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| Dans les ruelles pavées [Bastet] | |
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MESSAGES : 554 DATE D'INSCRIPTION : 21/12/2010
Niveau du personnage Point RP: (241/200) Point Membre: (133/200) Niveau: 7 - ConfirméGreen Soul Solitaire | Âme verte | Sujet: Re: Dans les ruelles pavées [Bastet] Lun 28 Mar 2011 - 19:08 | |
| Fatigue : n.f. 1a Sensation désagréable de difficultés à effectuer des efforts physiques ou intellectuels, provoqués par un effort instense, par une maladie ou sans cause apparente. B. .. On s'en fou. Bref, même le dictionnaire raconte n'importe quoi. J'ai pas fait d'effort instense. Je suis pas malade. Et y'a pourtant bien une cause. Le manque total de sommeil. J'avoue que l'utilisation de mon don, aide pas beaucoup. Il me tue de l'interieur, je ne l'ai jamais assez dit. Il paraît que c'est normal. mais enfait nan, c'est sûr que c'est pas normal. C'est comme si une partie de votre corps vous tuer lentement. Et ça, c'est que quand la partie de votre corps est malade. J'ai pas raison pour l'instant? Sisi. Bref, donc en gros, les pouvoirs & dons. C'est une maladie. Une dégénérécence, progressive ou non, mortelle ou non. Mais une maladie quand même. - T'as une sale gueule c'est pas pour dire.
Ha oui, Bastet. Pas que je l'avais vraiment oublié. Mais le manque de sommeil, ça aide pas beaucoup beaucoup faut dire. Mmm... En plus, avoir le lit en face de soit, c'est super dur. Ah oui, ses paroles. -" Mmm, merci, c'est gentil. Ca fait un sacré bout de temps que j'ai pas dormi faut dire. " Teeeeeeeeeeeeellement longtemps que je m'en souviens plus. En même temps, la nuit dernière, j'ai dormis trois heure, celle d'avant... deux heures au max... Et celle d'avant.. Ca remonte à bien trop longtemps. Dire que j'aspirais profondément à une vrai bonne nuit de sommeil. Raté. En attendant, je suis sûre que Destin -pour les intimmes- rigole bien de ce qui ce passe. -"Mais t'es pas mal dans le genre faut dire." Hahaha. CHACE! T'es sencé être galant, poli, gentleman. Oh bah écoute, elle cherche, elle trouve. J'aime bien taquiner les gens. Enfin, en même temps, là, c'est la vérité. Elle a pas l'air du meilleur de ça forme... Comme moi. Wouhou, bienvenue au club des zombies. Humph. Excusez moi, la fatigue. Ca aide pas, et ça aidera jamais. Elle hocha la tête quand je lui proposais un expresso. Je passais une main dans mes cheveux châtains. Pfffou. Courage Chace. Je disparus quelques secondes, mis la machine en marche avant de revenir, et m'appuyer dans l'encadrement de la porte. - Je me sens mal, que m'as-tu fait?! Je lève un sourcil. Amnésie? Naan. Je le crois pas une seconde. Enfin, si elle veut que je lui rappelle, ça m'dérange pas. Du tout du tout.. -" J'ai un peu usé de mon don sur toi. " Enfin, faut dire que tu l'as bien chercher. Excusez moi, mais embrasser quelqu'un avant de lui agiter votre couteau sur la gorge, c'est pas génial génial hein. Le moment 'Embrasser' me dérange pas en soit hein.. Elle est belle en plus. Chuuut Chace. Tu vas dire des truck qu'il vaut mieux pas que tu dise. Et. Voilà. Je sentais déjà bien mal cette soirée. J'hésite entre dire que ça continue, ou pas. C'est super dur n'empêche. Mais voilà, d'un coup, Bastet se jetta sur moi tout en dégainant sa lame. L'action me sembla bien trop lente par rapport à l'habitude. Mais là, la fatigue était telle qu'elle fut assez rapide pour me suprendre.. Elle finit par lâcher sa lame, et ses bras passèrent derrière mon cou, avant de se redresser, et m'embrasser avec force. Alors, bonne ou mauvaise nuit? Très bonne question. Mes mains glissèrent jusqu'a ses hanches, formes douces et voluptueuses sous son haut. Alors, elle retira le mien. Je continue de me dire que c'est franchement pas une bonne idée. Mais en même temps, on en profite tant qu'on est jeune, non? Puis la partie de moi masculine ... Chace.. Je m'auto déçois. J'avais dit que c'était finis, les coups pour un soir. Pas que je sois vraiment contre mais... Vingt cinq ans, il me semble qu'il est temps de se poser. - Fais sortir ta bête d'ici! Léger regard au chien. -" Sam tu sors." Immédiatement, elle quitta la pièce. WOW. Oh le réflexe de fou... Mouais. C'est malsain tout ça. Elle défait ma ceinture. Put*in, Chac,e tu fou quoi là?! Je me mord la lèvre inferieur, sourit malgré moi, essaie de vaincre se désir. Je soupire, avant de lancer. A contre coeur. Mais rien qu'un petit peu. -" Je... Je crois pas que se soit une très bonne idée..." Si elle avait seulement idée à quel point, il est dur de dire non. Il serait tellement plus simple de dire non... Mais j'ai toujours fait au compliqué, à croire que j'aime ça. Nouveau soupir. Désolé Bastet. C'est dur de dire un truck dont est est absolument pas persudé. C'est vraiment compliqué. Torse nu, toujours je fais demi tour, et passe une main dans mes cheveux, mouvement devenu familier. J'attrape le café qui a finit de couler, un sucre et une coupelle, retourne dans la chambre et lui tend. Allez, s'teuplait, dis okay oui, c'pas grave. Ca m'aidera. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Dans les ruelles pavées [Bastet] Jeu 7 Avr 2011 - 19:33 | |
| -"Mais t'es pas mal dans le genre faut dire. - Va en enfer. Elle gronda comme une panthère furieuse, n'avait-elle pas raison dans un sens? Bastet arqua un sourcil, fatiguée par Chace mais aussi par tout cela. Elle avait l'impression qu'on lui avait découpé la peau pour mettre la chair à vif, sensation désagréable qui devait être la faute de Chace. Son cœur battait vite, non elle n'était pas tombée amoureuse si soudainement, elle analysait juste la scène qui se déroulait devant ses yeux, nuance! Elle se préparait au combat, en réalité son corps car Bastet était plutôt d'humeur à faire un autre sport, bien plus athlétique dans un sens.
Pourquoi tout cela dérapa ensuite? Parce qu'elle le voulait, elle voulait l'exorciste contre elle, se complaire dans la chaleur du plaisir jusqu'à oublier qui elle était réellement. La sorcière sentit le désir prendre de plus en plus forme dans son corps qui se réchauffa de délice quand Chace posa ses mains sur ses hanches. Elle aimait ces mains sur ses hanches rondes qui appartenaient à ce corps qui avait porté la vie après tout. Mais c'était son petit secret. S'arquant contre lui, elle défit sa ceinture et coupa le baiser, demandant que la chienne parte et il obéit, Sam sortit, Bastet se lécha les lèvres, satisfaite de la situation alors qu'elle ne lâcha pas Chace du regard mais elle tomba très vite de son nuage rose érotique... -" Je... Je crois pas que se soit une très bonne idée..."
Elle resta la bouche béante, n'en croyant pas ses oreilles alors qu'il sortit chercher son café. On lui en avait fait des belles mais celle-la ! Sincèrement elle ne le pensait pas capable de cela, elle venait lourdement de se tromper, elle le sous-estimait et l'exorciste avait la nette impression qu'elle le sous-estimait dans bien des domaines. Bastet se massa la nuque, il était vrai qu'elle était fatiguée et pleine de questions pour dire vrai envers cet homme qui avait usé de son don sur elle, c'était une sorte d'infraction. Ne devait-elle donc pas l'arrêter et le livrer à Orpheo? Sincèrement Bastet ne savait pas, elle sirota son café quand il lui apporta alors qu'elle voyait bien qu'il attendait un verdict, et le verdict tomba, froid et mort. - Tu m'as attaqué en sachant qui je suis. Tu as ignoré que j'étais un exorciste, tu as abusé de ton don sur moi comme si j'étais une sorcière noire. Des accusations mais il les méritait, ne l'avait-il pas cherché après tout?! Bastet ne savait plus vraiment, sa tête ne cessait de tournoyer comme sur un manège et elle s'assit sur le lit tout en soupirant. Elle ne doutait pas, pas du tout même. Son esprit refusait pourtant de fonctionner et elle, elle voulait affreusement ressentir Chace en elle, mon Dieu ! Elle était juste fatiguée, ses muscles lui lançaient et elle savait ce que cela voulait dire. Elle avait abusé elle aussi de son don premier, il n'y avait pas photo sur la chose ! Soupire rauque qu'elle lâcha alors qu'elle posa son regard marron doré sur Chace. Soudainement elle n'avait plus envie de se le taper, non mais bien envie d'autre chose. Elle le toisa avec froideur alors qu'elle posa la tasse de café sur la table de chevet. - Tu veux dormir, je veux coucher avec toi. Parallèlement tu m'as attaqué alors que tu aurais pu éviter tout cela. Je vais te dire ce que je pense, tu as trahi Orpheo, tu es un déserteur. Sa spécialité c'était de chercher des poux aux méchants. Alors soit elle avait affreusement raison soit pas du tout. Pour quel côté pencherez-vous, dites-moi? Tout ce que voyait Bastet c'était qu'il venait de basculer dans la case ennemis mais elle couchait avec les ennemis, elle l'avait fait sciemment dans le passé. La sorcière se leva alors, elle ôta son haut, dévoilant la dorure de son soutient-gorge, il était un homme, céderait-il ou pas ? Elle fit un sourire plein de sous-entendu, allait-il écouter ces instincts primaires ou pas ? Roulant des hanches Bastet s'approcha dangereusement de lui. Mais elle comptait bien le prendre à revers tôt ou tard !
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| | | MESSAGES : 554 DATE D'INSCRIPTION : 21/12/2010
Niveau du personnage Point RP: (241/200) Point Membre: (133/200) Niveau: 7 - ConfirméGreen Soul Solitaire | Âme verte | Sujet: Re: Dans les ruelles pavées [Bastet] Jeu 5 Mai 2011 - 20:49 | |
| - Va en enfer.
Mmm... merci, toi aussi. J'aurais put rétorquer ça, mais ça n'aurait pas était très galant... Comme si je l'avais beaucoup été ces derniers temps. C'est pas me faute de une, et de deux... c'est un peu ma faute quand même. Je n'aime pas perdre d'abord, et c'est elle qui a commencé avec son fichu couteau. Quelle idées de faire des rencontres comme ça! Non mais. Et puis mince à la fin! Pourquoi je ne suis pas allé chez Wanda? Pourquoi je ne suis pas simplement rentré chez moi? Ah, j'avais oublié. Mes idées sont toutes meilleures les unes que les autres, c'est pour ça que je me retrouve ici avec, excusez moi du terme, une psychopathe. Ouai ouai. Vous avez bien entendu, une Psychopathe. Avec un grand P. Oui, c'est moche de traiter les femmes ainsi, mais là, j'en est marre. Ca me gave. Ca me soule. Zen. Quand je refusais ces... avances si je puis dire, elle en resta... bouche bée. Ben quoi? C'est la première fois qu'on te refuse pas? Ne me dites pas qu'elle est vexée. J'en est marre de tomber sur des gens comme ça. Zen.
- Tu m'as attaqué en sachant qui je suis. Tu as ignoré que j'étais un exorciste, tu as abusé de ton don sur moi comme si j'étais une sorcière noire.
J'accusais le coup sans sourciller. Après tout, cela ne faisait pas si longtemps que ça, que j'avais mes pouvoirs, et mon instinct concernant sorcier noir, ou blanc, n'était pas très développé. Bon, d'accord, j'ai abusé sur mes pouvoirs. Je déteste perdre, mais ce n'est pas une raison. Je sais, je sais, et je sais encore tout ça. Mais Orphéo ne fait pas grand chose pour moi, à mon avis. Je ne rapporte rien d'être à son service. Je ne serais sans doute jamais noir, mais quand même. Etre juste moi me suffirait. Pas envie de tuer des fantômes, mais pas trop le choix à vrai dire. Pfff. Je ne rétorquais rien, me contentant de la regarder. D'accord. C'est vrai. Et après, tu comptes faire quoi?
- Tu veux dormir, je veux coucher avec toi. Parallèlement tu m'as attaqué alors que tu aurais pu éviter tout cela. Je vais te dire ce que je pense, tu as trahi Orpheo, tu es un déserteur.
Tu veux coucher avec moi, et tu me traites de déserteur? Mmhm, tu me prends mal là. Tu vois, une forte envie de me braquer m'envahit, de t'envoyer bouler. Je ne vois pas pourquoi je coucherais avec toi, alors que tu me hais -moi aussi par la même occasion- juste parce que tu m'accuses. J'en est rien à faire vois-tu? Elle hôte son haut, s'approche de moi, roule des hanches sous mes yeux. Dire que cela ne me fait rien serait faux. Elle est belle, sexy même. Et alors? J'avais dit que c'était finis, un point,c 'est tout. J'ai assez fait des conquêtes d'un soir. Et surtout, surtout pas avec des filles comme elles. Dangereuse? Rien à faire. Juste... ce... ce caractère. Vouloir toujours tout. Et bien vous savez quoi?
-" Tu sais très bien que j'aurais put te laisser crever là-bas dans la ruelle. J'aurais peut être du le faire aussi. Je me fou de ce que tu penses, de ce que tu veux. "
Bah quoi, y'a pas que les ados qu'ont le droit de se rebeller d'abord. Oui oui, je revendique. Non mais. Oui, je me rebelle, on excuse tout aux ados parce qu'ils sont ados. moi, je trouve ça dégueulasse d'abord. Ok ok, je ferais ma crise de la vingt-cinquième plus tard.
-" J'aurais très bien put coucher avec toi. Mais les accusations, bien que vraies ne t'ont pas beaucoup servies a vrai dire. Sans, t'aurais peut être gagné. Mais voilà, t'a trop parlé. "
J'aime gagner. J'aime beaucoup. Mais même si je ne la connais que très peut, j'ai le sentiment que je n'en est pas finit avec elle. Pas finit du tout. Allez, vas-y, balance moi à la gueule tout ce que tu veux, j'suis prêt. Prêt et remonté juste comme il faut. Mais bien sûr, c'est sans compter sur la fatigue. Elle commence à m'agacer elle aussi. Vraiment. C'est chiant.. chiant et long d'attendre que tout ça se finisse d'abord. Qu'elle réponde quelque chose, qu'elle sorte, qu'elle reste, peu importe. J'aspire vraiment à me laisser tomber sur le lit, et à ne plus me relever. Pourquoi ne pas s'excuser? Effectivement, s'excuser pour désamorcer la bombe qui va exploser, ça peu être la seule chose utile à faire parfois. Mais je crois qu'il ne s'agit plus vraiment de ça, là... là, si elle veut exploser, elle explosera. Et je suis sûr qu'elle le veut très fort. Alors voilà, des fois, il faut juste attendre. Attendre et voir la suite, voir si demain viendra finalement ou non. Ce n'est pas encore la journée la plus longue de ma vie, mais pas loin. Pas loin du tout. J'ai l'impression que je vais craquer, relâcher la pression d'un coup. Oui, vider son sac comme on dit couramment. J'en est marre, et il n'y a aucun doute là dessus, ça se voit. Et alors? Je m'en fiche, je m'en fou. J'aimerais savoir ce qu'elle va faire, ce qu'elle pense, ce qu'elle veut. Quoique ce qu'elle veut, je le sais. Je ne me 'forcerait' pas à coucher avec elle. Forcerait est un bien grand mot. Je pourrais. Je pourrais bien céder à la tentation, me laisser emporter. Crève. Seul mot que j'ai envie de lui crier. Elle pourrait pas partir, s'écraser pour une fois? Une fois dans sa vie? Alors quoi? Tu veux quoi? Que je m'excuse. Si ça pouvais la faire partir, je le ferais. Enfin... à voir. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Dans les ruelles pavées [Bastet] Jeu 30 Juin 2011 - 16:52 | |
| -" Tu sais très bien que j'aurais put te laisser crever là-bas dans la ruelle. J'aurais peut être du le faire aussi. Je me fou de ce que tu penses, de ce que tu veux. - Je ne meurs pas si facilement et si tu m'avais abandonné, je t'aurai poursuivi et tué !
Bastet était Bastet, il ne fallait ni l'emmerder ni la menacer de quoi que se soit. Hors c'était ce qui se passait en ce moment-même. La rage montait en elle comme la lave d'un volcan. Elle avait envie d'écraser Chace, lui faire le plus mal possible, l'écraser de son talon. Malheureusement ce n'était pas possible, même si Bastet en rêvait secrètement. Elle n'avait quasi plus de force et des points noirs dansaient sous ses yeux, signe qu'elle abusait un peu. Elle devait s'assoir, mais pour elle, se serait comme avouer ses faiblesses, et cela, elle le refusait ! Elle refusait d'avouer ses faiblesses car elle était une femme. Hors on avait souvent tendance à penser à tord que les femmes étaient faibles et tutti quanti. Bastet une féministe ? Juste à peine au cas où vous ne l'auriez pas remarqué. Chace ne semblait pas fatigué et continuait de rendre chèvre la professeure qui allait bientôt exploser...
-" J'aurais très bien put coucher avec toi. Mais les accusations, bien que vraies ne t'ont pas beaucoup servies a vrai dire. Sans, t'aurais peut être gagné. Mais voilà, t'a trop parlé. "
Paf ! La baffe partit avec une violence non-retenue. Bastet venait d'exploser alors que ses yeux devinrent étranges, ceux d'un chat. Son don premier s'était activé sous l'effet de sa rage, même si il était vrai qu'elle était épuisée et qu'elle devrait plutôt arrêter d'utiliser sa magie. Bastet serra ses deux poings, inspira longuement et cessa d'utiliser son don premier. Ses yeux redevinrent normaux alors qu'elle se pinça l'arrête du nez en expirant violemment l'air de ses poumons. C'était une femme impulsive, qui pétait souvent un câble, voir trop souvent. Vu qu'elle était professeure cela était souvent mal vue mais elle s'en contre-fichait royalement. Bastet étant Bastet, bien entendu...
- Écoute-moi bien espèce de petit merdeux, tu DÉGAGES !
Bastet capable de faire sortir quelqu'un de sa propre chambre ? Elle le faisait et haut la main même ! La télékinésie vibra dans l'air, alimentée par la rage et envoya voler Chace tandis que la porte claqua sèchement. L'exorciste alla s'assoir sur le lit, véritablement perdue, elle passa nerveusement une main dans ses cheveux courts. Un mal de tête vrillait ses sens, titillait son esprit qui ne cessait de s'agiter dans tous les sens. Le calme, un calme qu'elle ne possédait pas mais qu'elle devait coûte que coûte retrouver. Comment faire quand la volonté faisait défaut ? Aller, zennnn. Impossible ! Bastet envoya voler les objets dans la pièce et se calma quand tout avait l'air d'un champ de bataille. Là, elle se sentait nettement mieux mine de rien, quoi que cela puisse vous étonner... Elle ouvrit la porte à la volée, cherchant Chace du regard.
- Bon, je te laisse le lit.
Elle n'avait pas envie de rester ici même si elle devrait. Entre temps Bastet avait enfilé son haut, comprenant qu'il serait vain de tenter de violer ce type. Il était plus buté qu'un âne ! Mais avant elle avait bien envie de lui donner une leçon, de quel type ? Oh vous verrez bien assez tôt...
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| | | MESSAGES : 554 DATE D'INSCRIPTION : 21/12/2010
Niveau du personnage Point RP: (241/200) Point Membre: (133/200) Niveau: 7 - ConfirméGreen Soul Solitaire | Âme verte | Sujet: Re: Dans les ruelles pavées [Bastet] Dim 17 Juil 2011 - 17:48 | |
| - Je ne meurs pas si facilement et si tu m'avais abandonné, je t'aurai poursuivi et tué !
Ne te mens pas ainsi Bastet. J'aurais pu la laisser crever ... voir l'achever. Après tout personne n'aurait su que c'était moi... enfin je crois. Je ne doute pas qu'elle s'accroche à la vie comme une sangsue à la peau de sa victime. Je vois bien que cette femme à une volonté surnaturelle. Mais se faire ouvrir la gorge, ça, personne n'y peut rien. Voyez vous, je serais un chat qu'a ce moment là j'aurai sans doute feulé. La colère tient éveillé n'importe qui je crois. C'est pour ça que je ne suis pas encore tombé de fatigue je crois. Mais comme je ne suis pas un chat, je ne peut exprimer ma colère dans un feulement animal. Bien que les humains soient des animaux, évidement. Alors on l'exprime autrement. Arrogance ? Peut être.
-" T'es pas obligé de te mentir Bastet. On sait tous les deux la vérité. "
Et bam. Je dis ça je dis rien, je peut très bien me prendre un crochet du droit. Allez, laisser moi dormir. N'empêche que si elle me laisse dormir, c'est pas normal. Je vous assure, ça serait pas normal. Elle fait décidément pas parti du genre de personne à qui on peut faire une confaicne aveugle, surtout quand apparement on a été catégorié comme un de ses ennemis. J'aurai peut être du essayer de la laisser crever. La colère sourde est la pire des colère. Peut être pas pire que la haine. Car la colère, ça passe, la haine ça se tait. Un moment seulement. Je soupire. J'en est marre de ce petit jeu pour le moins puérile, mais je sais que je ne cèderai pas. JE NE CEDERAI PAS. Et si je cède, elle me laisse partir ? Ta g*eule Chace Leighton. Du cèdera pas, allez ! Je parlais pas de baffe par hasard tout à l'heure ? Ah non, de crochet du droit. Enfin c'est pareil, sa main sur ma joue quoi. Bien, et bah ça vient de se passer. Je serre les dents, et la regarde droit dans les yeux. Une colère danse dans mon regard bleu. Pas envie de ma battre. La douleur est intense mais se calme rapidement. Mais d'où elle me frappe celle là ?
- Écoute-moi bien espèce de petit merdeux, tu DÉGAGES !
J'aimerais beaucoup. Mais vois-tu ...
-" Sauf que je suis chez ...'
Impossible de finir ma phrase. Maadaame est télékinésiste. Super. Je vole complètement dans le couloir et ma tête tape dans un bruit mat le sol dur. Trop dur. Je grogne de douleur et me relève. La colère peut être se transformer en haine aussi rapidement ? Je passe mes doigts sur l'arrière de mon crâne. Je sens un liquide poisseux. Je regarde ma main. Humph. En effet, le liquide en question est rouge. M*rde. Si vous saviez comment à ce moment même plus qu'a un autre je me demande poruquoi je ne l'ai pas laissé crever dans la ruelle comme une chienne. Ce qu'elle est assurément. Tu t'entends Chace ? Ouai tais-toi vaut mieux. Elle finit par ouvrir la porte.
- Bon, je te laisse le lit.
Je restais interdit un moment. Elle remit son haut. L'envie était teeeellement forte. Je pourrai m'endormir dans le couloir je crois. Mais ça sent tellement l'arnaque. Enfin après .. Ca peut très bien ne pas l'être.. Rah ! Trop dur à choisir. Tu sais quoi ? Tu peut très bien dire c que tu penses aussi. Ouai enfin tu risque encore de te prendre une baffe. Ca cache tellement quelque chose de faire voler quelqu'un puis de lui laisser sa chambre ... Je la fixe un instant avant de demander :
-" Et ça cache quoi ça, sincèrement ? "
Allez dit que ça ne cache rien s'il te plait. Ou alors tu rentres dans ta chambre et tu la fermes à triples tours ? SAM. Autant elle va s'en prendre à elle. Je la siffle, elle raplique.
-" J'hésite beaucoup à te faire confiance ... mais si je dors pas je meurs ..."
Alors je rentre dans la chambre. Hésitant... Et sinon j'appelle Wanda et je vais dormir chez elle. Je jette un regard autour de moi. Beaucoup de chose ont volées par terre. ZEN Si vous saviez à quel point j'ai envie de la tuer. Ah oui, vous le savez déjà. Rien que pour ça j'aurai presque envie d'être sorcier noir. Presque. Mais .. Non. Je passe à côté d'elle. Doute. Hésitation. Et m*rde je peux plus tenir. Je rentre dedans, je ferme la porte. A clé. Je me sens trop obligé de faire ça. Au pire tu meurs, tu meurs, non? Non. Je sens tellement quelque chose se préparer que... déjà mon appartement est toujours ouvert, ce qui est toujours des plus rassurants faut avouer. Soupire. J'attrape la dague posée au sol. La glisse sous mon oreiller. Sam se met en face de la porte, les oreilles dressées. Mais le doute ne peut pas empêcher un homme de dormir aussi longtemps...
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: Dans les ruelles pavées [Bastet] Dim 7 Aoû 2011 - 1:16 | |
| -" Et ça cache quoi ça, sincèrement ? "
Ne pouvait-on pas la croire pure et innocente ? Non cela ne marchait pas ? Fort probable, surtout quand on parlait de l'exorciste, soit... Elle aurait tenté de faire sa bonne action de la journée après tout ! Bastet répondit par un sourire mystérieux, refusant de répondre au fond. Elle laissa la chienne s'enfiler dans la chambre alors que l'exorciste pencha la tête sur le côté, curieuse. Elle observait le beau jeune homme qui avait refusé ses avances, très franchement déçue mais bon, elle ferait avec. Peut-être qu'elle pourrait se venger ? Ouh la vilaine fille ! Elle voyait Chace qui était fatigué, elle-même était exténuée ! Elle avait envie de dormir mais ne dormirait pas ici, non et surtout pas avec cet homme. Il n'y avait pas photo, elle voulait dormir, il voulait dormir, alors pourquoi chercher plus loin, hein ? Des fois les gens étaient tellement compliqués... Ou c'était peut-être elle ? Difficile à dire ! Le sommeil faisait perdre la tête à la sorcière.
-" J'hésite beaucoup à te faire confiance ... mais si je dors pas je meurs ..." - Dommage, j'aurai voulu d'enterrer, une prochaine fois ?
Cynique et franchement glauque quand elle s'y mettait. C'était du Bastet tout craché quoi ! Elle était aussi aimable qu'une porte de grange quand elle s'y mettait ou alors devenait aussi capricieuse qu'une enfant de dix ans. Sourire carnassier de la part de la sorcière. Elle le laissa s'enfermer, elle aurait pu lui faire peur et forcer la porte mais elle était bien trop épuisée pour jouer l'enfant de seconde zone. Même s'il fallait avouer que c'était terriblement tentant au fond. Bah... Elle connaissait son adresse, rien ne l'empêchait de revenir pour le terroriser, pas vrai ? Bastet détestait quand elle réfléchissait ainsi, comme une bonne vieille psychopathe mais bon...
L'exorciste fit craquer sa nuque, méditant sur le fait de terroriser le pauvre humain ou pas... Alors ? Terroriser ou ne pas terroriser ? Tic, tac, tic, tac oh et puis zut ! Bastet partit de l'appartement sans demander son reste, elle erra dans les rues. Elle préférait le laisser mourir dans son lit que d'utiliser les dernières forces qu'il lui restait pour le terroriser. Elle se souvenait de la phrase de Chace, pas besoin de se mentir. Elle se mentait depuis des mois et sa mission chez les sorciers noirs la rendait chèvre. Bastet arriva exténué devant l'orphelinat et s'effondra. Ce fut un élève qui la trouva au petit matin et la mena d'urgence à l’infirmerie pour se faire soigner. Pas de blessure grave mais nul-doute que Bastet allait faire payer Chace ! Leur prochaine rencontre promettait d'être haute en couleur...
[ Terminé ]
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