil est caché par certains nuages et les forêts autour de nous n'arrange pas les choses, ce qui rend l'environnement assez sombres. Et je commence sérieusement à avoir froid, quand je décide de rebrousser chemin, après avoir marché pas mal de temps dans cette forêt... Il est en faites un peu trop tard, je m'étais effectivement égarée. Je cris autour de moi s'il y a quelqu'un et aucune réponse ne me vient, bien sûr je commence un peu à paniquer à mort. Le parc ferme à 19h et il est déjà 18h 23, je continue à crier autour de moi, mais personne ne répond.... Si je ne retrouve pas la sortie avant 19 h, je serai forcée de sauter la grille, mais ça c'est si j'arrive à sortir de cette forêt qui est un vrai labyrinthe. Je marche, je cours depuis maintenant quelques minutes, je commence à ressentir la fatigue, je n'en peux plus d'être debout et je meurs de soif. C'est à bout de souffle que je lance ma dernière pierre...
« A L'AIDE ! EST-CE QU'IL Y A QUELQU'UN ? »
PS:
Claire parle en français dans le texte, avec bien sûr l'accent Anglais... ^^
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Dernière édition par Claire Smith le Jeu 26 Avr 2012 - 19:52, édité 2 fois
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Jeu 26 Avr 2012 - 11:54
Parc National Forestier de Sevran
Die Tränen greiser Kinderschar Ich zieh sie auf ein weisses Haar Werf in die Luft die nasse Kette Und wünsch mir dass ich eine Mutter hätte
Le 26 Avril 2012, un immense silence règne dans le parc forestier de Sevran. Plus personne n'est dedans, il est bientôt l'heure de la fermeture. Seul un homme et une femme reste dedans. La femme n'a pas conscience du danger, de l'homme. L'homme, lui l'a senti depuis longtemps. Il attends.
Le soleil commence à décliner, la chaleur s'estompe peu à peu. Tout le bonheur apporté par les rayons du soleil s'en va lentement et l'obscurité commence à gagner le parc bien aidé par l'ombre des arbres. Dans l'obscurité se tapit la bête. Elle ressent chaque chose de sa proie et la regarde se débattre. Elle attends.
La bête n'est autre qu'un homme plutôt grand et bien musclé. Des cheveux courts, un regard diabolique et un sourire machiavélique. Il est vêtu d'un costume gris avec une chemise rouge sang. Il a des lunettes sur le bout du nez qu'il ne tarde pas à enlever. Lui le prédateur et l'autre le patient sont là et la regarde. Ils attendent.
C'est une jeune femme qui ne doit pas dépasser la vingtaine d'année. Des longs cheveux blonds tombent paresseusement sur ses épaules. Son regard est affolé, elle est grande et plutôt fine. Plutôt pas mal. Le prédateur aimerait en faire son quatre heure. Cette bête assoiffée de proie n'était autre que Dorian. Cela vous étonne ? Un cri déchira le silence :
- A L'AIDE ! EST-CE QU'IL Y A QUELQU'UN ? cria-t-elle d'une voix affolée.
Personne pour lui répondre ? C'était le moment pour passer à l'attaque. Elle était immobile, les mains sur ses genoux, essoufflée. Elle ne devait pas être très sportive mais le chef de Croix ressentait tout de même en elle une grande puissance magique. C'était sûrement une sorcière pure. Dorian jaillit de sa cachette.
- Quel dommage d'être seule à seul dans un parc, dit-il d'une voix mielleuse. Tu es une sorcière pure, non ?
Dorian se redressa de toute sa hauteur face à la jeune fille. Elle devait sûrement avoir compris qu'elle aurait du mal à s'en sortir indemne. Dorian rêvait de son corps. Cela faisait longtemps qu'il ne s'était pas donné à un viol. Oui c'est ce dont il avait envie. Elle allait bien être obligé de lui donner son corps.
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Jeu 26 Avr 2012 - 16:02
Je suis fatiguée, oui je l'avoue et c'est tout à fait normal, je ne me suis pas assise une seule fois toute la journée, je n'ai fait que marcher et visiter des antiquités sans me reposer... Et puis dois-je vous préciser que je n'ai qu'un café et un croissant dans l'estomac ? Je suis dans cette forêt, il n'y a même pas de chemin pour me diriger, seulement la terre et le bois humide. J'aurai beau utiliser la téléportation, mais je n'irai pas bien loin et puis je me fatiguerai encore plus. Si j'use de mon don dans cet état, je risque forcément de perdre connaissance, je dois me calmer et réfléchir. 19h approche, non trop tard, il est déjà 19h, il faut donc que je retrouve la sortie avant le coucher du soleil, il n'y a pas de lampadaires ici. J'ai réellement froid, pourtant je me suis vêtue de manière assez sportive... Basket Nike aux pieds, ensemble jogging et sweatshirt noir Adidas... Je sors mon portable et évidemment, là où je suis, il y a pas de réseaux.
« Quel dommage d'être seule à seul dans un parc... »
Je me retourne, en sursaut vers un homme, il n'est pas bien lui ou quoi, il m'a fait peur. Bon c'est rare de voir un régénérant ou une régénérante, mourir d'une crise cardiaque, mais un accident est si vite arrivé. L'homme en face de moi dégage un certain charisme que je ne peux ignorer, il est de loin plus grand que moi, bon en même temps avec 1, 55 m, je ne vais pas bien loin. Malgré c'est vêtement sur lui, on peut aisément deviné que ce type est vraiment musclé. Donc je récapitule, un grand type, musclé, châtain aux yeux bleus et pas très rassurant se tient debout en face de moi. Je ne sais pas pourquoi, mais il me donne la chaire de poule, il me fait peur, je n'aime pas son regard froid et puis... Que fait-il ici alors, alors qu'il est 19h passé ? Je sens vraiment qu'il y a soucis avec ce type en ce moment, mon instinct me dit de ne pas rester là et je vais l'écouter. Je ne sais pas si j'aurai la force de courir, mes jambes tremble de fatigue... Pathétique !
« Tu es une sorcière pure, non ? »
Oh non ! Oh non ! Oh non pas ça ! Ne me dites pas que ce type est magique en plus ! Là je flippe à mort, je ne sais pas si type est un sorcier, un humain ou mêlé. Si je réponds que je suis une humaine et que lui c'est un sorcier noir, il voudra sûrement me tuer. Si je réponds au contraire que, je suis une sorcière de ce fait je lui mens, mais que lui c'est un humain noir, il voudra me tuer. Alors, n'en parlant pas si je dis que je suis une mêlée, je suis juste... Dans une foutue merde ! Je voudrais essayer de voir du bon en lui, mais mon coeur, mon instinct me disent de fuir et cela ne m'arrive jamais ! Alors, maintenant, que dois-je lui répondre et par où je pourrais fuir. Fuir ? Ce type m'a l'air en forme, s'il se met à me courir après, je doute que je lui échappe. Si je me téléporte, dans l'état dans lequel je suis, je ne ferai même pas un bond de cinq mètres et puis je risquerai sûrement de m'évanouir. Je me redresse, j'essaye tant bien que de mal à cacher ma panique et je dis :
« Je suis une sang-pure effectivement, cela vous gêne ? »
Ai-je dis en imitant parfaitement bien, cette façon de parler si supérieur qu'ont les sorciers noirs. Oui, j'ai finalement opté pour sorciers noirs, s'il croit que je suis une sorcière noire et que c'est un sorcier noir, peut-être me fera-il rien de mal. Dans le pire des cas si c'est un humain noir, je devrai trouver une excuse au plus vite. Je dois essayer de gagner du temps avant de savoir, quelles sont les intentions de l'homme. Je le regarde avec un air supérieur, comme le ferait un sorcier noir et c'est toujours avec cet air supérieur et cette façon de parler arrogante que, je rajoute :
« Que fait-donc un homme de votre carrure, dans une forêt telles que celle-ci ? Et vu la façon dont vous êtes vêtu, ce n'est sûrement pas pour une balade de santé ! Je me trompe ? »
Je suis cinglée de continuer à faire ma supérieure en face de ce monstre, non ce n'est pas ça... Les sorciers sont fous, de faire leurs supérieurs même face à la mort.
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Dernière édition par Claire Smith le Ven 27 Avr 2012 - 13:15, édité 2 fois
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Jeu 26 Avr 2012 - 19:53
Getadelt wird wer Schmerzen kennt vom Feuer das die Haut verbrennt Ich werf ein Licht in mein Gesicht Ein heisser Schrei Feuer frei!
Dorian avait surgit et la fille s'était retourné. La peur pouvait se lire dans son regard mais elle essayait tant bien que mal de la cacher. Il paraît que montrer sa peur ne fait qu'accentuer le taux de possibilité que la peur que vous avez se réalise. Pour le chef de Croix ça ne changerait rien. Elle serait un agréable dessert.
Maintenant, il la voyait mieux malgré l'obscurité ambiante. Elle était vraiment petite et elle avait de belles formes. Il serait agréable de la prendre par ses petites poignées d'amour et de la.. Hum il devait conserver son sang froid même s'il sentait la chaleur au deuxième sens du langage commun.
- Je suis une sang-pure effectivement, cela vous gêne ?
Oh non, cela ne le gênait pas du tout. Cela faisait même complètement ses affaires. Quand on est inconscient comme Dorian, un délit de plus ou de moins ne changent plus rien. On se pense tout permis et le droit de mort sur les un ou les autres fait partie des permissions qu'il s'accorde.
La délicieuse créature était là et bientôt le prédateur s'octroierait sa proie sans faire de vague. Il espérait qu'elle ne ferait pas trop de bruit, ça serait dommage. De toute façon qui pouvait l'entendre ? Le parc était maintenant fermé et il n'y avait plus personne. Seul Dorian apprécierait sa douleur retentissante.
Il resta silencieux face à ce que venait de dire la jeune femme. Il produisait sûrement l'effet qu'il voulait : l'effet de la terreur. Il voulait qu'elle ressente la peur. Elle ne pourrait pas s'enfuir tout était fermé. Et elle semblait si faible que quand bien même elle serait téléporteuse ou capable de léviter, elle n'irait pas bien loin. Trop facile.
- Que fait-donc un homme de votre carrure, dans une forêt telles que celle-ci ? Et vu la façon dont vous êtes vêtu, ce n'est sûrement pas pour une balade de santé ! Je me trompe ?
Elle faisait son arrogante. Cela excitait au plus haut point Dorian. On verrait si elle faisait toujours l'arrogante lorsque son engin aurait enlevé pénétré dans son intérieur chaud de la manière la plus brutale possible. Il s'approcha doucement d'elle. Etait-elle paralysé par la peur ?
- Je profite de la vie, répondit simplement Dorian d'une voix basse.
Il s'approcha d'elle. Il n'était plus qu'à un mètre. Il préparait toute sa force pour pouvoir la maintenir. Elle allait sûrement se débattre, mettre des coups de pieds. Mais il avait subi un entraînement pour encaisser les coups. Elle manquait de force ça se voyait. Sûrement encore une femme "moderne" qui ne sait faire que les magasins et s'amuser. Mais pas de sport.
Il l'attrapa soudainement par le bras sans lui laisser une seule seconde pour réagir et la plaqua contre l'arbre le plus proche en lui mettant la main sur la bouche. Il voyait bien qu'elle essayait de se débattre mais c'était trop tard. Que voulait-elle faire face à une puissance telle que Dorian ?
- Plus tu te débats, plus je te jure que tu le paieras cher. Essaye de crier et je t'égorge, avertit Dorian doucement mais fermement
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Ven 27 Avr 2012 - 0:32
Cet homme est malsain, réellement malsain et j'aurai du fuir depuis bon moment déjà, je ne l'ai pas fait. Mes jambes sont déconnectées de mon cerveau, la peur m'a paralysée, je voudrais me Téléporter que je ne peux pas... Déjà que mon don ne marche qu'une fois sur deux, quand la chance me sourit, la peur me prive de toutes mes chances d'user de la Téléportation. Et même si j'aurai pu user de la Téléportation, jusqu'à où aurai-je été propulsée ? Je le vois s'approcher de moi tel un félin qui charge sa proie silencieusement, mon coeur se déchaîne dans ma poitrine et mes jambes ne veulent toujours pas bouger. Je regrette d'avoir prononcée mes paroles de façon arrogante envers lui, cela n'a pas semblé le refroidir au contraire, son visage semble décrire une jouissance. Ce type à vraiment le visage d'un démon, une créature malfaisante ayant pris apparence humaine. J'ouvre mon coeur à tout le monde en principe, même aux « noirs », mais avec lui je ne tiens absolument pas à le faire.
« Je profite de la vie. »
Me dit-il si calmement tout en continuant d'approcher dans ma direction, ma respiration s'accentuer, déjà que mes jambes tremblaient, tout le corps s'y met... Avez-vous dans votre vie eus peur du noir ? Oui, forcément quand-on en est enfant, on a forcément peur du noir. Ben je vais vous révéler un secret que, je n'ai jamais dit à personne... Moi, Claire Willow Smith, la bad girl de l'équipe de Cheerleader de la Californie du Sud, a encore et toujours peur du noir, de cette obscurité froide. Est-ce que ça fait de moi encore une enfant, une petite fille qui ne souhaite pas regarder en dessous de son lit la nuit ? C'est une question bête, j'ai toujours était la petite fille jusqu'à maintenant. Seule une petite fille tombe amoureuse du premier mec qu'elle bouscule. Seule une petite fille croit en l'amour, je suis encore cette petite fille qui a toujours vue le monde d'un oeil différent. Aujourd'hui, cette petite fille, est en face du grand méchant loup et il n'y aura pas de chasseur pour lui venir en aide.
L'homme qui est à un mètre de moi, respire comment un taureau qui s'apprête à charger. Ne m'en voulez pas de rester là comme une idiote, la peur m'a totalement pétrifiée. Oui. Cet homme me fait peur et je vous mets au défi de reste seul avec lui plus de cinq minutes. Je ne sais toujours pas quelles sont ses intentions, mais elles sont à coup sûr néfaste pour moi. Bon assez parler, arrêtons de retarder l'inévitable... Mon cauchemar se réalise, l'homme m'attrape le bras sévèrement et sans que je puisse avoir le temps de réagir, je me fais plaquer contre un arbre. C'est aussi avec rapidité qui colle sa main contre ma bouche, m'empêchant de se fait de crier à l'aide. Qu'est-ce qu'il compte me faire ? Pourquoi réagit-il ainsi ? Je lui flanque des coups partout sur lui, son visage principalement y passe, mais j'ai l'impression que cela ne lui fait guère de problème et puis j'ai la sensation de frapper dans un mur... Ce type est un colosse, je n'arrive pas me défaire de lui.
« Plus tu te débats, plus je te jure que tu le paieras cher. Essaye de crier et je t'égorge. »
A ses mots, j'ai de suite arrêtée de hurler malgré sa main contre ma bouche, j'ai arrêtée de me débattre aussi à cet instant. Je le regarde droit dans les yeux comme pour implorer sa pitié, la peur est de plus en plus insupportable, je n'arrive pas empêcher mes larmes de couler. Je ne pleure pas de chagrin, ni parce que j'ai mal, mais parce que je suis morte de peur... Même avec Malcolm dans cette ruelle, je ne me souviens pas avoir ressentie une telle angoisse... Il veut me tuer, c'est ça ? Non, il veut sûrement me faire pire... J'aurai due tout simplement dire que j'étais humaine, est-il trop tard pour moi ? Je me déchaîne à nouveau sur lui, sur son visage qui laisse apparaître mes traces de griffures. J'essaye à nouveau de me Téléporter, mais rien, je n'arrive pas, mes pensées ne sont pas assez concentrées sur mon don. Finalement, j'arrive à trouver le moyen de mordre sa main sévèrement. Mais, je ne sais pas si cela est assez pour qu'il retire sa main de ma bouche.
Je manque d'air à cause de mes efforts et respirer avec le nez n'est plus assez suffisant. Ma vision se trouble peu à peu, mes larmes continuent de tomber telle une chute de cascade. J'ai cessée mes coups pour des tirages de joues avec les angles, je mords toujours sa main jusqu'au sang s'il faut pour qu'il finisse par me lâcher. Je n'ai pas tentée le coup de genoux dans les bijoux de familles, de toute façon il est bien trop proche de moi pour que je lui en colle une avec précision. J'ai presque plus la force, de bouger mes bras, je n'ai presque plus la force, d'être debout et je n'ose plus crier de peur qu'il mette sa menace à exécution. Que me reste-t-il à faire pour me sortir de cette situation ? Maman... Au secours ! Dit la petite fille.
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Sam 28 Avr 2012 - 20:44
La jeune fille pleurait toute les larmes de son corps. Elle avait l'air de réaliser que ce n'était pas un cauchemar mais bel et bien la réalité. En fait, Dorian appréciait que sa victime souffre. Il adorait même. Cela lui donnait un sentiment de puissance ultime, il pourrait assouvir tout ses fantasmes sur cette jeune fille. Bien sûr, il aurait pu l'aborder et la draguer. A quoi bon ?
Rien de plus excitant qu'un petit viol. La fleur à cet âge est encore fraîche et goûteuse. Elle a éclos, il n'y a pas si longtemps que ça et à l'âge de la jeune fille généralement personne n'est encore passé par là. Le bâton qui servait d'engin à Dorian allait certainement lui faire un peu mal.
Elle se débattait de toute ses forces, donnait des coups un peu partout. Les larmes brouillait sa vue alors elle ne savait plus viser. Elle mordait la main du chef de Croix sévèrement. Cela piquait légèrement l'homme mais il avait l'habitude que ces victimes se débattent. Il avait appris à encaisser.
Il la regarda et elle porta un nouveau coup avec ses dents qui le fit saigner. Elle n'avait pas bien compris à qui elle avait à faire. Il la retourna vers lui et lui attrapa la bouche. Il la regarda de l'air le plus sévère qu'il avait, l'air le plus terrifiant. Histoire qu'elle comprenne bien qu'elle ne s'en sortirait pas.
- Je crois que tu n'as pas bien réalisé, murmura Dorian d'un ton menaçant, te débattre ou pas ne changera rien.
Elle respirait fort par la bouche, il sentait son souffle contre son visage. Il adorait ça. En voyant son visage, il eût une sensation étrange. Cette fille était magique mais elle avait un truc en plus. Il ne savait pas quoi mais c'était sur. Son air, ses traits, cela lui rappelait fortement quelqu'un ? Mais qui. Peu importe.
Voyant qu'elle avait arrêté ses résistances, il la forca à l'embrasser et glissa sa langue entre ses lèvres. Si elle tentait de le mordre, elle allait prendre une correctionnelle. Elle avait bon goût, un air d'Italie flottait entre ses lèvres. Il voyait d'ici les champs s'étendant à perte de vue. L'odeur de la campagne italienne. Il adorait l'Italie.
Il glissa une main dans sa culotte et lui caressa les petites lèvres. Elles étaient douce. Une femme qui s'entretenait quoi de meilleur ? Il plongea à nouveau son regard froid dans celui effrayé de la jeune femme. Il enleva sa main et la plaqua fortement contre l'arbre. Trop de force pour que la jeune femme se débatte.
- Ne bouge surtout pas. Tu es délicieuse.
Il commença à lui oter ses vêtements et s'attarda sur sa poitrine qui était vraiment belle. Hum, une jeune fille qui n'avait pas été beaucoup touché on dirait. Il rit. Elle avait la peau douce. C'était visiblement la première fois qu'un homme la touchait. Il sourit d'un air maléfique et poursuivit son entreprise de lui ôter ses vêtements
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Dim 29 Avr 2012 - 0:01
Je crois que jusqu'à maintenant, je n'avais pas vraiment réalisée la situation de la chose. Pour moi cet homme était un sorcier noir chargé d'une de ses missions affreuses, je pensais que ce type avait deviné que j'étais en réalité une humaine douée... Bien entendu, je me trompais fortement, ce type se fout en vérité royalement que je sois une humaine douée ou une sorcière, ce qu'il voulait de moi et depuis le début... C'était mon corps. Il veut sûrement mon corps, mais moi je ne veux pas, je veux garder ma virginité. Qui est-il, pour s'octroyer le droit de me toucher là où personne d'autre la fait ? J'imagine la scène de mon viole et rien que le fait d'y penser, tout mon corps reçoit une décharge de colère, je le maudis intérieurement de toutes les malédictions possibles. Finalement, j'ai réussie à morde sa main jusqu'au sang, l'homme m'attrape la bouche avec son autre main de sorte à ce que, moi, je lâche prise sur la main saignante. Il me regarde avec ce regard terrifiant et dit :
« Je crois que tu n'as pas bien réalisé, te débattre ou pas ne changera rien. »
Je ne sais plus quoi faire, moi qui suis une humaine noire, je ne trouve pas de solution... Généralement, je sors toujours avec un poignard en poche, mais en France, une lame qui dépasse seulement un tout petit peu la paume de la main, est considérée comme une arme blanche. C'était donc pour cela que j'ai fait exception aujourd'hui, voilà où j'en suis maintenant... Je suis fatiguée à cause de cette journée et je n'ai plus la force à résister à un homme comme lui, je manque d'entraînement. Peu de temps après que j'ai perdue la force, de me débattre, l'homme profita de ce moment pour me forcer à l'embrasser, ce moment n'était pas du tout magique, je n'aime pas sa langue dans ma bouche. Je n'ai pas osée le mordre, j'ai trop peur pour faire une chose pareille... Néanmoins, les mains contre son torse, j'essaye sans succès de le repousser. Sa musculature n'a fait que davantage m'effrayer.
Si ce type me frappe, je doute que je m'en remette, régénérante ou pas. Tout en continuant à m'embrasser, je sens l'une de ses mains se glisser sous mon jogging, sous ma culotte. Au contact de sa main sur mon bien le plus précieux, j'ai immédiatement poussée un cri que j'ai réussie à étouffer avant que l'homme se décide à me frapper pour le cri en question. Je ne veux pas qu'il me frappe, je ne veux pas avoir mal et je ne veux pas non plus qu'il abuse de moi. J'essaye avec mes deux mains de repousser sa main, qui est déjà en train de me faire de l'effet, bien qu'en plus, il continue à balader sa langue dans ma bouche. Je déteste ça, je déteste cette sensation, je n'aime pas l'effet que sa main produit à mon corps dans cette situation-ci. Je trouve la masturbation dégueulasse, je pleure silencieusement, je ne veux pas qu'il me frappe, mais je ne veux pas non plus qu'il continue ce qu'il est en train de me faire. Je suis tellement fragile et naïve, je n'aurai jamais due venir ici.
L'homme cessa enfin de m'embrasser, son regard me glace le sang... Qu'est-ce qu'il va me faire maintenant ? Il retire sa main de ma culotte et sans que je puisse à nouveau réagir, il me re-plaque à nouveau contre l'arbre, cette fois-ci avec plus de force. Le choc est si intense, que sur le coup, j'ai presque faillie perdre connaissance. J'ai la tête qui tourne beaucoup plus maintenant, j'ai les oreilles qui sifflent et le choc contre l'arbre m'a fait mal. Malgré que je sois à moitié dans les nuages, je prononce continuelle à voix basse étant donné que je suis à nouveau libre de parler, ceci... « Pitié, ne faites pas de mal... Pitié, ne me faites pas de mal... » Mes yeux ne le regardent plus, le coup à aider mes larmes à troubler ma vue. Je voudrais que ma mère soit là, je voudrais qu'elle me sauve... Qu'est-ce que tu penserais de moi, si tu me voyais dans cette situation, ma Lumière ? Et toi, maman, que penserais-tu de moi, si tu me voyais tel que je suis en ce moment ? Mon coeur me fait mal...
« Ne bouge surtout pas. Tu es délicieuse.
- Pitié, ne me faites pas de mal... »
Je ferme les yeux, quand l'homme déchira mon haut. Je ne tenais pas à le voir me contempler si dévêtue, je me sens affreuse et j'ai si honte... Cette honte n'a fait qu'augmenter, quand-il s'en est pris à mon soutien-gorge. Pourquoi n'y a-t-il pas de miracle ? Pourquoi ne suis-je donc pas sauvée ? Pourquoi la réalité, est-il si horrible ? Bientôt, c'est mon pantalon qu'il retire sans gêne, il ne reste seulement que ma culotte, qui est autre qu'un boxeur féminin de couleur noire. Je reprends peu à peu mes esprits, ma tête me fait encore légèrement mal et mes oreilles continuent à siffler. Je finis par accepter l'idée que, je suis complètement à sa merci, je ne bouge plus et j'essaye de cacher mes seins avec mes bras. Je continue tout de même à l'implorer, de me laisser partir que je ne parlerais à personne de ce qu'il a tenté de me faire, que j'oublierais même notre rencontre... J'espérai tellement, qu'il accepte de me laisser partir... Mais nous savons tous, que cela n'est qu'un rêve parmi tant d'autre, nous savons tous, que la réalité... Est beaucoup plus cruelle.
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Lun 30 Avr 2012 - 20:27
- Pitié, ne me faites pas de mal...
C'est tout ce qui sort de sa bouche, c'est pitoyable. Dorian éclata d'un grand rire. Avoir pitié ? Cela ne fait pas parti de son vocabulaire. Il a apprit au fil du temps à rendre son coeur plus dur que tout. Il est insensible, cela lui passe au dessus. Même s'il avouait que cette petite avait quelque chose en plus qui pourrait presque rompre sa carapace.
Le sadisme. C'est tout un art, soit on le maîtrise et tout le monde vous admire ou a peur de vous soit vous êtes maladroit et vous êtes la risée de tous unanimement. Dorian était respecté pour son art de la torture. Il en avait tellement appris au fil du temps et des voyages que son esprit fourmillait de méthodes. Une qu'il avait bien envie de tester était celle du rat et du bocal.
Elle consiste à mettre un rat dans un bocal puis de fermer ce bocal avec le ventre de la victime. Les rats détestent être enfermé alors, ils cherchent à s'échapper et lacère la chair de la pauvre victime. Cela doit être drôle de voir un rat s'enfouir dans les entrailles de quelqu'un. Que le sang dégouline. Il aimerait bien essayer. Mais pas sur cette fille.
Elle essaya de cacher ses seins avec ses bras tout en l'implorant. C'était marrant. Elle essayait d'avoir encore une dignité alors qu'elle n'en avait aucune. Elle allait être souillée. Elle s'en souviendrais sûrement toute sa vie et même dans plusieurs années elle en gardera un traumatisme énorme. Elle ne sera qu'une carapace vide. Tant pis.
Il déchira le reste de ses vêtements. Elle était nue. L'atmosphère était encore chaude heureusement pour elle. Il glissa un doigt dans son intimité qu'il fit tourner largement. Peut-être prendrait-elle du plaisir ? En tout cas Dorian aimait doigter et sentir cette sensation chaude et humide. C'était tellement bon. Il abaissa sa tête et lécha les seins de la jeune femme.
Ils étaient bon. Comme deux chaussons aux pommes que le boulanger venait de sortir du four et sentant encore cette douce odeur. Hum et ces petits tétons bien pointés. Cela excitait le chef de Croix au plus haut point. Il aimait ça. Etait-ce le froid ou l'excitation qui la rendait ainsi. Il caressa lentement le clitoris de la jeune femme. Etait-ce sa première fois ?
Dorian n'aimait pas faire l'amour tout habillé, si bien qu'il intima à la jeune fille de ne pas bouger d'un centimètre d'un seul regard, puis il se déshabilla. Sa verge était dure et dressée comme un piquet. Elle était bien gonflée et on voyait que l'excitation était à son combe pour l'homme. Mais il voulait un truc.
Il mit ses bras sur les épaules de la blonde et la força à se mettre à genoux. Elle allait le pomper jusqu'à la moelle s'il le fallait mais elle le ferait. Et sans mettre les dents, sinon il les ferait sauter une à une. Il se sentait bien. A l'aube d'une nouvelle atrocité, Dorian était serein. La jeune fille le regardait et il lui donna l'ordre.
- Suce moi, dit-il d'une voix impérieuse, et pas de dents. Sinon je te les arraches une à une.
Parfait. Elle avait le choix, soit elle le faisait et elle obéissait bien gentiment et il ne lui arrivait rien. Soit elle lui faisait l'affront de refuser l'honneur que lui accordait Dorian et il serait obligé d'employer la matière forte. Ca serait dommage d'abîmer un si joli minois mais s'il en était forcé, il le ferait. Un bon moment s'ouvrait à lui.
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Mar 1 Mai 2012 - 5:11
Vous savez quoi... J'ai l'impression que les secondes, les minutes, les heures, les jours, les semaines, les mois, les années, les décennies, les siècles et les millénaires sont passés en flèche devant moi, depuis que mon cauchemar est devenu réalité. Le monde s'écroule devant moi, je suis plongée dans une éternité de souffrances, de peurs, d'angoisses. Tout est noir autour de moi, mon esprit commence déjà à devenir fout. Je suis nue, c'est affreux, c'est un cauchemar, ce n'est pas comme ça que, doit se terminer ma journée, je veux me réveiller... Il est trop tard, la cloche de l'éternité à retentit, la pluie des rêves a cessé de tomber et la porte des limbes s'est ouverte... Les démons viennent au monde et sèment le cauchemar dans les champs des émotions et des rêves. Coure, coure petite fille, tu peux te cacher, mais tu ne lui échapperas pas... Oui Claire, abandonne tout de suite, toute tentative de fuite est réduite à l'échec, reste donc bien, alors dans ton éternité de cauchemars et souffre en silence.
L'homme me désire, je le fuis... Ô Claire, tu n'as nul endroit ou fuir, reste donc dans ton éternité de souffrances en compagnie de ton faucheur qui te désire et te veux. L'homme déchire mon boxeur, mes yeux ne le regardent pas, je regarde ailleurs espèrent trouver la sortie, trouver la lumière au bout du tunnel. Je vois l'enfer dans les yeux de cet homme, pourtant je vois en lui un autre regard, dans ce regard, on peut voir qu'il protège et chéris quelqu'un, le regard d'un père... Pourquoi un père s'attarde à un viol et s'il est vraiment père, qu'est-ce que son enfant penserait, de lui, si le voyait là tel qu'il est en ce moment ? L'homme me dégoûte, mon corps le désir... Ô Claire, cesse donc de te mentir à toi-même ! Tu rejettes mentalement cet homme, mais nous savons tous les deux que ton corps lui, le veut entièrement... Ma conscience se met à jouer avec moi, pourtant... Elle a tout à fait raison. D'abord, en premier lieu l'homme insère un de ses doigts en moi, ce qui est douloureux à cause de mon hymen.
Ma conscience joue avec moi, cependant ses paroles sont véridiques... Les caresses de cet homme sur ma peau, ses lèvres contres mes seins, sa main caressent mon bien le plus précieux, font augment un désir nouveau en moi. L'homme me répugne, mais mon corps le désir, c'est plus fort que moi. Il fait de plus en plus frais, la nuit tombe pourtant, j'étouffe de chaleur, mon corps brûle de chaleur à l'intérieur. Pfff, en vérité... Je me répugne et le corps de l'homme me désir. Ô et voilà enfin que la porte de l'espoir se referme et toi au loin contemplent tristement cet événement... Maintenant, tu peux réellement pleurer Claire, ton corps à présent ne t'appartient plus désormais, que vas-tu faire ? Que vais-je faire ? Rien... Que pourrai-je faire, à par continuer à verser des larmes inutiles ? Je ne sais plus quoi faire, à par continuer à marcher dans cette éternité de cauchemars, dans ce noir sombre et froid.
« Suce moi et pas de dents. Sinon je te les arraches une à une. »
Dit l'homme après m'avoir mise à genoux, après s'être dévêtu... Le sucer ? Mon cerveau pris un moment à comprendre, ce n'est que lorsque mon visage fut près de cette chose dressée devant moi, que mon cerveau analysa le sens de la phrase. Je regarde ce truc, cette chose, la question... Va-t-il rentrer cette chose en moi ? Non, non, non ! Je ne peux pas, il ne peut pas, je ne veux pas ! Je pleure plus fort, puis je cris aussi fort que je peux et je repousse ses bras qui me tiennent les épaules... C'est lamentablement à quatre pattes que j'essaye de prendre la fuite, je ne veux pas de cette chose en moi, je vais avoir mal... Je ne peux pas, je ne pourrais pas supporter la douleur. Je sais que je vais avoir mal, son doigt m'a fait mal, alors quand sera-t-il de son pénis ? Jamais, je pourrai volontairement mettre ce truc, cette chose dans ma bouche. Ô Claire, la porte de l'espoir c'est refermé devant tes yeux tristes salis par tes larmes, pourtant, tu continues à espérer... Pauvre petite fille effrayer !
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Dernière édition par Claire Smith le Dim 20 Mai 2012 - 17:38, édité 1 fois
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Mer 9 Mai 2012 - 13:03
Son visage était si proche du plaisir de la douceur de lèvres légèrement humectées se posant sur son bâton déjà brûlant de plaisir à l'idée de la savoir prise en bouche. Il n'attendait que ça, elle était juste devant, à elle d'agir. De longs aller et vient dans sa bouche en lui enfonçant bien au plus profond qu'elle pouvait. Il eût un sourire à cette idée.
Il leva la tête au ciel mais d'un coup elle se mit à pleurer et crier très fort. Elle repoussa ses bras avec une force assez surprenante et se mit à quatre pattes pour tenter de s'enfuir. Dorian baissa la tête avec surprise, ses fesses se dandinaient. Son postérieur tellement gros la faisait ralentir sûrement. Il rit sincèrement, la situation était comique.
Pensait-elle avoir la moindre chance ? Il se concentra et fit apparaître une boule de feu dans sa main qu'il projeta juste devant la jeune femme. Cela brûla le sol et elle s'arrêta net. Il s'approcha, l'attrapa par ses longs cheveux blonds et la traîna jusqu'au point de départ. Il ne la ménagea pas. Tout cela était un jeu pour lui, pas une torture.
- N'essaye plus de t'enfuir c'est compris ? dit Dorian d'un ton doucereux. Sinon...
Il n'acheva pas sa phrase mais il lui mit une taloche en plein dans la joue. Elle se tint la joue mais il lui rattrapa le menton et l'amena à nouveau devant son engin. Elle n'allait sûrement pas faire sa fine bouche cette fois. Le sorcier noir n'avait sûrement pas mis toute sa force dans sa frappe mais suffisamment pour qu'elle comprenne ce qui l'attendait si elle recommençait.
Cet air effrayé sur le visage de la fille était sûrement le plus jouissif dans l'affaire. Elle souffrait, il prenait du plaisir. Quoi de mieux ? Demain, il aurait oublier ça, elle, elle s'en souviendrait tout sa vie et serait sûrement anéantie. C'était une sorcière pure mais si cela se trouvait ce n'était qu'une demeurée du côté d'Orphéo.
De toute façon, ce qui était certain c'est qu'elle n'appartenait pas à Croix. Si ça avait été le cas, Dorian aurait fait ça plus légalement. Si elle venait de Rosenrot, cela bouleverserait peut-être leur relations. Peu importe. De toute façon, la jeune fille ne connaissait pas son nom. Enfin apparemment, cela ne pouvait donc pas lui causer de tort.
- Qu'attends-tu, vas-y. Sinon je t'y force et ça ne va pas te faire plaisir.
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Dim 20 Mai 2012 - 17:29
Une barrière de feu sortie des ténèbres, sortie de nulle part annonça la fin de ma fuite. Tandis que je me fais traîner à nouveau à ses pieds, je commence à plonger inconsciemment dans mes pensées, sombrent dans un profond puis sans fin. On parle d'un enfer, on parle d'un paradis, on parle d'une vie après la mort. Le bon et les justes sont destinés au paradis, les mauvais à l'enfer ou, ils brûleront. Moi je sais que je n'aurai pas de place au paradis, avec les péchés que j'ai commis par le passé, cependant... Qu'est-ce qu'est l'enfer réellement ? Qu'est-ce qu'il y a de différent avec ce monde ? Ce monde ou, le mauvais règne en maître dans le coeur humain. Pour moi l'enfer est aussi sur terre, alors qu'elle est cette différence entre ce foutu monde et le Purgatoire ? Je me demande à présent, pourquoi insister ? Pourquoi insister alors que, ce monde est déjà foutu ? Pourquoi continue à rester la gentille Claire ? Oui, je voulais honorer ma grand-mère, mais maintenant, je me rends compte que... J'ai été naïve.
Ce battre pour un monde déjà perdu, ne sert seulement qu'à retarder l'échéance. Cet homme en face de moi, m'a enfin ouvert les yeux... Grâce à lui certaine chose que j'avais oubliée, que ma grand-mère à effacer de ma mémoire, me sont revenus. Oui, cette colère, cette haine envers les sorciers et les mêlés. J'avais oubliée pourquoi ma mère avait fait de moi une « noire », mais maintenant tout m'est revenu. Willow est le prénom qui m'a été donnée par ma mère, Claire par ma grand-mère... J'ai vécue en étant la gentille petite Claire, parce que j'avais foie en ces paroles, ceux de ma grand-mère, ma Lumière. Des paroles me disant, que le coeur des hommes changent continuellement, que le bon pouvait devenir le mal, mais que le mal pouvait devenir le bon... Je croyais jusqu'à maintenant à ces paroles rêveuses, mais a quoi cela servirait de changer le coeur d'un homme dans cet enfer ? Grâce à cet homme, je sais...
Je sais que cela ne sert à rien de se battre pour une cause sordide, grâce à cet homme j'ai enfin à nouveau, oubliée la valeur de la vie... Claire la gentille la juste, la Pom-pom girl, laisse place à nouveau à Willow la mauvaise, celle qui n'a pas de libre arbitre, celle que ma grand-mère m'avait fait oublier... L'homme m'ordonne de ne plus essayer de fuir avant de porter coup au visage, peu importe je ne suis déjà plus là. Cela à du paraître étrange pour lui que d'une seconde à l'autre, j'ai cessée mes cris, mes pleures, a-t-il deviné ? A-t-il deviné, que mon esprit était déjà loin, loin de cet enfer, loin... Tout simplement loin de lui ? Il a réveillé cette sombre colère que j'adressais à sa race, cependant... Cela ne change pas le fait que, je suis complètement détruite de l'intérieur, il a vu mon corps, il l'a touchée, je me sens souiller. Malgré ma position, malgré ma situation, mon fort intérieur se délecte déjà d'un désir de vengeance, étrange !
« Qu'attends-tu, vas-y. Sinon je t'y force et ça ne va pas te faire plaisir. »
Non, ce qui est étrange c'est que la peur c'est dissipé, peut-être dû au fait que je ne sois plus là mentalement ! Dans tous les cas, tant mieux... La peur me donnait ce fort sentiment que j'allais mourir et maintenant que la peur c'est dissipé, je n'ai plus l'impression de mourir... Je me sens relaxée, je vois toujours l'environnement qui m'entoure, je vois toujours l'homme en face de moi, mais je ne ressens plus rien, rien... Mon esprit est bel et bien absent. Mais à cause de cela ma volonté n'est plus vraiment présente, j'ai l'impression que je n'ai plus le moindre contrôle sur mon corps, comme si mes nerfs n'étaient plus connectés au cerveau. Je vois, mais je ne ressens plus rien, je n'entends plus rien, seul la vue parmi mes sens, semble continue à fonctionner... Que ce passe-t-il ? Que m'arrive-t-il ?
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Mar 16 Oct 2012 - 18:36
Dans la vie, il n'y a rien de plus marrant que de ne pas se soucier des autres et d'agir bien indépendamment du reste. Il y a aussi des choses simples dont on peut profiter lorsqu'on est seul. S'installer au pied d'un arbre et profiter simplement de l'air ambiant passant sur le visage.
Mais il y aussi des plaisirs plus bestiaux qui sont les meilleurs dans la vie. La simple chaleur d'un autre corps par exemple. Une étreinte qui n'en finit pas. Un acte sexuel avec violence, un dominateur et une soumise. Ah, le sexe. Une des meilleures choses qui existe dans la vie.
Sa bouche légèrement humide entra enfin en contact et là ce fut la délivrance. Dorian pencha la tête en arrière en sentant ce plaisir immense qu'est une fellation. Vous savez ces petits papillons qui montent dans votre ventre et une sensation de libération comme si tout votre corps se relâchait.
Elle faisait des léger va et vient avec sa bouche, c'était plutôt agréable. Dorian n'aimait pas trop le fait qu'elle fasse ça un peu mécaniquement et pas avec plus d'envie. Il lui prit les cheveux, ils étaient vraiment doux et lisses. Ils se prenaient facilement en main. Le chef des Cross aimait bien.
- Allez met y un peu plus d'envie. Fais jouer ta langue. De toute façon, on va bientôt passer aux choses sérieuses.
Claire semblait obéir à ses ordres. C'était marrant mais la soumission était un peu trop facile. Il aimerait bien qu'elle lui offre un peu plus de résistance mais ce n'était visiblement pas son objectif. C'était un robot, elle était déjà comme un après un viol : comme une coquille vide. Peu intéressant mais elle était toujours aussi sexy.
Puis ses petits tétons bien dressés qui s'agitait au rythme des aller-retours, rien de plus excitant. Dorian était vraiment excité, son engin était aussi raide qu'un baobab, sans vouloir être vantard bien entendu. Il la releva lentement avec un petit sourire aux lèvres.
- Tu es prête à passer aux choses sérieuses ? Dit moi ton nom, ça sera plus intéressant. Tu es vierge aussi j'espère, ça sera encore bien mieux.
Dorian ne comptait bien entendu pas se protéger. C'était encore mieux. Il n'y avait aucune sensation avec un préservatif, alors qu'en étant naturel on sent la chaleur et l'humidité de l'intimité de la demoiselle. Il regarda la jeune fille dans les yeux. Elle était vraiment pas mal.
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Mer 17 Oct 2012 - 14:30
La peur, je devrais être heureuse de pourvoir la ressentir, ressentir ce sentiment qui montre que finalement je suis bien humaine. Mort bleue, que c'est dommage que, je puis seulement ressentir cette émotion, à la toute fin. Peu à peu mon être s'est vidé de toute idée, toute pensée, toute réaction. J'étais devenu à présent une coquille vide, du moins j'en donnais sûrement l'impression. Et voilà que la seule émotion qui me rendait humaine, qui me rendait vivante disparue. Manipulé, par cet être, je le goûte sans hésiter, car volonté dissiper. Aucune penser ne traversa mon être, j'agissais seulement ne me préoccupant plus de quoi que soit, même pas moi-même. Je devais serte avoir perdu toute dignité, mais aussi toute considération pour la vie. Moi qui cherchais, à savoir ce qui n'allait pas avec moi. J'ai tenté de me persuader que je pouvais un jour devenir comme les autres, je l'ai tellement cru, que j'ai trompé mon être en lui faisant croire que j'étais amoureuse d'un homme.
« Allez met y un peu plus d'envie. Fais jouer ta langue. De toute façon, on va bientôt passer aux choses sérieuses. »
Aucune réaction, aucune réponse. Il jouait dans mes cheveux, mes cheveux lui plaisait-il ou peut-être... cela augmentait-il son excitation, sentant ma langue contre sa chose dure et chaude ? Qu'important, à chaque va et vient l'envie de vomir était sur le point de se manifester. Mon esprit était tellement vide, mes pensées lasses au point que mon être au lieu d'émettre, recevait les messages de l'homme. Mon esprit décryptait de l'homme à l'instant « excité, heureux, sadique », j'ai cru même ressentir en lui, le désir que je lui résiste, puis... Plus rien. Mon esprit redevint vide, pour accueillir de nouveau mes propres pensées. Venais-je d'échapper à mon subconscient ? Mes idées revinrent donc, mais pas mes émotions, ni mes sentiments. Alors, peut-être est-il normal de dire à présent, que les pensées des autres tournées vers moi n'avaient guère plus d'importance pour moi. C'est donc ainsi que je m'appliquais à la tâche qui m'était due, ainsi je faisais jouer ma langue sur sa chose qui semblait devenir plus chaude, comme il le désirait.
« Tu es prête à passer aux choses sérieuses ? Dit moi ton nom, ça sera plus intéressant. Tu es vierge aussi j'espère, ça sera encore bien mieux. »
Me dit-il après m'avoir lentement relevé, ses yeux brillaient et j'opinais du chef quand il me demanda mon nom. J'avais serte retrouvé les idées, mais non la parole. Je faillie le cracher au visage sous sa dernière phrase, violer des vierges, il n'y a pas plus honteux. Et son regarde, qu'il osait poser sur le mien sans même ressentir de gêne, pourrait rendre n'importe qui, fou, mais je restais impassible dorénavant. Je ne poussais plus de cri, l'idée de fuir m'est complètement sortie de la tête et je choisie la solution de facilité... « plutôt que de me défendre, qu'il en finisse vite fait bien fait avec moi ».
PS:
C'est fait longtemps, donc dis-moi s'il y a des choses qui te perturbe dans ce poste.
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Jeu 18 Oct 2012 - 12:59
Dorian n'était certainement pas empathe. Non ça c'était une capacité pour les tapettes, il n'aurait pas été nommé Cross s'il avait ce genre de pouvoir. C'est le genre de pouvoir que tout le monde considère comme puissant alors qu'il est juste ridicule. Ca sert à rien. Les sentiments des gens, ça se lit dans les regards.
Elle était vide de toute émotion ça se voyait. Elle n'arrivait même pas à ressentir la fureur. C'était amusant. Dorian aurait pu la frapper, la torturer faire tout ce qu'il voulait, elle s'en fichait. Comme dans un autre monde. Le chef de Croix avait lu des bouquins là dessus, ça l'intéressait.
Les personnes dans les cas d'extrêmes traumatismes ont diverses réactions mais pour la plupart elle reste figée et essaye de fermer leur esprit à tout ce qui pourrait se passer en réalité. Comme pour ne pas voir la réalité, comme si elle se cachait les yeux, sans les mains.
Elle privait son corps de sensation et c'était bien dommage. Elle devait sentir le souffle chaud de Dorian sur son visage. Il posa ses mains sur sa poitrine et s'en délecta un peu. Ils étaient vraiment bien ces seins. Il connaissait d'ailleurs des personnes qui découpaient les seins de leurs conquêtes pour les garder dans une vitrine. Des malades, il n'y a plus aucune sensation.
Il la saisit par les cheveux et la tira d'un coup. Le chef des Cross la plaqua contre un arbre un peu violemment mais sans qu'elle soit blessée. Elle était dos à lui et Dorian devait admettre que ses fesses étaient plutôt belles. Elle était bien ferme et ronde. Il donna une tape assez violente sur son postérieur. Une marque rouge s'installa là où il avait posé sa main.
Il écarta ses fesses. Tout était bien épilé, pas un poil ne dépassait. Oh, c'était parfait, une fille qui prenait soin d'elle. Elle allait se laver encore et encore et encore et encore pour effacer la souillure qu'il aurait mis en elle. Cela le faisait rire, infiniment. D'ailleurs il éclata d'un rire sordide.
Il inséra son engin bien raide et lubrifié par la salive de la jeune fille dans son intérieur chaud.. Il était attristé qu'elle n'aies pas voulu lui dire son nom. Tant pis, il avait enregistré son visage et il chercherait s'il avait le temps dans les données de Croix. Si cette fille avait un quelconque passé, il la retrouverait bien vite.
C'est vraiment agréable une pénétration, vous le ne savez sans doute pas. A l'intérieur, c'est malléable, c'est chaud, c'est humide et cela fait monter le désir en vous. C'est vraiment un endroit que l'on a pas envie de quitter. On en viens mais on a toujours envie d'y revenir.
- J'espère que tu apprécies mademoiselle. Je ne voudrais surtout pas te faire mal, dit-il d'un ton ironique.
Il agrippa à nouveau ses cheveux pour avoir un point d'appui et se mit à faire des va et vient en elle. Quelle putain de sensation. Son temple du plaisir était encore assez serré. C'était sûrement sa première fois, Dorian le sentait. Et quand c'était encore bien serré, c'était certes un peu douloureux mais bel et bien rapidement jouissif.
En effet, l'engin de Dorian était compressé par l'âtre du désir de la jeune femme ce qui faisait monter l'excitation et le plaisir bien plus vite que chez une femme avec le vagin dilaté. Il s'en foutait bien de la faire souffrir. Il accéléra un peu ses va et vient en lui remettant une bonne claque sur les fesses. Vraiment plaisant.
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Sam 20 Oct 2012 - 13:17
La nuit n'a jamais été aussi sombre, ou peut-être l'a-t-elle toujours été, mais ce n'est que maintenant que je le remarque. Mon regard lever vers le ciel, essayant de me créer de nouveau une bulle, je contemple le ciel dépourvu d'étoiles. Je présume que c'est le dernier moyen que mon esprit, ma conscience ont trouvé pour échapper intérieurement. Je présume. L'homme joue avec moi comme si, j'étais une simple poupée manipulante faite en silicone. Maintenant, que mon calme est revenu... ou plutôt que mon vide intérieur est revenu, j'arrive à voir l'homme sous une autre forme. J'ai juste l'impression qu'il s'agit d'un simple animal, un chien en chaleur qui ne sait pas où est sa place. Je le regarde avec des yeux comme si la chose qu'il avait devant moi était un pauvre chien battu, il me fait pitié. Il me donne l'impression qu'il n'a aucune vie, ce qui n'est peut-être pas le cas. Enfin bon, être tout de même réduit à violer, c'est que d'une façon ou une autre, il essaye de se prouver qu'il peut obtenir tout ce qu'il veut d'un claquement du doigt.
Alors, quoi ? Je suppose qu'il eusse perdu sa femme et que le viol ou coucher avec d'innombrables filles, lui permet d'oublier sa défunte. Dans tous les cas, je doute que je sois une fille dont il serait tombé éperdument sous le charme et qu'il m'aurait suivie jusqu'à ce que je sois seule. J'étais là au mauvais moment au mauvais endroit, je suis tombée sous sa ligne de mire. Son regard est à glacer le sang, du moins je présume étant donné que je ne ressens même plus une once de peur. Mon regarde, lui, est impassible, comme le regard des pauvres victimes de la mort. Je me souviens de mettre beaucoup entraîner par le passé pour que je perde cette image lugubre de moi. Je respecte d'un côté cet homme, son excitation pour moi l'empêche de voir la froideur morbide qui se dégage de mon aura. Oui. Qui dit vide intérieur chez Claire Willow Smith, dit soif de sang, faim de meurtre. La noirceur augmente dans mon coeur de nouveau et l'aura de mon être commence à l'empester. Ma mère remercierait cet homme de tout son amour, elle qui voulait que je fasse de cette faim une arme.
Je m'étais donnée jusqu'à présent temps de mal, jouer la comédie, m'a permis de vraiment oublier, qui j'étais vraiment. Pour ma mère, avoir une fille qui a l'esprit d'un tueur en série dans sa famille était une aubaine pour l'organisation, mais pour moi, je ne tenais pas à devenir la prochaine « Green River » des États-Unis. Bien entendu, très tôt j'avais remarqué ma différence avec les autres enfants... A 7 ans j'enfermais de petits pigeons dans un bocal et je les regardais mourir asphyxié, à 9 ans je tuais les chats des voisins et je les enterrais dans le jardin, à 11 ans je suis passée de chats aux chiens. Mon esprit était et l'est toujours perturbé par un traumatisme lointain, datant de mes 3 ans. J'étais trop jeune pour pouvoir aujourd'hui m'en rappeler distinctement moi-même, mais mon être tout entier est resté marquer. Cet homme, en face de moi devrait être la première victime de ma faim, de ce vide qui agit comme un manque de nouveau.
Après m'avoir agrippé les cheveux, il me tira et me plaqua violemment contre un arbre. Je suis dos à-lui, pas besoin de me faire un dessin, j'ai compris son intention perverse sur le comment, le pourquoi on est arrivé à cette position. Mon coeur ne daigne même pas s'affoler, malgré que je lui en prie de le faire. En ce moment, mon intention se porte, je vous avoue, plus sur le fait d'avoir perdu réellement et de nouveau toute émotion, que sur le fait d'être sur le point de perdre ce qui fait jusqu'à maintenant de moi... Une petite fille. Je sens soudainement une légère brûlure sur mon postérieur, il venait de me donner une tape aux fesses, d'un pathétique. Je trouve un soudain intérêt à l'arbre sur laquelle ma poitrine s'aplatit, j'en roule mes bras autour de lui comme s'il s'agissait d'une personne. J'ai besoin de cet arbre à présent, il serait mon ami et il me soutiendra durant cette dure épreuve qui m'attend.
Il y eut un rire, puis... vint la douleur.
Je sers l'arbre fort contre moi, je durcie ma mâchoire pour ne pas laisser échapper un seul crie de douleur, je plisse malgré tous les yeux. Cela fait si mal et le sentir en moi, me donne de légers vertiges comme ceux qui arrivent avant de vomir. Cela fait encore plus mal quand on sait qu'il n'y a aucun amour à l'acte, simplement de lâcheté et du mépris. Mon corps se rédie de plus en plus à la douleur, mes yeux plissés vinrent à ce fermer complètement et ma mâchoire se détendit et sans que je puisse y faire quoi que ce soit, je laisse finalement échapper de petits cris étouffés.
« J'espère que tu apprécies mademoiselle. Je ne voudrais surtout pas te faire mal. »
J'ouvre les yeux et je surprends une larme coulée le long de ma joue. Mon esprit est-il déjà si las, pour qu'il n'ait pas pu remarquer à quel point, mon corps aussi était plus touché par cette situation que lui ? Je suis incapable de ressentir grand-chose, incapable de pleurer de chagrin. Mon corps pleure-t-il pour moi ? Je ferme de nouveau les yeux, non à cause de la souffrance cette fois-ci, mais pour chercher une chose en moi qui fais de moi une femme forte... l'envie de combattre et de gagner !
Je passe mon pied gauche derrière la cheville gauche de cette pourriture et à l'aide de l'arbre, je pousse sur mes bras de toutes mes forces mon corps pour percuter l'homme, nous faisons basculer tous les deux. Une fois tous deux au sol, je n'essaye en aucun cas de me relever et d'essayer de prendre la fuite, non ! A vrai dire, je ne suis pas une victime comme les autres et je déteste qu'on se joue de moi et qu'on me provoque. C'est donc pour cela qu'à la place de prendre la fuite, c'est sur cet homme que je me place à cheval. Plutôt que de laisser mon pauvre corps pleurer à ma place, je préfère vendre mon âme au diable et donc, autant faire de mon viol, le sien... Malgré la douleur, je fais rentrer sa chose brutalement en moi jusqu'à toucher mon col et je suis sûre qu'il doit avoir mal lui aussi, car sa chose ne rentre pas complètement malgré qu'il soit au fond. Oui. Si je dois souffrir, lui aussi !
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Dim 21 Oct 2012 - 11:17
Kill Yourself. Come on and do us all a favour.
Elle s’enroulait à l’arbre comme on enlacerait un amant depuis si longtemps perdu. Elle était pitoyable à voir et c’est ce qui était marrant. Dorian méprisait bien tout le monde. Les êtres vivants sont pitoyable. Ils ont peur, ils ont tous peur d’affronter quelque chose dont on leur a parlé toute leur vie, la violence gratuite.
Apeurés, ils fuient tous. Ils ne regardent pas la mort en face, ils ne goûtent pas au plaisir que peut procurer les cris d’un être humain, souffrant après de multiples coups. La douleur de l’être humain n’est pas une simple satisfaction, c’est de l’art poussé jusqu’à à un certain niveau.
Au premier niveau, il y a l’Homme. Qui peut encore résister à ce qu’on lui inflige, qui a encore une quelconque fierté et qui se croit encore plus puissant que son agresseur. Qui estime que c’est grâce à la résistance qu’il va s’en sortir, en ne fléchissant pas moralement. Il ne réalise pas.
Au deuxième niveau, il y a l’homme. Celui qui supplie lorsqu’on arrive dans la salle de torture, qui sait déjà qu’il subira la douleur la plus intense de toute sa vie. Qui a vu tout les instruments de torture et qui a affreusement peur de ce que l’on peut en faire. Tellement d’usages.
Au troisième niveau, il y a le sous-homme. Celui qui ne dit rien , c’est l’espèce la plus rare et qui est en voie de disparation. Il sait déjà que sa torture ne sera qu’une longue route vers la mort. Alors, il se tait et ne gaspille pas ses forces. Il se répand en prières. Ce niveau là… n’est pas marrant.
Apologie de la torture. As-tu peur de la mort ?
Elle passa son pied gauche derrière la cheville de Dorian. Il n’eût guère le temps de réagir et se retrouva bientôt par terre. Il trouvait la situation amusante dans la mesure où il avait confiance en lui et il savait qu’à tout moment il pouvait retourner ça en sa faveur. Il voulait simplement voir ce que la jeune fille allait faire.
Elle se plaça à cheval sur lui. Ca devient de plus en plus loufoque. Est-ce que ça en deviendrait un viol consentant ? C’est plutôt rare comme type de réaction. Soudainement, elle s’empala sur l’engin du chef de Croix et alla jusqu’au fond. Elle était vierge maintenant c’était sûr parce que ce n’est pas de cette manière que l’on traite un homme.
C’était un peu douloureux et Dorian n’aimait pas qu’on abime sa virilité. Ce qui était triste et qu’elle n’avait toujours pas compris, c’est qu’il était bien plus puissant et entraîné que cette jeune fille. Elle avait les yeux qui brillait, elle pleurait sûrement. Plus par réflexe que par réelle tristesse.
- Je suis navré d’en arriver là, dit Dorian d’un ton faussement désolé.
Il décocha une baffe à la fille. Pas toute de sa puissance mais suffisamment fort pour qu’elle soit légèrement sonné. Il n’aimait pas lorsque ses victimes étaient inconscientes. On ne pouvait pas voir la douleur sur leur visage ni les entendre pousser des cris.
Il l’attrapa par le cou et la fit basculer sur le côté. Elle était sur le sol, les jambes fermées. Dorian ne savait pas bien si elle était consciente ou pas. Il écarta ses jambes, révélant son intimité si belle. C’est beau un sexe féminin. Ca ne montre rien, tout est caché et c’est assez esthétique quand c’est bien entretenu.
Il la pénétra avec force. Cette fois plus de « gentillesse ». Il plaça une main sur sa gorge sans pour autant serrer énormément. Il continua ses va-et-vient. Il sentait la jouissance monter en lui doucement mais sûrement. Il trouvait ça particulièrement agréable.
Quoi de mieux que de violer une vierge pure dans un parc à la tombée de la nuit ? Pas grand chose. Elle ne connaissait même pas son nom et puis elle était si faible. Dorian ne connaissait pas le sentiment « pitié ». Mais s’il le connaissait.. Il l’éprouvait surement en cet instant.
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Dim 21 Oct 2012 - 17:37
C'était décidé à présent, mon esprit est dépourvu de ce mental de victime, il était hors de question que j'offre à cet homme ce qu'il désire le plus de moi. Et ce qu'il veut, de moi, est simple comme bonjour. Il veut que je me torde de douleur, il veut que, je cris pour ses beaux yeux, il veut que je pleure pour que son désir n'en soit que plus élevé, sinon pourquoi me violerait-il ? Je suis sûre lui et la douleur que me procure son outil de production est immense, non plus seulement à cause de mon hymen, mais aussi à cause du col. Je ne savais pas que cela aussi, faisait mal, ce qui ne m'arrêta pas pour autant. Je continue à bouger mes hanches de façon à ce que son pénis, soit bien essoré, compressé dans mon intimité et cela est à non pas douter douloureux avec une érection. Je fis cela jusqu'à ce que je reçoive une baffe et soit alors basculée sur le côté, me retrouvant alors au sol. Je prends quelques secondes avant de constater que la douleur est de nouveau en moi.
L'homme au-dessus de moi, je peux, de nouveau voir à quel point il a un corps imposant. Il avait placé sa main sur ma gorge après m'avoir de nouveau pénétré, ses vas et vient ne me touchèrent plus et il me faisait moins mal. Je crois que mes parois vaginales se sont détendues et humidifiées, grâce ça la blessure fraîchement récente de l'hymen ne s'étire plus sous la peau du pénis. Je n'éprouve aucun plaisir, mais je ne ressens déjà plus la sensation de douleur à par celle ou le pénis frappe mon col. Je me demande si le fait que ma douleur s'estompe peu à peu, est dû à mon pouvoir de régénérer, peut-être... qui sait ? Je regarde l'homme sans cligner des yeux, je le fixe sans brancher, je lui montre que désormais je ne suis plus sa petite victime, se serait, le rendre trop heureux. Je croise mes jambes derrières lui, pour lui montrer que lui aussi, d'une certaine façon, il est à ma merci. Je contracte mes cuisses de toutes mes forces, qu'il tente de les mettre à l'épreuve pour voir.
Sa main est toujours posée sur ma gorge sans force, délicatement je fais pivoter mes hanches sur place, pas pour que moi j'ai du plaisir, mais pour que je puisse le combler, lui. Pourquoi ? Plus vite il éjacule, plus vite cet enfer se terminera, enfin c'est ce que une personne normale aurait sûrement répondu... Moi, je souhaite le combler pour me prouver seulement à moi-même, que je ne suis pas si inutile que cela. Mon esprit est étrange, pourquoi ? Eh bien, parce que je ne crie pas et n'essaye plus de me débattre, c'est ça ? Ne me faites pas rire, je n'aime pas le regarde satisfait de ce crétin au-dessus de moi, c'est pour cela que mes yeux fixent les siens sans lâcher, pendant que mes hanches dansent entre moi et lui. Mes jambes se contractent encore de plus en plus, tout en continuant mes mouvements sensuelles du bassin et en observant chaque réaction qui s'inscrit sur son visage. Il n'avait pas arrêté ses déhanchées lui aussi, c'est comme si on cherchait tout deux avoir le dessus sur l'autre.
Peu après que je rédie mes jambes, les mouvements se faisaient moins rapide et moins précise chez lui, tandis que mes mouvements à moi, continuaient à masser délicatement son engin... Puis après un moment, je lève mes mains pour les poser sur son torse et je les fis descendre caressant au passage ses abdominaux. On dit que ça procure aussi du plaisir aux hommes de faire cela, mon intérieur était vraiment devenu chaud, depuis que la douleur avait cessé au niveau de l'hymen. D'une certaine manière, peut-être suis-je réellement devenue constante finalement, cela ne sert à rien de le cacher.
« Cela te procure-t-il du plaisir de me tenir la gorge ? »
Ma voix me surprenait, elle était si sèche et glaciale comme celui de ma mère. Je voulais qu'il me lâche naturelle, je voulais, qu'il voit beaucoup mieux les pupilles de mes yeux. On dit que le regard, pendant une relation sexuelle, procure infiniment plus de plaisir que n'importe quelle prouesse physique. Je veux qu'il me regarde droit dans les yeux, je veux, qu'il me voit, moi et non le jouet qu'il s'imagine que je suis... peut-être même, je veux qu'il m'aime en cet instant, seulement pour ce moment où il est, ma moitié. Je continue à masser son pénis à l'aide de mes déhanchés, de mon intimité qu'il aime tant, tout en contractant mes jambes pour pas qu'il se dégage... Je veux qu'il me donne de son amour, comme personne ne l'a jamais fait auparavant !
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry] Lun 22 Oct 2012 - 17:53
My my, at Waterloo Napoleon did surrender Oh yeah, and I have met my destiny in quite a similar way The history book on the shelf Is always repeating itself
La jeune fille eût une réaction pour le moins étonnante : elle enroula ses jambes autour du chef de Croix et contracta par la suite ses cuisse. Estimait-elle le tenir à sa merci ? Dorian eût envie d'en rire car les règles du jeu c'est lui et lui seul qui les imposait. Mais il la laissa faire.
Parfois, on fait des choses étranges qui ne sont pas régies par la raison. Enfin, en un certain sens si. Nous réfléchissons encore et encore puis aboutissons à une conclusion qui est loufoque au premier abord. On se dit que c'est le bon choix puisque c'est ce qu'on a choisi. La raison devrait prévaloir parfois.
Elle commença à se déhancher sur son sexe. C'était étrange que de faire ça, elle était censée être violent pas consentante. Dorian eût presque envie de s'arrêter et de la tuer sur le champ mais il trouva à cette fille un petit côté excitant qui le poussa à continuer.
Elle massait l'engin du chef des Cross avec une certaine envie. Elle le faisait très bien pour quelqu'un qui était vierge, on aurait dit qu'elle avait fait ça toute sa vie. Elle le regardait droit dans les yeux, sans broncher, sans ciller. Dorian la regardait d'un air froid. Elle n'est qu'une poupée.
Ce qui était dommage, c'est qu'elle ne criait plus. Même si ce sont des cris de douleurs, cela reste plutôt stimulant et Dorian ne supportait pas trop les filles qui ne criaient pas. Mais maintenant, il avait commencé le boulot et bien que le meurtre eût été une issue facile, il préférait la souiller.
Oui, il savait très bien ce qu'il fallait faire. Il voulait la traumatiser a vie. Chaque sorcier pur devrait rejoindre Croix ou ce ne sont qu'un tas d'immondices immonde. Comme Anja de Rosenrot ou comme l'autre traître de Luka. Celle la ne payait rien pour attendre. Supplierait-elle sa mère pendant sa torture ?
Elle leva sa main et avant que Dorian puisse faire quoi que ce soit, en l'occurrence l'arrêter, elle les passa sur son torse et les fit descendre doucement. Elle avait trouvé en quelque sorte le point faible de Dorian mais pas que de lui, c'était aussi le point faible de la plupart des hommes.
Et vous savez pourquoi ? Parce que ça procure un instant de douceur immense, cela n'est pas sans rappeler quand la mère passa ses mains sur le cou du nourrisson puis redescend jusqu'au ventre lorsqu'il vient de manger. Cela rappelle l'enfance, et ça rassure Dorian.
- Cela te procure-t-il du plaisir de me tenir la gorge ?
- Oui, salope. Ca me permet de te tenir en laisse, soumise que tu es.
Elle avait dit ça d'un ton bien trop froid pour que Dorian ne puisse pas répliquer d'une manière cinglante. Elle le regardait étrangement et ça ne plaisait pas beaucoup au chef de Croix. S'il n'était pas en train d'avoir une relation sexuelle avec la jeune fille, il l'aurait sûrement torturer pour son regard indécent envers lui.
Il sentait la jouissance monter, ses testicules était en train de se gonfler lentement. Cela faisait plus d'une dizaine de minute que ces allers et vient continuait au milieu du parc. Ils étaient désespérément seul et elle avait bien compris que crier ne lui servirait plus à rien.
Puis soudain, comme le geyser jaillirait, comme la fontaine cracherait, comme le phénix renaîtrait, il jouit. Il poussa un long râle car il était tout simplement en train de se vider les bourses à l'intérieur d'elle. Elle n'aurait sûrement pas de gosse mais bien des retards de règles. C'est bien ça la fera paniquer un peu.
Il poussa avec ses hanches pour insérer son engin tout au fond d'elle et ainsi déverser tout les spermatozoïde dans son utérus. Puis surtout, il aimait bien, cela lui procurait une sensation de détente et de plaisir en même temps. Ca signifiait aussi à son corps que l'acte était fini.
Il se releva et la toisa de son regard le plus hautain. Il eût un sourire narquois et un regard méchant pour elle. Puis il lui donna un coup de pied dans le ventre, puis deux, puis trois.
- C'est pour te remercier et.. ça c'est pour t'indemniser, dit Dorian d'un ton doucereux.
Il se baissa puis lui mit une tarte magistrale qui l'assoma bien probablement bien que Dorian n'en fut pas absolument sûr. Il sourit et commença à remettre ses vêtements. Il boutonnait les boutons de sa chemise en sifflotant légèrement. Ce n'était pas une mauvaise journée.
Et comme tout les méchants, il partit dans les ténèbres de la nuit, laissa la jeune fille gisante ainsi sur le sol, non sans un rire. Dénuée de tout humour.
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Sujet: Re: La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry]
La bête se montre au couché du soleil et dévore sa victime sans un regret...[-18 Sorry]