Il se pourrait que moi aussi (j'ai craqué) {OK}

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 Il se pourrait que moi aussi (j'ai craqué) {OK}

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Sorcière Noire Mercenaire
EMPLOIS/LOISIRS : Mercenaire
LOCALISATION : Partout et nul part
CITATION DU PERSONNAGE : Baisse la tête et avance.

MESSAGES : 2
DATE D'INSCRIPTION : 21/12/2018

Niveau du personnage
Point RP:
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Niveau: 6 - Affirmée
Tina Muñoz
Tina Muñoz
Sorcière Noire Mercenaire
MessageSujet: Il se pourrait que moi aussi (j'ai craqué) {OK}   Il se pourrait que moi aussi (j'ai craqué) {OK} EmptyVen 21 Déc 2018 - 20:53

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Citation



Sorcière Noire

1545424982-vava3-1.jpgKatherine Waterston


Albertina Muñoz


Âge : 34

Date de naissance : 29/10/1984

Lieu de naissance : Espagne

Race : Sorcière

Statut : C'est compliqué.

Don premier : Illusioniste

Pouvoir premier : Elementairiste Air

Cours facultatifs suivis uniquement pour les élèves :

Matière(s) enseignée(s) uniquement pour les enseignants :

Métier : Mercenaire



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Veuillez écrire au moins 200 mots

D'un caractère assez fort, la Tina enfant a tendance à avoir le sang chaud. Elle est rêveuse, aime les histoire et aime beaucoup en inventer. Son coté rebelle fait surfasse pour faire des blagues, énerver ses proches et disparaitre aussitôt la farce réalisé. Elle reste néanmoins courageuse et n'hésite pas a prendre toute les responsabilité et a protéger ses ami.e.s. Elle déteste être enfermée autant physiquement que intellectuellement, car après tout c'est impossible d'enfermer un courant d'air. Depuis, Tina est brisée et ne sait plus qui elle est. Elle obéit sans réfléchir pensant que ça la peut la libérer, se renfermant dans ses illusions, l'alcool ou la drogue, tuant, volant, manipulant. Elle reste très impulsive et essaye quand elle le peut de défier l'homme qui la tient, sans jamais y parvenir réellement. Dans ses rares moments de lucidité, elle arrive a avoir de l'espoir, penser a ses ami.e.s qui l'attendent quelque part, espère qu'ils et elles ne l'ont pas oublié, qu'iels savent qu'elle reviendra un jour. En attendant elle se renferme dans son imaginaire, éveillé par ses illusion et multiplié par toutes les substances qui peuvent l'aider à oublier.



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Veuillez écrire au moins 100 mots

Elle est grande et mince, très élancée avec des jambes filiformes, n'ayant pas trop de forme. Elle a un visage fin et sombre, des yeux foncé et profond enfoncés dans ces cernes, comme si son esprit était verrouillé derrière une porte infranchissable. Elle a des lèvres fines, le teint clair, les cheveux en carrés fermant le reste de son visage, légèrement ondulés. En règle général elle est d'allure pas très accueillante, portant souvent du noir, pantalon, pull ou débardeurs, recouverts par son grand cuir noir retombant sur ses mollets.




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Veuillez écrire au moins 500 mots

Elle ne se souvenait pas de son enfance, pour être honnête, l'image de ses parents avait été effacé la première année qui suivit leur disparition. Disparition, autre mot pour signifier simplement qu'ils étaient morts. Morts, c'est pour simplifier l'idée qu'ils étaient un soir partis sans rien dire et que depuis ils n'étaient pas revenu. Ils lui avaient laissé la maison, le jardin, soixante dix sept livres sterling, quatre-vingt pound et un prénom horrible, Albertina Munoz.
Elle était seule dans cette grande maison, se débrouillant au début avec ce qu'elle avait, attendant le retour de ceux qui l'avaient mis au monde. Il faut l'avouer, sa famille n'a jamais été sentimentale, à la perte de son petit frère, sa mère s'était laissé tomber lentement dans la dépression, son père partait souvent revenant des jours après, ils n'avaient jamais de moment à eux, sans compter le fait que la maison était fade et impersonnelle, aucune photos sur les murs, aucun souvenirs, rien. Mais ça ne veut pas dire qu'Albertina n'aimait pas ses parents. Elle les aimait et n'avait qu'eux. Après être partie précipitamment d'Espagne, ils avaient emménagés cette maison au centre de nul part en Ecosse, et la jeune fille du quand même aller à l'école, ne sachant même pas parler la langue, ajoutant à cela l'apparition de son pouvoir et la mort de son petit frère qui n'avait que dix huits mois, Albertina vécu mal ses premières années. Elle avait pris l'habitude de se balader dans les vallée venteuses, jouissant du bienfait du vent sur sa peau tout en étant seule au milieu de nul part, personne pour la déranger. Puis un jour, elle resta pour regarder le coucher de soleil. Plus tard que d'habitude. Et en rentrant ils n'étaient plus là, la maison vide, la porte ouverte. Il faisait froid dedans. Elle a attendu deux jours sur le pas de la porte qu'ils reviennent. Le vent souffla fort durant ces 48h.
Une dame vint la voir au début de l'automne. Elle était gentille, la voix douce et le ton conciliant et doux. Elle lui expliqua d'où elle venait, ce qu'elle faisait et demanda alors à Albertina pourquoi elle vivait dorénavant seule, mais elle n'avait pas de réponse. La dame lui offrit l'opportunité d'avoir un toit, des cours, de faire partie d'une nouvelle famille. Et Albertina accepta.
Elle n'avait que treize ans quand elle entra au Mystery.
Les années passèrent vite, les meilleures années de sa vie. Elle commençait enfin à être elle-même, à s'accepter ainsi que ses différences, car au final elle ne l’était pas tant que ça ici : elle faisait partie d'un tout. Logan l'entrainait sans arrêt dans des magouilles et vice versa et elle me rappelle s'être fait engueuler pas mal de fois par Miss Mystery. Les enfants aimaient bien sortir en douce la nuit regarder les étoiles, et quand ils revenaient Newt faisait sa mou de quand il se sentait coupable. C'était adorable. Des bêtises elle en faisait tout le temps et Logan ne l'aidait pas à devenir une jeune femme modèle. Heureusement elle partageait sa chambre avec Mely et même si elle n’était pas hyper sage non plus, elle savait la calmer un peu. Mely était comme sa meilleure amie, elle aurait aimé la rencontrer plus tôt.
Dix-huit ans.
Elle décida de réhabiter la maison de ses parents le temps de trouver du travail. Elle quitta le Mystery pour s'élancer seule dans la vie.
Quelques jours après son arrivée chez elle, ils vinrent la chercher. Il lui jetèrent un sac sur la tête et la ficelèrent comme un animal pour la balancer sur le sol dur et froid d'une camionnette, qui la conduisit jusqu'à lui. Elle ne le connaissait pas, ne le voyait jamais, mais entendait parler de lui tous les jours. Au début, elle avait une chambre plutôt convenable quand on y repense : une pièce aussi large qu'un lit double, un duvet sur le sol et une ouverture au plafond pas plus épaisse qu'une brique de lait. Elle ne comprenait pas, et quand elle demandait ils répondaient : tu as une dette, faut payer ses dettes, petite , sinon c'est ce qui arrive. Alors elle refusa de se nourrir. Il la forcèrent et l'enfermèrent dans des pièces de plus en plus petites, de plus en plus sombre, jusqu'à ne plus avoir assez d'air pour rester consciente toute une journée. Puis il est arrivé. Il ouvrit la porte, laissant passer une brise dans ce qui lui servait de placard pour dormir, la lumière l'éblouissant elle ne put distinguer les traits de son visage. Elle vit qu'il lui tendait la main. Il la prit et l'emmena dehors. La, elle se mit à respirer de nouveau, comme une renaissance. Elle avait perdu une dizaine de kilos au moins dans cette aventure macabre. Il la laissa respirer pendant un temps puis commença à parler. "Je m'appelle Bill, et je suis un ami de tes parents. Ils travaillaient avec moi il y a longtemps, déjà quand tu n'étais pas née. Puis ils ont disparu, prenant une chose qui m'appartenait et laissant en échange une montagne de dettes. Ce n'est pas de ta faute si tu es là, c'est de la leur. Il n'y a que toi qui puisse te libérer, si tu fais ce que je te demande, tu sera libre." "Je pourrai avoir de l'eau ?" "Tu pourras avoir tout ce que tu voudras. Mais il faut que tu obéisses." "Et je dois faire quoi ? " "Suis moi." Il la conduisit dans un long couloir, ou au bout dans une petite pièce éclairée par une ampoule se trouvait un homme ligoté sur une chaise. "Tue le." Tina secoua la tête. Elle s'était battu toute sa vie pour ne pas faire de mal, elle devait résister. Une main s'empara de son bras et on la balança dans son placard. Elle pleurait. Newt apparut, le renvoi de son don sur son esprit, elle savait que c'était faux mais elle voulait y croire. Il lui parla de cours, de Logan, ouvrit un livre et lui raconta une histoire jusqu'à ce qu'elle s'endorme. Un bruit de métal la réveilla en sursaut, un autre homme la prit et l'emmena dehors oui Il l'attendait. Elle respira de l'air frais, a peine quelque secondes cette fois, puis Il l'emmena dans cette pièce éclairée par une seule ampoule ou se trouvait l'homme assis sur cette chaise. "Tue le." Tina refusa, encore et encore. Elle resta de plus en plus longtemps seule dans le noir, affamée, a espérer revoir le ciel même quelque secondes. Newt ne venait plus la voir depuis longtemps. Logan non plus. Elle était seule et se sentait mourir. Puis l'homme vint la chercher lui-même. Elle ne tenait pas debout, regardait dans le vide. On l'a fit s'assoir devant cet homme sur la chaise. Elle attendit. Son ventre hurlait de le nourrir, sa tête hurlait de la sortir, ses poumons réclamaient de l'air pur. Sans un bruit, elle réunit ses dernières forces et se leva. Devant l'homme, elle tendit la main. "Désolée, mais je n'ai pas le choix." "On a toujours le choix petite." Elle le regardait sans expressions. Le pauvre homme ferma les yeux. "Fait le vite." Elle posa ses doigts autour de la bouche et d'un geste rapide, tira l'air des poumons de l'homme. Il s'effondra à côté de la chaise, suivit de la jeune fille à bout de force. Au fond de la salle, l'homme souriait.
Elle se réveilla dans une chambre, avec des runes sur les bras et des habits propres. Elle se leva, se regarda dans le petit miroir en face d'elle. On aurait dit qu'elle avait dormi une centaine de jours. Elle marcha, se sentit plus forte, comme si on lui avait redonné de la chair, des muscles, de la puissance et alla à sa fenêtre. Elle pouvait y voir le ciel, y sentir l'air à travers les carreaux fêlés. Elle était en vie, libre.
On la marqua d'une rune appelée 'rune d'appartenance', - elle découvrira plus tard par hasard que ce n'était qu'une rune qui l'empêchait de faire du mal à Bill. Il était prévoyant. Avec celle-ci il pouvait savoir ou elle se trouvait dans le monde, pratique. Il la forma, l'envoya faire des missions, lui promettant qu'un jour elle serait libre. Puis il lui demanda de se terrer quelque part en Europe de l'est. Sa mission : faire gagner les autorités. Elle s'infiltra dans l'armée, et profita de cette couverture pour assouvir les désirs de son maitre. Et puis elle disparut des radars une fois la guerre finie. Bill ne s'en inquiéta pas.


Il me manque. Surtout ses yeux, ses lèvres, son odeur. L’odeur du réglisse et de la menthe.

Je me réveille en sursaut. On dirait que la coc ne fait plus effet, satané drogue, la qualité devrait être à chier. Si je retrouve ce Miguel je lui fais bouffer ses coudes. Je me lève, tant bien que mal, ma tête tourne comme si j'était dans un manège, j'ai l'impression d'être dans des montagnes russes. Je vais à la fenêtre prendre l'air. J'inspire un grand coup. L'air ne me permet pas de me guérir, loin de là, mais je joue avec mon pouvoir pour le faire se balader dans mes poumons afin de m'aider à me sentir mieux. Je m'assois sur une chaise à côté, je ne me souviens plus tellement de ce que je fais ici. Je mets mes chaussures, ma veste en cuir et va pour m'en aller. Je regarde le cadavre sur le matelas derrière.
Ah oui c'est vrai.

-Bonne journée, Walter.

Puis je referme derrière moi et m'engouffre dans la rue.
Cette bonne vieille ville de Londres. Elle ne m'avait pas manqué. J'allume une clope et marche dans la direction du centre. J'aime Londres en période de Noël, c'est éclairé de partout et c'est vivant. J'arrive devant la National Gallery , éteint ma clope et la range dans ma poche. J'ai beau être une salope, jeter mes mégots par terre m'a toujours dégoutée. Je rentre dans le musée et sort mon billet, daté de septembre 2017, je le montre au gardien et passe. Ils sont si crédules ces humains... Je me dirige au sous-sol, et vais me poser devant Le supplice de Jane Grey. Vous connaissez ? C'est la reine appelée “Reine des neuf jours”. Je vous fait pas un dessin, mais pour résumer, elle a régné 9 jours avant d'être décapitée sous l'ordre de Marie Tudor, une autre prétendante au trône. Elle avait plus de jugeote que cette pauvre Jane. J'allume ma clope de nouveau, regardant le gardien dans les yeux pour l'illusion tout en créant un courant d'air en dessous du détecteur. Le monsieur ne réagit pas, tant mieux. Je me retourne vers le tableau. Ce qui me plait dans cette œuvre c'est le fait qu'il n'y a aucun espoir, cette fatalité. Je me retrouve un peu dans cette Jane. Je tire une taff et souffle vers le tableau. Pauvre Jane. Elle aurait dû la buter cette Tudor.
Quand je ressors il pleut. Je lève mon col et part dans une rue. Je n'ai aucune nouvelle de Bill depuis six mois et depuis que je suis rentrée à Londres -environ deux semaines-, j'ai entendu dire par cet enfoiré de Miguel que y'avait de plus en de sorciers noirs en ville. Si la qualité de ses informations valent la qualité de sa drogue… Mais si c'est le cas, j'espère qu'ils ont buté ce connard de Bill, comme ca je serai libre. Je prends une chambre à l'hôtel et enlève mon pull. La rune est toujours visible entre mes seins. Non, Bill est encore vivant. Fais chier. Je prends mon paquet de clopes. Vide. Je cherche un paquet de coc, je n'en trouve plus. C'est la dèche ce soir. Je ressors, sous la pluie, encore et marche de nouveau vers le centre. Je trouve un tabac et prends un des paquets les moins chers. Je ferai bien une petite balade ce soir, si seulement il arrêtait de pleuvoir dans cette ville de merde. Je trouverai surement quelqu'un du métier quelque part, et trouverai un nouveau taff. Faut se l'avouer je suis a sec. Je pense pouvoir squatter chez Walter encore quelques nuits, ça m'étonnerait que quelqu'un se soucis de lui d'ici noël. Mais après ça, je fais quoi ? Je réfléchis en sortant une clope. Je pourrais trouver ces fameux sorciers noirs, s' ils ont du taff ça pourrait être intéressant. Je me cale sur un mur, légèrement protégé de la pluie par le rebord du toit et regarde les passants faire leur vie. Une clope, puis deux, trois. J'ai vraiment une vie de merde. Et je vais crever comme une merde. C'est décidé, je vais loger chez Walter, déplacer un cadavre c'est pas bien compliqué. Je me redresse et faillis bousculer un gars. Je le regarde en attendant qu'il s'excuse. Il se tourne légèrement, regardant vers le sol, baragouinant un léger 'sorry'.
Je fais tomber ma clope.
Newt ?
Le gars repart. Je le regarde tourner à gauche, planté à moitié sous la flotte. Je regarde ma cigarette, elle est foutu. Je soupire, et pars à la poursuite de cet homme. Je ne sais pas ce qu'il me prend, un réflex, l'instinct animal en moi. Je veux le revoir. D'un coup des milliers de souvenirs, trop de souvenirs. Je les chasse en fermant les yeux de plus en plus fort et en secouant la tête frénétiquement toutes les trois secondes. Il est devant moi, à une vingtaine de mètres. Il sait que je suis en vie ? Non, ça m'étonnerait. Et puis ça se trouve c'est pas lui, il y a des milliers de mecs comme lui à Londres et puis ça ferait trop scénarisé la. Je le suis pendant dix minutes. Il rentre ensuite dans une clinique vétérinaire austère. Je reste dans l'angle de la rue d'en face. Sur la pancarte je peux lire : Newton Fawkes. Et merde, c'est bien lui. Je m'allume une autre clope, puis fait demi-tour. Une fois chez Walter, je fou le cadavre dans la baignoire, puis ferme la porte. Je m'allonge sur le matelas, la tête en arrière. Il y a une seringue en face. Walter devait être un camé. Je me redresse et la prend, y'en a encore. J'arrache le tissu du matelas et me fais un garrot. Puis j'introduis l'aiguille dans mon bras.
Pitié, par pitié faites que j'oublie.



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Surnom


Âge : 34

Poste Vacants ? : []oui [X]non

Comment avez-vous connu le forum? : Y'avait de la lumière et je suis rentrée

Fréquence de venue : x/7

Codes : Ecrire ici



Dernière édition par Tina Muñoz le Mar 31 Aoû 2021 - 21:28, édité 10 fois
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Admin | Ex-directrice du Mystery Orphanage
EMPLOIS/LOISIRS : Directrice du Mystery Orphanage
LOCALISATION : Là où il faut
CITATION DU PERSONNAGE : Le temps mange la vie, et l'obscur ennemi qui nous ronge le coeur, du sang que nous perdons croit et se fortifie

MESSAGES : 1346
DATE D'INSCRIPTION : 20/02/2011

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Pandora S. Mystery
Pandora S. Mystery
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MessageSujet: Re: Il se pourrait que moi aussi (j'ai craqué) {OK}   Il se pourrait que moi aussi (j'ai craqué) {OK} EmptyJeu 2 Sep 2021 - 21:02

Par les pouvoirs qui me sont conférés par l'autorité suprême de Newt Fawkes, je te VALIDE ! Have fun Very Happy

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Zaubererbruder, wo bist do gewesen, in all diesen finsteren Jahren ?
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